Salut, merci pour vos retours qui m’ont fait très plaisir.
Depuis toujours, je suis très complice avec mon parrain, Richard. Il a toujours été très gentil avec moi, j’ai passé tous les étés quelques semaines chez lui et d’ailleurs, je continue de le faire.
Moi, c’est Nico, 24 ans, je mesure 1,78m, je suis blond, mince, peu poilu, assez bien monté : une queue de 17 cm, assez large. J’ai fait mon coming out depuis quelques années et toute ma famille est au courant. Tous l’ont accepté, mon parrain aussi.
Je décide de passer les vacances, comme chaque année, avec Richard dans sa maison au bord de la côte Atlantique, à Royan. Certes, je dois être bosseur car j’ai mon mémoire pour valider la fin de mes études à écrire mais je compte bien profiter de la mer pour me changer les idées.
Au départ, on devait passer le séjour avec sa famille (sa femme et ses deux fils) mais Richard et Sandrine sont en instance de divorce. Je n’ai pas trop eu connaissance des raisons mais j’avais bien vu depuis longtemps que ça n’allait pas dans leur couple. Donc finalement, nous sommes que tous les deux.
Je vois bien que mon parrain ne va pas bien : il se morfond dans son lit, il est négatif, il ne fait rien de ses journées. C’est pourquoi j’essaie d’entreprendre des activités avec lui, de sortir le soir ... malgré le boulot que j’ai... mais je le fais volontiers pour lui. Il se laisse tellement aller qu’il se promène parfois nu dans la maison. Il dort la porte ouverte, il est souvent nu sous les draps... ou dessus. Il en sort pour aller dans la salle de bain, toujours sans le moindre habit. Il déprime, il ne fait attention à rien. Mais je dois dire que j’adore jeter des coups d’œil sur son corps offert à mon regard. C’est vraiment un beau mec : il a 45 ans, d’épais cheveux roux avec une barbe fournie. Il est de stature et de taille normale. Son corps est imberbe, seulement son ventre est couvert de poils roux. Son pubis et ses couilles sont aussi très poilues. Il a un long prépuce. Sa peau est très pâle.
Un matin, il se dirige nu d’un pas nonchalant, ne prêtant pas attention à moi qui passe à ce moment-là pour aller nous préparer un café. Il me calcule à peine. J’entends la douche se mettre en marche, tandis que je fais le café. Puis je me rends compte que j’ai oublié mon portable, je vais donc dans ma chambre. Je passe devant la salle de bains dont la porte est à moitié ouverte et j’entends des bruits bizarres sous l’eau. Je jette un coup d’œil et je vois alors mon parrain, de dos, dans la douche en train de faire des mouvements de va-et-vient... Il est train de se branler ! Il tend alors sa main vers la droite, il se tourne un peu et je le vois de côté... il a une belle bite de 19 cm bien tendue avec un beau gland rose, bien gros. Un truc attire mon regard... mon parrain est en train d’inspirer un grand coup... dans un caleçon. Il accélère alors sa branlette. Je m’étonne et je me demande si ce n’est pas un de mes sous-vêtements. Il respire dedans ... et d’un coup, sans un bruit, il éjacule. C’est un geyser ! Trois gros jets sont projetés sur la paroi vitrée de la cabine de douche... puis trois autres, moins puissants, tombent sur ses pieds. Il essuie le sperme avec le caleçon et lèche le sperme qui est dessus. Je suis un peu choqué par ce que je viens de voir... mais aussi excité. Je suis toujours en t-shirt et caleçon, pas encore douché... et mon érection est bien visible. Mon caleçon est comme une tente de chapiteau. Je veux partir mais la vision de sa magnifique bite m’hypnotise... elle est devenue molle, mais elle est encore bien gonflée et elle pend sur ses couilles lourdement. D’un coup, la sonnette de la porte d’entrée retentit, il se retourne et je me fais griller. Je me réfugie dans ma chambre et ferme la porte... Richard s’habille vite et va ouvrir. Je reste toute la journée dans ma chambre, mort de honte... Je me sens mal de l’avoir espionner et d’avoir fantasmé un court instant sur lui...
Le soir, je sors de ma chambre pour finalement manger, étant décidé à affronter la réalité. Richard a préparé le repas. Je m’assois en face de lui. Il fait comme si de rien n’était. Nous passons une bonne soirée. Les jours passent et j’oublie l’incident. Mais je n’oublie pas sa queue qui me fait fantasmer et accompagne mes branlettes !
