Aujourd’hui, je me rends chez mes parents. J’ai 3 semaines de congé et avant de partir avec des amis au Portugal, je vais rendre visite à mes parents. Je pars de Lille et je prends l’autoroute.
Moi, c’est Nico, 31 ans, blond, les yeux bleus, mince, un peu poilu, monté 17 cm ... et très passif !
Vers Cahors, je m’arrête sur une aire d’autoroute. Je rentre dans la station-service pour aller aux toilettes. Je passe devant les caisses, puis devant la cafétéria. Je me dis alors que j’aurais besoin d’un bon café. Je passe la porte des toilettes et sans faire vraiment attention, j’ouvre une porte... et, surpris, je me retrouve face à deux mecs en train de se doucher : le premier a la trentaine avec des cheveux longs, une barbe. Il est de taille moyenne et il est mince. Il est poilu seulement au niveau du sexe... qu’il a d’assez long ! Il est fin et il pend mollement sous ses grosses couilles. Il bouge d’avant en arrière sous ses mouvements. L’autre mec doit avoir dans les 40 ans. Il est mastoc, il a de larges épaules. Il a le crâne rasé, un visage lisse avec une mâchoire carrée. Il a de grosses lèvres. Il a des bras très puissants, très musclés qui font bien la taille de mes cuisses. Il a un torse puissant avec de beaux pecs où il a des tatouages, et il a et des piercings à chaque téton. Il a un ventre un peu rond et dur. Il est imberbe, seul son pubis est recouvert de poils noirs et drus. Il a des cuisses énormes. Il a une teub bien en chair qui pend lourdement entre ses jambes.
Les deux mecs sont en train de parler. Ils utilisent une langue que je ne comprends pas, sûrement une langue de l’Est. Le deuxième mec finit par me capter et il me signale que ce sont les douches. Je me ressaisis, je murmure un « Pardon » et je ferme la porte. Je vais pisser et je remarque que ma queue est dure... Le spectacle des douches lui a plu. Je me dirige vers la cafétéria, réprimant une envie de rouvrir la porte. Je regarde le menu car j’ai un petit creux. Finalement, en plus du café, je commande un steak-frites.
Je mange tranquillement mon repas, puis je me dirige vers ma voiture. J’ouvre la portière et j’en profite pour jeter des détritus qui se sont amassés lors du voyage, comme un paquet de chips. Je jette tout ça dans une poubelle quand, alors que je lève les yeux, je vois un camionneur caché derrière son camion en train de pisser.
Il pisse tout en téléphonant, il ne m’a pas capté, et j’en profite pour le mater. Je reconnais alors le quadra qui était sous les douches. Il porte un t-shirt rose avec un aigle dessiné dessus. Il tient son téléphone coincé entre son épaule et sa joue, pendant qu’une main maintient son short noir ouvert et que l’autre tient sa queue. Elle est vraiment massive, avec un gland enfermé dans un prépuce. Un énorme jet de pisse sort de sa queue. Il est puissant et abondant. Le mec pisse pendant bien une demi-minute. Finalement, il fait aller et venir deux doigts le long de son morceau pour en faire sortir les dernières gouttes. Je vois alors ses deux grosses couilles bien pendantes et bien ovales sous sa bite.
Soudain, je sens son regard se braquer sur moi. Il remballe son matos et il raccroche. Moi, je détourne vite le regard. J’entends alors un sifflement. Je me retourne et je vois le camionneur me faire signe. Je m’approche, curieux. Je peux alors remarquer que son entre-jambe a pris du volume. Sa queue déforme son short qui ressemble à un chapiteau de cirque. Il me regarde et il me dit avec un fort accent de l’Est :
- Suce-moi !
Et sans attendre ma réponse, je sens une main qui se pose délicatement sur mon cul. Le camionneur se met à le caresser. Je bande immédiatement ! Toujours sans baisser mon short, il fait passer un doigt dans ma raie avant de reprendre ses caresses. Il prend son gland en main à travers son short et il se met à le malaxer aussi. Sa main passe sous mon t-shirt, il caresse mon dos avant de reprendre à mon cul.
Je regarde alors autour de moi et je me mets à genoux. Le mec réagit vite et il fait remonter son t-shirt. Son short descend au niveau de ses rotules. Sa queue est directement dressée devant mes yeux. Sa queue bite est marron foncé et elle est si épaisse que ma main arrive à peine à en faire le tour. Elle est veinée, elle a un gros gland rosâtre et elle doit faire dans les 20 cm. Ses couilles de taureau sont rondes, énormes.
Je saisis la bite, je la branle un peu avant de l’engouffrer dans ma bouche. Puis, je la ressors et je m’occupe du gland. Je jette pendant ce temps un coup d’œil autour de moi : on est derrière le camion et personne ne nous voit. Je fais descendre mes lèvres doucement le long de son morceau tendu et je fais des va-et-vient amples et lents. Très vite, je lui fais des gorges profondes. Mon nez atterrit dans son pubis velu et odorant. J’accélère ensuite mes allers-retours, toujours le long de sa queue. Des fois, je m’occupe simplement de son gland en levant les yeux. Le camionneur m’observe m’occuper de sa teub, les mains sur les hanches, le regard brûlant. Il m’encourage avec des mouvements de tête de continuer. Mon traitement semble lui plaire.
Ensuite, il pose sa main derrière ma tête et il accompagne mes va-et-vient... avant de se mettre à donner des coups de reins. Sa queue va profondément au fond de ma gorge. Ses coups de bite deviennent de plus en plus sauvages, de plus en plus violents. Il me démonte bien la gueule ! J’adore ! Puis, il me fait faire une gorge profonde avant de me relâcher. De la bave dégouline de ma bouche et de sa teub. Je reprends mon souffle.
