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HISTOIRE

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Rebeu au cinéma

Ce soir, je me rends au cinéma. Un cinéma normal. Le nouveau Marvel est sorti et aucun de mes potes n’a voulu venir avec moi. Tant pis ! Je vais voir le film seul, ça fait trop longtemps que je l’attends. Alors que je suis dans la file, je vois un mec canon un peu plus devant moi.

Au fait, je me présente. Je m’appelle Sébastien, j’ai 30 ans. Je suis de corpulence normale. Je fais plutôt intello avec mes lunettes. J’ai des cheveux châtain et courts. J’ai le visage lisse. Le mec qui me fait de l’effet doit être un peu plus jeune que moi. Il porte une casquette, il est assez grand. Il semble avoir les cheveux rasés. Il a une barbe noire. Il a l’air baraqué. Il porte un t-shirt qui laisse voir des bras puissants et poilus. Il porte aussi un jean moulant qui met un petit cul en valeur. Il est typé rebeu, il a une peau mate.

Le mec paie sa place et il se dirige vers le stand de popcorn. Je suis toujours dans la file d’attente et je finis par pouvoir acheter ma place. Quand je quitte la caisse, je regarde autour de moi. Je dois me rendre à l’évidence que j’ai perdu de vue le beau gosse. Je me rends alors vers les salles. Il y a la queue. Des employés sont en train de contrôler les billets. Soudain, je vois le rebeu. Il y a 4 ou 5 personnes entre nous. Il donne son ticket à l’employé, et il passe. J’essaie de voir vers où il se dirige. Mais je le perds de vue au détour d’un couloir.

Je donne vite mon ticket et je vais vers la salle où mon film est projeté. Je me cours presque, dans l'espoir que le beau gosse soit dans la même salle que moi. J’entre et je le vois en effet monter les escaliers de la salle. Il s’assoit à la dernière rangée. J’aurais préféré au milieu car je trouve que c’est là qu’on en profite le mieux. Mais attiré par ce mec, je me dirige vers la dernière rangée... qui se trouve être complètement vide. Pas étonnant. D’ailleurs, il est 14h, la majorité des personnes doivent être en train de bosser. Mais il y a quand même un peu de monde, surtout vers le milieu de la salle. Je m’assois. Je laisse quand même deux sièges vides entre nous. Je le regarde. Je vois qu’il me regarde aussi, il me sourit. Puis son regard se porte sur l’écran car les bandes-annonces se mettent en route.

Tout excité, je n’arrive pas à me concentrer sur l’écran, et je dois sans arrêt tourner la tête vers le mec. A un moment, il place son pied droit sur sa jambe gauche et je remarque alors qu’il porte des sneakers sans chaussettes. Putain ! Ma queue ne fait qu’un bond ! Je commence à transpirer. J’essaie de reprendre en souffle. Il faut que vous sachiez que j’ai une faiblesse pour les pieds. Du coin de l’œil, je mate ses chaussures, ainsi que ses chevilles poilues. J’essaie de rester discret. Je dois dire que le mec me fait un petit peu peur. Il a vraiment une carrure et une allure très macho, très masculine. Il me fait envie, mais quand même il m’impose le respect.

Finalement, le film commence et au même moment, le gars repose son pied sur le sol. J’essaie de me concentrer sur le film, mais c’est très difficile. Finalement, je n’en peux plus. Alors, je fais genre de fouiller dans ma sacoche, j’en sors un stylo. Et je fais comme si je l’échappais de mes mains. Il ne tombe pas très loin des pieds du mec. Je pose ma sacoche sur le siège d’à côté et je me mets à chercher à tâtons le stylo. J’arrive au niveau des pieds du rebeu et là, une odeur pénètre mes narines. Je me mets à humer ses pieds à plein nez. Putain ! Je pense à transpirer. Le mec sent le mâle ! J’admire ses pieds nus dans ses sneakers. J’essaie de me ressaisir et de retourner à ma place. Mais tout d’un coup, le pied sort de la chaussure et, rapide comme l’éclair, il se plaque directement sur ma nuque. Le rebeu sort son autre pied de sa chaussure et il me le fout sous le nez. J’ai une belle vue sur ces grands panards, je pense qu’ils font du 47 ou 48. Ces mollets sont poilus. Et des poils recouvrent ses orteils ainsi que ses pieds. J’ai du mal à résister à ce mec. Je bande vraiment à fond et sans plus pouvoir me contrôler, ma langue sort de ma bouche et elle se met à lécher le gros orteil du mec qui pousse un soupir en murmurant :

- Petite salope !

