Passage dans la cité
Je me présente : je suis agent immobilier et je me rends dans la banlieue de Paris car j’ai été contacté par un client qui souhaite vendre sa maison. Mon patron m’y a envoyé car il avait proposé au vendeur que quelqu’un passe voir le bien.
Je me rends en RER jusqu’à Sarcelles. Je sors de la station et je regarde sur mon portable le chemin. Je suis les indications de Google et je me retrouve au bout de 5 minutes dans une cité. Je la traverse. Je vois des mecs en bas d’immeubles qui me regardent bizarrement. J’accélère le pas. Ils me dévisagent de la tête aux pieds. Pas étonnant, je suis tiré à quatre épingles. Petit costume d’un grand couturier qui met mes formes en valeur. Je suis brun. J’ai une coupe de cheveux courte, à la mode. Je suis rasé de près.
Je finis par sortir de la cité et 5 minutes plus tard, je me retrouve devant un pavillon. J’entre en me disant que ce ne va pas être facile de vendre l’objet... qui se trouve presque aux pieds de barres de HLM ... Le vendeur, un monsieur d’une soixantaine d’années, m’ouvre. Il m’offre un café et je me mets à faire du small-talk pour détendre l’atmosphère. Ensuite, nous commençons à parler affaire. Il pense en tirer une grosse somme et mes efforts pour lui faire voir la réalité ne semblent pas porter leurs fruits. Je lui explique ensuite comment on va procéder pour la vente. Puis, je lui fais signer des documents. Il m’offre alors un apéritif et on trinque à nos affaires. Il est très gentil, même si je le trouve très naïf.
Une fois les affaires finies, je sors de la maison après avoir serré la main du client et je repasse par la cité. Dès que j’y mets les pieds, je vois deux mecs qui m’avaient observé tout à l’heure. Ils m’apostrophent alors. Je les salue mais ils me font signe de venir vers eux. Mal à l’aise, je vais quand même dans leur direction.
- Bonjour messieurs.
- Salut ! Hey, comment t’es sapé toi !
- Ben oui, c’est mon métier qui veut ça.
J’observe les deux individus. Ils ont vraiment l’air d’être des lascars : le rebeu doit avoir 25 ans. Il a une peau basanée. Il a des cheveux courts, un visage lisse, des yeux perçants. Il a l’air mince. Quant au renoi, il est un peu plus âgé... Je dirais qu’il a 30 ans. Il est de taille moyenne. Il a des cheveux courts, noirs et crépus. Il porte la moustache. Il a de grosses lèvres. Sa peau est sombre.
Mon regard est alors attiré par l’entre-jambe du rebeu. Il a un paquet volumineux. On distingue parfaitement sa bite former une grosse boule dans son pantalon de jogging qui moule une bite épaisse et longue. J’en devine presque tous les détails. Elle forme un gros arc de cercle sur des couilles gonflées et bien visibles, énormes.
Mes yeux passent ensuite à l’entre-jambe du black. Il semble avoir de grosses couilles. Il a un morceau qui a l’air lourd et qui est posé sur son aine gauche. Il en occupe le tiers. Le tissu enveloppe parfaitement un gros gland. Le renoi n’a pas l’air aussi bien doté que son pote. Je suis sûr que les deux ne portent pas de caleçon.
Je redresse vite les yeux pour ne pas me faire gauler... mais le rebeu me sourit. A-t-il remarqué quelque chose ? Le rebeu met tend alors la main :
- Moi, c’est Amin.
- Et moi César, dit le black.
Amin me serre la main... et soudain, il m’attire vers lui. Je me retrouve collé contre son corps... mais un truc bizarre me fait baisser les yeux vers le bas. Le rebeu bande dans son pantalon de jogging qui est déformé par une grosse barre. Ça lui fait une tente qui tire sur le tissu... et qui est collée contre ma jambe. Il me murmure à l’oreille :
- C’est ça qui te fait envie ?
Je réponds alors timidement :
- Oui !
Amin me relâche et il sourit. Il dit à son pote :
- Je crois que c’est une grosse chienne !
