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L’athlète

Salut à tous,

Je m’appelle Johann, mais ma famille et mes amis m’appellent Jo. J’ai 22 ans, je fais 1,90m pour 75 kg. Je suis très athlétique, musclé sec. Pas étonnant, je fais depuis que j’ai 8 ans beaucoup de sport. Et depuis mes 16 ans, je fais de l’athlétisme à un niveau professionnel. J’ai passé quand même mon bac, ce qui n’a pas été facile à côté de mes entrainements quotidiens. En plus de l’athlétisme, je fais de la natation et du cyclisme.

Mon père, Guy, est mon entraîneur et mon coach. Il est tout le temps avec moi, il me soutient et il m’accompagne dans toutes mes compétitions, ce qui nous amène à sillonner la France ensemble. On se dit tout et on est très complice. Ma mère est très jalouse de tout ça. Mon père sait que je suis gay et que je me fais plaisir lors de nos déplacements avec d’autres mecs rencontrés dans les stades ou en ligne. Il m’y encourage d’ailleurs, car il trouve mes performances meilleures quand je « me fais plaisir », comme il dit. On se dit tout, on partage tout, on se confie l’un à l’autre, même les choses les plus intimes. On partage souvent dans la même chambre d’hôtel.

Un soir, je rencontre un type dans le stade. C’est un magnifique rebeu de mon âge. Il est plus petit que moi, mais tout aussi mince et musclé. Après qu’il m’a dit qu’il ne reçoit pas car il partage aussi une chambre avec ses parents, je l’entraine dans la mienne, sachant que mon père a des achats à faire en ville. Je le déshabille immédiatement et je me jette sur lui. On s’embrasse sauvagement et nos vêtements volent dans un coin de la pièce. Ma langue descend le long de son corps et j’arrive à son caleçon qui semble bien gonflé. Mes lèvres passent sur le tissu, puis je retire le sous-vêtement. Je me retrouve face à une grosse teub de bien 22 cm. Elle est épaisse et contraste avec son corps mince. Je saisis sa queue et je la suce. Seule la moitié rentre dans ma bouche. Très vite, le rebeu me fait mettre à quatre pattes sur le lit. Après m’avoir fait un anulingus, il m’enfonce lentement sa grosse teub dans le cul, sans capote. Il entame de lents va-et-vient dans mon anus. Puis, il accélère en malaxant mes fesses. Sa queue me fait du bien et je gémis assez fort.

Soudain, la porte de la chambre s’ouvre et je vois mon père qui entre. Mon rebeu sort de mon cul et il reste bêtement la teub à l’air. Mon père est surpris en nous voyant, puis il referme la porte en bafouillant des excuses. Je dis à mon amant :

- Allez, baise-moi.

Je suce vite fait le rebeu qui a perdu son érection. Il se renfonce en moi et il reprend sa baise. Il me défonce toujours plus sauvagement jusqu’à ce qu’il se bloque en moi. Il donne quelques petits coups de teub que je sens expulser son sperme dans mon anus. Je saisis ma bite et je la branle avec sa queue toujours en moi. Je jute dans ma main et il ressort de mon cul qui dégouline un peu de son sperme gluant. On va se doucher ensemble et il retourne, après m’avoir donné un baisé furtif, à son hôtel. J’envoie un message à mon père qui revient dans la chambre quelques minutes plus tard. Je lui dis :

- Désolé, je pensais que tu mettrais plus longtemps.
- C’est pas grave, je voulais pas vous déranger. Mais bon, c’est oublié.

Le soir, on va manger au restaurant et mon père me regarde d’un air bizarre. Je finis par lui demander :

- Ça va pas ?
- Si... mais je crois qu’il faut qu’on ait une conversation de père à fils...
- Ah ?
- J’ai vu que ton amant n’a pas utilisé de capote.
- Oui, je sais.
- C’est dangereux, je trouve.
- Papa, je prends de la prep.
- Qu’est-ce que c’est ?

Je lui explique et il dit :

- Ah, je ne connaissais pas. Je suis rassuré. Et ... pourquoi tu prends ça ?
- Parce que je trouve ça plus intense de faire l’amour sans capote.
- Oui, c’est pas faux.

