Salut à tous,
Moi, je m’appelle Nico, j’ai 30 ans. Je suis hétéro et je suis avec ma copine depuis 4 ans. Elle s’appelle Lucia, elle a 29 ans, elle est assez petite avec une grosse poitrine. Nous prévoyons de nous fiancer très prochainement. Je suis super content mais j’ai un peu d’appréhension en ce qui concerne sa famille. Elle est d’origine italienne et quand je lui ai demandé la première fois ce que faisait son père, elle m’a répondu qu’il était un homme d’affaires. Mais très vite, j’ai compris que ces affaires n’étaient pas très légales. Par bonheur, Lucia vit loin de sa famille et nous ne mêlons pas du business familial. Mais à plusieurs reprises, lors des repas dominicaux obligatoires chez mes beaux-parents, j’ai à plusieurs fois remarqué des choses assez louches. Cependant, j’ai toujours fait comme si ces trucs n’existaient pas.
Un jour, alors que je reviens du travail, j’entends Lucia parler avec quelqu’un dans la cuisine. Je rentre dans la pièce, curieux, et je vois que Carmelo, son frère, est là. Elle me dit :
- Tu as vu qui vient de sortir de prison ? C’est Carmelo !
- Ah, Carmelo, dis-je, à moitié enchanté. Comment vas-tu ?
Il commence alors à parler de son séjour en prison, qu’il était bien sûr innocent (la police l’a pris en flag en train d’acheter de la drogue à des bandits) et que par un vice de procédure, les poulets ont dû le relâcher.
- Ok, cool, bon, je vais me doucher. Content de t’avoir revu.
- Euh... bébé, on peut se parler ?
- Oui...
Lucia m’entraine dans notre chambre et elle me dit :
- Carmelo n’a nulle part où aller. Sa copine l’a viré de chez elle quand elle a su pourquoi il s’était fait arrêter.
- Lucia ! Ah non ! On va pas l’accueillir ici ! Il va nous attirer des ennuis !
- Bébé, s’il-te-plait... Juste pour quelques jours !
- Et pourquoi il va pas voir ton père ?
- Il doit faire un petit « truc » sans Carmelo. Dans une semaine, tout sera fini.
- Putain ! Vous faites tous chier ! S’il me casse les couilles, je me barre à l’hôtel ! Compris ? Je le supporte pas !
- Je sais, mon poussin... et pour te remercier... ce soir, tu auras droit à une petite gâterie.
- Si tu me prends par les sentiments..., dis-je en souriant et en l’enlaçant.
Je vais prendre ma douche pendant que Lucia prépare le repas. Après le dîner, je vais lire au lit pendant que Lucia et Carmelo se matent un truc à la télé. Vers 11h, ma copine vient me rejoindre dans mon lit. Elle commence à m’embrasser dans le cou mais je lui dis d’attendre un peu que son frère s’endorme.
Une demi-heure plus tard, elle passe sous les draps et elle se met à me masser les couilles. Ma queue se tend et je ferme les yeux alors qu’elle la prend en bouche et elle commence à me sucer. Puis, sa langue passe vers mes boules et elle descend vers mon trou qu’elle se met à titiller. Je gémis un peu et elle sort un plug de sa table de chevet. Elle me l’enfonce dans le cul lentement et moi, je me branle un peu. Je ne suis certes pas homo mais c’est Lucia qui m’a fait découvrir le plaisir prostatique. D’abord avec un doigt. Puis, plus tard avec un gode. Et depuis, j’apprécie quand elle s’amuse avec mon trou.
Elle m’enfonce le plug et elle entame de lents va-et-vient. Je gémis doucement et elle se met à me faire du bien. Après quelques minutes, on échange les rôles : je lui enfonce le gode dans sa chatte. Puis, je finis par la pénétrer et par la baiser lentement, sensuellement, tout en l’embrassant. Je lui jute dans la chatte et je me pose ensuite à côté d’elle. Nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre.
Le lendemain, je prends mon café quand Carmelo entre dans la cuisine. Il me demande :
- Tu peux m’emmener en ville ? J’ai des courses à faire.
De mauvaise humeur, je lui dis :
- Moué, je peux déposer place de Toulouse. Mais départ dans 10 minutes !
- Pas de soucis.
Comme je m’y attendais, on part avec une demi-heure de retard. Pendant le trajet, pas un mot ne sort de ma bouche. Je voulais préparer un dossier avant une réunion, sans stress. C’est raté ! En plus, on se retrouve dans les bouchons. Carmelo finit par briser le silence :
- Je t’ai vu hier soir baiser ma sœur !
