L’autre jour, je suis allé boire un coup avec une amie à la terrasse d’un café.
On parle bien, on rigole. Mais un truc m’attire du coin de l’œil. Je n’y prête pas attention au début. Cependant, il y a quelque chose de bizarre, je le sens. Je dirige alors mon regard vers la chose qui me perturbe. Deux mecs sont assis à une table, derrière ma copine. Ils discutent. Rien de bizarre. Quand tout d’un coup mon regard se pose sur le paquet d’un des deux mecs. Il porte un short en jean assez moulant ... qu’il laisse deviner un bon morceau et de très grosses couilles qui ont l’air d’implorer d’être libérée de ce short.
Mais je m'aperçois que le mec la braguette ouverte ! Il écarte un peu le jambes et je l’épie du regard. Je commence à sentir une chaleur m’envahir. Je me demande si je peux entrevoir quelque chose de son attirail. Il positionne ses jambes autrement et cette nouvelle position me permet en effet de voir qu’il ne porte aucun sous-vêtement ! Et en effet, le mec a vraiment de grosses couilles. J’ai une vue plongeante dessus. La couille que je vois est posée contre sa cuisse. Elle semble grosse et poilue. Puis je distingue quelque chose d’autre. Je pense que je devine sa queue qui a l’air bien épaisse. Il écarte alors un peu plus les jambes et je distingue alors son gland, rose et bien gros. Il regarde plusieurs fois dans ma direction, ce qui me fait détourner le regard. mais je reviens inlassablement sur son paquet.
A un moment, il se lève, s’avance vers moi. J’ai peur qu’il vienne me demander ce que j’ai à lui mater le paquet. Mais mon regard ne peut pas s’en détacher. Sa queue pend dans son short qui trahit la grosseur de son bulge qui est bien bombé, même au repos. Le tissu moule sa bite au repos bien large ainsi que son gros gland. Je suis comme hypnotisé. Et je n’en crois pas mes yeux. Il plonge sa main dans sa poche et il semble tirer le tissu. Il a la braguette grande ouverte et sous ses pas, sa queue se balance d’avant en arrière, sortant presque de son short. Je pourrais presque deviner la taille complète, la couleur et la forme de sa teub.
Le mec passe à côté de moi avec un petit sourire aux lèvres et se dirige dans le café. Il revient après quelques minutes et se rassoit à sa table. Il me regarde alors directement et me sourit. Puis il reprend sa conversation avec son pote... mais il se met à bien écarter les jambes de telle sorte que je voie tout ! Il s’avance sur sa chaise et ses couilles semblent bien pendre dans son short. Quant à sa queue, elle est aussi visible, large, longue avec un gros gland recouvert d’un prépuce. Sa bite est toute molle, longue comme un anaconda, faisant presque toute la longueur de son short.
Et d’un coup, lentement, sa main passe sous la table et il caresse discrètement sa braguette ouverte. J’ai l’impression que son paquet gonfle. Puis il fait passer sa queue du côté droit. Je suis déçu. Je ne vois plus que ses grosses couilles posées sur la chaise. Il parle à son pote, me jetant des regards discrets. Et je remarque que sa main caresse sa jambe. Et alors je vois que son morceau gonfle et s’allonge... jusqu’à soulever son short et à sortir le long de sa jambe ! J’entrevois le gland, gros et rose. Puis c’est une partie du reste de sa queue qui devient visible. Il bouge sa jambe alors de gauche à droite, me laissent admirer son gros morceau.
Il ne cesse de m’observer avec un regard vicieux. J’ose soutenir son regard, je mordille mes lèvres et je décide de caresser discrètement mon paquet aussi. Au bout de quelques minutes, n’en pouvant plus, je me dirige vers les toilettes du café. Du coin de l’œil, je vois qu’il me suit. Je suis super chaud. Je pisse à une pissotière. Le mec se place à côté de moi et je peux mater sa queue qu’il vient tout simplement de sortir par sa braguette. Et là, c’est comme dans un de mes fantasmes les plus fous. La queue semble énorme de près. Elle est de nouveau en mode repos, le gland est enfermé dans le prépuce mais il est gros et ressort bien. Son gros morceau pend entre ses jambes, énorme, pesant, massif. Il doit bien avoir 15 cm au repos. On dirait une troisième jambe. Il prend sa queue d’un main et se met à pisser. J’admire son morceau sans gêne, sans honte. J’ai les yeux braqués dessus. Quand il a fini d’uriner, il étire sa grosse queue et il la secoue, sauvagement, de haut en bas. Et il insiste, il continue... et je remarque que sa queue gonfle. Je relève la tête et je l’observe : il a environ 50 ans, il a des cheveux châtains, avec un front un peu dégarni. Son visage est lisse avec un sourire charmeur. Il me demande alors ?