Notre plat arrive et on se met à manger. Mon père brise le silence au bout de quelques minutes :

- Je savais pas que tu étais passif.
- Je suis les deux, mais plutôt passif, oui (après une pause, je reprends) Tu es bien curieux...
- C’est mal ?
- Non, pas du tout !
- J’ai remarqué que le jeune homme avait un très gros pénis...
- Oui, c’est vrai.
- T’as pas eu mal quand il t’a pris ?
- Non, il m’a fait un anulingus et il y est allé doucement au début.
- Elle faisait combien ?
- Quand je l’ai eue devant le nez, je me suis dit dans les 22 cm.
- Eh ben ! En tout cas, tu as bien pris ce monstre dans ton trou... Il était béant, bien ouvert !
- Oui...

On continue de manger en silence quand je lui demande :

- Et toi alors ? Tu es fidèle à maman ?
- Oui.
- Tu es sûr ?
- Je n’ai fait que très peu d’écarts. Mais tu lui dis pas !
- Pendant nos voyages ?
- Oui !
- Tu t’y es bien pris ! Je n’ai rien remarqué !
- Héhé !
- Et c’est quoi ton style de meufs ?
- Je les aime mince, avec un beau cul bien rond.
- Ah ! Un peu comme le mien !
- Le tien n’est pas rond, il est bien musclé.
- Ah, je savais pas que tu me matais le cul !
- Johann ! J’ai vu ton cul en gros plan il y a une heure !
- Je te taquine, papa !

On clôt finalement le sujet. On va se coucher et le lendemain, j’ai une compétition régionale où je termine premier.

Quelques jours plus tard, alors qu’on est en train de préparer notre retour, je m’absente quelques minutes. Quand je rentre dans la chambre, je vois un message de mon père qui dit : « Je suis allé manger au resto de l’hôtel ». Je le rejoins et je commande un truc aussi. A un moment, je lui parle mal et il me demande :

- Ça va pas ?
- Si, si.
- Allez, dis. C’est quoi le problème ?
- Tu vois le rebeu de l’autre soir ? Je devais le retrouver mais il m’a posé un lapin.
- Ah c’est pas cool.
- Non, dis-je plus fort que je ne l’aurais voulu.
- Mais c’est pas grave.
- Non, non.
- Apparemment si.
- Papa, j’ai les couilles pleines, je me suis pas branlé depuis plus de quatre jours !
- Ah... je vois... je comprends tout à fait.

Notre plat arrive et on mange en silence. Je me calme. Mais j’observe mon père. Les mecs de mon âge m’excitent en général mais mon père est vraiment un mec dans la force de l’âge qui ne me déplairait pas, dans d’autres conditions. Après le repas, mon père commande deux verres de champagne.

- Allez, on trinque à ta victoire.

Nos verres s’entrechoquent et je bois. Je me mets à sourire.

- Ça va mieux ?
- Oui, merci.
- Tu veux que je te laisse quelques minutes seul dans la chambre ?
- Non, c’est bon, ça ira pour ce soir. Mais... tu veux que je te laisse seul ?, demandé je en rigolant. Tu sembles aussi connaitre ce genre de frustration.
- Oh oui, je connais ça ! Mais non, je gère. Et donc... t’es en manque d’une queue dans ton cul ?
Je regarde mon père, le regard pétillant. Il m’observe d’une façon vraiment mystérieuse.
- Oui, j’avoue que j’aurais bien besoin de me faire défoncer, dis-je en soutenant son regard.
- En tout cas, tu m’as impressionné.
- Pourquoi ?
- T’as vu la taille de la bite de ton rebeu ? Elle était énorme ! Et ton trou était vraiment bien ouvert. C’était assez impressionnant !
- Papa, et toi alors ? C’est quoi tes kiffes ? Tu m’as parlé de tes préférences physiques l’autre jour ... mais c’est pas une révélation ça...
- Qu’est-ce que tu veux savoir ?
- Je sais pas... Tu aimes quel genre de positions ?
- J’adore prendre en missionnaire... pour bien regarder ma partenaire, droit dans les yeux. J’aime aussi me faire chevaucher.
- Moi, aussi, j’adore chevaucher. Et tu aimes passer par l’autre trou ?
J’ai alors l’image de mon père devant mes yeux qui est en train de baiser une femme... non plutôt un mec efféminé... Etranges pensées...
- J’ai pas tellement eu l’occasion de vraiment essayer...
- Ah oui ? Pourquoi ?
- Tu sais... J’étais impressionné par ta capacité à bien encaisser... car moi aussi, j’ai un gros calibre qui effraie pas mal de femmes... et qui rend impossible toute envie de pénétration anale.
« Putain », pensé-je ! « Il est quand même beau gosse et en plus, il est bien monté. C’est vrai que je ne l’ai jamais vraiment vu nu... Il me tire de mes pensées quand il me demande :
- Toi, tu as jamais eu de problèmes avec les grosses bites ?
- Au début si. Ma première fois a été une catastrophe. Le mec est allé trop vite, sans bien me préparer. J’ai eu vraiment très mal. Je n’ai même plus voulu être passif pendant de longs mois. Puis, un autre m’a fait connaitre le plaisir anal en me doigtant d’abord, puis en me faisant un anulingus. Après, sa grosse queue est entrée sans problème.
- Salut, Guy ! Salut, Jo ! Vous allez bien ?

