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Un été à la campagne

Salut à tous,

Moi, c’est Nico, j’ai 20 ans. Je suis mauvais à l’école. Les résultats du bac sont tombés le 4 juillet. J’ai raté pour la deuxième fois mon bac et donc je devrais en théorie le retenter. Mais mon père, excédé, en a eu marre et il m’a dit qu’il m’envoyait durant toutes les vacances d’été chez mon grand-père à la ferme pour « savoir ce que c’est de travailler dur ! »

Une semaine après l’annonce des résultats, je me retrouve chez mon grand-père. Il faut dire que je l’adore mais je suis super énervé de ne pas pouvoir passer ces 2 mois en ville à trainer avec mes copains. Le pire, c’est que chez lui il y a à peine du réseau. Il n’a pas non plus Internet, il n’a jamais appris à s’en servir.

Mon grand-père Jean a 70 ans. Il habite en Dordogne, dans un coin paumé, à presque 20 km de la ville la plus proche. Il vit dans une grande maison en pierre, seul, depuis que ma grand-mère nous a quittés il y a de cela presque 10 ans. Je suis certes content qu’il puisse avoir de la compagnie... mais je suis sûr que je vais me faire chier pendant 2 mois !

Quand mon père et moi arrivons, nous trouvons la maison vide. Mon père pense qu’il est aux champs. Ce-dernier se met à faire le repas et papi Jean arrive vers 13h30. Il est surpris de nous voir dans la maison... comme s’il avait oublié. Mais il nous fait la bise tout de suite, ravi.

- Ah, Daniel, tu as fait à manger !
- Oui, papa ! Je dois repartir dans 1h.
- Oh, tu veux pas rester ? Tu es toujours pressé.
- Oui, je travaille, papa ! Mais tu te rappelles que tu vas avoir de la compagnie pendant quelques semaines.
- Daniel ! Je ne suis pas encore sénile ! Bien sûr que je m’en rappelle.

Jean en profite pour sortir le vin et on se met à table. Après le café, mon père m’embrasse et il me murmure à l’oreille :

- Tu as intérêt à bosser ! Si j’apprends que tu fous rien, ça va chier dans les brancards !
- Oh c’est bon ! De toute facon, y a rien d’autre à faire ici !
- Et tant mieux !

Il se redresse et il sourit faussement. Il se dirige vers sa voiture après avoir embrassé son père. Il démarre en trombe. Je le vois s’éloigner, ébahi. J’avais vraiment espéré jusqu’à la dernière seconde qu’il change d’avis ou qu’il me dise qu’il bluffer. Jean me dit alors :

- Tu peux faire la vaisselle ? Je vais faire la sieste et après je vais soigner les vaches.
- D’accord. Mais je t’aiderai...
- Non, profite de cette journée pour prendre tes marques. A plus tard.

Je vais dans ma chambre. Le lit que je partage normalement avec mon frère est vide. Mais il est fait. Papi a pensé à moi. Je jette mon sac par terre et je soupire. Je m’assoupis très vite. Quand je me réveille, il doit être 17h. je regarde mon portable. Pas de réseau. Je soupire. Puis, je sors et je marche dans la propriété. Papi a une grande maison en plein pied en pierre avec un grand jardin. De l’autre côté de la petite rue, il y a sa grange. Il a des vaches et quelques chevaux. Mon grand-père a toujours été un cavalier passionné. Je me rappelle que, quand j’étais petit, je pouvais le regarder pendant des heures en train de faire ses tours de piste.

Soudain, une voiture freine à fond, me sortant de mes souvenirs, et s’arrête devant la grange. Un mec en descend. Il doit avoir dans les 40 ans et il est vraiment beau gosse. Jean descend de cheval et il vient le voir. Il fait les présentations :

- Éric, voici mon petit-fils Nico. Il va passer l’été ici. Nico, voici Éric, le mécano des alentours.
- Ah, c’est génial. Ça va te faire un peu de compagnie, dit Éric.

