Un beau jour d’été, je me promène dans les rues de Paris. On est en août, il y a plein de touristes mais les trottoirs ainsi que le métro sont moins bondés que d’habitude. Ça me rend tout léger. Je flâne dans le Marais, perdu dans mes pensées. La journée s’est bien passée, j’ai bien avancé dans mon travail sans être trop dérangé par des appels de clients... car la plupart sont en vacances.
Soudain, quelqu’un me heurte et je me retrouve par terre. Ma sacoche s’ouvre et le contenu se répand sur le bitume. Le mec qui vient de me heurter s’écrie :
- Excusez-moi !
Il me donne sa main et il m’aide à me relever. Voyant des papiers commencer à s’envoler, je me précipite sur ma sacoche et j’attrape toutes mes affaires. Celui qui m’a heurté m’aide et on arrive à tout remettre dans ma sacoche. Je lève alors les yeux vers mon « sauveur » pour le remercier... car ce genre de comportement est assez rare à Paris. Le Parisien lambda aurait continué son chemin sans prendre la peine de me jeter un coup d’œil. Je croise alors le regard magnétique du mec :
Il a dans les 25 ans. Il a des cheveux courts et châtains, un visage lisse et des yeux verts. Il est de taille moyenne et il semble avoir corps svelte.
Le mec me tend la main, il saisit la mienne et il me la serre :
- Je suis vraiment désolé. Ça va ? Je vous ai pas fait mal ?
- Non, ça va.
- Mais, si ! Regardez, votre jambe saigne.
En effet, je vois, à travers mon pantalon blanc, une tâche rouge grandir au niveau de ma rotule.
- Vous n’allez pas rester comme ça ! Venez, montez chez moi ! J’habite à 50 m.
- Non, c’est gentil, je ne veux pas déranger. Il faut que j’y aille...
- Stop ! Pas de discussion ! On y va !
Je me laisse alors convaincre et je le suis. En effet, il habite juste au coin de la rue. Il ouvre une grosse porte en bois et on monte les escaliers typiques des bâtiments haussmanniens. On arrive au 3ème étage et le mec ouvre une porte. On entre dans un appartement gigantesque. Je siffle d’admiration.
On se dirige vers la salle de bains et il me défait alors la ceinture de mon pantalon qu’il fait descendre. Il saisit un désinfectant et il me nettoie ma plaie. Moi, je me laisse faire. Puis, il me sort :
- Désolé, j’ai une énorme envie de pisser.
Les toilettes se trouvent dans la salle de bains. Sans gêne, il fait glisser son short le long de ses cuisses musclées, libérant son matos. Je sens alors mes yeux grossir. Je vois sa bite en premier plan. Je suis impressionné : sa bite au repos est énorme. Elle pend lourdement entre ses jambes, un recourbée vers l’avant. Son gros prépuce recouvre un gros gland dont la moitié en dépasse. Elle est marron. Je dirais qu’elle fait 15 cm, rien qu’au repos !
Tout en pissant, il me dit :
- Au fait, je m’appelle Christian.
- Moi, c’est Nico.
- Enchanté de faire ta connaissance, Nico !
J’ai du mal à en détourner les yeux. Mais dès qu’il remet son short, je fais mine de regarder ailleurs. Il s’approche de moi et il prend un pansement. Il utilise du désinfectant en passant doucement le coton sur la plaie. Je crois alors me rendre compte que son entre-jambe se met à frémir. Il continue de frotter ma peau et je vois maintenant sa bite distinctement dans son short, pourtant ample. Le tissu serre un morceau bien épais... qui se met à s’allonger dans son entre-jambe... puis le long de sa cuisse. Le mec se retrouve alors avec une grosse barre en diagonal, sur sa cuisse. Je reste bouche bée devant cet énorme anaconda que son short dessine. Finalement, je me rends compte que le mec ne frotte plus et qu’il me dévisage. Il se relève lentement, ses yeux plongés dans les miens. Il finit par dire :
- Tu peux la toucher, si tu veux.
Timidement, ma main avance vers son morceau. Elle se met à passer de la base de la bite jusqu’au gland, ce qui me semble interminable. Quelle massue ! Tranquillement, il fait descendre son short sur ses chevilles. Je m’approche et sa queue me saute contre la joue. J’hallucine ! C’est comme s’il avait une troisième jambe : sa bite est énorme. Elle est aussi grosse que mon avant-bras, je dirais 33 cm. Elle est veinée, elle est un peu recourbée vers le bas. Ma main arrive à peine à en faire le tour. Son gland est rougeâtre et épais. Ses couilles sont énormes, aussi grosses que des clémentines, marron foncées.
