Chapitre 1
Salut à tous,
Moi, c’est Nico, 37 ans, blond, les yeux bleus, j’ai un corps un peu enrobé et un peu poilu ainsi qu’une bonne teub de 17 cm. Je suis prof d’histoire-géo dans un quartier difficile de Toulouse. Mon travail avec les jeunes des quartiers est dur mais palpitant. Pour rien au monde je ne changerais de collège. J’habite aussi dans la ZUP où je côtoie mes élèves comme leurs parents. Je tais par conte mon homosexualité car je redoute des problèmes de disciplines avec les élèves ou des confrontations avec des parents. Mais par contre, je vis ma vie privée comme je l’entends. Je reçois des plans, je sors en boîte gay. Je ne me cache pas non plus.
Par contre, il faut bien sûr vivre avec les inconvénients de ce genre de quartier : petites frappes qui jouent aux caïds, jeunes qui veulent se la péter et qui parlent fort... et aussi problèmes de drogues. J’habite au premier étage de mon immeuble et je sais que sous mes fenêtres, chaque soir, des mecs dealent. Je ne dis rien, même si ça me contrarie un peu.
Mais un jour, je suis sur le balcon en train de boire une bière et je regarde comme souvent les dealers faire leur business et j’essaie d’imaginer comme souvent la vie des mecs qui viennent acheter leur dose de cam... quand soudain je vois un de mes élèves, Lucas, s’approcher du dealer et commencer à chercher quelque chose dans un poche. Il en sort un billet. Je suis catastrophé ! Lucas, pour qui j’espérais un avenir meilleur que celui de ses parents, qui devrait s’en sortir et avec qui j’avais eu un long entretien pour lui prouver qu’il fallait s’accrocher et se battre pour arriver à réaliser son rêve (devenir vétérinaire), ... oui ce même Lucas est en train d’acheter de la beuh ! Je ne peux plus me contrôler. Je sors de mon appart en coup de vent et je dévale les escaliers. Je sors de l’immeuble et je m’écris :
- Lucas, tu fous quoi là ? Tu achètes de la beuh ??
- Monsieur R. ! Mais qu’est-ce que... (Il me regarde complètement interloqué).
- Pas de mais, rentre chez toi ! Reprends ton argent et casse-toi ! On parlera de tout ça demain !
Tout penaud, il reprend son fric et il part. Puis il se retourne et revient vers moi :
- Vous ne direz rien à mes parents, monsieur ?
- Ta pauvre mère, si elle savait ! On verra, on en reparlera demain à l’école ! Au revoir, Lucas !
- Au revoir, monsieur R !
Et il repart, la tête basse. Je souffle de soulagement... quand le dealer vient vers moi et il commence à me bousculer :
- Tu fais quoi là, mec ! Tu me casses mon business !
Il me pousse un peu, il commence à être un peu violent. J’essaie de le calmer.
- Arrêtez, s’il-vous-plait. Je ne veux pas de problème. Lucas est un gosse que j’apprécie et pour qui j’envisage un brillant avenir. Et c’est pas en se droguant qu’il y arrivera !
- Tu m’insultes, là ? Je leur vends pas de la merde à ces gosses ! Je leur offre un moyen de s’échapper du quotidien pesant du bahut.
Le mec commence à me donner une grosse baffe. Je lui demande d’arrêter. Je me sens prêt à riposter quand... je lui propose de prendre une bière chez moi pour détendre l’atmosphère.
- T’as pas plus fort que de la bière ?
- Si, bien sûr. Vodka ? Rhum ? Whisky ?
- Une petite vodka peut pas faire de mal ! Allez, d’accord. Je te suis.
