Aujourd’hui, je vais rendre visite à ma meilleure amie. On ne s’est pas vus depuis de longues semaines et on a pas mal de trucs à se raconter. Elle a rencontré un nouveau mec et moi, je viens de quitter le mien. Mais... j’en ai déjà un autre dans le collimateur. On s’est donné rendez-vous chez elle à 18h. J’arrive à l’heure et je sonne en bas du bâtiment. Je suis surpris quand une voix masculine me répond. Mais je reconnais la voix de Mickaël, son frère :
- Salut, c’est Nico.
- Vas-y, monte, je t’ouvre.
Je prends l’ascenseur et Michael m’accueille à la porte. Il me fait entrer et il me dit :
- Sarah n’est toujours pas là. Elle m’a dit qu’elle était dans les bouchons. Apparemment, elle a essayé de te joindre.
Je regarde mon téléphone et j’ai en effet des appels manqués. Mickaël me demande si je veux boire quelque chose. Je dis oui. Il m’apporte un verre de vin. Je remarque alors seulement maintenant qu’il porte un t-shirt moulant et un petit short.
- Ça va longtemps, Mickaël ! Que deviens-tu ?
- Ah ben, pas grand-chose. Je continue mon BTS informatique et je suis en stage sur Toulouse, c’est pour ça que je loge chez ma sœur.
- Ah oui je savais pas !
Je remarque que ça fait un moment que je n’ai pas vu Sarah car elle ne m’avait rien dit de tout cela. Les dernières semaines ont été assez intenses pour nous deux.
- Par contre, Sarah met le chauffage à fond, elle m’a interdit de le toucher et je crève de chaud. Ça te dérange si je me mets en petite tenue ?
- Euh... non...
Il se met alors à l’aise. Il enlève son t-shirt et son short. Il se retrouve en caleçon moulant devant moi. Je prends une gorgée de vin et j’observe le « petit » Mickaël... qui n’est plus si petit que ça en fait.
Il doit faire 1,75m. il a maintenant 21 ans, il est mince. Il a un visage lisse super mignon. Il a de cheveux bruns, courts sur le côté et très touffus sur le dessus. Mickaël est un mec qui adore le cyclisme et ça se voit : ses jambes sont massives. Elles sont recouvertes de poils noirs, qui remontent jusqu'à son caleçon. Ses bras et ses pectoraux sont musclés. Son corps est recouvert d’une fine toison noire de poils. Ses aisselles poilues dégagent une odeur musquée qui envahit la pièce dès qu’il enlève son t-shirt.
Il se sert un verre de vin aussi. Il boit et ... à mon grand regret, mon regard se porte sur caleçon qui remonte le long de ses cuisses tandis qu’il s’avachit dans le canapé. Je devine une belle bosse dans son caleçon. Son paquet est bien déformé. Je me retrouve à penser qu’il doit être bien membré. Je quitte son caleçon des yeux pour ne pas me faire prendre en flag. Je bois une gorgée.
Mais je ne peux m’empêcher de regarder de nouveau son paquet et je remarque... qu’une de ses couilles a glissé hors du caleçon. Elle est marron, de taille respectable. J’aurais bien envie de la gober... mais je me ressaisis immédiatement. Je me mets à avoir honte. J’ai presque 38 ans ! Mickaël a environ 15 ans de moins que moi ! Cependant, je me rends compte que Michael a capté mon coup d’œil sur son paquet. Il me sourit et il dit de but en blanc :
- Tu veux me sucer ?
Je le regarde, interloqué.
- Quoi ... Mais non... Tu plaisantes ?
- T’es homo, non ?
- Et alors ? Je suce pas tout ce qui bouge !
- Elle te fait pas envie ?
Michael se lève et il baisse son caleçon. Je regarde alors sa queue, ne sachant comment réagir. Son pubis est bien entretenu, il est recouvert de poils noirs courts. Ses boules sont vraiment grosses en fait ! Et sa teub forme un arc de cercle au-dessus de ses couilles et pend lourdement. Elle est marron.
- Tu as quitté ton copain, m’a dit Sarah. T’as pas baisé depuis quand ?
Je baisse le regard, honteux de mater la queue du petit frère de ma meilleure amie. Puis j’avoue :
- Ça doit faire plus de trois semaines.
- Vas-y, fais-toi plaisir. Ma bite t’appartient. Viens chercher une bonne dose de protéines !
Michael prend alors sa queue dans sa main et il la fait bouger de gauche à droite. Il la tire et il la relâche. Elle retombe mollement entre ses jambes. Mes yeux restent fixés sur son morceau.
- Tu comptes la mater longtemps ? Ou tu veux enfin t’en occuper ?