- On va chez toi ?
- Ouais !
- Laisse-nous passer devant et suis-nous à distance.
- Ok, dis-je tout simplement.
Les deux s’éloignent et je les suis, l’air de rien. Ils entrent dans un immeuble. J’entre aussi. Ils m’attendent dans l’ascenseur. J’y monte. Amin appuie sur « 5 » et l’ascenseur se met en branle. Il est étroit et je me sens serré contre les deux « lascars ». Je sens leur souffle dans mon cou... Je me sens comme une proie prête à se faire dévorer... ce qui m’excite au plus haut point.
L’ascenseur s’arrête au 5ème. J’en sors. Les deux marchent dans le couloir et ils ouvrent une porte. Je les suis et j’entre. Rapidement, la porte se referme ... et le renoi me fait mettre à genoux. Amin sort une bite molle de son pantalon et César plaque ma bouche sur la queue de son pote. Amin prend ma tête dans ses mains et il me fait aller et venir sur sa queue qui se met à prendre du volume dans ma bouche. Elle s’allonge et gonfle. Je sens ma mâchoire se faire écarter. Pendant ce temps, César sort sa bite de son pantalon et il se branle. Il pose sa main sur ma tête et il m’impose la cadence que je dois adopter pour sucer son pote. Quand la queue d’Amin est bien tendue, le rebeu me fait passer à la bite de son pote. César me laisse le sucer pendant qu’il me caresse la tête. Puis, il me fait repasser à la queue du rebeu qui me défonce la bouche.
Finalement, ils se retirent de ma bouche et je peux admirer leur queue : Amin a une bite épaisse (si épaisse que ma main n’arrive pas à en faire le tour) veinée, marron. Ses couilles sont marron foncé et énormes, comme des couilles de taureau. Quant à César, il a de grosses couilles noires, poilues et une bite noire de 20 cm, recourbée vers le bas, avec un énorme gland rosâtre.
Les deux potes me font sucer leur bite à tour de rôle, avec des gorges profondes, des défonces de gueule. Ils contrôlent mon rythme et la profondeur de la suce. J’encaisse bien les deux grosses teubs.
A un moment, Amin me plaque contre le mur et il me crache dans la gueule. Il renfonce sa bite en moi et il me baise la bouche à fond. Ses grosses couilles claquent contre mon menton. Puis, c’est le tour de César de se servir de ma bouche comme d’un sex-toy. Amin se met à me mettre des claques :
- C’est bien, t’es une bonne suceuse !
Je suis tout excité de me faire traiter de la sorte par ces deux lascars. Ils m’utilisent ainsi pendant une dizaine de minutes. Leurs doigts passent parfois dans mon pantalon et ils me caressent les fesses et le trou en sifflant d’excitation. Amin s’exclame :
- Tu suces trop bien, salope !
- Tu aimes ma grosse queue, avoue, petite pute !, demande César
- Putain, oui ! Je l’adore !, dis-je.
A un moment, alors que je suis en train de sucer César, accroupi, Amin passe derrière moi et il fait descendre mon pantalon.
- Allez, donne ton cul maintenant !
Je me retrouve les fesses à l’air. Il se met à me doigter en utilisant un peu de bave.
- J’ai bien envie de lui péter sa petite chatte ! Pas vous ?
- Vas-y !, s’écrie César.
Sans trop attendre, Amin enfonce d’un trait sa bite dans mon cul, sans capote. J’étouffe un cri de douleur. Je sens ses couilles posées contre mon cul et les poils de son pubis qui me caressent la peau. Il pose ses mains sur mes hanches et il entame des va-et-vient rapides pendant que César me baise la gueule. Je me fais maintenant défoncer par les deux trous. César me démolit ma bouche en enfonçant sa bite avec de grands coups. Amin se défoule dans mon anus, me faisait aussi bien couiner. Son pilonnage devient de plus en plus fort et intense. Ses cuisses claquent contre mes fesses. Ses mains agrippent mes hanches. La douleur se transforme peu à peu en plaisir. Je bande de nouveau. Amin se fait plaisir dans mon anus. Il fait bien entrer et sortir ma bite sur toute sa longueur. Il ne cesse de dire :
- Cette grosse pute aime vraiment la bite ! Sa chatte est vraiment trop bonne !