- Tu veux la toucher ?
- Oui, réponds-je sans hésiter.
- Tu peux si tu veux.
Ma main se dirige directement vers son morceau que je prends en main. Je le soupèse, il est gros, flasque mais bien long, une tige régulière, très lourde. Je prends ensuite ses énormes couilles dans ma main gauche. Elles sont poilues, grosses et pendantes. Le mec semble apprécier, il continue de sourire. Il se laisse faire. Je prends son gros paquet (bite et couilles) dans une main et le contemple : il ne loge pas dans une seule main ! Sa bite est vraiment mate. Je vois que mon inspection ne le laisse pas indifférent. Sa queue commence à s’allonger et à durcir. J’en ai l’eau à la bouche.
- Tu veux venir chez moi ?
- Oui...
- Donne-moi 5 minutes pour dire au revoir à mon pote et retrouve-moi au coin de la rue.
J’acquiesce. Je dis à mon amie que je ne me sens pas bien et que je vais rentrer. On se dit au revoir, je paie et j’attends au coin de la rue. Le mec exhib arrive et je le suis.
Une fois la porte de son appart passée, il se déshabille immédiatement.
- J’aime être nu.
Il est mince, de taille moyenne (1,80), un peu poilu sur le torse, le ventre. Par contre, son pubis, sa bite et ses couilles sont très poilues. Ses cuisses sont aussi très velues. Je n’en peux plus, je me jette sur son énorme morceau. Je l’enfourne dans ma bouche. Il se met immédiatement à bander. Et je me retrouve avec 25 cm dans la bouche. Puis, je lâche sa queue pour l’admirer. Elle se dresse immédiatement et va frapper son ventre. Elle est énorme, elle passe au-dessus de son nombril. Il la prend en main et la baisse au niveau de sa cuisse. Elle fait bien les deux tiers de la longueur de sa cuisse. Elle a l’air si lourde !
Il s’assoit dans un fauteuil, je me mets à genou et j’enfonce son morceau dans la bouche. J’arrive directement à prendre la moitié de son anaconda. Mais sa queue bloque au fond de ma gorge. Il appuie un peu sur ma nuque. Elle s’enfonce un peu plus. Je le suce en le branlant un peu, jouant avec ma langue autour de son gland et de son frein. Je lèche ses couilles. Sa queue semble durcir de plus en plus. Je le suce comme si je tétais une sucette. Puis après 10 minutes, il me plaque ses mains sur ma nuque et il enfonce son membre entièrement en moi. Ses grosses couilles se balancent contre mon menton et me le chatouillent. Il me maintient bien la tête, je commence à suffoquer. Il relâche alors la pression. Après avoir pris une grande respiration, il s’enfonce de nouveau en moi. Il commence alors à faire des va-et-vient. Puis, il me pilonne la gorge. De la bave s’écoule de ma bouche et va mouiller mon torse. Parfois, il fait des pauses, je ressors sa queue de ma bouche pour l’y renfoncer volontairement en entier.
Puis il me retourne et me crache abondamment sur mon trou. Sa queue se place contre ma rosette et il rentre sa bite doucement par petits coups. Il me prend sans capote, avec pour seul lubrifiant sa salive. J’ai mal mais je subis. Sa grosse queue me plait et j’ai envie de la sentir au fond de moi. Je sens mon cul s'ouvrir sur son passage. Ses couilles se plaquent contre mon cul et il commence à me baiser lentement. Ça me brûle à l’intérieur. Puis il va de plus en plus vite et de plus en plus fort. Le plaisir fait place à la douleur et je me mets à gémir.