- Pardon ?
- Oui, je t’ai entendu gémir et j’ai vu que votre porte était mal fermée. Je l’ai un peu poussée et j’ai admiré votre spectacle.
- T’es un putain de voyeur, toi !
- Oui, j’aime bien, j’avoue ! Je me suis bien branlé et j’ai joui en même temps que toi. J’espère que j’ai pas laissé trop de traces sur la porte...
- Putain ! Mais t’es un gros porc !
- Tu sais, ça fait un moment que j’ai pas baisé, j’avais les couilles bien pleines. Et elles le sont toujours autant ! J’aimerais bien les vider dans un bon cul.
- T’es malade, toi ! Pourquoi tu me dis ça ? Je m’en fous.
- J’ai vu que tu aimais bien te faire goder...
Là, je ne dis plus rien, un peu mort de honte. Ah, il a donc vu ça aussi ! Carmelo reprend :
- Y a pas de honte. Donc, si t’aimes bien avoir des choses dans le cul, je peux me rendre utile si tu veux.
- Tu es en train de me proposer ce que je pense, là ?
- Moi, tu sais, je sors avec des meufs... mais de temps en temps, j’aime bien baiser le bon cul serré d’un mec. Les mecs sont plus simples. Tchatter, se rencontrer, baiser et bye. J’adore les petits culs bombés... comme le tien !
- Arrête, Carmelo ! C’est bon, ferme-la ! Je veux plus un mot sur hier soir. Et non, je suis pas homo, je ne veux pas me faire baiser par ta teub.
- Tu as tort, tu rates quelque chose.
On fait le reste du chemin sans parler. Je le dépose et je soupire de soulagement quand il claque la porte. La journée se passe comme elle a commencé ... stressante ! C’est pour cela que je décide de terminer la journée vers 16h et de rentrer chez moi.
Arrivé à l’appart, je tends l’oreille car j’entends des bruits bizarres. Je pense alors à Carmelo qui doit se faire plaisir en regardant un porno... Je vais dans ma chambre pour me changer... quand j’entends que les bruits proviennent de la chambre ! J’ouvre discrètement et là, je suis comme frappé par la foudre. Je découvre ma femme, Lucia, une bite dans le cul... et son amant... n’est personne d’autre que son frère !
- Putain ! C’est quoi, ce délire !
Les deux se retournent, ma copine est terrifiée, mon beau-frère sourit. Je claque la porte et je vais m’enfermer dans la salle de bains. J’ai la tête qui tourne. J’entends alors Lucia tambouriner à la porte.
- Bébé, s’il-te-plait ! Ouvre ! Je vais tout t’expliquer.
-
Elle me supplie pendant 5 minutes. Je finis par li ouvrir.
- Ce connard a dit ce matin qu’il était chaud ! Il voulait même me baiser ! Et là, parce que je lui ai pas obéi, il vient te baiser toi ! Tu es une grosse salope !
- Bébé, calme-toi et laisse-moi t’expliquer.
Lucia commence alors à me raconter que son frère et elle ont couchés ensemble quand ils étaient plus jeunes. Leur père qui les abandonnait et qui les maltraitait les a fait se rapprocher et ils ont fini par baiser ensemble. Ça a commencé par des caresses, puis par de la branle. Et finalement, Lucia a sucé Carmelo qui, quelques mois plus tard, a voulu la baiser.
- Et tu t’es laissée faire ?
- Oui et j’ai adoré !
- Je ne comprends pas... Comment j’ai pu me tromper autant sur toi !
- Je suis toujours la même... et je ne t’ai jamais trompé. Enfin... c’est la première fois... je te jure.
Je ne dis plus rien.
- Bébé, parle-moi !
- Je veux qu’il dégage !
- Quoi ? Je vais pas virer mon propre frère !
- Ton frère ? Celui que j’ai accepté dans mon appart et qui a un peu abusé de mon hospitalité ?
- Nico. Ecoute-moi, s’il-te-plaît.
- Ta gueule !, hurle alors mon beau-frère qui ouvre la porte violemment.
Il me saisit par le cou, il me traine dans le séjour et il me jette sur le canapé sans que les cris de Lucia y fasse quelque chose. Il reste debout et il se met à parler... en baissant la tête.
