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Un infirmier

Un infirmier

Salut à tous,

Je suis infirmier dans une clinique du centre de Bordeaux. J’y travaille depuis bientôt deux ans. J’ai de super collègues. Notre équipe s’entend très bien. Je travaille parfois le matin, parfois le soir, et rarement la nuit. Mais ces changements ne me posent pas de problème.

J’ai 28 ans, je suis blond (mais en ce moment avec une coloration violette) aux yeux bleus. Je suis très mince et je crois que ça se voit que je suis gay. J’ai parfois des airs assez « homos ». Parfois, le fait que je commence à danser et à tortiller du cul en bossant met la puce à l’oreille de certains.

Je suis amené à m’occuper de toutes sortes de patients. Des bruns, des blonds, des châtains, des renois, des rebeus, des céfrans, des jeunes comme des vieux, des hommes comme des femmes. Je suis bien sûr plus attiré par les mecs et je me rince bien l’œil quand je dois nettoyer leur entre-jambe. Il y en a pour tous les goûts : des petites, des grosses, des longues, des moyennes, des poilues, des blanches, des noires, des caramels, …

Aujourd’hui, quand je rentre dans la chambre d’un nouveau venu je me retrouve bouche bée devant le mec ... qui est vraiment un très beau gosse : Il a une vingtaine d’année. Il a des cheveux courts et noirs sur le dessus et rasés sur les côtés. Il est hyper mignon et il a de grosses lèvres qu’on aurait envie d’embrasser. Il a de larges épaules et des bras musclés.

J’essaie de calmer mon excitation quand je crois qu’il me regarde. Une collègue, Moni, entre et elle me dit :

- Eh ben ! Il est pas mal, celui-là !
- Oui, en effet..., murmuré-je.
- Il est encore sous sédatifs, dit-elle en lisant son dossier. Il a une un grave accident, il a eu une opération et maintenant il faut attendre qu’il se réveille et qu’il se remette. Allez, lave-le et change-lui sa perfusion.
- Ok.

Si parfois je rechigne à laver des personnes sales ou vraiment hideuses, là, Moni n’a pas à me le demander deux fois. Elle sort de la chambre et elle ferme la porte. Tout excité, j’ouvre d’abord sa chemise d’hôpital qui dévoile son torse. Il est bien foutu ! Il a un corps musclé avec de gros pectoraux bien visibles et de magnifiques tétons. Son ventre est plat et imberbe. Ses biceps sont très développés.

Prenant mon temps, je passe un gant sur son corps parfait, délicatement. Puis, je relève sa chemise au-dessus de ses jambes, sans dévoiler son entre-jambe : je me garde la surprise pour la fin. Ses jambes sont musclées aussi et un peu poilues. Et finalement, il me reste à faire son matos. Je relève délicatement le tissu et là, je suis bouche bée : ce beau gosse a tout pour lui : une belle gueule, un corps de dieu... et une queue impressionnante ! Il a un pubis recouvert de poils fins. Il a une bite circoncise, bien 15 cm au repos, large, épais, marron avec un gland rose. Ses couilles sont énormes, marron, fermes. Je me sens tout excité, mais je reste professionnel. Je passe le gant d’abord sur son membre qui reste mou. Je le soulève pour nettoyer le dessous, avant de passer aux couilles. Je laisse délicatement retomber son morceau ... et je remballe tout. Je range le matériel, je lui mets une nouvelle perfusion et je sors, tout émoustillé.

Le soir, en rentrant chez moi, je me branle en pensant à ce magnifique gars. Pendant une semaine, je vais me retrouver à le laver... et à fantasmer sur lui, une fois le service fini. Je suis d’un côté content qu’il ne se rende compte de rien. Il a dû être une nouvelle fois opérer et il n’a toujours pas repris conscience.

Une semaine après que j’ai commencé à m’occuper de lui, je le nettoie une nouvelle fois. Et alors que je suis en train de passer le gant sur son entre-jambe. Sa queue se met à prendre du volume. Je l’actionne un peu ... mais je me ressaisis vite afin de rester professionnel. Une fois fini, je vais me laver les mains dans la salle de bains. Soudain, mon dieu grec surgit derrière moi et il se colle contre mon corps. Ses bras passent autour de mes hanches et il se met à m’embrasser dans le cou. Je sens alors son morceau bien tendu entre mes fesses. Il se met à bouger sa queue d’avant en arrière. Je ne bouge plus. Je le laisse faire. Je ne sais pas comment réagir... mais je bande à fond. Je sens son souffle puissant dans mon cou. Soudain, il fait glisser mon pantalon sur les chevilles et il enfonce sa bite d’un coup sec dans mon anus. Il m’emprisonne dans ses bras. Je murmure :

- J’ai envie de toi !
- Je sais !

