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Prof pris en flag

Salut à tous,

Moi, c’est Nico, 37 ans, blond, les yeux bleus, j’ai un corps un peu enrobé et un peu poilu ainsi qu’une bonne teub de 17 cm.

Aujourd’hui, ce sont les vacances de Toussaint. Le début de l’année scolaire a été assez éprouvante et je suis content d’avoir enfin un peu de repos... même si des tas de copies à corriger m’attendent. Je suis prof de français dans un lycée de Rennes.

Je profite de la première semaine pour ne rien faire. Je passe mes journées à regarder des films, à sortir avec des copains... et à draguer sur le web pour faire quelques plans cul. Le samedi soir, mon pote Thomas organise une fête pour son anniversaire. Il a invité une dizaine de ses potes, tous gays. On va d’abord au restaurant. Puis, on fait la tournée des bars « Rue de la Soif ». Et finalement, vers minuit, nous nous mettons en route pour le B., une boîte gay. Je ne fréquente pas vraiment ce genre d’endroits... mais pour faire plaisir à mon pote, je m’y rends.

L’ambiance est très sympa. Thomas commande des shots de vodka, on se la met minable. Avec la tournée des bars et ces shots, je me sens un peu « désinhibé ». Plus tard, nous dansons et je suis sur la piste avec mes potes. Je n’appellerais pas ça vraiment danser... mais plutôt se dandiner. Un mec vient derrière moi et il commence à se frotter à moi. Je le laisse faire. Il met ses mains autour de mes hanches et nos corps bougent au rythme de la musique. A un moment, il me retourne et il veut m’embrasser. Je découvre alors le mec et ... j’explose de rire (truc que je ne ferai normalement pas) mais le type est vraiment trop laid. Thomas me prend par le bras et nous rigolons tandis qu’il m’entraine ailleurs.

Pendant la soirée, je flirte avec quelques mecs et un en particulier me plait bien. Il est grand, un peu baraqué, très séduisant. En plus, son gros paquet a l’air prometteur. Mais quand il veut m’entrainer vers les toilettes pour que je le suce, je rigole et je dis : « non merci, c’est pas mon kif ». Vexé, il part draguer un autre mec.

Il doit être 3h quand je vais aux toilettes. Thomas me suit. Je n’arrive plus à marcher droit. Je suis bien éméché. On se met aux pissotières. On sort notre matos et on pisse. La bière que nous avons bue ressort à flot. Très vite, Thomas ne donne un coup de coude. Je le regarde et il me montre quelque chose sur ma gauche. Je suis son regard et je vois alors qu’un mec pisse à côté de moi. C’est un black, à en juger par sa queue. Elle est noire foncée. Et elle est super longue ! J’écarquille les yeux et je lâche un : « Putain ! Quel morceau ! ». Thomas me dit :

- T’as vu ?! En effet ! Qu’est-ce que ça doit être quand il bande ?

- Ah oui ! Mais même comme ça, elle donne bien envie à sucer.

- Oui, et bien plus.

- Ooooh ! Tu t’imagines, un morceau comme ça dans le cul !? Ça doit être trop bon.

Et je commence à pousser des gémissements d’orgasme. Thomas rajoute :

- Le pauvre, je crois qu’on le choque. Regarde la tête qu’il fait.

Et Thomas se met à rire. Mes yeux quittent la bite noire et je mate le visage du jeune black. Et tout d’un coup, c’est comme si un tourbillon m’aspirait ! Mon sourire s’éteint et je commence à tituber. Heureusement que je ne pisse plus. Je sors des toilettes, complètement chamboulé et je vais m’assoir à notre table. Je prends ma tête dans mes mains mais mon impression de chute continue. Comme si je tombais d’une falaise et que la chute était interminable. Thomas arrive et me demande ce qui ne va pas. Au bout d’une minute, j’arrive à prononcer ces mots :

- C’est un de mes bacheliers...

Et en effet, j’ai reconnu Enis, un de mes élèves de Terminale. Je suis terrassé. Je ne sais pas quoi faire. Chercher Enis et lui parler ? M’excuser ? Oublier l’affaire ?

Une heure plus tard, je suis toujours assis à ma place, complètement déprimé. Je ne veux pas non plus que le jeune fasse mon coming-out dans l’école. Thomas vient alors vers moi et il me donne un conseil :

- Ton élève est majeur, il a 18 ans, c’est ça ?