Je lève alors les yeux et je vois son air dominant et macho. Mais ses yeux étincellent d’envie. Il colle son pied gauche sur ma bouche et je ne peux plus résister. Ma langue passe le long de son panard, sur le côté, sous la plante de ses pieds. Puis, je lèche chaque orteil. Ils sentent la sueur, comme si le mec avait fait du sport avant de venir voir le film. Je me délecte de ses odeurs. Ensuite, il me fout son pied gauche sous la bouche et je m’en occupe aussi à fond. Il replaque son pied gauche sur la nuque et il m’oblige à monter avec ma langue le long de sa jambe poilue. Quand j’arrive au niveau de ses mollets, ma langue joue avec les poils fournis, épais et longs de ce macho. Je kiffe trop, je vois alors que son entrejambe s’est mis à gonfler. Une belle bosse déforme son short. D’un geste brusque, il m’agrippe la nuque avec sa main, il me plaque sur son morceau. Ma langue sort et lèche sa grosse bosse à travers le tissu. Finalement, il ouvre son short. Il me plaque contre son morceau. Je hume alors son odeur de mâle qui se dégage de son pubis odorant et hyper velu. Ma langue passe dedans. Puis, elle va vers ses couilles qui sentent aussi le mâle et la sueur. Je me régale de tout ceci. Ma langue finit par passer le long de son morceau qui est énorme, un vrai anaconda. Son pubis est très velu, des poils épais, longs, frisés. Sa teub fait bien 22 cm, elle est très large et marron foncé. Le gland rosâtre est gros, un peu plus gros que sa bite. Ses énormes couilles pendantes sont très velues et lourdes.

Sa teub sent la pisse, la sueur et même le tabac. Mais je ne peux plus résister, je l’enfourne dans ma bouche. Je vois ses pieds se crisper. Le rebeu essaie de ne pas émettre de gémissements. Mais je sais que mon traitement lui plaît. J’enfonce délicatement sa teub sur toute sa longueur dans ma bouche et je me mets à le sucer en faisant de bonnes gorges profondes. Soudain, une de ses mains commence à passer le long mon corps et à mon caresser mon cul. Je continue ma suce ce qui semble bien l’exciter. Finalement, un de ces doigts s’enfonce dans mon caleçon et il se met à triturer mon trou. Le rebeu me murmure à l’oreille :

- Putain ! Espèce de salope ! J’ai trop envie de te défoncer.

Je lève les yeux vers lui et je fais oui de la tête. Il saisit alors mes bras, je me retrouve debout, il me descend mon pantalon. Il me fait assoir contre lui. Je regarde autour de nous : notre rangée est vide. Heureusement ! Les gens qui sont devant nous sont concentrés sur le film. Le rebeu se met à m’embrasser dans le cou et à caresser mon corps. Puis, il passe ses mains sous mes cuisses et mon trou se retrouve au-dessus de son gland. Il commence à faire de légers mouvements légers de reins. Son gland se retrouve dans mon anus. A l’aide de ses mains, il m’enfonce sur sa queue qui rentre dans mon trou. J’ai mal, je ne suis pas lubrifié et cette grosse queue est en train de m’ouvrir en grand.

Le mec doit s’y reprendre à plusieurs fois, me permettant ainsi de m’habituer à sa grosse queue. Je pousse un soupir de soulagement quand je sens mon cul atterrir sur son pubis moelleux. Il commence à me faire monter et descendre sur sa teub. Puis, il me plaque contre lui, il m’embrasse dans le cou et il se met à donner des coups de rein. Sa queue s’enfonce en moi très profondément, je sens bien son gland qui me maltraite la prostate et le fond du cul. Je le laisse faire. Je pousse un petit gémissement. Il plaque alors sa main sur ma bouche.