Il se met à me baiser dans une cadence infernale. Il est très bestial, très sauvage... Ça doit bien faire une dizaine de jours qu’il n’a pas joui et il veut se vider les couilles. Il se sert de moi pour cela... ce qui ne me dérange pas. Je saisis ma bite et je me branle au même rythme que ses coups de reins. Ses coups sont puissants, profonds. Je gémis fort. En moins de 2 minutes, il m’ensemence d’un tsunami de sperme. Je ferme les yeux et je gicle de grosses rasades de jus dans le lavabo de la chambre. Je rouvre les yeux et je souffle de plaisir. Je regarde mon ventre dont l’intérieur se retrouve rempli de sperme. Je regarde autour de moi : je suis dans ma chambre. Je viens de me branler en fantasmant sur mon bel inconnu et sur ce que j’aimerais qu’il me fasse. Chaque soir, je jouis en pensant à lui.

Le lendemain, je vois qu’il est réveillé. Je le salue. Il ne répond pas. Je lui demande :

- Je vais faire votre toilette, si ça ne vous dérange pas.
- Moué.

Je le regarde. Il m’observe sévèrement. Je le lave rapidement, en étant un peu rude. Je nettoie son entre-jambe en l’espace de quelques secondes. Le mec ne dit rien mais il fronce les sourcils. Il n’a vraiment pas l’air commode. Je le préférais quand il était endormi ! J’ai l’impression que le moindre faux mouvement me vaudrait un pain... Je sors après avoir changé sa perfusion et je souffle.

Deux jours plus tard, je rentre dans sa chambre et j’ai pour mission de prendre sa tension. Il se laisse faire. C’est mon dernier patient avant que je finisse mon service. Je suis apparemment pressé de partir car quand je lui enfile la manchette de l’appareil, il pousse un cri en disant :

- Hé, doucement !
- Pardon.

Je prends sa tension, cette fois plus doucement, puis j’enlève la manchette. Il semble aller mieux. Je note le résultat dans son dossier et je lui demande s’il peut bouger :

- Toujours pas !
- Ok...

Je saisis la bassine et le gant. Je m’apprête à le laver quand il me dit :

- Faites un peu moins brutalement que les autres fois, s’il-vous-plaît ! Votre collègue ce matin était pas aussi sauvage !
- Entendu !

Je commence par passer le gant sur son visage, puis sur son torse puissant. Je fais doucement, comme je l’ai fait les premiers soirs. Il semble apprécier car j’entends parfois des gémissements à peine audibles. Je passe à son ventre... et là, je vois son entre-jambe prendre du volume. Elle s’étend tel un anaconda sous le tissu de la chemise... avant de se dresser et de former un énorme chapiteau avec le vêtement. Je regarde ça, assez impressionné. Mais j’essaie de ne rien laisser paraître et je m’occupe de ses jambes. Le jeune homme finit par murmurer :

- Désolé.
- Pas grave, vous inquiétez pas, ça arrive souvent !
- C’est vrai ?
- Oui... Les patients ont souvent des gros besoins après tant de temps... Enfin, je veux dire qu’ils ont les cou... Hum ... comment dire ?
- Les couilles pleines ?
- Voilà, c’est ça !
- On les comprend !

Je finis de le laver les pieds puis, je fais mine de partir. Surpris, le mec demande :

- Vous avez fini ?
- Ben oui...
- Vous avez oublié un endroit !
- On verra ça demain, je pense !
- Ah...

Je sors vite de la chambre et je reprends mon souffle ! Putain ! Je commençais à bander ! Non... Mais était-ce une invitation à continuer !? Je secoue la tête et je rentre chez moi... avec la vision de cette tente à l’esprit : il a l’air d’avoir un énorme morceau ! Je me branle et je jouis rapidement. Putain ! Si j’avais osé... M’a-t-il fait des avances ?

Le lendemain, je bosse jusqu’à 22h. Vers 20h, je passe faire la toilette au beau gosse.

- Ça ne va toujours pas mieux ?
- Non.
- Bon, je vais vous laver alors.

Je commence comme la veille à nettoyer son visage puis son torse. Et sa bite gonfle de nouveau. Quand j’ai fini son corps ainsi que ses jambes, je fais mine de tout ranger.

