Je suis chez moi, dans mon appart, avec mon copain, David. Je suis sur le canapé et je suis en train de regarder une série sur Netflix. David sort de la douche. Il passe nu devant moi, je regarde sa queue qui pend entre ses jambes et qui se balance de droite à gauche. Il a vraiment un beau morceau. Mais, je me reconcentre su ma série. Soudain, mon portable sonne. Je regarde message, je l’ouvre et je souris bêtement. Mon copain, curieux, me demande : - Qui est-ce ? - C’est personne, t’inquiète ?
David fronce les sourcils.
- Ne me dis pas que c’est rien, je t’ai vu sourire. Me raconte pas de conneries ! - Mais c’est rien ! - Donne-moi ton portable ! - Mais pourquoi ? - Donne ! - Putain ! Mais tu me fais pas confiance, c’est ça ?! Allez, on arrête, on va manger maintenant !
J’éteins ma série et je pars en direction de la cuisine. Mon copain fronce les sourcils. On se met à préparer le repas et, malgré mes efforts pour détendre l’atmosphère, David reste toujours assez tendu, le visage sombre, sans rien dire. Au bout de 10 Min, il se précipite sur mon portable et il ouvre (il connaît mon code, je n’ai pas de secrets pour lui). Il découvre alors le message.
- Putain ! Mais qui est Sandro ? - Tu peux pas me foutre la paix ? Ou mieux... me faire confiance ? - Qui es- ce ? C’est ton amant ? - Mais pas du tout ! C’est mon coiffeur ! - Et pourquoi il t’envoie des messages ? - Lis ce qu'il a écrit ! Allez, maintenant, tant que tu y es !
David ouvre le message et le lit. Je prends les devants et je dis :
- Il confirme le rendez-vous de demain. Je l’ai appelé pour savoir s’il pouvait me prendre parce que je n’en peux plus de mes cheveux. Il m’a dit qu’il me recontacterait s’il avait un créneau, si quelqu’un se désistait et apparemment quelqu’un s’est désisté. - Je te crois pas, appelle-le ! - Quoi, mais tu es fou ! - Appelle !, crie David.
Il me montre le portable. Il ouvre alors mes contacts, il trouve le nom de mon coiffeur, il appuie sur la touche et il l’appelle. Je le regarde, énervé. Ça sonne. Et on décroche. Vaincu, je prends la parole :
- Oui... Allô, c’est Nico Parlet. Vous allez bien ? - Oui, merci, et vous ? - Oui, oui, très bien. - Il y a un problème ? - Non, non, pas du tout ! Donc pour demain, c’est bon pour 15h, c’est ça ? - Oui, c’est ça. Ça vous va toujours ? - Oui, parfait. Donc à demain. - Merci à demain, au revoir. - Voilà, t’es content, t’es rassuré maintenant?, demandé-je à David après avoir raccroché. - Oui, OK, désolé bébé. - Bon, on peut finir de faire manger maintenant et passer une soirée agréable sans reparler de ce message ? - Non, c’est bon. - Putain ! T’es vraiment jaloux, hein ? Depuis le temps tu me connais, tu me fais toujours pas confiance, c'est vraiment triste. - Je suis désolé, chéri. Pardon, ça se reproduira pas. - Je l'espère !
On finit de préparer le dîner en silence et on se on passe à table. Après le repas et un film, on va se coucher. Dans le lit, quand David se met à me caresser mon entre-jambe, je retire sa main, énervé, et je lui dis que je n’ai pas envie ce soir. Je me retourne et je m’endors.
Le lendemain, je vais au boulot. Je sors vers 14h30 et je me rends chez mon coiffeur. Quand j’entre, le coiffeur, Sandro, est en train de couper les cheveux d’un client. Je dis bonjour en entrant. Sandro me lance en regard et il me lance :
- Bonjour, asseyez-vous. Je suis à vous dans 5 minutes.