Je me rends alors compte que ce petit jeunot a envie de moi qui suis de 17 ans son ainé ! Je suis presque deux fois plus âgé que lui ! Mais c’est ça qui me donne envie de lui ! Ne pouvant plus résister, je saisis délicatement sa teub et je prends le gland en bouche. Mickaël savoure sa victoire en ricanant, les mains sur ses hanches. Et très vite, sa queue réagit. Elle gonfle, elle durcit et finalement elle est tendue dans ma bouche. Je la ressors et je l’observe. Elle est parcourue de veines saillantes. Elle est plutôt fine et elle doit faire 17 ou 18 cm. Le gland rose est bien gonflé. Je l’enfonce de nouveau dans mon gosier et je la suce tout en la branlant un peu. Mickaël me caresse les cheveux. Je ressors sa teub de temps en temps pour la lécher jusqu’à la base puis je remonte et je la replonge dans ma gorge. Je lui fais gorges profondes et il semble apprécier. Cependant, il me regarde sucer sa bite sans broncher, sans pousser un seul gémissement. Puis, il murmure :
- J’ai pas joui depuis 2 semaines, je vais pas tenir longtemps.
Je le suce encore pendant quelques secondes. Puis, il prend sa bite en main et il se met à se branler. Il pousse un cri et un premier jet jailli de sa queue. Ce jet explose contre mon torse. Le deuxième est plus puissant et il vient me fouetter le visage. Je ferme les yeux, surpris. 6 autres jets viennent s’exploser contre mon front, mes yeux, mes lunettes et mes cheveux. Le sperme coule le long de mon visage, il dégouline sur mon t-shirt. 4 autres jets moins puissants atterrissent bruyamment sur le sol. Il continue de se branler, faisant durer son orgasme. Puis, il secoue sa main pleine de sperme. Le jus tombe par terre. Il s’assoit sur le canapé, épuisé. Je me redresse mais il me dit :
- Reste là ! Déshabille-toi et montre-moi ton cul.
J’obéis et je remarque que sa bite est encore bien dressée. Il se met alors à caresser mes fesses et il commence à se branler. Il me dit :
- Va lubrifier ton trou.
Je n’ai pas de lubrifiant mais je trouve un tube de crème pour les mains dans la salle de bains. Je le prends, à défaut d’autre chose. Je me prépare, je reviens vers lui et je lui tends une capote que j’avais dans ma poche, tandis que je me place en levrette. Il jette la capote derrière lui et il dit en plaçant son gland contre mon trou :
- J’ai envie de sentir ta chatte sans barrière.
Il s’enfonce d’un trait en moi. Je supporte bien et il se met à me baiser. Il entame des mouvements réguliers et profonds. Sa queue est toujours aussi dure. Il n’a même pas débandé. Le gars ne doit pas avoir baiser depuis un moment. Ses couilles se balancent sous sa bite et cognent mes fesses. Il pose ses mains sur mes hanches. Parfois, il fait sortir sa teub entièrement de mon cul pour l’y renfoncer doucement. Puis il colle son corps contre mon dos, ses bras m’enlacent et, sa queue profondément enfoncée en moi, Mickaël se met à me pilonner doucement. Seules ses fesses ainsi que ses couilles bougent. Il me murmure à l’oreille :
- Putain ! Ton cul est trop bon !
Mickaël me serre contre lui, les fins poils de son corps me caressent le dos. Il se met à m’embrasser dans le cou. Et je sens alors son désir pour augmenter encore plus. Il me serre contre lui et il commence à donner des coups de teub puissants et profonds. Il me fait ainsi l’amour pendant une dizaine de minutes. Puis, je sens son gland gonfler et finalement libérer sa semence dans mes entrailles. En effet, sa queue gicle une quantité de sperme phénoménale qui explose dans mon cul et qui mitraille le fond de mon anus.
Mickaël ne s’arrête pas. Il continue de me baiser. Je sens son sperme qu’il tasse bien remonter le long de sa queue et commencer à couler hors de mon trou. Sa bite et ses couilles font des bruits mouillés. Le jus dégouline le long de mon périnée et de mes couilles. Et finalement, il se retire, la queue blanche de son sperme. Je me précipite dessus, je suce sa teub tandis que son jus continue de bouillonner hors de mon anus. Je nettoie sa bite tandis que je me branle. Je jouis dans ma main une quantité de jus qu’elle n’arrive pas à contenir. Un peu tombe par terre.
Nous soupirons de plaisir et nous allons nous rincer dans la salle de bains. Quand nous revenons dans le salon, Sarah se trouve dans l’entrée et elle nous voit, nus, souriants, la queue encore gonflée par l’orgasme. Il ne lui faut pas longtemps pour comprendre ce qui s’est passé. Elle s’écrie :
- Putain, tu pouvais pas t’en empêcher ! Il faut toujours que tu baises tout ce qui bouge !
- Mais quoi... je suis... pardon..., bafouillé-je.
- Toi, ta gueule ! Je t’ai pas parlé ! Mais je vais m’occuper de ton cas !
Je regarde alors Mickael, effaré.
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire.
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Meetmemz
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