- Oui.

- Il a l’air d’être raisonnable et sympathique. Je l’ai vu dansé sur la piste avant de repartir. Il ne va sûrement pas te causer d’ennuis. Après les vacances, parle avec lui et clarifie la situation. D’accord ?

- Oui, merci.

- Et s’il était ici, c’est peut-être qu’il est gay aussi...

Ce n’est pas faux, me dis-je. Je n’y avais pas pensé. Mais j’interromps vite la soirée pour rentrer chez moi.

Après les vacances, j’ai cours dans la classe d’Enis. J’essaie d’éviter son regard. Lors d’un travail sur un texte, j’en profite pour l’observer. C’est un grand black (bien 1,90m), très mince et très silencieux, très timide, très réservé. Je n’ai jamais vraiment beaucoup entendu sa voix. Mais il est très gentil et il est toujours prêt à aider les autres.

Quand la cloche retentit, je permets aux bacheliers de partir mais quand Enis passe devant moi, je lui dis :

- Enis, je peux te parler ?

- Oui, bien sûr.

Il attend tranquillement que les autres sortent et je lui dis en parlant bas :

- Je suis désolé pour ce qui s’est passé l’autre soir au B. J’étais trop alcoolisé. Mais ce n’est pas une excuse. Je n’aurais pas dû parler comme ça.

- Ne vous excusez pas, je comprends. J’étais moi-même très éméché...

Je lui souris et je lui dis :

- On oublie tout ça ?

- Oui.

Il part puis il revient vers moi :

- Vous pourriez garder pour vous que vous m’avez vu là-bas ? Je ne veux pas que les autres sachent que je suis homo... Et ça serait trop compliqué avec ma famille.

- Mais bien sûr ! Et toi, pareil de ton côté. Tu gardes tout pour toi ?

- Oui, monsieur.

Il me tend alors sa grande main osseuse que j’attrape. Il la secoue un moment tout en me regardant dans les yeux. Puis il la lâche et il disparait vite. Je suis soulagé.

Quelques semaines plus tard, un pion vient me voir pendant une récré. Il me dit :

- Vous pouvez venir avec moi ? On a un problème.

- Oui, bien sûr.

Je le suis et le pion me raconte les détails :

- Vous connaissez Enis ?

- Oui, bien sûr.

- Il est bourré...

- Quoi ? A l’école ? En plein milieu de la journée ?

- Oui !

- Enis ? Vous êtes sûr ? Enis C.... ? Le grand timide ?

- Exact. Et le proviseur le menace d’expulsion. Mais Enis est entêté et il ne veut parler qu’avec vous !

Je rentre dans la pièce. Enis est amorphe sur une table, le proviseur lui parle, ce qui ne semble pas l’intéressé. Quand j’entre, Enis lève la tête et sourit bêtement. Le proviseur me lance un regard tendu et il finit par sortir avec le pion. Je m’assois en face d’Enis et je lui demande ce qui ne va pas :

- J’ai plein de problèmes !

- Et je suis la seule personne avec laquelle tu veux en parler ?

- Vous me comprendrez !

- Dis-moi ce qui se passe.

- Je suis amoureux de quelqu’un qui ne veut ou ne peut pas me rendre cet amour.

- Et c’est pour ça que tu te mets dans cet état ?

- Oui.

- Enis... L’alcool n’a jamais été une solution mais si tu...

- Si vous m’accordez une explication le temps d’un café, je vous raconterai tout.

- D’accord.

- On y va.

- Enis, non, pas maintenant ! Pas dans cet état. Tu vas rentrer chez toi, je vais parler au proviseur et on se parle au prochain cours... donc, à demain.

- Hm...

- Enis, s’il-te-plait.

- D’accord.

Je sors alors de la pièce et je dis au proviseur qu’il s’est mis dans cet état à cause d’une fille. Il me demande alors :

- Et pourquoi ne voulait-il parler qu’à vous ?

- Je ne sais pas... Peut-être parce que je suis son prof principal ?

- Moui...

Je lui demande de laisser partir Enis et que j’aurais une conversation avec lui quand il sera dégrisé. Le proviseur hoche de la tête. J’annonce la nouvelle à Enis et je lui tends la main qu’il prend et qu’il ne semble plus lâcher. Puis, je disparais.