- Et ma queue ?
- Vous êtes sûr ?
- Oui ! Faites-le !

Sur ce ton impérieux, je m’exécute. Je relève sa chemise et je me retrouve vraiment face à un énorme truc ! Sa queue fait bien 22 cm. Elle est grosse, épaisse telle la bite d’un acteur porno.

Je commence à passer le gant sur sa tige bien dure ! Et comme je le craignais, je me mets à bander. Je vois qu’il ferme les yeux et j’essaie de continuer en pensant à autre chose. Soudain, je sens une main m’attraper ma bite tendue ! Je regarde et je vois que le beau gosse triture ma queue qui est bien moulée par le tissu de mon pantalon vert. Je panique et je cours dans la salle de bains en criant :

- Désolé, je voulais pas...

Soudain, j’entends du bruit et quand je redresse la tête, je vois le patient debout, derrière moi qui me regarde avec envie... Il est nu et sa queue ne bande plus trop.

- Comment vous avez... ?
- Je vais bien depuis quelques jours... Mais j’adorais que tu t’occupes de moi ! J’avais trop envie de toi, mon petit. Maintenant couche-toi sur le sol, le cul en l’air bien cambré.

C’est comme un déjà-vu quand je le vois passer ses mains autour de mes hanches et que je sens son souffle chaud dans mon cou. Comme dans mes fantasmes ! Je veux résister à la tentation et je l’entends murmurer à l’oreille :

- Le dernier soir avant mon réveil officiel, j’étais déjà réveillé... et je t’ai observé ! Tu crois que j’ai pas remarqué comme tu me matais la queue... et que tu bandais en me lavant !

En disant ça, il plaque sa queue entre ma raie et je la sens prendre du volume... Je me mets à bouger mon cul de haut en bas, instinctivement. J’observe ce mec musclé, cet Apollon, dans le miroir. Il est vraiment magnifique. Je ne peux plus résister à son charme... et à son pieu qui se trouve dans mon sillon sur toute sa longueur. Le mec semble ronronner de plaisir.

Il baisse alors mon pantalon et il se met à malaxer mes fesses. Ses doigts passent furtivement sur mon trou avant de dire :

- Je veux entrer dedans !
- D’accord... mais d’abord...

Je me retourne furtivement et je m’agenouille. Je me retrouve devant son énorme morceau... dont je prends le gland en bouche. Il pose directement sa main sur ma nuque et il me fait aller et venir lentement sur sa teub. Je me retrouve avec la moitié de sa bite en bouche et je la suce tout en en branlant la base. Il se penche au-dessus de moi et il va triturer mon trou. Il y fait passer 2 doigts. « Doucement », ne cesse-t-il pas de répéter. Je ressors alors sa queue de ma bouche et ma langue passe tout le long de sa teub : il doit avoir plus de 2 semaines de sperme dans ses couilles. Il va sûrement juter rapidement... mais je ne veux pas que ce soit dans ma bouche !

Il finit par me faire me lever, il me colle contre son corps et il passe ses mains à mes fesses qu’il écarte. Il joue avec ma rosette et mon trou. Il me roule une pelle et il me fait mettre à quatre pattes par terre, le cul cambré, la tête contre le sol. Il enfonce lentement sa queue en moi. Je mouille tellement qu’il n’a pas besoin de lubrifiant. Ses 22 cm entrent dans mon anus lentement. Puis, il donne un coup de reins qui fait entrer la moitié de son morceau en moi : j’en ai le souffle coupé. Puis il reprend sa progression progressivement. Parfois, il recule pour s’enfoncer plus profondément.

Une fois enfoncé en moi, il plaque ses mains sur mes épaules. Il entame des petits va-et-vient en moi. Son cul se retrouve au-dessus du mien, il me domine de sa stature. Il commence à donner des coups de queue brutaux et sauvages. Il se met à me défoncer comme une pute ! Le plaisir m’envahit.

- Vas-y, baise-moi, hurlé-je.

Ça le fait accélérer ses mouvements de bassin et je me retrouve complètement écartelé et explosé par cette énorme bite ! Il me martèle le cul tel un marteau-piqueur. En à peine 2 minutes, il pousse un cri guttural, il s’enfonce dans mon trou avec un gros coup de bite et je sens sa queue me pomper son jus dans les entrailles qui se font mitrailler par ses giclées. Ce sont bien 12 jets qui me fouettent le fond du cul à une vitesse hallucinante, et ils sont si abondants que je sens mon anus gonfler sous toute cette semence. Quand il quitte mon trou, je sens un tsunami de sperme blanc et liquide sortir de mon anus. Je me redresse et je vois une mare sous mes fesses. Je me rhabille après avoir fait une toilette sommaire et avoir un peu nettoyé toutes ces « cochonneries » et je sors tandis que mon amant s’est recouché et qu’il me sourit avant que je disparaisse, de peur de me faire prendre en flag par des collègues...

