Mon demi-frère me surprend

Chapitre 10

Salut,

Comme je vous l’ai raconté dans le premier chapitre, Cédric, le fils du nouveau compagnon de ma mère, m’a pris en flag en train de me branler. Quelques jours plus tard, en plein confinement, je l’ai retrouvé sur mon lit, nu, où il m’a demandé de le sucer. De fil en aiguille, il m’a sodomisé. Et je dois avouer que j’ai beaucoup aimé... et je peux vous dire que depuis, j’en profite. Mais un jour, je l’ai surpris en train de se faire baiser par un black... ce qui m’a bizarrement chamboulé et je me suis mis à pleurer. J’ai alors compris que j’étais amoureux de Cédric, mon demi-frère, une grosse chaudasse qui baisait avec tout ce qui bougeait... J’ai donc décidé de me faire une raison et de reprendre mes plans cul. Après m’être fait baiser par un beau black, Cédric s’est montré jaloux... et j’ai compris qu’il était aussi amoureux de moi. Cependant, il m’a fait une révélation qui m’a un peu chamboulé : il baisait régulièrement avec mon père... ce qui m’a rendu jaloux... et fou de rage. Finalement, Cédric m’a avoué son amour et il m’a promis d’arrêter de coucher à droite et à gauche. Nous avons finalement emménagé ensemble. On a quand même dû dire à mon père la vérité, étant donné qu’il n’arrêtait pas d’envoyer des messages à Cédric pour lui demander de coucher avec lui. Je dois avouer que j’ai été un peu brutal et sans cœur en faisant cette annonce. En allant chez lui à l’improviste pour m’excuser, j’ai retrouvé mon père en train de baiser ... avec le père de Cédric.

Après avoir révélé ceci à Cédric, celui-ci ne semble vraiment pas me croire. Il refuse de voir la vérité en face, il secoue la tête, sans prononcer un mot. Autant cette révélation m’a excité, autant lui semble incrédule... Mais très vite, il ne tient plus en place. Je sens qu’il bouillonne de colère. Il dit tout simplement :

- Monte en voiture !

Sans dire un mot, je l’accompagne hors de l’appart, je m’installe sur le siège passager et il démarre en trombes. Son regard est fixé sur la route. Il ne dit pas un mot. Il grille un feu rouge, il roule bien à 70 km/h. Je m’accroche à la poignée au-dessus de la portière.

En un temps record, on arrive à la maison où habitent ma mère et mon père. Avant que tout dérape, je préfère prendre les devants et je crie dans la maison :

- Maman ! Tu es là ?

Pas de réponse. Mais c’est mon beau-père qui pointe le bout de son nez. Il descend l’escalier et en nous voyant, il nous sourit. Quand mon beau-père voit son fils, il lui demande :

- Cédric, ça va pas ? T’as pas l’air bien...
- Papa, tu étais où il y a 3 heures ?
- Euh… je suis allé faire des courses…
- C’est vrai, ce mensonge ? Car Nico est allé voir son père à l’improviste… et qui est-ce qu’il a pris en flag en train de s’envoyer en l’air avec lui ? Devine.

Mon beau-père devient livide. Il me regarde d’un air interrogateur et je fais signe de la tête. Il baisse alors le regard et il murmure :

- Oui, c’est bien vrai, c’était moi.
- Tu te fous de moi ? Et tout ce baratin sur la fidélité que tu me sers depuis des années ? « Ah, Cédric, ta copine t’a quitté ! Elle t’a pris en flag avec un mec dans son lit ! C’est pas bien ! Il faut respecter son partenaire et les femmes en général. » Ils sont beaux tes discours !
- Fiston… Moi aussi j’ai souvent eu des envies envers les hommes et quand je t’ai surpris une fois en train de baiser Jean-Pierre (voir le chapitre 6), je n’ai plus pu m’enlever cette image de la tête. J’ai souvent eu des envies envers des hommes mais quand j’ai vu le magnifique cul de l’ex-mari de ma femme, je n’ai pas pu résister… Un jour, je me suis rendu chez lui, je l’ai séduit et je l’ai baisé.
- Papa ! Bordel ! Ce que je te reproche, c’est de m’avoir fait la morale pendant des années alors qu’en fait tu n’es pas mieux que moi !
- J’avais ton éducation à faire !
- A 23 ans ?!
- Cédric, tu dois l’avouer aussi, tu es devenu adulte il y a peu. Depuis que tu fréquentes plus Nico, en fait…

Il nous regarde alors et ses yeux s’illuminent.

