Salut à tous,
Je vais vous raconter une histoire vraie qui m’est arrivée alors que j’étais sur la route des vacances. A l’époque je devais avoir 28 ans.
Moi, c’est Nico, je suis blond, les yeux bleus, un peu poilu et un corps mince, monté 17 cm.
Ce jour-là, je voyage seul, je suis en voiture sur l’autoroute des vacances entre Toulouse et Narbonne. Je vais rejoindre mes parents qui ont une maison de vacances en Espagne. J’ai fait une pause peu avant Toulouse où j’ai mangé et où j’ai pris un café à la cafétéria. Et au bout d’une heure, une envie très pressante me prend. Ne tenant plus, je décide de m’arrêter à une petite aire, sans station-service, ce que je ne fais jamais car je préfère les toilettes de ces stations qui sont normalement propres, contrairement aux autres. Mais là, je n’ai pas le choix.
Je m’arrête, il n’y a pas grand monde. Je passe devant une voiture garée directement devant l’entrée des toilettes. Je jette un coup d’œil : un mec est en train de regarder son smartphone. Il est dans une VW immatriculée en Allemagne. Je me dis qu’il doit se reposer avant de reprendre la route. Quant à moi, je me précipite dans les toilettes. Il y a une petite cabine et deux pissotières. Je me place devant une pissotière, je sors ma queue et un jet de pisse en sort.
Au bout de quelques secondes, j’entends un bruit, je lève la tête et je vois le conducteur de la voiture qui était sur son portable. Il se met à côté de moi et sort sa queue. Moi, je suis concentré, je me soulage au sens littéral : mon jet de pisse, puissant, éclabousse la faïence. Enfin, je respire. Le mec est toujours à côté de moi. D’habitude, j’adore mater les bites des mecs qui viennent pisser à mes côtés. Mais là, je suis concentré sur ma pisse.
Il faut que je vous avoue que, depuis mon adolescence, j’adore mater les queues ! Au lycée, plus tard à la fac, dans les toilettes publiques... J’ai toujours adoré jeter des coups d’œil sur les bites de mes voisins de pissotière. On voit de tout... des grosses, des petites, des velues, des rasées, ... La plus grosse m’a été donnée de voir dans un Ikea à côté de chez moi. Elle était vraiment impressionnante. Et bien sûr, je me suis déjà fait surprendre ... mais je n’ai récolté que des regards irrités. Sauf aujourd’hui...
Mon jet se calme mais la pisse continue de sortir. J’avais vraiment la vessie pleine. Tout à coup, un truc bizarre me frappe. Le mec a côté de moi a certes sorti sa queue... mais un truc cloche. Je jette un regard sur sa bite et je comprends : il n’a pas pissé une seule goutte ! Sa bite est sortie, comme s’il attendait. Mon regard se déplace et je le regarde. Il regarde droit devant lui.
Un déclic se fait dans ma tête. Je regarde ma queue et je vois qu’elle commence à gonfler. Les dernières gouttes de ma pisse sortent. Je jette quelques regards à la bite à côté de moi. Sa queue est au repos, elle est assez petite, rose pâle. Son pubis est velu... rempli de poils châtains et frisés. Une fois fini, j’étire ma bite, je la secoue, plusieurs fois. Puis, je la glisse dans mon caleçon et referme ma braguette.
Je relève la tête et je vois que l’Allemand a disparu. Il n’est pas passé derrière moi. Par contre, la porte de la seule cabine est ouverte. Guidé par ma libido, je jette un coup d’œil dans la cabine. Le mec a son pantalon sur ses chevilles et il bande. Il est en train de se branler et il me regarde avec un regard lubrique. Ma première réaction est de fuir... puis je me ravise. C’est ce genre de trucs qu’on lit dans les histoires de Cyrillo qui m’ont toujours excité... et pour une fois, il pourrait m’arriver la même chose !
Je vais vers le mec, je ferme la porte de la cabine et je me baisse pour le sucer.
Le mec est jeune (25-30 ans), de taille moyenne, mince, avec une bite de 15 cm. Il est blond, il a les cheveux courts et un corps très poilu, partout, du torse jusqu’au bas-ventre. Son pubis et ses couilles sont aussi très velues.
Très vite, il me fait me relever et il tâte mon paquet. La situation me fait bien bander ! Il déballe sa surprise et prend ma queue en bouche. Puis, il se relève, déballe un préservatif qu’il met sur ma queue. Ensuite, il se retourne et place son anus devant ma teub. Il s’embroche lentement dessus. Je prends de la main droite son épaule et je commence à le baiser. Je donne de bons coups de rein et il essaie d’étouffer ces gémissements. Il écarte ses fesses ce qui me donne l’impression d’aller bien plus loin en lui. J’admire ma queue faire des va-et-vient dans son cul poilu. Les poils se collent sur ma bite et m’accompagnent dans mes mouvements. Mes couilles se balancent et claquent contre son cul.
Au bout de quelques minutes, il se branle et jouie un peu partout... sur la cuvette des toilettes, sur le sol.
Moi, j’ai besoin de plus de temps pour jouir. Et une capote n’aide pas non plus. Je sors ma queue de son cul, j’enlève le préservatif et je me branle au-dessus de ses fesses. Audacieux, je doigte son cul puis essaie de lui fourrer ma bite sans capote. Il me repousse gentiment et me dit :
- Non, pas sans Kondom.
Je me recule alors, je m’appuie contre la paroi de la cabine et je me branle. J’entends dehors des gens qui pissent mais je m’en fous. La situation m’excite. Le mec se baisse et se met à me sucer et à me branler. Puis je prends la relève, je me branle de la main droite et de la main gauche, je le fais descendre à mes couilles. Il comprend le message et il se met à les lécher, les gober et les embrasser. Ça me fait un effet monstre et je jouis au bout de quelques secondes. Quand il entend ma respiration s’accélérer, le mec se relève, se met sur la pointe des pieds et mon gland repose alors dans les poils de son pubis. Une bonne quantité de jus sort de ma bite, des jets grimpent le long de son ventre et restent prisonniers de ses poils. Je continue de jouir, le reste sort sans pression et va se répandre dans les poils de son pubis. Je me rappuie contre la paroi de la cabine, épuisé. Le mec se rhabille, mon sperme toujours dans ses poils, il ouvre la porte de la cabine, me lance un « ciao » et disparait. Je reprends mes esprits, je me rhabille aussi. Ma main est pleine de sperme. Je veux l’essuyer mais il n’y a pas de papier. Je sors et je vois un mec en train de pisser. Je m’en vais discrètement, je vais à ma voiture. Sur le chemin, je vois mon Allemand qui démarre et quitte l’aire de repos en me faisant un grand salut. Arrivé à ma voiture, je tire un mouchoir en papier de mes affaires et je m’essuie la main. Je jette le mouchoir dans une poubelle. Je monte dans ma voiture et je repars, satisfait de cette expérience nouvelle.
J’espère que cette histoire (réelle !) vous a plu et que vous avez eu bien du plaisir en la lisant. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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