Éric me tend la main que je serre. J’ai l’impression qu’elle se fait broyer. J’admire ce beau mâle : il a les épaules larges, il est bien en chair et il me fait envie dans son bleu de travail. Finalement, Éric me tire de ma contemplation.

- Ça va, jeune homme ?
- Oui, pardon, je suis un peu fatigué.
- C’est dur, le métier de paysan, hein ?
- Euh... en fait, j’ai pas encore commencé...

Les deux hommes rigolent et Jean entraîne le mécanicien vers son tracteur. Il lui explique qu’il ne démarre plus. Le mécanicien regarde l’engin, il ouvre le moteur et au bout de quelques minutes, il dit qu’il va devoir commander des pièces.

- Je reviens dès que je les aie.
- Ok. On prend l’apéro ?
- Non, pas cette fois, je dois encore aller chez Dédé. A la prochaine ! Salut, Nico.
- Au revoir !

Jean et moi prenons alors l’apéro seul puis il va traire les vaches tandis que j’ai la tâche de préparer le repas du soir. Mais quand mon grand-père sort de la maison, je vais vite dans les toilettes et je me branle un bon coup en pensant à Éric. Quel beau mâle !

La soirée se passe bien et le soir, on regarde la télé... une émission nulle de variétés. Je vais me coucher tôt. Je n’arrive bien sûr pas à m’endormir. Je joue à un jeu sur mon téléphone. Puis je m’endors vers 23h.

Mon papi me réveille... à 5h ! Je suis complètement vanné ! Je l’aide à traire les vaches puis on les met dans les prés. Après ceci, on fait un tour dans les champs pour surveiller les récoltes à venir. On prend un petit tracteur de mon grand-père, un vieux. Au bout de quelques minutes, il me demande :

- Tu veux tenir le volant, comme quand t’étais petit !
- Oui !

J’essaie et je me rends vite compte que je n’ai pas perdu la main. Papi me félicite. Ce sont des moments très sympas qui me rappellent mon enfance. Après le déjeuner, on va faire une sieste, puis on sort des bottes de foin avec le tracteur. Quand on a fini, on saute du petit tracteur. Éric est là, en train de s’occuper du gros tracteur. Papi me dit :

- Va-lui prêter main forte, s’il-te-plait. Je dois aller soigner les vaches.
- D’accord.

Je vais vers Éric que je salue. Il me regarde, puis il me fait un signe de tête.

- Je suis là si vous avez besoin...
- Ok !

Il s’affaire et en même temps, il me pose des questions sur l’école et tout. Puis au bout d’un moment, il se lève et il sort de l’entrepôt. Je le suis, machinalement. Il s’approche d’un arbre. Sans réfléchir, je vais à côté de lui. Soudain, il défait sa braguette et il en sort sa queue. Il se met à pisser. Je suis sans voix... Sa bite est molle et elle est longue. Elle est imposante et elle a l’air d’être assez épaisse. Le gland assez gros est enfermé dans un long prépuce. Elle a l’air lourde.

Il m’observe et il me dit :

- Ben quoi ? T’as jamais vu une bite que la tienne ?
- Euh... Si.
- Ah ! Fais pas ta mijaurée ! On est entre hommes !

Je fais un signe de la tête et pour donner le change, j’ouvre ma braguette et je me mets aussi à pisser... sans quitter sa queue des yeux. Quelle massue ! Je n’arrête pas de la regarder. Éric pisse un gros jet et il étire son prépuce pour faire tomber les dernières gouttes. Il remballe son matos et il repart à ses activités.

Je suis complètement désorienté. J’observe alors Éric : il a 40 ans. Il a des cheveux noirs et épais et une barbe, elle aussi complètement noires. Il a quelques rides, une peau bronzée mais le travail à la campagne l’a bien conservé, il ne fait pas son âge. Il fait environ 1,85 m et il est corpulent. On voit qu’il a travaillé physique toute sa vie. Il a de grandes mains, des bras et des jambes musclées. Il a des épaules larges et il a un gros ventre dur et musclé qui est visible sous sa chemise bleue.