Je vois un des concurrents mais amis de mon père qui nous serre la main. Il demande s’il peut se joindre à nous et on discute ensemble, malheureusement pour ma curiosité car j’avais plein d’autres questions et j’aurais voulu en profiter tant que mon père était d’humeur bavarde. Je dois aussi avouer que cette discussion m’avait plutôt bien excité..

Le lendemain, nous partons pour Strasbourg afin de préparer la prochaine compétition. Deux jours plus tard, je dis à mon père sans détour :

- Je peux avoir la chambre ce soir vers 19h ? J’ai un plan qui vient.
- Pas de soucis. C’est qui ? Un athlète ?
- Non, un mec rencontré sur un site.
- Un rebeu ?
- Non, un black.
- Ah, il paraît que les blacks sont bien membrés.
- Pas tous... mais lui, il m’a dit qu’il avait 24 cm ! J’ai trop hâte.
- Ben amuse-toi bien avec lui.

Le soir arrivé, vers 19h30, je rejoins mon père au bar :

- Déjà fini ?
- Il n’est pas venu ! Trop marre des poseurs de lapin ! J’en peux plus ! Mes couilles vont exploser !
- Bienvenue au club !
- T’es en manque !
- Oui ! J’aimerais tellement baiser une bonne chatte !
- Oula ! T’as l’air vraiment en manque.

Je m’imagine alors involontairement mon père qui me baise à la place du black.

- Tu sais pas ce que sait de pénétrer une chatte serrée et de faire des va-et-vient dedans...

Je l’imagine alors entrer dans ma chatte... Puis, je me reprends et je réponds :

- Ben si, je suis actif parfois, je te rappelle. Je voulais d’ailleurs te demander... Tu fais l’amour à maman encore ?
- Oui, dès que c’est possible...
- Pourquoi tu soupires comme ça ?
- Ah rien !
- Dis ! Moi, je t’ai bien parlé de mes rencontres.
- Avec ta mère, c’est différent. Elle aime que je lui fasse l’amour tendrement, sensuellement. Mais tu sais, parfois, ce que j’aimerais, c’est la défoncer !
- Papa !
- Quoi ? C’est vrai ! J’aimerais profiter d'une baise, sans retenue ni tabou, sans avoir à être doux du fait de mon calibre imposant !
- Je te comprends ! J’adorerai aussi me faire tringler par un mâle alpha !

Il me regarde, les yeux brillants. Est-ce qu’il pense à la même chose que moi ? Lui, le mâle alpha TTBM qui défonce mon petit cul serré. Mon père clôt finalement le chapitre en disant qu’il a faim. Je pousse un long soupir... et j’essaie de cacher mon érection... qu’il semble apercevoir. Je perçois aussi son trouble... On se retrouve à table et on mange en silence.

Le lendemain, après l’entrainement, j’annonce à mon père :

- Je vais chez un mec tout à l’heure.
- Cool, amuse-toi bien.

Je rentre dans notre chambre deux heures plus tard. Je trouve mon père sur le lit à mater la télé.

- Alors, c’était bien ?, demande mon père.
- Non... Le mec n’a pas bandé, j’ai eu beau faire ce que je voulais ... Rien !

Je m’imagine alors en train de sauter sur le lit, de retirer les vêtements de mon père sauvagement et de m’empaler sur sa bite !

- Tu rentres encore une fois les couilles pleines, c’est ça ?
- Oui, et le cul vide !
- Comment ça ?
- Tu sais bien que j’aime me faire baiser sans capote. C’est parce que j’adore sentir le sperme des mecs gicler dans mon trou.
- Ah oui ! T’es un petit cochon toi !
- Me dis pas que tu aimes mettre des capotes !?

Je suis en train de le provoquer, avec un sourire bien entendu.

