Il y a quelques mois, entre deux confinements, j’ai pu un peu profiter de la vie nocturne et sortir avec des potes (hétéros) pour boire quelques coups. A un moment de la soirée, mon ami Cédric rencontre un de ses potes de sport, Sylvain, qui continuera la soirée avec nous. Il est assez sympa, il faut dire aussi qu’il me plait bien. Il doit avoir dans les 30 ans, il est brun, la peau mate, de ma taille (1,78m), mince, sans barbe, les cheveux courts, les yeux noisette. Mais bon, il est fiancé, il a déjà une fille... donc je me dis, Nico, tu te calmes !
Tous mes potes viennent dormir chez moi à la fin de la soirée, c’était prévu comme ça, ils habitent en dehors de la ville, en campagne, et ils voulaient profiter de cette liberté retrouvée pour boire un peu. Sylvain veut rentrer chez lui en voiture mais vu qu’il est bien alcoolisé, Cédric lui dit de venir dormir chez moi, il y a de la place. Je fais signe de la tête, même si ça me soule que Cédric invite des personnes qui me sont inconnues chez moi. Je ne dois plus avoir les idées très claires sous l’effet de l’alcool, je ne dis pas non.
Arrivés à l’appart, chacun se choisit son petit coin pour poser son matelas pneumatique, son duvet. Mais Sylvain n’a rien avec lui. Cédric lui dit de dormir avec moi dans mon lit. Le mec hausse les épaules, n’y voyant pas d’inconvénients. Je lance un regard noir à mon pote qui, à mon goût, prend beaucoup trop de décisions à ma place !
Je souhaite bonne nuit à mes potes et je montre la chambre à Sylvain. Il prend vite ses aises, il se déshabille, il garde juste son t-shirt et son caleçon puis il se pose dans mon lit, mettant juste le drap blanc sur lui. Je me mets à côté de lui. Il se tourne vers la fenêtre et il s’endort très vite. Moi, je le regarde et observe à travers le drap, qui est assez transparent, son cul bombé. La situation commence par me plaire. J’ai un beau mec dans mon lit... Les effets de l’alcool dissipent mes scrupules et voyant que Sylvain dort maintenant à point fermé, j’ose passer ma main sur son cul. Pas de réaction de sa part. il dort. Par contre, je suis de plus en plus excité ! Je passe délicatement mon bras au-dessus de son corps et ma main se glisse sous son t-shirt. Je caresse alors de beaux abdos bien lisses. M’assurant qu’il dort toujours, ma main remonte vers son torse et je tâte deux beaux pectoraux. Le mec les a bien cachés toute la soirée sous son pull ! D’un coup, il bouge, je ressors ma main rapidement... mais il change de position, il dort toujours. Je remarque alors que je bande. Il bouge de nouveau et sous ses mouvements, son caleçon glisse un peu, laissant découvrir une raie un peu poilue. Je me demande alors s’il est aussi poilu devant. J’attends quelques minutes et voyant qu’il ronfle, je fais glisser lentement le drap le long de ses jambes et je fais le tour du lit. J’ouvre son caleçon, je le fais descendre doucement, libérant sa toison pubienne. Bien qu’il ne soit pas poilu sur le corps, il faut dire qu’il est très poilu au niveau du pubis... des poils bien noirs et bien épais, assez longs, surmontant sa teub. Elle a l’air toute petite. Elle est marron foncé. Pour voir son gland, je prends délicatement sa queue entre deux doigts et je fais descendre le prépuce. Il est bien rose. Je veux voir ses couilles et je remarque qu’une dépasse du caleçon. Elle est brune et tout aussi poilue que le pubis. A mon grand regret, je remballe son paquet... car je trouve que ça va trop loin... et je n’ai pas envie de me faire prendre. J’ai surtout peur de sa réaction.
Je repasse derrière lui, je me recouche mais j’ai son cul sous mes yeux. Un cul tout blanc. Bien bombé, bien ferme, un peu poilu... des culs comme je les aime ! Je secoue la tête, je me couche de mon côté et je ferme les yeux. Mais la vision de son cul ne me laisse pas de répit... je décide alors de me soulager sur lui, il l’a bien mérité à squatter mon lit. Je fais glisser un peu plus son caleçon, de sorte que tout son cul soit à l’air libre. Je commence à me branler et la sauce monte très vite, vu l’excitation que je ressens. De temps en temps, je passe mon gland le long de sa raie, profitant de la situation. Puis je veux mettre un terme à tout ça et je jouis. 5 gros jets sortent de ma queue. Les deux premiers vont d’abord se loger sur sa cuisse puis les autres atterrissent au milieu de sa raie. Quelques gouttes sortent de ma queue et tombent sur son cul.
Mais tout d’un coup, Sylvain se retourne et me trouve penché sur lui, la queue à la main. Il me regarde, surpris, puis passe sa main sur son cul et l’approche de son nez. Il s’écrie :
- C’est pas vrai ! Tu t’es branlé sur moi, connard !
- Non, je... c’est pas ce que tu crois !
- Tu te fous de ma gueule ! Et c’est quoi, ça ? (Il renifle toujours ses doigts) . C’est bien du sperme ! Tu vas me le payer, sale baltringue !
Et comme une furie, il se précipite sur moi. Il se fout derrière moi, il m’immobilise d’un bras tandis qu’il déchire mes vêtements de l’autre. Je suis pris de panique, je me mets à me débattre. Mais il m’immobilise les deux bras dans le dos, il me met à terre et appuie ma tête contre le carrelage d’une main qui s’avère très puissante, tout en me maintenant la bouche fermée. Il cherche en même temps à introduire sa teub dans mon cul qui est maintenant assez dure. Mais vu ma véhémence, il n’y arrive pas. Il me fout alors un gros coup de poing, je perds connaissance.