En fait, c’est vraiment l’image parfaite du genre de mecs que je kiffe. Je secoue alors la tête. Non ! Arrête, Nico ! Ne te fais pas d’idées ! Pas ici !

Après ceci, Éric s’en va, promettant à mon grand-père de revenir le lendemain pour continuer ses réparations qui se sont avérées jusqu’ici infructueuses. Le soir, dans mon lit, je me branle en passant à cette journée. J’ai sans arrêt le paquet et la queue du mécano en tête ! Putain d’hormones ! J’éjacule sur mon ventre et je m’endors ainsi.

Mon réveil sonne à 6h et je me lève. Je prends le petit déjeuner avec papi qui est encore en pyjama. Après avoir mangé, il va se doucher et moi je m’enferme dans les toilettes pour me branler. Je jute de gros jets. Ensuite, on s’habille et on va soigner les vaches et vers 10h, Éric arrive. Il me demande de l’aider à faire les réparations. Il passe sous le tracteur et je lui passe les outils dont il a besoin. Il est sous le dos et j’ai une belle vue sur ses jambes musclées et poilues ... ainsi que sur son paquet qui est lui aussi bien dessiné. Je secoue la tête et je regarde ailleurs. Le t-shirt du mécanicien est plein de cambouis... et sous ses aisselles, des auréoles de sueur apparaissent. Je devine aussi de longs poils noirs, drus et mouillés...

- Allô ! Nico !

Ses cris me sortent de mes rêveries !

- Tu dors ou quoi ?
- Pardon... j’étais ailleurs !
- Passe-moi le joint, là !

Je le lui tends et j’effleure ses grandes mains rugueuses. Je le regarde... Il me plait trop ! Puis, après 5 minutes, il se relève et il se penche au-dessus du tracteur ... Son pantalon descend un peu et j’ai une vue imprenable sur son magnifique cul : il est assez imposant et sa raie est poilue ! J’ai qu’une envie... c’est passer ma main dedans !

Je me retiens et il se redresse. On rejoint mon grand-père. Éric lui montre alors que le tracteur redémarre.

- Parfait ! Un petit apéro ?
- Ça serait pas de refus !

On va dans la maison de mon grand-père qui tend un chèque à Éric, puis il lui sert de la gnole... ainsi qu’à moi. Je préfère ne pas y toucher, de peur que tout dérape. Éric me demande alors si la vie à la ferme me plait, si Jean est gentil avec moi. Il me demande mon âge, etc. Il est sympa. Je réponds. Puis, il finit par demander :

- Et tu as une copine ?
- Ah oui, c’est vrai, je me suis toujours demandé, ajoute papi.
- Non, pas depuis 2 mois, dis-je, gêné.

J’ai eu un copain pendant 3 mois... mais personne ne l’a su... je n’ai pas fait encore mon coming-out. Éric reprend :

- T’inquiètes, tu es jeune, tu as le temps d’en trouver une ! Profite de ta jeunesse, dit-il en me faisant un clin d’œil.
- Oui.

Éric finit son verre cul-sec et il dit qu’il doit repartir. Jean fait alors la cuisine. Je l’aide. On passe à table et il apporte la casserole de soupe (il y a de la soupe à tous les repas chez lui !). Puis, il s’assoit et on mange. Je pense qu’il n’a rien remarqué. On va ensuite faire la sieste. Je n’arrive pas à dormir donc je me mets à jouer sur mon portable. Après la sieste, Papi se lève et on part sur son tracteur... qui ne redémarre pas.

- Tu peux aller chez Éric et lui demander de venir ? Il habite à l’autre bout du village. Prends la voiture si tu veux ! Je dois encore faire des trucs dans l’étable.
- Ok.