Je m’assois et je prends mon téléphone. Je surfe pendant que je jette quelques coups d’œil au client qui se fait coiffer. Il a 20 ou 25 ans. C’est un rebeu. Il a une petite moustache. Il se fait raser les cheveux sur les côtés et ceux du dessus restent bien longs. Il a l’air assez grand. Il a un petit air efféminé. Il porte une boucle d’oreille.
Je trouve ce client très sexy. Il a du charme et il est vraiment mon type de mec. Il me lance parfois des regards à travers le miroir. Il me sourit même à un moment. Je détourne timidement le regard et je me concentre sur mon téléphone ... sans pour autant pouvoir fixer mon attention. Je relève la tête et j’observe le mec.
Quand il a fini, le client se lève, satisfait. Il passe devant moi en me souriant et il paie. Sandro n’attend pas qu’il range ses affaires et il vient vers moi. Il me serre la main et il me fait assoir après que j’ai passé un peignoir. Il commence :
- Vous allez bien ? - Oui très bien merci et vous ? - Oui. Je suis tout seul aujourd’hui. Mon apprenti est en cours. - Ça se passe bien avec lui ? - Oh, vous savez, ce n’est pas facile tous les jours, je dois dire. Il a un poil dans la main. - Au revoir, lance le client précèdent.
Je le regarde s’éloigner, ouvrir puis fermer la porte. Il est parti... Je soupire. Sandro lui lance :
- Au revoir, à très bientôt.
Puis il reprend notre conversation :
- Alors, on coupe les cheveux comment aujourd’hui ? - On raccourcit tout. Plus court sur les côtés que sur le dessus. - Ça marche.
Le coiffeur prend la tondeuse et il se met à couper mes cheveux sur les côtés. J’observe Sandro : il a 35 ans, il est typé espagnol. Il a des cheveux courts et noirs et une barbe bien taillée. Il est de taille moyenne. Il porte un polo noir et un jean bleu. Son polo laisse entrevoir de beaux bras musclés. Puis, mon regard tombe alors sur son paquet qui a l’air bien volumineux. Sa queue semble compresser par le tissu de son pantalon. J’ai l’impression de deviner son gland. Son paquet est en effet bombé, il forme une boule assez impressionnante. Il laisse supposer aussi de grosses couilles sur lesquelles sa queue de bonne taille doit reposer.
Sandro me tire de mes observations en parlant :
- Et sinon, tout se passe bien au boulot depuis la dernière fois ? - Oui, tout est calme en ce moment.
Pendant que je lui explique, le coiffeur passe derrière et il continue son travail. Je sens son paquet contre mon épaule. Il la frôle d’abord, puis mon épaule s‘enfonce dans son entrejambe. Je ferme les yeux et je m‘imagine son morceau mou se déformer contre mon pantalon. Une bite molle et longue.
Au bout de 5 minutes, il prend ses ciseaux et il me coupe le dessus de la tête. Son paquet se pose de nouveau contre mon épaule. Je sens ma queue frétiller dans mon caleçon. Sandro passe ensuite sur le côté et je me retrouve avec son matos devant les yeux. Il semble d’ailleurs un peu plus volumineux. Ma teub se dresse d’un coup.
5 minutes plus tard, le coiffeur pose ses ciseaux, il prend une glace et il me demande :
- Vous êtes satisfait ? - Oui, parfait, merci.
Il pose la glace et son regard s’attarde sur mon pantalon. Il me glisse alors à l’oreille :
- Je devine une grosse envie aujourd’hui… - Oui…
Je le regarde dans les yeux… tandis ma main se pose sur son entrejambe… qui est aussi plus volumineuse.
- Je devine aussi ici une grosse envie. - J’ai toujours envie de toi, Nico…
Le coiffeur se penche au-dessus de moi et il me roule une grosse pelle. Puis, il se redresse et il murmure :
- Viens dans l’arrière-boutique. - Oui, mon petit coiffeur.
Il l’enlève le peignoir, il me prend la main et on se dirige vers une porte. Il l’ouvre, la referme et je me jette sur lui. On s’embrasse passionnément et ma main défait sa ceinture. Sa teub en sort.