Le lendemain, Enis vient me voir à la fin de mon cours.

- Vous voulez toujours parler avec moi ?

- Oui, bien sûr. Cet après-midi ? 16h ? Au café du coin ?

- Non, on pourrait aller au Chapeau claque.

- Pourquoi pas. Vers 17h alors.

Enis prend ensuite ses affaires et disparait. Je me retrouve à 17h devant le café et je me souviens alors que c’est un café gay. Je me demande s’il a peur qu’on nous voie ensemble. Il arrive vers moi et nous entrons dans le café. Je m’installe, je commande un soda, Enis prend une bière. Quand le serveur part, je lui demande :

- Tu n’as pas assez bu hier ?

- Je ne suis pas un alcoolique, M. R... J’ai juste bu pour trouver le courage de vous inviter ici.

- Comment ça ? Tu n’as pas de problème de cœur ?

- Si... ou plutôt un problème de bite...

Je le regarde, choqué.

- Je ne comprends pas...

A ce moment, Enis avance sa main vers la mienne qui est posée sur la table ... et il se met à la caresser. Je la retire et je lui demande :

- Enis, tu as bu à cause de moi ?

- Oui, c’est possible.

- On ne peut pas faire ça, je suis ton prof, toi mon...

- Je suis majeur et vous aussi !

- Je sais ! Mais c’est non !

- C’est dommage.

Le serveur nous apporte nos boissons et un froid s’installe à la table. Je bois mon soda, ne sachant pas quoi dire... et je ne veux surtout pas envenimer la situation. Je ne veux pas qu’il me fasse sortir du placard au lycée ! Je m’excuse et je me dirige vers les toilettes. Je me mets à un urinoir et je me soulage. Un mec entre et se place à côté de moi. Je jette un coup d’œil sur sa bite...et je reconnais la longue teub noire que j’ai vu l’autre nuit. Je lève les yeux et je vois mon bachelier qui me sourit. Il me dit :

- Vous la voulez ?

Sans attendre ma réponse, il se met à malaxer son morceau qui se met vite à gonfler. La bite prend des proportions énormes ! Elle s’allonge, elle devient de plus en plus longue. Elle monte le long de son nombril puis elle arrive presque sous son torse. Incontrôlable, ma bite se met aussitôt au garde-à-vous ! Je ne peux plus cacher mes envies. Je me recule et je dis à Enis d’arrêter.

- Mais pourquoi ? Je vois bien que vous avez envie de ma grosse queue de black. Moi, je vous désire depuis longtemps et j’ai toujours eu envie de vous voir à genou devant ma bite. Surtout depuis le soir où je vous ai pris en flag de me mater au B.

Il plaque alors sa main sur ma nuque et je prends peur. Mais il ne m’oblige pas à le sucer, comme je l’aurais cru. Il se penche sur moi et il m’embrasse. Il me roule une grosse pelle. Ses lèvres sont pulpeuses et douces. Sa langue pénètre ma bouche et s’enroule autour de la mienne. Je me sens comme électrisé. Mes mains se posent derrière sa tête et je réponds à ses baisers. Je sens sa grosse queue plaquée contre mon ventre. Une de mes mains glisse vers le morceau et le saisit. Je n’y crois pas : ma main n’arrive pas à en faire le tour, tellement elle est épaisse. Fou de désir, je lui dis :

- Viens, on va chez moi...

Je sors des toilettes, je paie l’addition et on se dirige vers ma voiture. En chemin, je me sens tourmenté par ma conscience ... Mais ce n’est pas grave... il est gay, il est majeur, il me désire... J’essaie de me persuader comme je peux... mais il faut dire que je désire sa queue plus que tout !