Il me fait vite remonter vers lui... et il me plaque contre son camion. Il me fait écarter les jambes d’un mouvement de pied. Je me retrouve le cul cambrer. Il crache sur mon trou et il me doigte une ou deux minutes avec son pouce avant de m’enfoncer d’un trait sa grosse bite qui m’ouvre en grand. Je pousse un cri de douleur tellement son gland épais m’écarte les sphincters. Tel un éperon, il me perfore et je me retrouve embroché sur son membre. Il pose une main sur mon épaule et il entame de lents va-et-vient. Je saisis sa main que je place sur ma bouche (car je me sens écartelé par sa teub) afin de ne pas crier ma douleur et mon plaisir. Ses mouvements deviennent plus amples mais toujours aussi lents. Mon trou se fait lentement à sa matraque. Il le remarque et il accélère le rythme en donnant de grands coups de teub. Son bras m’entoure et me plaque contre son corps puissant tandis que sa grosse main me frappe les fesses. Ses coups de butoirs deviennent vraiment violents. Il va de plus en plus vite. Puis, il sort de mon trou, il me fait mettre à genoux et il me baise la gueule. Ma tête se retrouve emprisonnée de ses grosses mains.
Puis, il me plaque la tête contre son camion et il se met à limer ma bouche sur tout le long de sa teub. Ma bave coule de mon menton et tombe sur mon t-shirt qui se retrouve très vite bien mouillé. Ses couilles me frappent le menton. Puis, il me fait me remettre debout et il renfonce d’un coup sec sa teub en moi. Il se retourne, il prend appui contre le camion et je comprends ce qui me reste à faire : je me mets à monter et descendre sur sa bite. Il m’admire en caressant mon cul. Puis, il me fait prendre appui contre son engin avec mes bras et il reprend les commandes. Il enfonce sa teub et il me baise, ses mains tenant fermement mes hanches. Il donne alors de petits coups de bite qui s’accélèrent très vite. Il se penche sur moi et je sens son corps massif contre mon dos. Ses coups de bite sont violents, rapides, puissants. Il se fait plaisir en moi. Il se sert de moi pour assouvir ses pulsions... ce qui me plait énormément ! Son ventre claque contre mon dos. Ses boules me fouettent. Je suis dévasté par sa grosse queue. Il me baise tel un marteau-piqueur.
Il me fait mettre droit, les fesses bien serrées, il me prend dans ses bras puissants et il continue de me baiser. Dans cette position je ressens son gros gland encore mieux. Il me perfore bien le fond du cul. Il pose ses mains sur mon ventre, je me retrouve plaqué entre le camion et son bide. Sa cadence de baise me fait bien vibrer le corps. Puis, il me penche de nouveau, je cambre bien mes fesses et il reprend une baise endiablée et sauvage.
Après 5 minutes, il donne un puissant coup de rein et il se bloque au fond de mon cul. Je sens alors sa queue être prise de soubresauts : le mec est en train de me remplir ! Ce sont 9 jets de sperme qui envahissent mon cul. Ils sont abondants, liquides et bien chauds ! Ils mitraillent ben mes entrailles !
Il reste un peu en moi puis il ressort. Immédiatement, je sens son jus sortir de mon trou et dévaler mon périnée pour tomber dans mon caleçon qui est à mes chevilles. Quand il voit que je me branle, il replonge sa queue en moi qui fait pression et qui fait jaillir du jus partout autour de nous. Mes jambes et mes chevilles se retrouvent crépies. Il fait quelques allers-retours. Sa queue va chercher le sperme qui se met à recouvrir ses boules qui font un bruit mouillé quand elles cognent contre mon périnee. Moi, je jute sur mes pieds. Il ressort sa queue qui est devenue blanche. Je la nettoie et il se rhabille. Je fais pareil, même si je suis recouvert de sperme. Il sourit, il semble apprécier. Il va dans sa cabine et il sort une bière qu’il me tend. Il m’entraine vers une table de pique-nique. On se met à parler. Son anglais est assez sommaire... mais on arrive à se comprendre. Il vient de Lituanie, il traverse l’Europe jusqu’en Espagne. Il ne voit pas souvent sa famille et il est content quand il peut se vider dans une salope comme moi.
En disant cela, je sens ses doigts se rapprocher et jouer avec le sperme qui maintenant dégouline le long de mes cuisses. Il regarde autour de lui et il plaque ma main sur son entre-jambe : sa queue a repris un peu de volume ! Il sort alors sa queue et il appuie sur ma tête. Je me retrouve presque couché sur le banc, sa queue en bouche. Je la suce délicatement. Je fais de lents va-et-vient, avec quelques gorges profondes. Sa bite redevient bien dure. Très vite, il prend le contrôle et il me fait aller et venir sur sa queue. Il va très vite. Je ne sens plus mes lèvres. Ma mâchoire me fait souffrir. Mais j’essaie de supporter. Au bout de 10 minutes, il bloque sa teub au fond de ma gorge et là encore, je me fais copieusement arroser. Ce sont 5 jets peu abondants et peu puissants qui m’envahissent la gorge. Je n’ai pas d’autre choix que d’avaler. Il reste quelques secondes comme ça puis il me libère. Je me redresse. Il me donne alors un baiser sur ma bouche. J’adore ses grosses lèvres qui sont douces et molles. Il embrasse super bien. Il dit simplement :
- Merci.
Puis, il se lève et il s’en va. Je le vois monter dans son camion et disparaître sur l’autoroute. Je retourne dans ma voiture. Je me branle et je jute dans mon caleçon. Je jette un coup d’œil sur mes jambes qui sont recouvertes de sperme en train de sécher. Je m’en fous. Je démarre le moteur et je quitte à mon tour l’aire.
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Meetmemz
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