- Putain, elle m’a trop manqué. - C’est toi qui m’as trop manqué.
Il me serre fort contre lui tout en m’embrassant. On se roule des pelles sauvages, nos mains sont comme folles, elles explorent intensivement le corps de l’autre, elles enlèvent les habits de l’autre. On finit par se retrouver nus.
Sandro a un corps bronzé et musclé, avec de beaux pecs et des abdos de malade. Son torse est recouvert d’une fine toison de poils, ainsi que le milieu de son ventre. Son pubis est velu. Il a une bite épaisse de 18 cm, marron foncé, avec un gros gland rosâtre. Il a de grosses boules rasées.
Sandro me malaxe les fesses. Moi, je sens sa queue contre moi. Je veux me baisser pour le sucer mais il me devance. Il se met à genoux et il prend ma bite en bouche. Il suce mes 17 cm de haut en bas, lentement, tout en me massant les fesses ou les couilles. Il fait ça trop bien. Sa langue lèche aussi mon gland. Il se débrouille vraiment bien, je gémis fort. Ensuite, il se relève et on s’embrasse de nouveau de façon très torride. Ce faisant, il me masse les fesses et un doigt vient titiller mon anus. Mes lèvres se détachent des siennes et parcourent son corps parfait jusqu’à ce que j’arrive devant sa bite. Je la prends en bouche et je la suce sur toute sa longueur. Je lui fais aussi des gorges profondes tandis qu’il me caresse la tête. Je masse ses boules pendant que je le suce à fond.
Je remonte au bout de 2 minutes et on s’embrasse de nouveau. Puis, il me fait retourner contre une table et il lèche ma rosette, tel un chat qui boit son lait. Puis, il enfonce sa langue dans mon anus. Elle tournoie en moi et elle mouille bien mon intérieur. Il me malaxe aussi les fesses, montrant son envie pour mon trou. Je gémis fort. Parfois, il ressort, il crache sur mon anus, il joue avec sa bave à l’aide de son doigt, avant de reprendre le bouffage de mon cul pendant bien 4 minutes.
Ensuite, il se redresse. Moi, je cambre bien mes fesses, telle une bonne jument qui attend de se faire démonter par son étalon. Sandro enfonce sa teub en moi, lentement mais en une fois. Sa queue m’ouvre bien et je gémis quand je le sens au fond de moi. Il pose ses mains sur mes hanches et il se met à me donner de petits coups de bite. Il se penche sur moi, il me fait tourner la tête et il m’embrasse. Puis, il se redresse, ses mains toujours sur mes hanches, et il se met à me baiser sur toute la longueur de sa queue. A un moment, il pose un pied sur la table et je ressens encore mieux son gland qui m’ouvre et qui me percute le fond du cul. Il me pilonne bien, ses couilles me frappant le périnée. Et dans un cri bestial, il jouit en moi. Il gicle des jets puissants de sperme qui me mitraillent le fond du cul, tel un geyser. Je dirais qu’il éjacule une dizaine de giclées en moi. Il s’effondre sur mon dos tout en m’enlaçant. Il dépose des baisers sur ma peau. Puis il se redresse. Il me prend dans ses bras et il m’embrasse, sa bite toujours en moi. Puis, il donne quelques coups de reins. Il tasse son jus qui se met à dégouliner sous moi. Je sens sa queue encore dure. Et il redonne des coups de reins. Il continue de me baiser.
- Vas-y, mon étalon, défonce-moi !
Sandro me sourit et il me pilonne de plus belle. Il me détruit le cul. J’adore ça. J’entends son jus tomber bruyamment par terre, après avoir dégouliné le long de mon périnée et de mes couilles. Il se fait plaisir en moi et il me fait du bien. Son gland continue de me taper contre la prostate. Je sens que je jouis presque... quand il pousse un cri de nouveau et il m’ensemence une deuxième fois. Je sens 8 jets puissants qui frappent le fond de mes entrailles. Il tasse un peu son jus et il se penche sur moi pour m’embrasser.