Je le fais entrer, il fait alors comme chez lui, il se pose sur mon canapé. Je lui sers un verre. Il me tend la main et dit s’appeler Philippe. Je ne le crois pas, mais j’entre dans son jeu. Je m’assois à côté de lui, nous trinquons. Je me mets à l’observer :
Le dealer a dans les 30 ans, il est mince. Il a une peau mate, c’est un latino ou rebeu, je ne pourrais le dire. Il a une barbe de trois jours et des cheveux bruns très courts. Il est poilu sur les bras et es jambes, des poils noirs, courts et fins. Il a des boucles d’oreilles en diamant à chaque oreille. Il a le cou remplis de chaines en or et à son poignet se trouve une grosse montre en or aussi.
Tout d’un coup, il sort :
- Tu sais, Nico, je crois que je devine ce qui se passe ici.
- Comment ça ?
- J’ai déjà vu des mecs rentrer et sortir de chez toi.
- Comme tout le monde non ?
- Je crois pas.
- J’ai pas mal d’amis. Ça arrive aux profs, tu sais.
- Tu es PD ?
Je m’étrangle avec ma bière. Je réfléchis et j’essaie de trouver vite une réponse appropriée.
- Comment ça ? Tu trouves que je fais efféminé ?
- Pas du tout. Je dis tout simplement ce qui en est.
- Non, c’est faux.
- Ahmed disait le contraire (je pense alors à Ahmed, un pote de baise régulière).
Je veux protester. Sans s’occuper de mes paroles, il ouvre son pantalon de jogging et il en sort une belle teub ! Sa queue est molle mais massive. Il a bien 16 cm entre les jambes et la bite est au repos, flasque, bien épaisse, qui me fait l’effet d’une trompe d’éléphant bien large, posée sur son pantalon. Et il ne bande même pas ... Je me dis alors : Qu’est-ce que ça doit être quand il bande !? Mais je reste muter, je ne sais pas comment réagir.
- Tu veux pas me sucer ? J’ai 26 cm à t’offrir.
A ces mots, ma queue se tend dans mon pantalon. Il pose alors sa main sur ma cuisse et comme si c’était un réflexe, j’écarte les jambes. Souriant, sa main remonte et touche mon paquet :
- Mais tu bandes, cochonne ?
Je ne peux plus nier que la situation m’excite. Il enlève alors son pantalon et me dit :
- Vas-y, suce !
Il sort un joint de sa poche ... et il se l’allume. Je veux protester mais il ferme les yeux et tire une latte. Il répète alors :
- Vas-y, suce !
Je ne peux plus résister. Je me lève et je me mets entre ses jambes et ma langue sort immédiatement. Il colle aussitôt sa queue contre mes lèvres. Avant de s’occuper de sa queue, ma langue lèche et suce les grosses couilles. Puis je prends le gland en bouche et je commence à le sucer tandis que mes mains se promènent sur son corps poilu. La queue est molle mais tellement épaisse. Elle prend toute la place dans ma bouche. C’est incroyable d’avoir une trompe pareille dans la bouche. Sa bite molle se durcit au fur et à mesure que je m’en occupe. Je le regarde docilement et il tire toujours sur son joint. La bite grossit rapidement, c’est une belle queue dure.
Les poils de son pubis sont épais et frisés. Il a une grosse teub de 26 cm. Elle est très épaisse au niveau de la base et elle s’amincit un petit peu en allant vers le gland. Elle est traversée de veines saillantes. Ses couilles sont rasées et elles sont énormes, sa queue est épaisse, marron, circoncise. Son gland est rose.
Il se lève et enlève son t-shirt. Il a un corps mince. On voit presque chaque muscle mais aussi chaque os de ses côtes par exemple. Ses pectoraux sont ronds et gonflés, tout comme ses biceps. Il a des tatouages sur le torse et les épaules ainsi que sur les avant-bras. Son corps est entièrement recouvert de poils très fins et très courts. Il a des fesses fines et musclées et sa raie est remplie de poils noirs abondants.