Un après-midi, en revenant de la plage, j’ouvre la porte d’entrée, je vais dans le séjour... et j’entends des gémissements bien connus. Je découvre alors mon parrain sur son ordi, en train de mater un porno, la queue à la main. Rouge de honte, je détourne le regard et je me prépare à le laisser en paix. Il remet son caleçon et il me lance alors :
- Je suis désolé de t’avoir infligé ça !
- Infligé quoi, me surprends-je à répondre ?
- Voir ton parrain en train de se masturber... sous la douche... devant l’ordi... je suis désolé.
- Tu n’as pas à t’excuser... tu fais ce que tu veux, tu es chez toi.
- C’est minable, je sais ... un vieux en train de se branler comme un puceau devant un porno... toute la journée...
- C’est bon, ne t’inquiète pas. D’un, tu as un très beau corps, tu n’as pas à avoir honte. Et de deux, il n’y a pas que les puceaux qui se branlent devant des pornos. Je le fais aussi...
- Ah oui ?
- Et oui !
- C’est bête de se branler seul... tu veux te joindre à moi ?
Je le regarde, hésitant, ne sachant que dire... puis finalement, je prends une chaise et je m’assois à côté de lui. J’hésite à enlever mon maillot de bain.
- On est entre mecs, ne t’inquiète pas, dit-il en sortant sa queue, en demi-molle.
J’enlève mon maillot et il pousse un sifflement :
- Tu as une superbe bite !
- La tienne est pas mal non plus !
Il remet le porno en route... et je remarque qu’il mate un porno gay. Je le regarde, étonné :
- J’en regarde de temps en temps, en pensant à toi...
Je ne relève pas et je me concentre sur le film. Puis je repose mes yeux sur sa queue et je lui dis :
- Avec une bite pareille, tu dois « séduire » pas mal de nanas !
- Vas-y, fais voir la tienne. Je pense que je n’ai rien à t’envier.
Je me mets à actionner mon engin et très vite, je bande comme un âne.
- En effet, la tienne est correcte aussi, dit-il en me lançant un clin d’œil. Elle fait combien ?
- 17 cm et la tienne ?
- 19.
Partagé entre excitation et malaise, mon regard se promène entre la vidéo et sa queue pour ne se concentrer finalement que sur elle. Richard finit par me dire :
- Elle a l’air de te plaire. Tu veux la toucher ?
Sans rien dire, j’avance ma main vers sa queue et je l’enferme dessus. Elle est bien dure. Je fais alors involontairement un mouvement de haut en bas et il s’écrie :
- Oh oui, branle-moi un peu...
J’adore la douceur de sa queue dans ma main. Je commence à le branler lentement. Il demande :
- Ma bite te plait ?
- Oui. Tu aimes ce que je te fais ?
- Oh oui !
Il se met à fermer les yeux et à savourer. Mais je vois sa main s’approcher de ma queue et la prendre. Une branle mutuelle commence alors. Puis il se met à accentuer sa branle, moi je me crispe pour ne pas jouir trop vite. Il me dit :
- Laisse-toi aller. J'ai envie de voir comment tu jutes.
Je me détends alors, tout en le branlant toujours. Très vite, je jouis. Le premier jet gicle sur mon ventre, le deuxième vient frapper ma bouche et les trois autres s’envolent dans les airs pour atterrir bruyamment par terre. Je n’ai pas souvent joui d’une violence pareille. Richard pousse un sifflement et il jouit lui aussi sous les effets de mes caresses. Je dirige volontairement sa queue dans ma direction et je ne suis pas déçu. Une pluie de sperme vient asperger mon corps. 11 jets, plus puissants les uns que les autres, m’aspergent. Je lâche sa queue. Je vais me doucher, dégoulinant de jus.