Ses va-et vient sont toujours plus rapides. Il se pose dans mon dos de tout son poids et il se met à donner des coups de cul qui emmènent sa queue très loin en moi. Je sens ses couilles rebondir sur mon cul à chaque fois qu'il me pénètre. Ses mouvements sont amples et je sens bien sa queue entrer et sortir de mon trou.
Puis, il sort de mon cul, se pose sur le lit et m’entraine vers lui. Je me place devant sa teub, sur ses jambes, tout en lui tournant le dos. Il tapote sa bite contre mon cul et contre ma raie tout en se branlant. Puis il place son gland dans mon antre et moi je descends lentement jusqu’à ce que mon cul soit assis sur son pubis poilu. Je commence alors à le chevaucher, montant et descendant sur sa queue. De ses mains, il m’aide de temps en temps, m’imprimant son mouvement. Puis à un moment, il prend la baise en main. Il me place mon cul bien haut et il se met à me défoncer.
Enfin, il me place sur le côté, il se tourne sur sa droite et se met à se branler sa grosse teub. De mes deux mains, j’ouvre bien mon trou en grand. Et il pousse un cri bestial. Alors, je sens mes fesses devenir tout mouiller. Il doit bien juter 8 gros jets qui viennent s’écraser sur mon cul et éclabousser tout dans les alentours. Il badigeonne sa queue de son sperme liquide et gluant et il rentre en moi, me faisant bien sentir sa queue encore toute dure. J’en profite pour me branler et je jute une bonne quantité de sperme.
Il se couche à côté de moi et se met à me caresser le torse. Puis il me demande :
- Ça t’a plu de voir ma queue sans rien dessous ?
- Oui j’ai adoré ! Mais dis-moi, je serais curieux de savoir quelque chose... Tu me draguais tout à l’heure au café ?
- Non, pas spécialement... Tu sais, chez moi, je vis toujours à poil, même quand je reçois mes connaissances, que ce soit des hommes ou des femmes hétéros ou gay. Et dehors, je me balade toujours sans caleçon et la braguette ouverte. Ça dépend dans quelle position ou dans quelle attitude je me mets... mais on voit un peu, beaucoup ou tout !
- Putain, ça doit en exciter plus d’un ça !
- Yes, ça excite ! Et je kiffe exciter les mecs qui me plaisent !
- J’oserais pas, moi...
- Il faut ! Moi, j’ose beaucoup. Je suis pas pudique... et dans beaucoup d’endroits, j’ai la braguette complètement open ! Sans rien dessous !
- Et dans quel genre d’endroits ?
- A la terrasse de café par exemple (il me lance un clin d’œil). Et dans plein d’autres endroits, mais je suis hors milieu.
- Putain, et les gens qui viennent chez toi disent rien ?
- Non. J’adore vivre à poil et ils le savent. Et je te le dis, comme je suis super bien membré, j’attire le regard, même des hétéros malgré eux, je le vois bien.
- Ah oui ?
- Oui. Par exemple, quand je me sèche après la douche à la salle de sport, j’aime bien prendre mon temps et je ne me cache pas ! Mais je n’en fais pas trop, pour que ça reste naturel. Et je vois bien les regards !
- Et des mecs t’ont déjà abordé ?
- Ils me parlent pas aussi directement mais presque... et quelques mecs sont cash, et moi je sais y faire si un mec me plait.
- Oui, j’ai vu ça tout à l’heure.
- Oui, comme tu vois, ça m’arrive pas seulement au sport puisque j’ai la braguette toujours totalement ouverte. Tu peux pas t’imaginer ce qui m’est arrivé, dans les vestiaires et en dehors. Je te raconterai une prochaine fois, si tu veux. Mais là, je vais devoir y aller.
Je comprends le message. Après une petite douche, je sors de chez lui, le trou encore bien ouvert, dégoulinant du jus de ce mec extraordinaire.
Aimeriez-vous que je raconte une des histoires qui est arrivée à ce mec ?
Si oui, n’hésitez à me contacter et à me le dire. Vous pouvez aussi m’envoyer des commentaires ou vos envies pour la suite. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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