- Non, je n’ai jamais aimé ça, répond-il. Moi, j’adore lécher mon sperme quand il coule de la chatte des meufs.

Putain ! Il me fait bander, le con ! Je passe involontairement ma main sur mon paquet.

- Ah oui, j’adore qu’on me fasse ça aussi ! Et ensuite, qu’on me le donne dans la bouche et qu’on se roule une pelle avec !
- Exactement ça !

Je remarque alors qu’il y a des mouvements bizarres au niveau de son entre-jambe.

- C’est drôle, on a les mêmes envies !, murmuré-je.
- Oui. Sauf que moi, je suis pas homo... J’ai envie d’une chatte !
- Tu sais, moi, j’ai un trou encore plus serré qu’une chatte, je pense.

Mon père croise les jambes... afin de cacher une érection qui semble monumentale ! Je reprends :

- Tu as jamais baisé avec des mecs ?

Silence gêné.

- Putain ! Tu as déjà essayé !
- Oui, au lycée, c’était avec un pote.
- Ça s’est passé comment ?
- Après le cours de sport, on a bu des bières et il m’a sucé.
- Et ça t’a plu ?
- Oui, c’était vraiment bien !

Je soupire alors fortement. Mon père me demande :

- Ça va pas ?
- Non, pour être franc ! Je suis vraiment frustré ! J’aimerais me faire baiser par un mec bien viril, bien dominant et surtout TTBM !
- Un mec comme moi, quoi ?, ajoute mon père en rigolant.
- Exact ! Comme toi !

Un silence pesant s’installe. On se regarde droit dans les yeux. Il est clair qu’il a envie de moi après ces allusions directes. J’ai envie de me jeter sur lui... mais je n’ose pas. Il prend alors la télécommande et on se met à mater la télé. Je suis frustré au plus haut point. Mais je prends ceci pour un refus. Mon père finit par dire :

- On va manger ?
- Allez !

Le lendemain, mon père me réveille en catastrophe :

- Putain ! Mon réveil n’a pas sonné ! Vite, il faut se préparer sinon on va être en retard.

Je regarde l’heure : 8h30 ! Merde. On a rendez-vous dans une demi-heure au stade. Je me précipite dans la douche. Quand j’ai fini, je me rase. Mon père entre et il me demande :

- Je peux me doucher ? Ça va être juste sinon !
- Oui !

Je le regarde alors du coin de l’œil se déshabiller. Guy a 48 ans. Il a des cheveux châtains et épais. Son visage est lisse, amical. Il est mince, il n’est pas particulièrement musclé. Il a des poils qui recouvrent le milieu de son torse ainsi qu’une ligne qui traverse son ventre. Son pubis et ses couilles, qui sont assez grosses, sont bien velues. Il a une teub de bien 14 cm, au repos, qui est bien mise en avant par ses énormes boules.

Je dois avouer qu’il est vraiment bel homme ! Et sa queue semble vraiment bien grosse. Pendante, lourde. Je surprends ma bite à frémir devant le spectacle. Je sors alors vite de la pièce pour m’habiller... de peur de me précipiter sur sa bite et de le sucer jusqu’à ce qu’il jute dans ma bouche ! Pendant toute la journée, je pense à son morceau ! Je vais plusieurs fois dans les toilettes pour me branler. Je crépis vraiment bien les murs ! Le soir, au dîner, mon père me demande :

- Dis, le petit blond de Bondy avait l’air de te plaire, non ?
- Oui ! Il était vraiment mignon ! J’ai dû me concentrer toute la journée pour ne pas bander... Ça aurait été bien visible dans ma combinaison !
- Il n’arrêtait pas de te mater aussi.
- C’est vrai ? Tu crois que j’ai une chance ?
- Oui, je pense !
- Ok, on verra ça.

Le lendemain, après l’entrainement, je vais voir le petit blond. Je rentre une heure plus tard et devant le regard interrogatif de mon père, je dis :

- Il me trouve intéressant mais il a un copain et il ne veut pas le tromper blablabla....

C’est alors que je remarque la bosse dans son short :

- Tu te branlais ?
- Oui... avoue-t-il.
- Je peux sortir quelques minutes si tu veux.
- Non, ça ira.

Je pense alors que c’est vraiment l’occasion. Il n’y en aura pas d’autres. Il est temps que je prenne les devants :

- Ou si tu veux, je m’en occupe.
- De quoi ?
- Non de rien !
- De mon érection ?
- Oui, dis-je simplement.