Je prends la voiture et je me rends chez Éric. Son garage a l’air fermé. Je vois la porte de sa maison ouverte donc je me dis qu’il doit être chez lui. Je frappe. Pas de réponse. Je m’engouffre dans la maison... et je cherche les toilettes car j’ai une envie pressante. Tel un voleur, je me faufile dedans et je pisse. Soudain, j’entends un bruit étrange. Je tends l’oreille : ce sont bien des gémissements. Je sors des toilettes et je me dirige vers les bruits. Ils proviennent de la salle de bains. Je m’approche sur la pointe des pieds et j’entends des gémissements. Je regarde discrètement par la porte entrouverte et je vois Éric, assis dans une baignoire, les yeux fermés, nu. Il est en train de se branler ! La vision du mécano en train de se masturber me laisse sans voix. Je sens ma propre bite bouger dans mon pantalon. Je me dresse sur la pointe des pieds afin de voir sa grosse bite ! Elle est immense !

Éric est en effet dodu, avec de gros seins et un ventre bien rond. Ses bras et ses jambes sont poilues, ses aisselles sont une vraie forêt vierge. Son corps est entièrement recouvert d’une épaisse toison noire. Elle démarre dans son cou et descend jusque dans son pantalon. Son pubis est aussi poilu. Il a une super grosse queue de 22 cm. Elle est marron et veinée. Sa main arrive à peine à en faire le tour. Il a des très grosses couilles de taureau, pleines, bien grosses, lourdes, velues, marron. Je regarde ce spectacle avec envie. Je bande à fond mais je n’ose pas sortir ma queue de peur qu’il m’entende.

Les gémissements du mécano s’accélèrent, sa main branle sa queue de plus en plus vite et d’un coup, il éjacule. Le premier jet explose et va se loger derrière lui, hors de la baignoire. Les suivants tombent sur son corps, dans sa barbe et dans ses cheveux. Ce sont 8 jets puissants et liquides. Il murmure un « merde », du fait qu’un jet soit allé se perdre sur le carrelage. Je me retire discrètement, je me précipite dans ma voiture et je démarre en trombe. Je rentre en vitesse dans la salle de bains. Je ferme discrètement la porte et je me branle. J’éjacule dans le lavabo de grosses giclées.

Le reste de l‘après-midi se passe sans problème. Le soir, Papi va se coucher tôt et moi, je me branle bien 3 fois en repensant à Éric.

Le lendemain, Éric arrive et il s’occupe du tracteur. Puis, il va chercher une dépanneuse pour emmener le tracteur jusqu’à son garage. Il me dit de monter avec lui car il va sûrement avoir besoin de mon aide. Je me retrouve assis à côté de lui dans sa dépanneuse. On parle pendant qu’Éric conduit lentement. Je mate discrètement le mécano quand mon regard se retrouve attiré par sa salopette. Elle est remontée bizarrement de telle sorte qu’elle moule à merveille le paquet qu’il a entre les jambes. Je reste alors sans voix ! Quel matos impressionnant ! Parfois, il passe sa main dessus pour essayer de remettre en place son paquet ... et je me remémore les événements de la veille quand il s’est branlé dans sa baignoire. Je me sens bizarre.

On arrive à son garage et il se met immédiatement en regarder en détail le moteur. Il touche un truc et soudain, je vois une flaque d’huile couler sous le tracteur.

- Eh merde ! Je dois aller voir en dessous. Je vais chercher mes outils.

Il revient avec ses outils, il déploie une bâche sur la tache d’huile et il disparait sous le tracteur. Éric me dit de quels outils il a besoin et je les lui passe. Je peux alors admirer son gros ventre sans être dérangé. Le mec me fait vraiment de l’effet. Je sens ma queue tressaillir. J’ai aussi une vue directe sur son entre-jambe... Putain ! Le tissu moule sa bite ! Il a vraiment un gros paquet. Il est bombé, il forme une boule assez impressionnante. Je me rappelle alors ses grosses couilles et de sa massue de bonne taille. Plus il va profondément sous le tracteur, plus il tire sur le tissu qui moule merveilleusement bien son ventre et son matos. Je vois sa queue être comprimée par le pantalon et je devine les contours de sa bite ! Ma teub se dresse immédiatement !

- Nico, tu m’écoutes ? J’ai besoin d’une clé de 24 !

Je me précipite sur les clés et je lui tends la bonne. Je dois m’agenouiller devant lui pour la lui passer. Je mate, comme si j’étais hypnotisé, son paquet qui est à quelques centimètres de mes yeux.