Arrivés dans mon appart, je me jette sur Enis et je lui roule une grosse pelle. Mes mains s’affairent pendant ce temps à lui enlever ses vêtements. Son t-shirt se retrouve par terre et mes lèvres descendent le long de son corps. J’embrasse et je lèche ses tétons puis son corps noir. Puis, je remonter vers lui et il me prend la tête dans mes mains. Il m’embrasse tendrement. Ses grosses lèvres sont pulpeuses et sensuelles. Il s’affaire pendant ce temps à déboutonner les boutons de ma chemise. Ensuite, il m’enlève mon pantalon. Il le fait glisser le long de mes cuisses qu’il se met à embrasser, tout en enlevant mes chaussettes. Il remonte, il empoigne mon paquet et il le malaxe pendant qu’il m’embrasse. J’enlève en même temps son petit short moulant et il se retrouve nu, la bite bien tendue. Le petit coquin ne porte pas de caleçon !

Je me recule et j’observe Enis qui est vraiment un beau mec. Il est grand (presque 2 m). Il a des cheveux courts, une peau noire foncée, et de grosses lèvres. Son corps est mince (on pourrait même dire maigre, je vois ses côtés) et imberbe. Seul son pubis a quelques poils noirs et courts. Sa queue est énorme. Elle doit faire dans les 25 cm. Elle est bien droite, noire avec un gland rose... et surtout elle est très épaisse. Il a de grosses couilles bien pendantes. Il a cul bombé et bien rebondi.

Il se jette sur moi et nous nous embrassons pendant de longues minutes tandis que nos mains découvrent le corps de l’autre. Puis, je fais une pause et je l’entraine dans ma chambre. Je me couche sur le lit et il me rejoint. Il se couche sur mon corps et nous continuons de nous embrasser. Je sens sa grosse queue plaquée contre mon ventre et ses boules se frottent aux miennes. Nous nous embrassons ainsi pendant une vingtaine de minutes.

Puis, je n’arrive plus à résister. Mes lèvres descendent le long de son corps et je me retrouve devant les yeux avec son anaconda qui a une circonférence impressionnante : ma main n’arrive pas à en faire le tour ! Sa bite est hyper dure et douce à la fois. J’approche mes lèvres de son gland et je l’enfourne dans ma bouche. Je le suce puis j’essaie d’enfoncer sa queue dans ma bouche. Malheureusement, je n’arrive à prendre qu’un tiers de son morceau dans ma bouche. Ma mâchoire est ouverte au maximum, sa bite me remplit complètement la cavité buccale. Je commence à faire des va-et-vient. Enis met sa tête en arrière et il savoure mon traitement. Sa queue se met à produire une mouille importante qui coule directement dans mon gosier. Je sens sa queue énorme palpiter. Elle devient toujours plus dure. Mes lèvres écartées au maximum, j’arrive à en prendre la moitié. Ses grosses couilles pendent sous sa teub. Elles me font envie, mes mains jouent avec.

Puis, je sors sa queue de ma bouche et je lèche son gros morceau. Il relève la tête et il me regarde, tout en me caressant les cheveux. Je lèche sa teub comme si c’était un sucre d’orge tout en le regardant droit dans les yeux, soumis à son anaconda. Je descends vers ses boules et je men occupe. Je reprends sa bite en bouche mais rien à faire, je ne peux en prendre plus que la moitié. Puis, je la ressors et je le branle.

Il me fait alors me relever et il me fait mettre sur le dos sur le lit. Il se penche sur ma teub qu’il prend en bouche. Il me suce divinement. Ses grosses lèvres sont parfaites et elles me feraient presque jouir sur l’instant. Puis, il remonte vers moi et il me roule une grosse pelle, en y mettant bien la langue. Il embrasse de façon super sexy, tel un dieu. Nos langues s’enroulent entre elles et tout ceci m’électrise. Ensuite, il redescend vers ma queue qu’il suce quelques secondes puis sa langue descend le long de mon périnée, traversant mes poils. Puis sa langue se met à lécher ma rosette. Je relève mes jambes pour laisser tout le loisir à sa langue de s’occuper de mon trou. Elle pénètre mon anus et il me lèche pendant bien 5 minutes.