Durant la soirée, nous ne parlons pas de cet « incident ». Nous allons nous coucher, chacun dans sa chambre. Le lendemain, quand je me réveille je me retrouve le caleçon baissé, la bite et les couilles à l’air. Ma queue est encore bien gonflée, comme si j’avais baisé. Et en effet, je remarque sous ma teub une grosse flaque de sperme, à moitié séchée, ainsi que sur les draps. Je ne comprends rien... comment ai-je pu me retrouver dans cet état-là ?! Je ne vois qu’une explication possible. Je me lève, je vais me laver le bas-ventre puis je me dirige sans bruit vers la chambre de mon parrain. Il est en train de dormir, sa respiration est régulière. Je me rapproche de lui, il est nu, comme d’habitude. Je me penche sur lui. J’approche timidement la main de sa queue. Je la prends alors en main. Je la soupèse, je la caresse, je masse ses boules. Je me surprends même à faire des aller-venues le long de sa teub avec ma main. Sa queue se met un peu à gonfler. Ma main lui fait de l’effet. Dans un mouvement brusque, il se retourne sur le ventre. Je prends peur mais je me rassure : il est toujours en train de dormir. Je vois alors son cul. Il est rempli de poils roux. Je frôle son cul. Il ne bronche pas. J’écarte ses fesses, laissant découvrir sa raie. Elle est remplie de poils. Je vois que ma bite se met au garde-à-vous. Je secoue la tête, assez effaré de ma propre audace. Je sors de sa chambre.
Les jours d’après passent et rien de « bizarre » ne se produit. Mais un matin, alors que je suis en train de dormir, Richard rentre dans ma chambre. Je suis sur le dos, en caleçon, en train de bander. Il se met à me caresser la bite qui se met à enfler dur. Il me prend la queue entre deux doigts et il la branle doucement. Il la libère alors de mon caleçon, elle se pose avec bruit sur mon ventre. Il touche le bout de mon gland, il est plein de precum. Je bouge, je me mets sur le côté et Richard en profite pour me caresser les fesses. Et c’est là que je me réveille, paniqué. Il se relève et murmure :
- Je suis désolé, je ne sais pas ce qui m’a pris... j’avais cru que...
Je lui souris alors et je prends sa main. Je le tire vers moi. Il s’assoit à mes côtés.
- Tu m’en veux ?
- Non, je sais, c’est normal, je connais ça... les hormones nous font faire de drôles de choses.
- Mais je suis plus un ado... mais te voir là, nu, après que tu m’as branlé l’autre jour tandis que je dormais... ça m’a donné envie de...
- Chut, ne dis plus rien.
Il se tait, baisse la tête. Je m’approche de lui, je mets ma tête sur son épaule. Il se tourne vers moi, je plonge mon regard dans le sien. Je me mets à lui caresser sa main... et je ressens une tension sexuelle intense. Comme lors d’un coup de foudre, j’avance mes lèvres vers les siennes et je l’embrasse. Il me rend mon baiser. On se roule une grosse et longue pelle. Je pousse ma langue entre ses lèvres et nos langues s’entrecroisent. Nous y mettons beaucoup de passion. Je commence à passer mes mains sur son corps. Je masse aussi sa queue et ses couilles, je caresse son corps et son pubis poilu. On s’embrasse pendant un long moment. Nous bandons tous les deux très fort. Puis ne pouvant plus résister, je me précipite sur sa queue... et je mets vite son gland en bouche. Je le lèche délicatement. Puis je m’enfonce sur sa queue qui est très dure et bien chaude. Je le suce lentement. Richard gémit tout en me caressant la tête. Il mouille fortement, j’avale ce nectar sur-le-champ. J'accélère mes va-et-vient. Je bande à fond et je me mets à me branler aussi. Je lui fais des gorges profondes, jusqu'à ce que ses couilles viennent taper sur mon menton et que mon nez soit plongé dans son pubis roux. Il pousse des râles de plaisir. Je ressors sa queue et l’admire : elle est dure comme de la pierre, elle est parcourue de veines bien proéminentes. Le gland est lui aussi gonflé à bloc. Je replonge dessus, je le suce tout en le branlant.
Au bout de 10 minutes, il ressort de ma bouche, la bite recouverte de salive, les couilles bien remplies. Il se place alors derrière moi et il commence à me bouffer le cul... Il empoigne mes fesses, les sépare et plonge sa bouche dans ma raie. Sa langue titille ma rosette puis s’enfonce dans mon trou. Je gémis d’excitation. Ses lèvres dans ma raie, sa langue dans mon anus, il me lèche un long moment. Sa langue me fouille et m’inonde de plus en plus profondément, mon trou s’élargit. Il me rentre alors un doigt et me doigte lentement. Il alterne bouffage de cul et doigtage, jusqu'à ce que 3 doigts rentrent en moi. Je gémis de plus en plus fort.