- Tu peux l’ouvrir si tu veux, si elle te fait envie.

Surpris, je détourne le regard en rougissant.

- Me dis pas que t’en as pas envie ! Regarde ton short.

Je regarde mon entre-jambe qui est déformée par une splendide érection.

- Tu sais que je t’ai vu hier à m’espionner quand je me branlais dans mon bain ?

Je ne sais vraiment plus où me mettre.

- Si tu as envie, on va chez moi.
- Je sais pas.
- Comme tu veux.

En hésitant, j’approche alors ma main qui se retrouve attirée par son paquet. Je me mets à le toucher. Je sens que sa queue gonfle. Il se relève et il me dit :

- Tu peux me suivre, si tu veux.

Je le suis et on entre dans sa maison. Il ouvre son frigo et il prend une bière. Il me tend aussi une bouteille :

- Tiens, tu l’as bien méritée !

On s’assoit sur son canapé et on boit. Je ne sais pas quoi dire. Je regarde sans arrêt son morceau. Je suis sûr qu’il bande. Ça se voit ! J’approche alors ma main... et j’ouvre sa fermeture éclair. J’en sors une teub de bien 22 cm dont ma main n’arrive pas à en faire le tour.

- Tu peux la sucer si tu veux.

Je me mets alors à genoux entre ses jambes et je saisis son morceau. Et très vite, je me mets à titiller le gland. Sa bite durcit. Mes doigts se mettent à caresser ses boules. Je l’entends soupirer de plaisir. Je passe ma langue sur sa bite de bas en haut et ça lui fait de l’effet. La queue bande maintenant à fond. En effet, elle est bien grosse, veinée.

Je la soulève un peu pour bien l’admirer... et je ne peux m’empêcher de l’enfoncer dans ma bouche. Je commence alors à la sucer délicatement. Puis, j’accélère le rythme. Je ressors sa queue et à l’aide de ma langue, je lèche sa grosse queue ainsi que ses boules. Puis, j’enfonce la moitié de sa bite dans ma bouche (je ne peux pas en prendre plus) et je le suce tandis qu’il gémit doucement. Je mets autour de sa grosse bite ma main qui n’arrive pas à en faire le tour. Je commence à le sucer avec envie. Il ne fait rien, il ne dit rien, il profite silencieusement de ces instants de plaisir. A un moment, il passe sa main sur ma tête qu’il caresse. Puis, je repasse à ses couilles énormes que je soupèse. Elles sont bien lourdes, poilues ! Il a des boules de taureau. J’en hume le parfum, je les lèche. Puis, je reprends sa queue bien dure et bien chaude dans ma bouche.

10 minutes plus tard, je sens sa queue se tendre et là, c’est l’inondation : je reçois de nombreux jets dans ma bouche. Ils sont puissants et chauds. J’essaie de tout avaler mais ils sont si abondants que le sperme coule le long de mes lèvres et de sa bite. Quand sa queue arrête de tressauter, je repose délicatement sa bite sur son ventre.

Je me relève et je me dirige vers la sortie. Éric me demande alors :

- Tu vas où ?
- Bon... tu... vous avez joui, non ?
- Viens par-là !

Je vais vers lui et il me fait alors descendre mon pantalon sur mes chevilles. Il s’empare de ma bite et il se met à la sucer. Il me saisit par les hanches et il me soulève telle une brindille... et tel un sac, il me porte sur son épaule tout en me suçant. Puis, il me dépose sur son lit et il me met tête-bêche. Je vois alors que sa queue bande toujours. Je l’enfonce dans ma bouche et on fait un 69. Putain, il fait ça trop bien. Il me fait de bonnes gorges profondes. Sa langue joue avec mon gland pendant qu’il me suce sans les mains. Je me retrouve avec sa queue dans ma gorge et ses couilles sur mon visage. Il se met à donner des coups de reins et je prends sa queue au fond de ma bouche tandis qu’il me suce. Mon menton s’enfonce dans son ventre poilu que j’adore. On se suce ainsi pendant de longues minutes.