Le lendemain, je rentre vers 17h pour m’occuper du patient. Le médecin m’a donné des médicaments à lui faire prendre. Une fois dans sa chambre, je vais à la table devant son lit et je les prépare. Soudain, j’entends la porte se fermer. J’ai à peine le temps de me retourner que je me retrouve enlacer par le patient. Il m’embrasse dans le cou puis il me demande :

- J’ai envie de toi.
- Tu es encore en manque ?
- Oui... surtout quand je vois ton petit cul se dandiner devant moi...

Il me caresse, il me dépose des baisers dans la nuque :

- Ta peau est si douce... Tu sens si bon...
- Je crois que c’est pas une bonne idée. Si quelqu’un entrait... Je pourrais perdre mon job ! Pas en pleine journée !

Il me saisit dans ses bras puissants et on se retrouve sur le lit, en cuillère. Je sens son entre-jambe bien gonflé. Il me prend dans ses bras après avoir libéré sa bite et m’avoir baissé le pantalon. Je m’abandonne à ses baisers et à ses caresses. Sa queue entre petit à petit dans mon trou. Quand il se retrouve au fond de moi, il se met à faire de petits mouvements de reins toujours en m’embrassant. J’adore la sensation de sa grosse queue qui me ramone et de ses grosses couilles qui touchent légèrement mon cul. Je vois alors que l’heure avance et je dis à regret :

- Arrête... Le docteur va pas tarder ...

Il me saisit alors dans ses bras. Je me retrouve sur le dos, plaqué contre son puissant corps, toujours empalé sur sa teub. Il me maintient les jambes en l’air. J’ai l’air fin comme ça, avec mon pantalon coincé aux chevilles. Il lève un peu mon cul dans les airs et il commence à donner de puissants coups de reins. Il me fait chevaucher sa queue. il m’enlace et il me fait monter et descendre dessus. J’essaie de réprimer mes gémissements, ce qui s’avère vraiment très difficile. Je suis partagé entre l’excitation et la peur qu’on se fasse gauler. Je sens sa grosse queue m’ouvrir en grand. Ses boules montent et descendent en rythme et elles me frappent le cul. Ses bras entourent mon ventre et ils me soulèvent toujours plus rapidement. Je me sens être un sex-toy entre ses bras puissants. Il met à peine 3 minutes avant de jouir. J’entends sa respiration accélérer. Je ne peux m’empêcher de murmurer :

- Oui remplis-moi ! Donne-moi ton jus !

Il donne alors un coup de bite puissant. Je me retrouve avec ses couilles plaquées contre mon périnée et je sens sa queue se mettre à pomper son jus telle une mitraillette dans le fond de mes entrailles. Ce sont 8 giclées qui me remplissent. Il reste quelques secondes sans bouger et dès qu’il me refait un peu coulisser sur sa bite, je sens son jus liquide sortir de mon cul pour dégouliner tel un torrent le long de sa queue et de ses boules avant de former une flaque sous son cul.

Il me repose sur le lit. J’ai le trou béant et suintant de sperme. Je me redresse, je me rhabille vite. Juste à temps ! Car le médecin entre une minute à peine après. Il commence à faire des examens et je sors. Je ne revois pas « mon » patient de la journée... mais je sens son sperme qui dégouline le long de mes jambes.

Le lendemain, je suis vraiment en chaleur... je deviens accro à ce mec et à sa teub. Je choisis bien mon moment, en sachant que les docs font leur pause et les autres s’occupent de distribuer les petits déjeuners. Je vais dans sa chambre et quand j’entre, je le trouve en chemise ... avec une autre personne dans sa chambre.

- Fabien, voici l’infirmier dont je t’ai parlé. Nico, c’est un copain.
- Enchanté.

Je lui serre la main et je le regarde : il a dans les 30 ans. Il a de cheveux courts et noirs, une barbe fournie. Il porte des boucles d’oreilles aux deux oreilles. Il est bronzé et il semble être assez musclé : son t-shirt laisse deviner de beaux pecs ainsi que des bras bien formés et recouverts de tatouages. Son short montre des jambes poilues.