Puis mon parrain remonte ses lèvres dans mon dos, me faisant mille bisous. Il parvient à mon cou qu’il lèche, je gémis encore plus fort. Ses bras me serrent contre lui tandis qu’il me caresse le torse et les tétons. Puis il descend le long de mon ventre et me branle tout en continuant de m’embrasser. Je sens son gland frotter ma raie, et parfois frôler mon trou. Je suis comme électrisé. D’un mouvement voulu, son gland se retrouve devant mon trou et n’en pouvant plus, je m’enfonce dessus. Parrain me demande:
- Tu es sûr de vouloir le faire sans capote ?
- Oui... j’ai envie de te sentir. Je veux pour notre première fois te sentir entièrement, sans intermédiaire.
Il s’enfonce alors lentement en moi. J’adore le contact de sa bite sans capote. C’est vraiment incomparable. Je mouille tellement qu’il s’enfonce sans difficulté. Je sens ses poils de pubis contre mes fesses. Il commence alors des va-et-vient. Ses coups de rein sont lents, tendres et doux. La sensation de son membre qui me baise nu mon trou est vraiment incroyable. Il se couche sur moi et m’embrasse dans le cou. Je sens les poils de son pubis me caresser le cul, ses couilles ballotter et me frapper.
- Ça va ?
- Oui... mais vas-y, défonce-moi.
Il accélère alors la cadence, il me pilonne de plus en plus fort. Sa queue dure me lime mon trou, je sens chaque centimètre de son membre.
Il me fait poser sur le dos. Je positionne mes jambes contre mon torse et il s’enfonce dans mon trou présenté devant ses yeux. Il donne des coups de rein puissants et il m’embrasse en même temps. Puis il me met sur le côté et il continue de me baiser. Je sens sa queue s’enfoncer très loin en moi, son gros gland ouvrant bien mes intestins. Il est d’abord doux, faisant de longs mouvements, laissent sortir sa queue de ma chatte pour mieux l’y renfoncer. Puis il me prend la jambe, la pose contre son torse et il e met à donner de petits coups de bite profonds.
Il me fait de nouveau mettre sur le dos, au bord du lit qui est assez haut et lui se met debout. Il s’enfonce en moi et me baise. Il y va fort maintenant. Sa queue maltraite ma prostate. Ses couilles rebondissent contre mon cul. Je lui dis de me baiser encore plus fort. Il se met alors à me péter le cul, il me défonce vraiment. Sa queue rentre et ressort à une vitesse folle. Il me regarde tout le temps, m’embrassant à certains moments. J’ai les jambes bien relevées pour sentir son membre au plus profond de moi.
Au bout de cinq minutes de ce traitement, il me dit qu’il ne va pas tarder à jouir.
- Oh oui, vas-y, je veux tout ton sperme.
- Tu veux mon jus où ?
- Dans mon trou... je veux que tu me fécondes !
Il accélère les mouvements et dans un coup de rein ultime, je sens sa queue se contracter et expulser des tonnes de sperme. Il me remplit le cul, c’est comme s’il me pissait dedans ! Il se retire et une cascade déferle de mon cul. Il se renfonce vite en moi ce qui fait expulser encore plus de jus de mon antre. Puis il se couche sur moi, toujours en m’embrassant. Sa queue, devenue molle, sort de mon trou. Et très vite je sens comme une explosion et son sperme jaillit hors de mon cul pour se retrouver par terre.
Il s’assoit sur le lit et me dit :
- Je veux boire ton jus... Viens me juter dans la gueule !
Je me lève, je me branle. Je sens mon trou continuer de dégouliner. Il ne me faut pas longtemps pour juter. Je place mon gland sur sa langue tendue... et j’y lâche cinq gros jets. Il me suce pour ne pas en prendre une goutte. Puis il ouvre sa bouche qui est à moitié pleine de mon jus. Et à ma grande surprise, il avale tout.
On se couche sur mon lit, moi toujours dégoulinant de son sperme, et on s’embrasse encore un moment. Mon parrain me regarde avec un regard plein de tendresse, tout en me caressant le visage. On s’endort dans les bras l’un de l’autre...
A suivre ...
J’espère que cette histoire vous a bien plus. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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