Quand je me réveille, je me retrouve ligoté avec son pull, les bras dans le dos. Ce qui m’a réveillé, c’est de sentir un gros truc dans ma bouche. Sylvain a profité de mon état pour me baiser la bouche avec sa teub. Elle est bien tendue. Reprenant mes esprits, je me débats et je veux alors mordre sa queue mais il s’avère plus rapide, il ressort de ma bouche, me bâillonne avec son t-shirt. Je suis à sa merci.
- A propos, j’ai pris ton sperme, j’en ai badigeonné ma queue et tu as maintenant tout récupéré dans ton gosier !
Je reconnais en effet cette saveur âpre dans la bouche... Il prend sa bite, me la passe sur le visage, me bifle avec... il me montre qu’il est maître de moi et qu’il va faire ce qu’il veut de moi. Sa queue est bien droite, sombre, large, elle fait environ 18 cm, avec 3 veines visibles sur le dessus. Son gland est bien gros et bien large.
Il me maintient sur le lit, il me positionne sur le dos, il pose son gland sur mon trou, et sans préparation, sans rien, et surtout sans capote, il pousse violement sa queue à sec dans mon trou. Je veux pousser un hurlement de douleur mais le bâillon ne laisse sortir aucun son de mon gosier. Ses couilles sont plaquées contre mon cul, les poils de son pubis forment un tapis entre son bassin et mes fesses.
- Tu vas voir, c’est à mon tour de marquer mon territoire !
Il se met à bouger lentement. Je sens sa queue coulisser en moi sans s'arrêter et je ne peux rien faire car il me bloque avec tout son corps. Mon bâillon m’empêche de hurler de colère et de douleur. Il colle son corps contre mon dos, il me dit d’une voix de vainqueur :
- Ton cul de salope est trop bon ! Je vais bien t’engrosser !
Il se met alors à me pilonner. Il ne me laisse aucun répit. J’essaie de repousser sa queue et ses cuisses, mais rien à faire.
- Espèce de salope, ça t’apprendra à m’avoir juter dessus ! C’est moi qui marque les putes dans ton genre, pas le contraire !
Il passe son bras autour de mon cou et serre. Je suffoque, ce qui rend sa queue encore plus dure. Le fait de m’avoir entièrement à sa merci semble le faire kiffer. Ses couilles tapent contre mes fesses. Il me pilonne, mon trou se fait éclater. Son corps claque contre mon dos, il accélère de plus en plus, il me défonce violemment.
Puis me place ensuite sur le côté. Il veut de nouveau me prendre par le cou quand sa main cogne contre ma bite. Il est surpris :
- C’est pas vrai ! Tu bandes ?? Et tu mouilles en plus ! Mais tu es une vraie salope ! En fait, tu adores te faire traiter comme ça !
Il me crache alors au visage et reprend ses coups de bite qui devient dure comme du fer... Il apprécie vraiment la situation. J’entends le bruit de sa bite me limer : mon cul n’est plus sec, je mouille. Il accélère la cadence, sa queue, dont je sens chaque millimètre, ravage mon anus. Ses abdos bien durs sont plaqués contre mon dos et son pubis poilu contre mon cul.
- Ton cul est une tuerie !
Puis il me met de nouveau sur le ventre et recommence sa baise. Il sent la sueur, le mâle. Il accélère ses coups de queue. J'encaisse sa teub en moi et malgré la douleur je prends beaucoup de plaisir : sa queue me tape la prostate. Les coups de bite sont de plus en plus forts. Je ne peux plus résister, je jouis sans me toucher, rien qu’avec sa queue qui massacre ma prostate. Je sens ma queue expulser des litres de sperme contre mon ventre, alors que j’ai quand même déjà joui une fois.
- Je vais te foutre enceinte, moi !
Il pousse à ce moment-là un cri rauque, il sort de mon cul. Le premier jet est si puissant qu’il fait rebondir sa queue au-dessus de mon dos et le sperme vient s’écraser dans mes cheveux et sur mon dos. Le deuxième jet vient s’ajouter au premier. Il réajuste sa teub qui crache toujours : deux jets viennent éclabousser ma raie, dégoulinant sur mon trou. Puis il renfonce sa teub dans mon antre. Je sens alors ses gros jets de jus chaud continuer de se déverser en moi et me remplir le cul. Il ne semble pas pouvoir s’arrêter. Sa queue est secouée de soubresauts bien profondément en moi. Il jute une quantité énorme de sperme. Je compte 12 jets... je me sens comme inondé. Il continue ses mouvements de bassin, tassant son jus bien profond.
- Je viens de marquer mon territoire... tu es à moi maintenant !
Il sort de mon trou, qui laisse échapper immédiatement un flot de jus qui coule le long de mon cul et il se pose à côté de moi. Soudain, on frappe à la porte. Je reconnais la voix de Cédric, il demande :
- Tout va bien là-dedans, j’ai entendu des cris...
Sylvain regarde mon cul qui expulse toujours son jus pour former une mare dans laquelle baignent mes couilles. Puis il m’observe avec un regard diabolique... Que va-t-il faire ?
A vous, chers lecteurs, de me le dire ce que Sylvain va faire. Vous pouvez m’envoyer vos propositions par mail.
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas d'en préciser le titre).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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