- Tu as raison, Nico. Je suis désolé de t’avoir offensé. Je n’aurais pas dû séduire ma sœur. Ma libido est si énorme en ce moment... je vais partir immédiatement. Je ne suis pas un bon gars... et mon séjour en prison n’a pas du tout aidé...
- Non, Carmelo, dit Lucia.
- Tais-toi. Je t’ai manqué de respect et je suis désolé, Nico. Je prends mes affaires. J’espère que tu arriveras à me pardonner.
C’est la première fois que je le trouve sincère... presque humain. Je me lève et je dis :
- Attends, Carmelo... Laissez-moi réfléchir quelques heures pour réfléchir à tout ça...
Je vais dans ma chambre et malgré moi, je claque la porte. Une heure plus tard, j’en sors.
- Tu peux encore rester deux nuits. Mais pas touche à ta sœur !
- Merci, Nico.
Le soir, dans le lit, je parle avec Lucia :
- Comment tu as pu me faire ça ? Je ne sais pas si on va pouvoir continuer comme ça.
- Pourquoi ? Parce que tu as vu la grosse queue de mon frère en moi ? Ça ne change rien entre nous, Nico !
- La grosse queue ?
- Ne me dis pas que tu ne l’as pas vue...
- Ben non, dans le moment, j’ai pas trop fait attention.
- Mon frère a la plus grosse bite que j’ai jamais eues !
- Et tu couches avec lui seulement à cause de sa bite ?
- Nico, tu sais ce que c’est que d’avoir un truc dans le cul. Tu aimes bien te faire prendre par mes godes. Et ben, Carmelo a été le premier à qui j’ai offert ma chatte ! Il m’a dépucelé.
- Ah c’est donc lui, ton premier amant qui, je cite, « t’a retourné le cerveau », qui « t’a baisé comme personne ne t’a jamais baisé ».
- Oui... c’est une relation charnelle que je ne peux pas renier.
- Je n’arrive pas à y croire.
Et dans ma tête, je me mets à être jaloux de son frère... du meilleur amant qu’elle n’ait jamais eu !
On continue de discuter puis on éteint la lumière. Je n’arrive pas à fermer les yeux avant 4h du matin. Et quand finalement, je pars dans le royaume des songes, je me mets à rêver de mon beau-frère. On est dans une chambre d’hôtel où il m’a attiré. Je viens vers lui, je fais descendre son pantalon et je me retrouve avec une énorme massue devant les yeux. Après hésitation, je saisis sa bite et je me mets à la sucer. Son gland me remplit la bouche. Je me réveille alors en sueur, la queue bien dure ! Je me lève et je vais boire de l’eau dans la cuisine.
Quand j’entre dans le salon, je vois de la lumière. Je vois la télé allumée avec un porno. C’est Carmelo qui se branle devant un film érotique. Piqué par la curiosité, je m’avance et en effet, je vois qu’il a bien une grosse bite. Je mate alors le porno et je m’imagine être à la place de l’actrice... avec la bite de Carmelo dans mon cul. Je secoue la tête pour chasser cette image. Que m’arrive-t-il ?
La voix de Carmelo me fait revenir à la réalité.
- Nico, je t’avais pas vu... Désolé... Décidément, je ne peux rien faire sans que tu me prennes en flag, dit-il en rigolant.
- Je ne trouve pas ça drôle.
- Ah désolé, Nico. Viens, assieds-toi...
- Pourquoi ?
Je me place quand même sur le canapé et j’ai une vue plongeante sur son gros morceau. Il est épais, marron foncé, bien veiné ... avec un gros gland luisant de mouille.
- Lucia t’a un peu expliqué la situation...
- Oui. En gros, t’es le mec qui l’a dépucelée et qui l’a baisée comme un pro... non attends, je la cite : « ... comme le meilleur amant qu’elle ait jamais eu ».
Carmelo rigole.
- Ah ? Elle a dit ça ?
- Oui.
- Tu sais quand je t’ai vu baiser, je me suis dit qu’elle pouvait dire ça.
- Quoi ?
- Oui, tu étais trop tendre, désolé de te le dire. Ma sœur, je la connais bien, elle veut se faire défoncer. C’est une grosse salope qui aime la bite. Elle a un gros appétit sexuel... et je lui ai toujours donné ce qu’elle voulait.
- Ça donne encore plus envie de t’avoir ici, ironisé-je.
- Tu vois, c’est cette bite qu’elle vénère !
- Je dois me rendre à l’évidence... Je crois que ça ne sert à rien de continuer cette relation. Elle devient trop malsaine !