Il sort de mon anus et il m’attire vers lui. On s’assoit sur le canapé. Il me prend contre lui et je savoure ses bras qui me serrent fort contre lui. On reprend nos baisers et on profite de cet instant d’intimité. Au bout de 10 minutes, je vois que sa queue prend un peu de volume. Je lui roule alors une pelle tout en la prenant en main. Je la branle doucement et elle se redresse de nouveau. Sandro me fait alors venir vers lui et j’enjambe son corps. Je saisis sa bite et je m’empale dessus.
Je me mets immédiatement à monter et descendre sur son morceau tendu. On se regarde dans les yeux. Je me penche de temps en temps pour lui rouler des pelles bien sauvages avant de recommencer ma chevauchée. J’adopte un rythme rapide. Mes fesses rebondissent sur son bassin et contre ses boules. Je sens le sperme qu’il m’a déjà inséminé dégouliner hors de mon trou pour passer le long de ses boules avant de dégouliner sur le canapé ou par terre. Sa bite entre et sort de moi en faisant un bruit bien mouillé. Je me baise ainsi pendant 5 minutes, jusqu’à ce que je voie son visage se crisper. Je sens alors son gland gonfler et m’envoyer sa semence dans mon trou. Ce sont 5 jets qui me remplissent bien.
On reste bien un quart d’heure à s’embrasser quand il me fait aller faire sa bite qui est à moitié molle. Je la suce et elle se redresse de nouveau. Sandro me fait alors m’assoir sur le canapé, il me fait lever mes jambes et il introduit sa bite en moi. Il me fait l’amour tendrement. Puis, il ressort sa bite entièrement avant de la renfoncer sur tout son long. Il répète l’opération plusieurs fois avant de me pilonner à fond. Il saisit aussi ma queue tendue qu’il branle.
Je me fais vraiment défoncer à fond. Il se penche sur moi, il m’embrasse et il reprend ses coups de bite sauvages. Il a besoin d’à peine 5 minutes avant de me remplir une quatrième fois. Je ressens 3 jets qui viennent s’ajouter aux précédents. Il reste en moi pendant qu’il me branle. Sa queue à moitié molle me fait encore beaucoup d’effet. J’éjacule au bout de 2 minutes sur mon ventre : ce sont 8 giclées dont 2 qui viennent fouetter mon torse. Quand il se retire, je soupire :
- C’était vraiment trop bon ! - Oui ! C’était génial !
Je suis vidé. Je n’en peux plus. Je vais me doucher dans une petite cabine qu’il a au fond de son arrière-boutique. On se rhabille et on se prend dans les bras pendant un long moment. Je l’embrasse et on repasse dans son salon qui est encore vide. Je lui lâche la main et je lui dis :
- A bientôt, mon merveilleux étalon ! - A bientôt, ma jument, dit-il en me lançant un clin d’œil. Au fait, c’était quoi ton appel hier soir ? - C’est mon copain qui était méfiant et qui pensait que tu étais un de mes amants.
Sandro m’attire vers lui et il me roule une pelle.
- Je suis pas un de tes amants ? - Non, tu es MON amant. - Il se doute de quelque chose ? - Non, de rien du tout. Tu as joué ton rôle à merveille.
On se sépare et quelques secondes plus tard entre le prochain client. Sandro s’exclame :
- Au revoir, M. Parlet, à la prochaine fois. - A très bientôt. Merci. Au revoir.
Je sors, ravi. Sandro est mon amant depuis 4 ans, un amant exceptionnel qui m’envoie au septième ciel à chaque fois que je le vois. Je ne lui rends pas aussi souvent visite que je le voudrais mais on a mis en place un très bon système pour ne pas se faire prendre, lui par sa meuf et moi par mon mec. Je retourne à mon travail et je me réjouis déjà, rien qu’à l’idée de la prochaine fois que je lui rendrai visite. Cet amant qui m’a déjà ensemencé 8 fois en un après-midi et qui me fait un peu oublier le sexe passable que j’ai chez moi...
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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