Puis, Éric me met une tape sur le cul et il me dit de me mettre à quatre pattes. Il se positionne derrière moi et il écarte mes fesses. Il me fait alors un anulingus de dingue. Il me bouffe le cul à fond. Sa barbe me caresse ma rosette ! Je gémis comme jamais. Je ressens son désir bestial pour moi et mon anus. Il finit par dire :

- J’ai trop envie de ton cul !
- Vas-y, baise-moi !

Il se redresse et il tape son gland contre mon anus. Ensuite, il y enfonce son gland et ... centimètre par centimètre, sa matraque suit… Il doit s’y reprendre à plusieurs fois car j’ai du mal à prendre sa grosse queue. Je ne peux m’empêcher de m’écrier :

- Putain ! Elle est si grosse.

Il continue sa lente progression. Mais, finalement, ses 22 cm se retrouvent entièrement en moi et il se met à me faire doucement l’amour. Je ressens déjà moins de douleur… que de plaisir. Il me prend dans ses bras, il m’embrasse le dos tout en accélérant ses coups de queue qui sont amples et sensuels. Je sens son gros ventre caresser mon dos ainsi que ses grosses boules qui se balancent d’avant en arrière pour me taper le cul. Je sens mon anus complètement empli par son énorme bite.

Ses coups de reins deviennent toujours plus rapides, profonds et puissants. Ses couilles me fouettent le cul. Je n’en peux plus et je crie :

- Oui, Éric ! Vas-y, défonce-moi !

Le mécano est endurant ! Il me baise pendant de longues et délicieuses minutes. Parfois, il fait sortir entièrement sa teub avant de la replanter complétement en moi, sur toute sa longueur. C’est tout simplement un étalon puissant qui me pilonne tel une bête en rut. Je sens bien sa bite m’ouvrir en grand l’anus. Je ressens son envie pour moi et pour mon cul…

Ses mains agrippent mes hanches et il me démonte à fond. Je me sens comme une de ses juments qu’il agrippe et traite. Je sens alors sa bite se durcir, son gland grossir. Il me semble en sentir chaque pulsation … Et dans un coup de rein, il m’ensemence comme une de ses juments en gueulant fort. Je sens son jus chaud me tapisser les entrailles avec de forts jets. Ses grosses couilles déversent une quantité impressionnante de sperme dans mon anus.

Une fois l’orgasme passé, il se couche dans mon dos. Je sens son corps et son ventre chauds contre moi. Il tasse un peu son jus qui coule lentement le long de mes couilles. Sa bite quitte mon anus d’où son sperme dégouline tel un torrent. Il me passe sa main sur ma joue et il m’attire vers lui pour me rouler une pelle. Puis, il se pose sur le lit, le cul en l’air.

- Vas-y, marque-moi !

Éric se pose sur le lit sur le dos et il lève ses jambes. Je saisis sa queue que je branle. J’admire son magnifique corps, sa grosse bite, ses énormes boules… et mes yeux arrivent sur son cul large et bien poilu. Il voit que je mate ses fesses… sous lesquelles il positionne un coussin. Il les écarte et j’ai une magnifique vue sur son anus. Mes doigts se dirigent vers son cul…et y entrent. Son trou est bien ouvert. De l’autre main, je saisis sa bite et je la mets en bouche. Je le suce tandis que mon index est enfoncé en lui. Son trou est chaud. Je triture un peu sa prostate et il se met à gémir comme il faut. Ses grosses couilles pendent devant son trou… et soudain, ma langue plonge dans son anus. Elle s’y enfonce et y tournoie. J’humidifie bien son trou.

Je vois son trou humide et ouvert… ma queue tendue… et je perds le contrôle ! Ne pouvant résister plus longtemps, j’enfonce mon gland dans son anus. Puis, je pousse lentement ma queue entièrement en lui, sans capote. Arrivé au fond de son cul, je me penche sur son ventre et ne pouvant plus résister, je lui roule une grosse pelle. Je commence à coulisser lentement puis plus rapidement.