Il me regarde alors d’une façon bizarre :

- Tu plaisantes ?
- Non, papa. On est deux hommes en manque... moi d’une grosse bite et toi d’un trou à tringler ! J’ai bien remarqué que tu as bandé lorsque j’ai parlé de mes aventures sexuelles et de mes envies. Tu ne peux pas le nier.

Mon père se tait. Il ne s’attendait pas à tout ça. Moi non plus d’ailleurs ! Je pense que c’est la frustration qui parle... Je m’approche alors de mon père et je pose ma main sur son entre-jambe tout en le regardant droit dans les yeux. Sa queue est bien dure !

- J’en ai trop envie ! Tu le sais bien depuis quelques jours... Tu m’as vu bander ! Et tu as compris mes allusions !
- Oui, avoue-t-il.
- Je veux me faire baiser par une grosse teub !
- Fais-toi plaisir alors, murmure mon père.

Je me déshabille complètement et mon père me regarde, plein d’envie. Je m’accroupis devant lui et j’ouvre le short de mon père. Sa queue tendue est devant mes yeux. Elle est épaisse, veinée, marron. Elle a un gros gland enfermé dans un long prépuce. Elle doit bien faire 24 cm.

Je me mets à jouer avec sa bite. Elle est vraiment magnifique. Ma main arrive à peine à en faire le tour. Je fais glisser son prépuce et je découvre son gros gland, luisant de mouille. Je malaxe ses grosses couilles poilues. Je le regarde dans les yeux. Il a l’air vraiment mélangé entre la crainte et l’envie. Moi, je fais comme si c’était un mec rencontré sur un site. Je me penche sur sa teub et j’embrasse son gland. Puis, je fais glisser mes lèvres le long de son membre. Papa pousse un gémissement de plaisir.

Comme pris d’une envie irrépressible, je saisis sa queue d’une main et je le suce, faisant entrer et sortir entièrement sa teub de ma bouche. Mon père gémit surtout quand je lui fais des gorges profondes.

- Putain, c’est trop bon, Jo !, murmure-t-il.

Je me fais plaisir pendant 5 minutes sans faire de pause et je remarque qu’il est bien endurant ! Puis, je me relève. Je lui dis :

- Moi, j’imagine que t’es un mec rencontré sur un site. Ça fait moins bizarre. Imagine que je suis une meuf rencontrée dans un bar. Fais-lui tout ce que tu aurais toujours voulu faire avec elle.
- Ok.
- Papa : tu me baises parce que tu es frustré de ne pas autant baiser que tu le voudrais... parce que tu peux profiter d’un cul sans retenue et parce que moi, je veux me faire baiser par un mec viril, dominant avec une grosse teub et...

Sans même que je finisse ma phrase, mon père se lève, il me saisit la tête et il enfonce sa teub au fond de ma gorge. Il se met à me défoncer la bouche comme jamais on me l’a fait. Sa grosse queue m’explose la mâchoire et elle va chercher très loin dans mon gosier. Parfois, il sort sa bite pour me laisser respirer mais comme il voit que j’encaisse bien, il la replonge dans ma gorge et il se fait plaisir. J’adore sentir ses couilles qui me heurtent le menton et mon nez qui se retrouve dans ses poils pubiens.

Finalement, il ressort sa queue qui est rempli de ma bave. Il me demande si ça va :

- C’est trop bon ! Continue !, dis-je

Il me donne alors ses couilles, pleines de ma salive, à gober. D'abord une boule, puis l’autre. Mon père a de très grosses couilles poilues. Elles ne logent pas toutes les deux à la fois dans ma bouche. Ma langue fait des va-et-vient dessus, parcourant ses poils drus. Il pousse des râles de plaisir.

Il me redonne sa queue à sucer pendant qu’il se penche sur moi et qu’il va titiller mon cul. Il humidifie ses doigts avec de la bave et il enfonce un doigt dans mon trou. Il s’écrie :

- Putain ! Tu mouilles déjà bien !
- Oui ! Tu m’excites trop !

Il se place alors derrière moi et il plonge sa langue dans mon anus. Je gémis fort quand je la sens tournoyer en moi. Puis, il la remplace par deux doigts. Et ensuite trois. Et finalement, il place son gros gland contre mon anus. Il pousse lentement et sa bite se fait comme aspirer par mes entrailles. Je gémis de plaisir.