Il me défonce ainsi pendant quelques minutes. Et dans un coup ultime, hyperviolent, puissant, je me retrouve embroché sur toute la longueur de sa queue. Je sens alors mon cul se remplir. Une dizaine de jets mitraillent mes entrailles. Moi, je remarque alors que je jouis m’être touché. Six jets sortent de ma queue telle une fontaine dans les airs, retombant comme de la pluie autour de nous. Il me fait baisser les jambes. Je ne me retrouve assis sur lui, la queue toujours ensemble dans mon cul. Elle se ramollit. Et quand elle devient molle et qu’elle sort de mon cul, un tsunami jaillit de mon trou et tombe sur le siège.

Ça ne semble pas déranger le rebeu qui me sert fort dans ses bras. On est toujours à moitié nu et il m’embrasse de temps en temps dans le cou tout en regardant le film et en me serrant bien fort dans ses bras. Trois quarts d’heure plus tard, je sens sa bite se dresser un peu. Il me fait alors mettre à 4 pattes. Et je sens la sueur et je me charge de nouveau de ses pieds. Il y a quelques gouttes de sperme dessus et je les avale avec plaisir. Il me laisse lui lécher les pieds et sur les orteils et finalement, je m’occupe de sa queue. Il me fait alors placer à quatre pattes. Caché derrière les sièges, il se met aussi à genoux et il enfonce sa teub dans mon cul béant d’où dégouline encore son sperme. Il se met à me défoncer à fond. Ces grosses couilles claquent contre mon périnée. Il enlève son t-shirt et j’admire son corps : il a des épaules larges, un corps normal, un poil enrobé. Son torse est très velu, il est recouvert d’une forêt de poils noirs et épais. Un épais filet descend de son torse le long de son ventre. Ses bras et ses jambes poilues sont musclés.

Une de mes mains caressent son magnifique corps pendant qu’il me donne de bons coups de reins. Il se penche vers moi et nous nous embrassons sauvagement. Ses cuisses musclées claquent contre mes fesses. Quand ses lèvres quittent ses lèvres, il me murmure à l’oreille :

- T’es une grosse pute, toi ! Ton trou est trop bon ! Bien meilleur que celui de ma meuf ! J’adore les petits trous serrés !

Soudain, je sens sa queue faire des « splatchs » bruyants. Son jus se met à sortir de mon cul par vagues et à recouvrir ses couilles, mes jambes, les siennes. Sa bite baigne dans son propre jus ! Il ralentit la cadence et il me baise sur toute la longueur de sa teub, la faisant entrer et sortir complètement. Je savoure sa bite, j’en ressens les moindres recoins, les moindres veines. Le rebeu se penche sur moi, il me serre fort, il accélère ses mouvements. Il se met à me pilonner. Heureusement que les effets sonores du film recouvrent le bruit de notre baise.

- T’es une vraie pouliche, tu encaisses bien, ça me plait vraiment beaucoup !

Son jus de la première baise dégouline toujours, m’éclabousse. Une grosse flaque s’est formée entre mes jambes. Le rebeu se met à me pilonner sans merci. Sa queue entre et sort à une vitesse incroyable. Je ne peux retenir mes gémissements qui sont recouverts par le bruit des explosions du film. Au bout de quelques minutes, je sens sa queue être prise de secousses et des giclées de sa semence m’envahissent. Il pompe son sperme en moi. Je sens ses jets gicler comme l’éruption d’un volcan. Quelle sensation intense ! Il me remplit bien le cul... Je sens sa semence chaude m’envahir et s’ajouter à sa première !

Il reste quelques secondes en moi, savourant que sa queue baigne dans son jus. Il saisit ma queue et il la branle à fond jusqu’à ce que je gicle 3 jets sur le sol. Puis, il se retire et un torrent de sperme explose hors de mon anus. J’en ai partout : sur les jambes, les cuisses, les pieds, le cul, les couilles... Je veux me redresser et le rebeu me prend dans ses bras et continue de regarder le film, nus. On savoure ce moment intime durant les dernières minutes du film.

Peu avant que les lumières s’allument, on remet vite nos habits et on sort en rigolant. On arrive dehors.

- C’était vraiment une très bonne baise, me dit-il. J’aimerais te revoir.
- Voilà mon numéro, répondis-je en lui tendant un bout de papier. Envoie-moi un message quand t’as envie.
- T’inquiète, je le ferai !

On se quitte après s’être embrassé. Il me quitte ainsi. Je sens mon anus béant, dégoulinant de sperme. Quel magnifique moment avec ce mâle rebeu !

Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).

Meetmemz

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