Je lui caresse ses couilles énormes. Le mec bascule la tête en arrière, bien détendu, tirant toujours sur son pétard. Il me pose une main sur ma tête, signe de son plaisir. Je me mets à le sucer. Sa queue occupe bien ma bouche. Je prends le tier de sa bite en bouche et je le suce. Sans m’aider de mes mains, je vais toujours plus profondément, faisant passer son monstre toujours un peu plus loin dans ma gorge. J’ai la moitié de la bite en bouche et je commence à lui faire une pipe de malade. Il gémit fort. Il donne parfois des coups de rein pour que sa bite aille encore plus loin dans mon gosier. Finalement, sa queue se retrouve entièrement dans ma bouche, au fond de ma gorge. Il gémit de plaisir. Rapidement, il pose ses mains sur ma tête et m’impose une cadence plus rapide. J’essaie de m’habituer à cet énorme monstre. Puis, il me laisse faire et je le suce tout en le branlant, m’émerveillant toujours de ce bel anaconda. Tout d’un coup, je remarque qu’il est en train de filmer la scène avec son portable. Il dit :
- T’inquiète, cette vidéo restera entre nous. Continue de me sucer.
Je continue. Ensuite, ma langue remonte le long de son corps et va titiller ses tétons. Sa peau a un goût salé. Le mec a un peu sué. Je sens alors l’odeur de ses aisselles. Une odeur musquée et assez discrète. Ne pouvant y résister, j’y plonge mon nez et ma langue. J’adore cette odeur virile.
A un moment, il se lève, il se retourne et il place son cul devant ma bouche et ma langue sort. Je lui titille la rosette et il se met à gémir. Puis il me redemande de le sucer. Je m’exécute et il glisse un doigt dans mon pantalon.
- Mais tu portes pas de caleçon ? Salope, vas ! Allez, mets-toi à poil !
Je me déshabille et il me fait me coucher sur le canapé. Il caresse mes fesses et siffle en même temps. Sûrement d’admiration. Puis son index se dirige vers mon trou qu’l se met à malaxer. Il crache sur mon anus et il y enfonce son index. Puis son pouce vient s’y ajouter. Il fait des aller-retours, je me crispe. Puis, il me fait me lever et il demande où est ma chambre. Je l’y conduis.
J’en profite pour lui tendre une bouteille de gel et il la prend. Il en met un peu sur son doigt qu’il enfonce dans mon cul. Puis il arrive à enfoncer 2 autres doigts. Après quelques minutes, il en enduit sa teub et il se place au-dessus de mon cul. Il me chevauche. Son gland glisse le long de ma raie pour arriver contre mon trou. Direct, comme ça, sans capote. Je veux protester mais il ne m’en laisse pas le temps. Son gland s’enfonce en moi. Mon trou s’ouvre bien sur son passage et je ressens une décharge électrique. C’est tellement bon que je le laisse continuer sa progression. Il y va lentement, mais sûrement. Je soupire un peu quand je sens enfin les poils de son pubis plaqués contre ma raie et ses couilles contre mon périnée. Très vite, il se met à me baiser sans ménagement. Je râle de plaisir. Il m’encule à fond. Je sens son gros morceau m’ouvrir le cul à fond. Ses couilles claquent contre mon périnée à chaque mouvement. Il se déchaine en moi. Puis, il donne de petits coups de bite rapides et puissants. Ensuite, il descend du lit, il me fait bien cambrer le cul et tandis qu’il est debout, il se renfonce en moi et il me baise lentement avec de grands coups de queue, faisant bien entrer et sortir sa bite. Ses mains agrippent mes hanches. Sa bite quitte de temps en temps mon anus qu’elle laisse béant pour s’y renfoncer aussitôt.
Je remarque qu’il a mis son portable à côté de nous et il nous filme de profil. Je verrai plus tard comment il me défonce bien, ses couilles ballotant sous sa grosse queue. Je trouve impressionnant de voir cette trompe aller et venir dans mon petit trou, le déformant bien. Tout me semble si disproportionné... un si gros membre dans un anus si serré. Puis il prend le portable et filme de son point de vue. Incroyable. Mon anus moule sa bite à la perfection. J’adore aussi voir les poils de mon cul, mouillés, coller à sa queue, en accompagnant les va-et-vient.