- Putain ! T’es super bien ouvert !
- Papa, vas-y, défonce-moi !

Il pose alors ses mains sur mes hanches. Mais il reste quelques secondes sans bouger, savourant sa bite enfoncée en moi, sans capote, appréciant ce plaisir de n’avoir rien entre mon cul et sa grosse bite. Puis, il commence des va-et-vient rapides et brusques. Il me démonte le cul. Mon corps tremble sous ses assauts. Il sort sa queue, la rentre, la sort, la rentre. Je suis secoué dans tous les sens.

- Ton cul est trop bon. Bien serré, bien chaud. J’ai jamais vu ça !

Ses couilles claquent sur mes fesses. Je me mets à gémir, ce qui accroit la violence de ses coups. J’entends des clapotis sous ses coups de bite. Je comprends que je mouille vraiment bien et que la mouille coule le long de mon périnée frappé par ses grosses couilles. Sans pitié, il me bourre. Je me retrouve vite sur le ventre, sous ses violents coups de reins !

- Oui, papa, défonce-moi, vas-y, fais-toi plaisir !
- Tu encaisses trop bien, Jo !

Il redouble la violence de ses coups de queue. Au bout de 5 minutes, il sort de mes entrailles et il se place sur le dos. Je comprends le message, j’enjambe son corps et je m’embroche sur son manche, face à lui, et je fais des va-et-vient dessus. Je me cramponne à son torse. Je fais des va-et-vient sur sa bite. Mon père apprécie. Il me laisse faire. Puis, il prend mes fesses dans ses mains et il les accompagne tandis qu’elles chevauchent sa queue. Je suis bien empalé sur sa grosse teub, son gland m’ouvrant en grand. Je savoure le plaisir de sentir cette énorme bite bien au fond de moi. Mon père me regarde bien droit dans les yeux et je me dis que ses 24 cm bien foncés me font du bien. Je le chevauche, d'abord lentement, puis plus rapidement, m’enfonçant sa grosse queue le plus profondément possible. J'ai l'impression de sentir chaque centimètre carré de son gros membre me remplir le cul. A un moment, il saisit mes hanches, il me place un peu plus haut et il commence à donner de gros coups de queue brutaux qui m’explosent le cul. Ses coups de bite deviennent toujours plus rapides. Puis, il s’arrête et c’est moi qui reprends les commandes. Les mains appuyées sur son torse, je monte et je descends sur sa queue.

Ensuite, je descends et il me fait mettre sur le dos.

- Voilà, c’est comme ça que je veux te prendre !

Je me retrouve alors avec mes jambes contre son corps et il enfonce ses 24 cm dans mon anus. Il me regarde sans arrêt dans les yeux. Tel un marteau-piqueur, il me pilonne à fond. Il me baise comme si j’étais une poupée gonflable. Il se défoule dans mon cul. Je sens bien sa queue taper tout au fond de moi. Ses grosses couilles bien remplies me frappent sans arrêt le cul et elles font ce bruit spécifique que j’adore… Les poils de ses couilles, que je sens à chaque mouvement, me frôlent le cul… Je savoure cette sensation.

Au bout de 15 minutes de ce traitement intense, il s'enfonce en moi, au fond de mes entrailles. Il pousse un cri de jouissance et il me lance sa purée au plus profond de mon trou. Je sens comme sa queue se contracte pour expulser tout le sperme contenu dans ses grosses couilles. Une dizaine de giclées abondantes et puissantes mitraillent le fond de mon anus. Il continue ses mouvements bien brusques puis il décule, des gouttes de son sperme tombent lourdement sur le sol. Puis, un petit torrent se met à dégouliner hors de mon trou. Mon père s’accroupit et il le récupère avec sa langue. Il remonte vers moi et il me roule une pelle avec son propre sperme. Je saisis ma bite que je branle à fond et je jouis très vite sur mon ventre. Il aspire alors mon jus et il me le donne aussi à bouffer en plongeant sa langue dans ma bouche.

Après cette baise intense, on est dans les bras l’un de l’autre, épuisé.

- C’était trop bon !, dis-je
- C’est clair ! (Silence). Tu crois qu’on pourra répéter ça quand on sera en manque ?
- Avec plaisir ! Sans contrainte !
- C’est ça ! Seulement se faire plaisir entre mecs pour...
- ... se vider les couilles !
- On est d’accord.

Eh ben… ça promet !

Merci à Pierre-Esteban pour ses idées.

Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).

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