- Vous êtes ensemble ?

Cédric me prend alors la main et il dit :

- Oui !
- Putain ! et moi qui m’en étais pas douté !
- Tu dévies ! Comment te défends-tu ? Tu as quitté ma mère pour une autre femme... femme que tu trompes maintenant avec un mec ! Tu n’as pas honte !?
- Cédric ! Je ne te permets pas ! Je sais que ce n’est pas bien mais c’est ma vie, ce sont mes envies. Nico, j’aime ta mère énormément… mais ton père aussi !
- Ah oui ? T’es polygame alors ?
- Non… je suis dans une situation qui me pourrit la vie…

Voyant le père de Cédric très mal à l’aise, je prends la parole :

- Cédric, c’est gentil… mais tu ne penses pas que c’est moi qui devraient être en colère ? C’est ton père qui trompe MA mère.
- Et toi ? Nico ? Tu pouvais pas garder ça pour toi ?, demande mon beau-père.
- Mon cher beau-père, la surprise était si grosse… que non. Et pourquoi aurais-je dû garder tes bassesses pour moi ?
- Bon, vous ne direz rien à ta mère, j’espère, demande-t-il en se calmant.

Cédric s’exclame :

- On verra !

Mon beau-père le fusille du regard… puis il sort de la maison en claquant la porte et en poussant des injures. Et moi… je dois dire que je suis super chaud. Je m’approche de Cédric et je lui murmure à l’oreille :

- Je dois t’avouer que cette situation m’excite.

Il me regarde bizarrement… mais moi, je lui roule une grosse pelle et je lui enlève son t-shirt. Je découvre son beau corps musclé. Je le prends par la main et je le conduis dans ma chambre. Je le pousse sur le lit, je lui arrache son pantalon. Je l’observe avec envie, tel un animal en rut. Mais la situation ne semble pas déplaire à Cédric, il bande déjà.

Cédric a 23 ans, il est mince, musclé sec. Il a des épaules assez larges avec des biceps bien développés. Il a un corps en V, avec un torse musclé : ses pectoraux sont bien apparents ainsi que ses tablettes de chocolat. Il a une coupe de cheveux à l’iroquoise : ses cheveux, châtains, sont rasés sur les côtés et sur le dessus, il a une touffe. Il a des tatouages sur le torse, les avant-bras, le ventre, les mollets. Sa queue de 18 cm et ses couilles sont assez foncées. Ces-dernières sont grosses. Les poils de son pubis et de ses couilles sont bien entretenus : ses couilles sont rasées et son pubis a un léger duvet, tout comme son ventre. Il a des cuisses bien musclées ainsi que des mollets et des pieds imposants. Des poils drus et épais recouvrent toutes ses jambes.

Je me mets à l’embrasser sauvagement, son corps collé contre moi tout en lui massant les fesses. Pour me montrer que ça lui plait, il pousse de petits gémissements. Encouragé, je passe ma main le long de ma raie et je commence à titiller son trou. J’y enfonce un doigt puis deux. La pénétration est facilitée par mon jus que j’ai injecté quelques heures plus tôt.

Je me mets à genoux sur le lit et Cédric prend ma bite en bouche. Il se met à me sucer avec envie, rapidement. Moi, je suis tellement chaud que très vite, je le fais mettre à quatre pattes. Je me place derrière lui, je lui écarte les fesses... et je plonge ma langue dans son trou. Je me mets à lécher sa rosette et à enfoncer ma langue dans son anus. Il gémit doucement. Je me délecte de mon propre jus qui sort de son cul.

Je lui bouffe l’anus pendant bien 10 minutes. Puis, je me relève et je dépose des baisers dans son cou tandis que j’enfonce ma queue lentement dans son trou. Je donne de légers coups de reins et ma bite entre lentement en lui. Il gémit doucement. Il pousse un cri quand il sent mes couilles plaquées contre son cul. Je l’enlace dans mes bras et je me mets à le baiser lentement.