Il enfonce ensuite un doigt dans mon cul et il s’amuse à faire des allers-retours. Puis un deuxième et ensuite un troisième entre dans mon anus. Je mouille tellement qu’il s’adapte vite à ses doigts fins et longs. Il me fait couiner de plaisir. Toujours en me regardant droit dans les yeux, il se relève et il joue avec son gland sur ma rosette. Puis il enfonce son gland timidement dans mon anus puis il le ressort. Je lui souris et il comprend alors qu’il peut aller plus loin. Sans capote, il fait entrer son gland dans mon cul. Il m’écarte déjà bien ! Puis il introduit lentement le reste de sa teub. Je sens mes sphincters résister puis s’écarter sur le passage de son monstre. Je souffle fort, mais je n’ai pas mal. Je pense qu’il mouille vraiment bien. Et son precum doit aussi faciliter la pénétration. Il s’arrête à mi-parcours et je prends alors ses fesses dans mes mains et je l’attire vers moi. Il s’enfonce alors complètement dans mon cul... ce qui me coupe le souffle. Je sens ma prostate complètement aplatie et mon anus complètement dilaté.

Il se penche alors sur moi, il m’embrasse et il me dit alors :

- Ça fait tellement longtemps que j’attends ce moment... que j’en rêve... que j’en fantasme. J’ai tellement envie de toi, Nico.

Je ne me formalise pas qu’il me tutoie et qu’il m’appelle par mon prénom. Il continue :

- Je te trouve tellement beau. Tu m’attires vraiment ! Tu suces trop bien et ton petit trou serré compresse bien ma grosse queue... comme s’il était fait exprès pour elle.

Tout en disant ça, il se met à donner de petits coups de reins. Je sens son morceau se mouvoir dans mon cul et je gémis fort. Quelle sensation extraordinaire !

- C’est la première fois que je fais l’amour. Je suis encore puceau... et je suis hyper content de t’avoir toi, mon prof de français, comme premier amant.

Il commence à aller un peu plus vite et il m’embrasse. Puis il dit :

- Je suis trop bien en toi ! Ton trou est parfait pour ma queue ! Il est chaud et trop bandant. Je te désire depuis si longtemps !

Sa queue massacre ma prostate et je me concentre pour ne pas juter immédiatement. Il me baise lentement, sensuellement. Je sens son gland m’ouvrir et m’éperonner. Puis, il ressort sa queue et me l’enfonce de nouveau de tout son long, à fond jusqu’aux couilles. Il se met à accélérer le rythme. Ses couilles commencent à frapper mon cul de plus en plus fort. Il entame alors un pilonnage en règle. Il pose ses genoux de chaque côté de mon cul, son corps se retrouve posé contre le mien et il m’embrasse tout en me défonçant. C’est comme s’il faisait des pompes dans mon cul. Parfois, il fait sortir sa queue qui retrouve immédiatement le chemin du fond de mon anus. Puis, il se relève et tout en me tenant par les chevilles, il me baise, cette fois lentement mais puissamment. Il me domine de ses deux mètres et nos regards se croisent. Il dit :

- Ton trou est parfait pour ma grosse queue ! Elle te plait ?

- Oui, elle est trop bonne !

- Tu as envie de quoi ?

- Que tu me baises, Enis. Vas-y, défonce-moi !

Souriant, il se met à me pilonner à fond. Je hurle de plaisir. Il me baise sur toute la longueur de son membre. A un moment, il ressort. Je prends vite sa queue en main et je la renfonce dans mes entrailles et il reprend sa baise d’enfer. Il commence à suer et des gouttes tombent sur mon corps.

Au bout de 20 minutes, il sort de mon cul et il me fait placer à quatre pattes sur le lit, en levrette. Il écarte mes fesses de ses mains et sa queue s’enfonce lentement dans mon intimité, sans aide. Sa queue entre entièrement en moi. Il m’ouvre vraiment bien le cul. Il me baise par petits coups, comme un lapin, lentement. Sa teub coulisse de plus en plus vite dans mon anus, je sens son gland me pilonner le fond de mon cul. Ma prostate se retrouve maltraitée par cet énorme morceau.

Il se met à me labourer le cul en donnant de bons coups de queue. Son corps claque contre mes fesses, ses couilles me frappent le périnée. Il sue maintenant à grosses gouttes. Ses aisselles dégagent une bonne odeur de mâle en rut. Parfois, il se retire pour re-rentrer immédiatement d’un grand coup de hanche. Il est sauvage, bestial. Sa grosse queue... son anaconda... me trifouille les entrailles. Je gémis fort. Enis me pilonne pendant de longues minutes. Il est super endurant. Il me dit :

- Je suis trop bien en toi ! Ton cul est si accueillant. S’il-te-plait... je veux y regoûter... souvent !