Il sort de mon trou et il s’assoit sur le lit. Il me fait signe et je grimpe au-dessus de sa bite. Je m’assois dessus et je m’enfonce jusqu’à sentir ses couilles contre mon cul. Je commence à monter et descendre sur ce gros chibre. C’est incroyable de se sentir ouvert et rempli par une telle teub. Elle va encore plus loin en moi. Puis, il me fait mettre le cul plus haut et il se met à donner de grands coups de reins, envoyant sa bite taper au fond de mes entrailles. Ses couilles se balancent et rebondissent contre ma raie. Il adopte une cadence démente. Ses cuisses frappent mon cul, le faisant vaciller et trembler. Il a son joint en bouche et il me regarde comme un rapace qui s’abat sur sa proie.
Puis il me fait me relever, sa queue quitte mes entrailles et tombent lourdement sur son ventre. Il me fait mettre sur le dos et il enfonce sa bite loin en moi. J’ai les jambes relevées. Il se penche sur moi, pose ses mains sur le lit, de chaque côté de mon torse et il commence à me baiser. Je sens sa teub encore mieux dans cette position. Elle va encore plus loin. Il y va d’abord doucement. Puis il accélère. Sa bite me pilonne encore plus fort. Il a placé son portable derrière mon cul et il filme toute la scène. Je verrai sa grosse queue me baiser sans concession. Sa bite marron entre dans mon petit cul blanc, accompagnée de ses grosses couilles qui s’écrasent sur mon périnée. J’admirerai aussi son cul broussailleux se mouvoir de haut en bas à la perfection. C’est magnifique de voir cette énorme queue disparaitre dans mon anus, sans capote, ni rien.
Après quelques minutes, il se met à me défoncer sans ménagement, me donnant de grands coups de queue, sortant et entrant de mes entrailles sans marquer de pause. Et quand il se bloque dans mon cul dans un grand coup de reins, je sais qu’il va marquer son territoire. En effet, sa queue se contracte et elle se met à déverser des litres de sperme dans mon anus. Les flots semblent ne pas pouvoir s’interrompre. Je sens la pression monter dans mon cul et elle devient telle que le sperme est évacué hors de mes entrailles pour aller s’écraser sur le sol. Il me relève le cul et il reprend sa baise, me laissant le soin de me branler. Sur la vidéo, je verrai sa queue entrer et sortir de moi pour à chaque fois sortir plus blanche, tapissée de son propre sperme. Les allers et retours font pression et font sortir le jus qui dégouline le long de mon périnée pour atterrir dans une grosse flaque par terre. Il tasse bien son sperme. Il ne me faut pas longtemps pour jouir tout le jus contenu par mes couilles sur le lit.
Il se pose alors, épuisé, sur le lit, souriant. Sa queue à peine sortie laisse une quantité énorme de jus dévaler mon périnée pour aller s’ajouter en torrent dans la flaque par terre. Je le sens bien dégouliner, passer les poils de mes fesses, puis le long du périnée, traversant ensuite les couilles de haut en bas pour finalement se déverser dans la mare de jus.
Après 2 minutes à être couché sans un mot l’un à côté de l’autre, il se lève et il me demande mon numéro. Il me dit alors :
- Je t’enverrai le mien et les vidéos.
Il se dirige vers la sortie et ajoute :
- T’es un trop bon coup. Je reviendrai souvent te rendre visite. Et t’inquiète, ton secret est bien gardé avec moi.
Il sort puis s’arrête :
- T’es vraiment une grosse cochonne... la prochaine fois je viens avec mes potes : tu vas leur plaire.
Il sourit et il disparait. Je ferme la porte et je me pose sur le canapé, complétement épuisé.
Aimeriez-vous que j’écrive une suite ?
Si oui, n’hésitez à me contacter et à me le dire. Vous pouvez aussi m’envoyer des commentaires ou vos envies pour la suite. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
Autres histoires de l'auteur :