Il m’entraine alors dans sa chambre et il s’assoit sur le lit. Il ôte ses vêtements et je peux l’admirer, nu : il a un corps svelte et musclé avec de belles tablettes de chocolat. Il a des tatouages sur le torse et sur les bras. Son pubis est très velu, tout comme ses couilles. Des poils recouvrent son ventre. Mais ce qui me fait halluciner, c’est surtout sa queue : elle est posée le long de sa cuisse... et elle arrive à la rotule ! Il m’attire alors vers lui en me dévorant du regard. Je m’approche de lui et je la branle doucement tout en admirant ce morceau ! Je la relève et je la pose contre son corps. Putain ! Son gland est posé entre ses deux pectoraux ! Je m’empare de sa queue et je me mets à la branler à deux mains.
Quel morceau ! Je n’ai jamais vu un truc pareil ! Il se penche alors vers moi et il m’embrasse tendrement. Puis, il descend vers mes tétons qu’il titille pendant que ses mains me caressent le corps. Il est toujours assis, penché au-dessus de moi et il pourrait presque prendre son gland entre ses lèvres ! Ne pouvant plus résister, je le fais un peu reculer et je m’empare de son anaconda à sa base pendant que ma langue lèche l’engin de haut en bas. Puis, ma main passe au milieu. Elle n’arrive pas à en faire le tour. Je prends alors le gland en bouche... qui se retrouve bien écartée. Je ne vais pas pouvoir en gober plus car, quand je commence à le sucer, je remarque que son gland m’écarte déjà la mâchoire au maximum tout en me remplissant bien la bouche. Je le branle en même temps de la main droite. Pour repose ma mâchoire, je ressors le morceau de temps en temps et je le lèche de tout son long. Alors que je suis penché sur lui pour le sucer, il caresse et malaxe mon cul.
J’essaie vraiment d’enfoncer une plus grosse partie de son engin dans ma bouche... mais je n’y arrive pas. Christian finit par se lever et par rester debout. Je me mets entre ses jambes. J’ai son énorme morceau devant les yeux ainsi que ses grosses couilles qui pendent bien. Je saisis de nouveau la teub et je la suce. Je garde son gland en bouche et je branle le reste sur toute la longueur à l’aide de mes deux mains. J’y vais à fond. Ses grosses couilles se balancent de haut en bas et elles viennent claquer contre la peau de mes doigts.
A un moment, Christian appuie sur ma tête et je sens alors une petite partie de sa queue s’enfoncer plus profondément dans ma bouche. J’ai la mâchoire complètement explosée et sa queue se retrouve à l’entrée de ma gorge. Je le suce en le branlant d’une main. Il impose avec sa paluche posée derrière ma tête des va-et-vient sur sa teub que je suce avidement. Au bout de 2 minutes, il me relâche et je ressors son morceau qui se retrouve trempé par ma bave qui a coulé le long de son manche ainsi que de ses couilles. Sans attendre une seconde, je replonge sur sa queue et je la suce, essayant de l’enfonce encore plus profondément. Christian murmure :
- Tu fais ça trop bien !
Je suis content que ça lui plaise car c’est la première fois que je m’occupe d’un tel monstre ! Je lève la tête et je le regarde droit dans les yeux, lui montrant ma soumission.
Au bout de quelques minutes, il me fait mettre sur le lit, sur le dos et il enjambe mon corps. Il enfonce sa queue dans ma bouche. Son corps a l’air tellement loin ! Il saisit ensuite mes cheveux et il me fait faire des allers-retours sur son chibre, essayant d’aller toujours plus loin dans ma gorge. Malgré les haut-de-cœurs que j’arrive à maitriser, je prends finalement bien la moitié de son énorme morceau en bouche. Je bave bien. Parfois, pour me laisser reprendre mon souffle, il ressort sa bite, il me biffle, il me fait lécher son gland ou ses boules. Il pose son énorme engin contre ma figure : ses boules se retrouvent contre mon menton et sa trompe d’éléphant traverse mon visage, en couvrant presque la moitié, grimpe dans mes cheveux et se dresse fièrement au-dessus de ma tête.