- Oui, mon Enis, mon trou t’appartient !

Il se penche alors au-dessus de moi, il me prend dans ses bras et il m’embrasse dans le cou tout en me pilonnant toujours. Je me sens jouir du cul ! Ce mec est tout simplement incroyable.

Il me défonce longuement, profondément, sur toute la longueur de ses 25 cm, pendant 45 minutes. Il ne montre aucun signe de fatigue, aucun signe de faiblesse. Il se fait plaisir dans mon anus. De temps en temps, il en sort complètement pour y re-rentrer d’une seule poussée !

Et finalement, il me dit :

- Bébé, je vais jouir... je peux te féconder ?

- Oui, vas-y, donne-moi tout !

Il pousse un cri rauque et il plaque sa queue avec force au fond de mes entrailles. Je sens son foutre gicler dans mon bide. Il me remplit. Il redonne quelques coups de bite et il continue de jouir dans un râle profond. C’est comme s’il pissait dans mon cul. Sa queue palpite et pulse, éjectant son sperme chaud dans mes entrailles. C’est comme si une mitraillette juter dans mon anus. Elle est prise de spasmes d’avant en arrière qui lui permettent de me remplir. Je compte bien 20 doses ! Ça me fait tellement d’effet et ma prostate étant bien massée par son anaconda, j’éjacule sans me toucher une dizaine de jets de sperme qui fusent sur le lit. Enis reste quelques secondes en moi et il me dit en reprenant son souffle :

- Je t’ai mis enceinte ! Tu m’appartiens dorénavant !

- Oui, je suis ta jument et toi tu es mon bel étalon, répondis-je, oubliant les rôles qu’on a dans la vraie vie !

Il se colle contre mon dos et il m’entoure de ses bras. Epuisé, je m’effondre sur le lit. Il continue de me câliner. Sa queue dégonfle lentement. Il ressort, j’ai le cul béant, grand ouvert. J’ai une énorme sensation de vide. Du sperme coule le long de mes couilles et de mes jambes.

Il se couche à côté de moi et il m’embrasse. Je me retourne et nous nous câlinons. Exténués, nous nous caressons sans rien dire. Puis je l’invite à me rejoindre dans la douche. Je me lève et je sens son sperme couler entre mes fesses ... ainsi que la douleur laisser par son anaconda. Je sens mon trou bien ouvert. Il me roule une grosse pelle et il me suit. Je le lave puis lui moi. J’admire pendre entre ses jambes son gros morceau de chair qui descend entre ses cuisses, formant ainsi une bosse indécente avec un gland encore bien gonflé par sa jouissance.

Après la douche, on boit encore un coup et finalement, je le laisse rentrer chez lui après lui avoir rouler une grosse pelle.

Le lendemain, je vais au lycée. Le proviseur me demande si tout s’est bien passé et je lui affirme que j’ai eu une longue discussion avec Enis et que je l’ai remis sur le droit chemin. Il est satisfait. En cours, je retrouve Enis, souriant, comme changé. Il fait comme si de rien n’était mais il me lance de temps en temps des regards lubriques et des clins d’œil. Je lui souris sans rien dire. Quelle situation inédite et bizarre ! Je m’attendais à une gêne... mais non, tout se passe naturellement. A la sortie des cours, à la fin de la journée, je vois qu’il m’a attendu. Il dit qu’il veut me parler. Nous allons alors dans une salle de cours et il se jette sur moi. Il me défonce pendant quelques minutes et il éjacule très vite. Je rentre chez moi, le cul ouvert et dégoulinant. Je remarque qu’il m’a glissé dans le pantalon un papier avec son numéro. Je lui propose de passer le week-end ensemble. Vu que le lendemain je n’ai pas cours, je ne le vois pas. Mais je ressens très bien son passage dans mon cul. Je pense alors à son odeur, sa grosse queue, ses coups de bite, son corps d’ébène, ses lèvres pulpeuses et généreuses, sa gentillesse, ... Ce mec est incroyable !

Je ne me serais jamais permis d’imaginer qu’un de mes bacheliers fantasme sur moi et surtout qu’il perde sa virginité dans mes bras. Je me sens fondre. Je me dis que je lui appartiens... qu’il peut faire de moi ce qu’il veut.

J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire.

Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).

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