- N’importe quoi ! Elle t’aime, ça se voit. Mais elle a besoin de plus de piquant. Si tu veux, je te montrerai. Si tu veux, on fait ça ensemble.
- De quoi « ensemble » ? (je sens la colère monter en moi)
- Ma proposition que je t’ai faite dans la voiture tient toujours.
L’image de mon rêve me revient devant les yeux... moi à genoux bavant devant son énorme bite.
- Tu sais quoi, Carmelo, je vais me coucher (je me lève)
- Nico. Tu bandes ?
- Pas du tout, dis-je, en mentant.
Je me précipite dans ma chambre et une fois dans le lit, je pousse un soupir. Je me branle vite fait et à ma grande surprise, je jouis en imaginant la bite de mon beau-frère dans mon cul...
Je me lève une heure plus tard, sans avoir pu me redormir, et je me fais un café. Lucia se lève peu après moi. Bizarrement, je ne lui en veux plus. Je suis de bonne humeur et elle le remarque.
- Ça va ?
- Oui.
- Tu sais que j’ai envie de toi...
- Moi aussi, dis-je. Ce soir, on se fait une séance de rattrapage.
- Oui !
Je pars au boulot après lui avoir un gros bisou. Toute la journée, je me retrouve à penser à ce rêve... ainsi qu’à mon érection quand j’ai découvert la grosse bite de Carmelo. Je suis complètement bouleversé.
Le soir, après le repas, je la laisse parler avec son frère et moi, je vais mater une série dans notre chambre. Vers 10h, Lucia arrive et elle se place à côté de moi. Elle passe sa main sous les draps et elle s’empare de ma queue.
- Carmelo m’a dit que tu l’as surpris en train de se branler cette nuit.
- Oui... je l’ai pris en flag, la bite en main.
- Tu l’as trouvée comment ?
- Sa queue ?
- Oui.
- Je sais pas... il a un bon morceau en tout cas, c’est sûr !
- C’est après l’avoir vue que tu as eu envie de te branler ce matin ?
- Tu étais réveillée ?
- Oui. Et tu sais, je vais te dire un truc. Je suis persuadé que sa queue te plait. Sa proposition dans la voiture ne te laisse pas non plus indifférent.
- Il t’en a parlé ?!
- Nico, on se dit tout !
Lucia se penche sur ma bite bien dure et elle se met à la sucer.
- Tu veux qu’il se joigne à nous ?
- Quoi ? Euh, je sais pas ... c’est que...
Soudain, je vois la porte s’ouvrir lentement et Carmelo apparait, nu. Quand il voit sa sœur, nue sur le lit, en train de me sucer, il se met à bander. Et là, je peux voir sa bite en pleine lumière.
Carmelo a 24 ans. Il a des cheveux coiffés en épis, teintés en blonds. Ils sont rasés sur les côtés. Il un visage juvénile avec des fines lèvres. Sa peau est mate. Il a de larges épaules et un corps musclé de dingue. Il a de gros pectoraux, des bras hyper musclés, des tablettes de chocolat bien dessinées. Il a un tatouage sur le bras droit. Son pubis est assez velu, comme ses jambes et ses couilles. Le reste est plutôt imberbe.
Putain ! Quel morceau ! C’est vraiment impressionnant. Sa bite doit bien faire 22 cm. Elle est épaisse, recourbée vers l’avant, marron et ses couilles qui pendent en dessous sont noires ! Je comprends maintenant son surnom de « Big Carmelo ». Il n’est pas grand, c’est sa teub qui est assez monstrueuse !
Ma copine remonte vers moi et elle m’embrasse tout en me massant les épaules. Puis, sa main descend à ma teub qu’elle branle. Je ne cesse de regarder Carmelo d’un air méfiant. Je ne sais vraiment pas comment réagir ! Il s’approche et j’ai sa bite à quelques centimètres de ma main. Je la touche alors délicatement. Elle est bien dure ! Carmelo s’assoit à côté de moi sur le lit et Lucia se jette sur sa queue. Elle se met à la sucer comme une pro... et même à lui faire des gorges profondes ! Elle semble avoir bien l’habitude. Il se couche sur le lit et elle monte sur son ventre. Il lui fait un anulingus pendant qu’elle s’occupe de sa teub. Ils gémissent tous les deux. Moi, je me lève et je les observe sans savoir quoi faire... la bite bien dure ! Carmelo dit :
- Viens aider ma sœur à s’occuper de ma queue, Nico ! Je vois bien que tu la mates depuis un bon moment ! Viens sucer ton bogoss de beauf !