Mon patient se précipite sur moi sans me laisser le temps de réagir et il m’embrasse... tandis que son pote se masse la queue à travers son pantalon. Je comprends tout ! Il a invité un de ses potes pour me défoncer aussi ! Ils me plaquent alors tous les deux sur le lit. Je me retrouve sur le ventre. Le dénommé Fabien enlève son t-shirt, il sort sa queue et il me la plante dans la bouche. Il a un corps assez musclé avec des pecs bien dessinés et des abdos qui commencent à être visibles. Son torse est recouvert d’un fin duvet. Un filet de poils traverse le milieu de son ventre et atterrit dans son pubis qui est recouvert de poils noirs drus et frisés. Il a une teub épaisse, marron foncée, de bien 18 cm.

Je me mets à la sucer pendant que mon patient caresse mes fesses. Finalement, il se penche dessus, il les écarte et il me fout sa langue dans mon anus. Il se met à me bouffer le cul et heureusement que la queue de son pote est dans ma bouche car il se débrouille si bien que je n’aurais pas pu m’empêcher de gémir fort. Ensuite, mon patient se place devant ma bouche et je suce sa grosse queue pendant que son pote me caresse les fesses. Je me sens comme une grosse salope... et ça me plaît !

Fabien pose sa main sur ma nuque pour diriger la suce de la bite de son pote. Il me la fait aller loin dans la gorge. Puis, il me lâche et il passe derrière moi. Il enfonce doucement sa bite en moi et il se met à faire des allers-retours. Il me baise sur la totalité de son membre, lentement. Mon patient prend ma tête dans ses mains et il donne des coups de reins pour enfoncer sa queue toujours plus loin dans ma gorge. J’apprécie particulièrement avoir mon nez dans ses poils de pubis ainsi que ses grosses couilles tapent lourdement mon menton.

Au bout de 5 minutes, les deux mecs changent de trou qui se retrouvent tous les deux bien occupés. J’adore ça ! Fabien me laisse sucer sa queue tout en fermant les yeux. Il savoure le traitement de ma bouche. Mon patient donne des coups de bite rapides, il me baise sur la totalité de sa queue qui m’ouvre à fond. Après 2 minutes, Fabien reprend la baise dans mon cul. Je gémis, j’adore l’idée d’être le vide-couilles de ces ceux magnifiques mecs. Fabien me défonce cette fois, ses mains agrippant mes épaules. Il se fait plaisir dans mon anus et ses cuisses rebondissent bruyamment contre mes fesses. Il me pilonne fort. Il tient à peine 2 minutes et il laisse sa place à son pote qui me baise de nouveau, cette fois plus lentement, avec de petits mouvements de hanches. Je sens ses grosses couilles plaquées contre mon périnée... Trop bon !

Ensuite, il me fait mettre sur le dos, le cul au bord du lit et il se met à me défoncer plus fort. Fabien prend la suite. Il est plus brutal. Sa queue sort presque entièrement de mon trou pour s’y réintroduire d’un coup. Mon patient m’enfonce sa teub dans ma bouche qu’il me baise. Puis, ils échangent de nouveau les rôles. Mon patient me demande :

- On a encore combien de temps devant nous ?
- Pas plus de 10 minutes, je pense, répondis-je.

Les deux mecs se font encore plaisir dans mon trou pendant quelques minutes. Fabien est le premier à jouir. Il me baise tout en jutant. Il éjacule 8 gros jets puissants qui me mitraillent le fond du cul. Il diminue la cadence avant que sa bite molle sorte de mon trou. Mon patient prend la suite et il me défonce tel un marteau-piqueur. Il semble apprécier baiser dans le jus de son pote. D’ailleurs, sa queue devient rapidement blanche. Mon corps ainsi que le lit tremblent sous ses coups de teubs. Il me pilonne jusqu’à ce qu’il finisse par se bloquer en moi et par gicler dans mon trou une dizaine de jets abondants qui vont s’ajouter à ceux de son pote. Quand il ressort, je sens de nouveau un tsunami jaillir hors de mon anus.

On commence à entendre du bruit dans les couloirs et on se rhabille vite fait.

Quelques minutes plus tard, le médecin arrive.
- Comment allez-vous ?
- Pas très bien. J’arrive à peine à bouger.
- C’est bizarre... Tous les examens ont l’air bons maintenant.
- Je ne sens pas mes bras...
- Bon, Nico, vous lui referez sa toilette. Je pense qu’il va falloir que vous restiez encore bien une semaine ici. Au minimum.

Le patient me regarde avec un sourire malicieux. Je crois que je vais souvent goûter à sa teub !

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