Puis, je m’enfonce dans le cul de mon mécano et je me mets aussi à le défoncer à fond. Je ne retiens pas mes coups, je veux l’inséminer telle une vache. Je me fais plaisir en lui. Je jouis au bout de 2 minutes. Je sens ma queue se contracter et pomper mon jus dans son anus. Je m’effondre alors sur son gros ventre que je serre très fort et je savoure l’instant présent. Il murmure alors :

- Putain ! C’était trop bon !
- Oui, c’était génial !

Ma bite quitte sa chatte et je vois mon sperme dégouliner tel un torrent. Je vais me blottir dans ses bras et on se câline pendant de longues minutes.

Je me redresse et il me dit qu’il doit continuer le boulot car il ne veut pas que mon grand-père se doute de quoique ce soit. Éric me prend par la main et on sort. Je le regarde travailler. On parle de tout et de rien quand dans la conversation, il m’apprend qu’il a un fils. Je ressens quand même une gêne. Je finis par demander :

- Tu es marié ?
- Je l’ai été. Je suis divorcé depuis 8 ans.
- Ah ok. Tu fais tout ça en secret.
- Tu sais, Nico, il y a 20 ou 30 ans, c’était pas facile d’être homo, surtout à la campagne. J’ai eu mon fils alors que j’avais 16 ans. J’étais fils de paysan. Dans la famille, on ne parlait pas de sexe, c’était tabou. J’étais ado... les hormones, tu sais... J’ai eu envie de baiser... Je voulais tirer un coup... et on a fait l’amour... comme des couillons, sans capote. Elle est tombée enceinte et on a dû se marier très vite, sous la pression de ses parents. Ils ne voulaient pas que leur fille ait en enfant en dehors du mariage. J’ai eu une belle vie avec elle... mais sans vraiment être amoureux... et sans faire l’amour souvent. Très vite, elle ne m’a plus attiré. Mais je suis resté avec elle car je me sentais obligé. Je devais payer pour mes erreurs de jeunesse. Et entre la première fois avec elle et le mariage, j’ai eu une aventure homosexuelle. C’était avec un garçon de mon âge, après le cours de catéchisme. Je m’en rappelle comme si c’était hier. En revenant de l’église, on s’est arrêté pisser dans les bois et on a comparé nos bites... il a vite bandé et on s’est branlé. Il m’a demandé de prendre sa bite en bouche... ce que j’ai fait et j’ai avalé son sperme. Et malgré le mariage et mon attirance pour les femmes (j’ai eu quelques aventures extra-conjugales), j’ai toujours repensé à cet épisode... et j’ai toujours eu envie d’aller plus loin avec des hommes. Un jour, j’ai été surpris par le fils du boucher en train de me branler devant un porno gay. De but en blanc, il m’a demandé si je voulais aussi le sucer. J’ai dit oui sur le champ... et depuis, en secret, on couche ensemble. Mais, j’en ai eu marre de vivre dans le mensonge et j’ai demandé le divorce.
- Quelle histoire !
- Et toi ? Tu as gay ?
- Oui... mais personne ne le sait.
- Prends ton temps. Mais je t’envie, tu sais. C’est plus facile à notre époque... Je pense. Bon allez, on y va sinon ton grand-père va se poser des questions !
- Il sait que tu aimes les mecs ?
- Je pense que tout le village le sait depuis un moment. Mais ça reste de l’ordre du non-dit.

On grimpe sur le tracteur qui redémarre. Au moment de sortir du garage, il me dépose un baiser furtif sur les lèvres en disant :

- Ma petite pouliche... c’était super !

On rentre chez mon grand-père avec le tracteur. Il est super content qu’il soit réparé. Il demande ensuite à Éric :

- Tu restes ce soir manger ? On fait un barbecue ?
- Avec plaisir !

Pendant le repas, Éric me lance des clins d’œil. Putain ! Le mec est trop chaud ! Et je me dis finalement que les prochaines semaines vont être plus intéressantes que je le pensais au début…

Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).

Meetmemz

meetmemz@yahoo.de

TOP AUTEUR 2022 + 2023 MEETMEMZ

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