Putain ! J’hallucine ! Mon beau-frère me dit de m’occuper de sa bite en même temps que ma femme ! Lucia me regarde d’un air lubrique en me faisant signe de venir tandis qu’elle le suce toujours. Quant à Carmelo, il me regarde telle une proie... Je sens mon cœur battre à fond !
Je m’approche timidement et je me mets à genoux. C’est incroyable ! J’ai un gros plan sur l’énorme teub du frère de ma femme qui disparait dans la gorge de celle-ci. Lentement, ma langue sort et elle se met à lécher du bout les boules de mon beau-frère. Le contact de ma langue avec ses couilles m’électrise entièrement… puis, je me redresse et Lucia me tend la queue de Carmelo. J’avale son gland délicatement et j’essaie de le sucer sans lui faire mal avec mes dents. Le gars gémit tandis qu’il fait toujours un anulingus à ma copine. Lucia tient la bite de son frère tout en m’embrassant dans le cou et en m’encourageant :
- C’est ça, bébé, suce-le bien !
Au bout de 2 minutes, je ressors la bite et je la redonne à Lucia qui l’avale en entière. Elle le suce puis elle me repasse la queue. Quelle sensation étrange de sucer la bite d’un mec... mais pas désagréable ! Je saisis la tige et je reprends ma suce en essayant de l’enfonçant encore plus loin dans ma bouche. Finalement, Carmelo se lève et on le regarde. Il dit :
- Nico, viens-là.
Je m’agenouille devant sa bite pendant que ma femme nous mate. Je vois ses grosses boules et ses jambes poilues de chaque côté de ma tête. Je prends la bite d’une main et je la suce à pleine bouche. Carmelo me caresse la tête ou il se triture les tétons. Je me délecte vraiment de son morceau. Je lui caresse même les couilles.
Après quelques minutes, je ressors sa bite mais il pose sa main derrière ma tête et il me fait replonger sur son morceau. Il se met alors à guider ma suce, à son rythme. Puis, il me baise la bouche. J’essaie de supporter son morceau mais ce n’est pas facile. Ensuite, il me fait monter sur le lit et il dit à Lucia :
- Prépare-le !
Ma femme sort alors son gode et elle se met à me goder, à me doigter et me à lécher le cul. Je gémis de plaisir, sachant ce qui va arriver. Après 15 minutes, elle se retire et Carmelo se place derrière moi. Il commence à me doigter pendant que Lucia suce son gros morceau. Puis, il enfonce son gland en moi, sans capote. Putain, je sens les anneaux de mon anus se desserrer. J’ai un peu mal. Il entre et ressort de mon cul et au bout de quelques minutes, sa grosse queue se retrouve entièrement en moi. Heureusement que ma femme me gode depuis des mois, mon cul a un peu d’entrainement.
Quand Carmelo se met à coulisser dans mon anus, je me sens avoir mal. Lucia se place à côté de moi et elle m’embrasse tendrement tout en passant son bras autour de mon cou. Carmelo entame des coups plus rapides et je vois sa main passer dans la chatte de Lucia. Il se met à entrer en elle et à la doigter tout en me baisant et en m’embrassant dans le cou. Il murmure :
- Tu as un trop bon cul !
Je sens ses couilles frapper mon cul. Trop bon ! Lucia se relève et elle embrasse son frère. Quelle scène bizarre. Ils se roulent une grosse pelle. Elle se remet en place et il reprend son doigtage tout en se penchant sur elle pour lui lécher le trou du cul. Il arrête de me baiser et il ressort de mes entrailles. Je ressens un grand vide. Il entre dans le cul de Lucia et il se met à la défoncer. Putain ! Je ne savais même pas qu’elle aimait se faire prendre par derrière ! Je me penche au-dessus de son cul, profitant de la vue, et j’admire sa queue entrer et sortir rapidement pendant que ses boules lui frappent le cul. Quel beau spectacle ! Je ne me serais jamais cru capable d’admirer un autre mec se taper ma femme !
Par la suite, il la retourne sur le dos et il s’enfonce dans sa chatte. J’admire la baise et je titille même le cul de Lucia et les boules de Carmelo. J’admire son cul bouger rapidement. Je suis aux premières loges pour admirer son gros chibre, luisant de la mouille de Lucia, entrer et sortir de sa chatte accueillante. Parfois, ma langue sort pour titiller ses couilles. Il me fait ensuite signe de me mettre sur le dos et il s’enfonce en moi. Il prend la même cadence qu’avec Lucia et il me défonce. Je me sens dévasté par son énorme queue et je gémis de plaisir. C’est vraiment trop bon !