Puis au bout d’un certain temps, Christian me fait mettre à quatre pattes et il s’empare de mes miches qu’il malaxe. Puis, il les embrasse en les mordillant. Tendrement, il se penche au-dessus de mon trou où il enfonce timidement sa langue. Je gémis immédiatement à son contact. Sa langue s’insinue doucement en moi et elle se met à tournoyer. Je suis au septième ciel. Pendant qu’il me broute le cul, il commence à enfoncer son index dans mon trou. Il retire sa langue et il me doigte lentement. Il prend du gel et il insère 2 doigts, puis 3 et enfin 4. Je sens mon trou bien écarté... mais ce n’est pas encore assez pour sa queue ! Il prend son temps et finalement, 5 doigts passent. Au bout de 5 minutes, je me retrouve avec sa main dans mon anus. Petit à petit, son poignet, puis une partie de son bras sont plongés en moi. Quand il voit que j’encaisse bien tout ça, il se relève et il tapote son gland contre mon trou bien ouvert.
Il se pose derrière moi et il prend sa bite à deux mains : l’une en saisit la base et l’autre branle lentement le haut. Puis, elle dirige le gland vers mon petit anus. Il le plonge dedans. Je me dis alors que sa queue ne passera jamais ! Son gland me remplit déjà mon fion ! Je ne vais jamais pouvoir encaisser cette massue de 33 cm ! Il donne alors de petits coups de reins et lentement, son gland fore l’intérieur de mon anus, passant le premier sphincter. Sa bite entreprend une descente impressionnante. Je me sens alors écartelé comme jamais. Je pose involontairement ma main sur son ventre pour lui faire comprendre de ne pas aller plus loin. Alors, Christian ressort ... avant de se renfoncer lentement en moi. Je regarde dans le miroir de mon armoire son énorme tronc d’arbre prendre possession de mon anus. Un tiers est passé et Christian se met à faire de lents allers-retours, commençant la baise... pour aussi enfoncer son pieu plus profondément. J’essaie de résister. Je souffle comme si j’étais en train d’accoucher. Je m’agrippe aux draps.
Quand la moitié de son morceau est entrée en moi, Christian arrête sa progression, il pose ses mains sur mes hanches et il donne de légers coups de queue. Ma prostate se retrouve massée. Je crie. Je ne sais pas ce que je ressens. Ce n’est plus de la douleur. Il y a certes un peu de plaisir... mais mon cul est explosé. Je sens ses mains puissantes agripper mes hanches et il se met à accélérer le rythme. Je gueule fort tellement la pression dans mon anus est forte. Je sens aussi que sa bite progresse lentement en moi. Son gland fore tel un marteau-piqueur mes entrailles. Je regarde dans le miroir et je remarque que les trois quarts de son engin ont été avalés par mon anus. A un moment, il s’arrête et je prends la suite. Je fais ressortir sa queue avant de replonger dessus. Je vois le dernier quart prendre lui aussi lentement possession de mon anus. Parfois, je fais même entièrement sortir sa teub avant de me la renfoncer dans mon cul. Je sens alors mon trou complètement béant. Après plusieurs tentatives, je me retrouve entièrement empalé sur ses 33 cm. Je ressens ses couilles frotter contre mes cuisses ainsi que ses poils de pubis contre ma raie. Enivré par mon exploit, Christian s’empare de mes hanches et il entame une baise lente mais profonde.
Après quelques minutes, Christian me fait mettre sur le dos et lui reste debout. Son morceau s’enfonce lentement en moi. Je supporte bien. Je vois alors les trois quarts de sa queue s’activer en moi. Mon trou écartelé engloutit cette énorme bite marron. Il agrippe mes jambes et il entame des va-et-vient lents tout le long de son morceau. Il se met à me baiser plus rapidement. Je gueule fort. Je ne peux pas faire autrement. Les sentiments sont tellement intenses ! Je ne ressens plus aucune douleur... seulement du plaisir, augmenté par sa bite qui massacre ma prostate. Son gland me perfore le fond de mon trou. Quand j’observe la scène dans le miroir, je suis presque choqué de voir ses 33 cm complètement enfoncés dans mon anus. Je sens les poils de son pubis taper contre mes fesses. Quelle sensation incroyable !
Christian se met alors à se défouler dans mon trou. Je ne suis plus qu’un pantin entre ses mains qui me maintiennent pendant que sa queue me perfore l’intérieur de mon corps. Ses grosses couilles me frappent lourdement et bruyamment les fesses. Il se penche alors au-dessus de moi et il me roule une grosse pelle tout en continuant de me baiser. J’ai mes mains sur ses fesses musclées et elles en accompagnent les mouvements.