Après 2 minutes, je me mets à le pilonner avec de larges coups de reins. Mes mains caressent ses abdos ainsi que ses gros pectoraux. Mes couilles claquent contre son cul. Je le lime puissamment, rapidement, pendant bien 20 minutes. Je le mets ensuite sur le dos, je me colle contre son magnifique corps et je reprends mes coups de butoir. Je l’embrasse en même temps que je le baise.

Au bout de 10 minutes, je m’enfonce au fond de lui, ma bite se met à tressauter et je pousse un gémissement avant que ma queue lâche ma purée dans mon cul. D’épais jets de sperme chaud fusent dans son anus. Je les sens gicler et remplir son trou. Je saisis sa bite tout en laissant la mienne dans son anus, et je le branle. Il jouit au bout de 3 minutes. Les draps se retrouvent couverts de sperme.

Quel intense moment ! Nous nous laissons tomber sur le lit et je le prends dans mes bras. Nous restons ainsi, en position de cuillère. Je vois une rivière de jus sortir de son cul. J’entends un bruit et je regarde vers la porte. Je sursaute … car je vois mon père debout devant la porte !

- Putain ! Depuis quand tu nous mates, toi ?
- Putain ! J’en reviens pas de vous avoir vu baiser ensemble, s’exclame une voix.

C’est le père de Cédric. Mon père et le sien se tiennent à l’embrasure de la porte et ils nous regardent, sidérés. Je m’exclame :

- Je vous ai bien dit qu’on était ensemble !
- Oui, mais j’avais pas encore digéré l’information !, dit mon beau-père.
- Ben, fais-toi y vite car j’aime ton fils !
- Quoi ? Vous…

Mon père l’interrompt :

- C’est vrai ça ? Je croyais que c’était que du cul !
- Non, je l’aime à la folie.
- C’est beau, dit mon père.

Mon beau-père pose sa main sur l’épaule de mon père et il dit :

- Ça m’a donné une trique de les voir baiser… Suis-moi !

Sans se soucier de nous, les deux mecs se roulent une pelle et ils se dirigent dans la chambre de ma mère, ils ferment la porte et j’entends leurs fringues voler ! Quelques minutes plus tard, j’entends distinctement des gémissements. Cédric est sidéré… mais moi, je suis tout excité !

Je le prends dans mes bras, je le colle contre le mur et j’enfonce ma queue dans son trou encore suintant. Une fois au fond de ses entrailles, je reste sans bouger et je savoure son cul bien chaud et très accueillant. Je me plaque contre son dos et je l’embrasse dans le cou tout en commençant à donner des coups de reins. Il gémit doucement. J’entame des coups de queue puissants et rapides. J’adore voir et entendre mes couilles rebondir sur son périnée. Mes coups de queue sont de plus en plus rapides. Je le pilonne avec force et vigueur. Nos corps vibrent sous l’effet de cette baise bestiale. Notre plaisir est au maximum.

Je le défonce comme un dingue, rapidement, très profondément. Je me vois alors dans le miroir en train de le baiser. Je vois mes couilles rebondir sur son cul et se balancer d’avant en arrière. Elles accompagnent les mouvements de son cul qui dégouline de sperme. Je le prends dans mes bras et je le serre fort. Je veux le sentir au plus près de moi.

Au bout de 20 minutes, je jouis pour la troisième fois de la journée dans son anus. J’éjacule un jus épais et peu abondant dont il ressent cependant la chaleur car il couine bien. Il saisit sa bite et se branle. Je m’agenouille devant lui et j’avale son sperme qui sort en de grandes giclées liquides. On s’embrasse longuement, je lui redonne aussi une partie de sa semence et on se rhabille avant de descendre devant la télé. On décide de rester manger ici. On entend cependant toujours nos pères s’amuser ensemble.

Quand nos pères redescendent, Cédric les regarde d’un air mauvais… mais il ne dit plus rien. Mon père s’en va et mon beau-père va prendre une douche. Cédric se tourne vers moi et il me dit :

- Je crois qu’il est temps d’officialiser notre relation auprès du reste de notre famille ? Qu’en penses-tu ?

Je le regarde, surpris mais ravi :

- Avec plaisir ! Mais d’où te vient cette soudaine envie ?
- Je ne veux plus me cacher et surtout je ne veux pas suivre l’exemple de mon père…

Je lui roule une grosse pelle quand j’entends la porte d’entrée s’ouvrir. Ma mère vient de rentrer.

A suivre…

Merci à Niko pour ses idées.

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