Carmelo ressort de mon anus et il se pose sur le lit. Lucia enjambe son ventre mais je me précipite sur sa bite tendue que je suce avant de la planter dans la chatte de ma femme. Carmelo s’empare de son petit cul qu’il élève un peu dans les airs et il se met à la pilonner. Je vois ses couilles monter et descendre, fouetter le cul de ma femme bruyamment. Je donne ensuite ma bite à ma femme qui la suce avec envie. Carmelo se met debout sur le lit et il me donne sa queue à sucer. Quel magnifique tableau on fait !
Après m’avoir baisé la bouche, Carmelo me fait mettre sur le dos. Lucia vient s’empaler sur ma queue et elle entame de allers-retours. Carmelo en profite pour m’écarter les jambes et pour me mettre sa bite dans mon trou. Je gueule de plaisir. J’encule et je me fais enculer en même temps ! Quel plaisir pour mon cul et ma teub. Je grogne comme une truie. Cette situation m’excite. Carmelo donne des coups de bite rapides et puissants. Je ressens ses mouvements qui nous font bouger en cadence. Il pénètre profondément et violemment. Puis il s’arrête et c’est moi qui prends les choses en main. Je bouge en cadence, faisant coulisser ma queue dans la chatte de Lucia et la bite de Carmelo dans mon cul, ce qui le fait toujours bien gémir. Quel plaisir pour mon cul et pour ma teub. J’adopte des mouvements rapides pour enfoncer ma queue au fond du queue de Lucia et bien sentir la grosse teub de Carmelo. Je ressens un plaisir décuplé.
Après quelques minutes, Carmelo se retire et il m’agrippe les hanches. Je comprends qu’il veut s’occuper de moi seul. Il me place en levrette et il enfile sa bite entièrement dans mon fion. Il adopte immédiatement une cadence sauvage. Il me donne des fessées ou il me tire les cheveux pour accentuer sa domination sur son beau-frère. Lucia nous mate en se doigtant. Carmelo me fait ensuite mettre sur le ventre, il s’agenouille au-dessus de mon trou et il entame des pompes en envoyant ma bite bien profondément dans mes entrailles. Je hurle de plaisir. Ses couilles poilues rebondissent sur mon cul. Sa queue presque noire entre et sort en coulissant rapidement. Lucia prend son portable et filme la baise pendant quelques minutes. Puis, elle me montre la vidéo : on y voit la grosse queue de Carmelo m’ouvrir le cul à fond. Son énorme morceau m’écarte les chairs. Il va et vient dans mon anus serré. Cette bite presque noire contraste avec mon fessier pâle. J’adore aussi voir son pubis velu se cogner contre mes fesses. De dessous, c’est encore plus impressionnant de voir ce monstre de chair épais écarter mon anus serré. J’adore aussi voir ses couilles fouetter mon cul.
Au bout de 20 minutes de pilonnage extrême, j’entends Carmelo souffler de plus en plus fort et d’un coup, il s’enfonce dans mon trou et il hurle de plaisir. Je sens alors sa queue expulser des dizaines de giclées de sperme qui viennent se déverser dans mon anus et qui me frappent le fond du cul. Après quelques secondes à rester figé, il se met à tasser son sperme. Lucia saisit ma bite qu’elle branle pendant que Carmelo continue de me baiser. Je jouis 5 jets de sperme puissants qui giclent sur les draps. Quand Carmelo ressort de mon anus, je sens son sperme sortir de mon cul et mouiller mes cuisses.
Carmelo enfonce sa main sur le clito de ma femme, il la travaille et elle semble ressentir un orgasme intense. Elle gueule de plaisir.
Ensuite, Carmelo sort de la chambre et va se doucher. Il dégouline de sueur. Ma femme vient se coucher à côté de moi, je la prends dans mes bras et on s’endort vite. Je me sens tout léger... et tout content d’avoir découvert ces nouvelles sensations.
Le lendemain, c’est le week-end. Je me lève tôt pour aller chercher des croissants. Quand je rentre, je découvre Lucia et Carmelo dans la salle de bains, nus, en train de s’embrasser. Carmelo bande de nouveau. En me voyant, il me fait signe, je m’approche d’eux et il me colle contre lui. Il me masse le cul... Je crois qu’on va bien s’amuser tous les trois ...
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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