Au bout de longues minutes de baise intense, il ressort. Je me précipite sur sa bite que je suce. Puis, je le fais mettre sur le dos et je mets le gland sur mon anus. Petit à petit, je m’empale sur son monstre. Arrivé à la moitié, je me mets à monter et descendre dessus. Petit à petit, je prends en moi la totalité de sa bite que je sens trifouiller mes entrailles ainsi que mon ventre. Je hurle de plaisir quand je sens mon cul atterrir dans le tapis que forme ses poils de pubis. Je commence à monter et descendre sur son morceau.
Très vite, il s’empare de mes hanches et il me fait monter et descendre sur sa trompe que je sens presque sous mon estomac ! Christian augmente toujours plus la cadence et ses grosses boules me fouettent le cul car elles se balancent de haut en bas au rythme de ses coups de queue. Parfois, dans un mouvement puissant, il me fait m’empaler entièrement sur sa queue et je gueule fort, complètement envahi par la sensation d’être perforé par son gros gland. Sa queue qui me distend l’anus au maximum se met à coulisser rapidement dedans. Elle va et vient à une cadence démente. Mon trou est désormais grand ouvert et Christian en profite pour se faire plaisir. Puis, il me laisse reprendre les commandes. Je prends appuie sur son torse et je monte et descends sur son énorme morceau. Il se laisse faire, complètement détendu, en me regardant avec envie dans les yeux. Je suis comme sur un trampoline : mon cul rebondit sur ses cuisses et m’envoie en hauteur avant que je redescende sur son pieu. Ensuite, Christian me masse les fesses tandis qu’il m’attire vers lui pour me rouler une grosse pelle avant qu’il ne recommence à reprendre les commandes de la baise.
Après quelques minutes, je fais sortir sa trompe de mes entrailles et je me précipite sur dessus pour le sucer. Puis, il me refait mettre à quatre pattes. Il reste debout et les mains me maintenant les hanches, il enfonce sa bite de tout son long ... J’encaisse bien et il se met à me pilonner tel un marteau-piqueur le fond du cul. J’admire dans le miroir sa trompe qui sort presque entièrement de mon anus avant de s’y renfoncer à fond. Ses boules fouettent mes cuisses. Son gland massacre ma prostate. Parfois, il fait sortir sa queue et il la pose dans mon dos : sa trompe d’éléphant occupe la moitié de la longueur de mon dos. C’est impressionnant de sentir et de voir ça. Puis, il se renfonce et il se fait plaisir dans mon anus. Il se défoule, je sens son anaconda sonder le fin fond de mes entrailles. Ses coups de queue sont rapides, ils me défoncent bien. Mon corps tremble sous le traitement de cette bête de sexe.
Après bien plus d’une heure de baise, Christian se bloque au fond de mes entrailles et il pousse un râle puissant. Soudain, je sens sa bite se contracter et un premier jet abondant et liquide envahit le fond de mon cul. J’en sens la chaleur me submerger. Après 1 seconde de répit, le deuxième jet sort, encore plus abondant que le précédent. Sa giclée dure bien 2 secondes. Et pendant presque une minute, mon ventre se fait envahir par une énorme quantité de sperme. C’est comme si le mec me pissait dans les entrailles. Une vingtaine de giclées inondent mon anus.
Christian continue lentement ses coups de reins, tassant bien son jus. Puis, il ressort et il me donne sa bite à nettoyer. Je saisis ma queue et je la branle à fond. Sa trompe est maintenant molle, je l’avale sans problème. Je sens mon trou béant. J’y passe mes doigts et je sens qu’il ne peut plus se refermer. Une rivière de jus en sort et dégouline sur le lit. Rien qu’en sentant ça, je jouis immédiatement une grosse quantité de jus sur mon ventre.
Christian, souriant, se pose à côté de moi et m’observe en train de reprendre mes esprits. Il m’a vraiment bien défoncé ! Je me rends compte que mon cul ainsi que mon dos trempent dans une énorme mare de sperme. J’essaie de me reprendre mais je suis comme assommé. Christian m’attire vers lui et il m’embrasse tendrement. Il dit :
- Si tu veux bien, tu pourras venir souvent me voir pour que je mette un petit coup ! J’ai rarement vu un mec qui pouvait encaisser ma queue comme toi ! C’était dément !
- Oui, c’était génial !, dis-je, les yeux plein d’étoiles...
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
Autres histoires de l'auteur :