Au bout de quelques minutes, Amin me fait basculer et je me retrouve sur le carrelage froid pendant que le rebeu continue de me défoncer. Trois minutes plus tard, il cède sa place à son pote qui enfonce sa bite d’un trait. Je gémis de plaisir : la teub d’Amin m’a déjà bien ouvert ! Il donne de grands coups secs et amples. César crie :
- Putain, t’avais raison, Amin ! Son cul est extra !
Sans que je m’y attende, Amin présente sa bite devant la bouche de son pote... qui se met à la sucer. Très vite, Amin se met à lui baiser la gueule pendant qu’il me défonce. Ensuite, Amin sort de la bouche de son pote et il s’assoit devant moi. Il me donne sa queue et je m’en occupe à mon tour.
Après 5 minutes, Amin me fait me relever et il me presse dans sa chambre. Il me déshabille et il me jette sur son lit. Finalement, ils se dessapent aussi. Le corps d’Amin est mince avec quelques muscles. Il a un corps très poilu, aves des poils noirs et épais. Son torse est complètement recouvert de poils tout comme son ventre. Ses bras ainsi que ses jambes sont vraiment velus, des poils longs et très serrés. Même ses doigts sont poilus. Son pubis est extrêmement velu, des poils longs, frisés et denses. Quant à César, il a un corps musclé sec, imberbe, avec de beaux pectoraux. Il a des tatouages sur le bras gauche. Son pubis est très velu, des poils noirs et frisés.
Amin me fait mettre sur le ventre et il s’enfonce dans mon cul tandis que César grimpe sur le lit et il me donne sa queue noire à sucer. Amin fout ses mains dans mon dos et il reprend son pilonnage. César plaque ses mains sur ma tête et il me baise la gueule. Ils me prennent ainsi par les deux trous pendant 10 minutes. Amin me défonce à fond, ses coups sont profonds, puissants et rapides. Il est tel un marteau-piqueur. Ses boules cognent fort contre mes fesses et elles rebondissent dessus. Puis, le rebeu sort de mon cul et c’est de nouveau le tour de César de me défoncer le trou. Il me maintient d’une main dans le dos contre le lit et il me défonce à fond. Ses coups sont moins puissants que son pote mais ils sont tout aussi profonds. Amin me donne sa queue à sucer. Au bout de quelques minutes, César presse son corps noir contre le mien et il passe ses bras autour de mon torse. Ses coups de bite deviennent plus profonds et plus intenses. Sa teub me masse bien la prostate. Amin se place derrière nous et il admire la grosse queue noire entrer et sortir de mon petit trou.
Ensuite, César me fait placer sur le côté. Amin en profite pour reprendre la baise de ma gueule. Puis, Amin reprend la défonce de mon cul. Cette fois, il me fait mettre à quatre pattes. César me baise après dans cette position. Sa bite ouvre bien mon trou. Elle coulisse en moi merveilleusement. Le gros gland me tape le fond du cul et ça me fait bien gémir. Ses boules fouettent mon périnée bruyamment.
Finalement, je me retrouve à chevaucher la bite de César. Je me mets à monter et descendre sur sa queue pendant qu’il me malaxe avidement le cul. Puis, ses mains descendent et il m’aide à aller plus vite sur sa bite. Mes fesses tapent contre ses grosses boules et mes propres couilles atterrissent dans ses poils de pubis moelleux.
Soudain, la main d’Amin se place sur mon épaule et je sens son gland essayer de forcer l’entrée de mon anus. Enivré par cette baise intense, je le laisse faire et j’arrête ma chevauchée. Sa bite glisse le long de la teub de de renoi et la moitié se retrouve dans mon anus. C’est comme si je me faisais écarteler. Je me sens rempli... comme jamais. Amin continue sa descente et sa bite glisse le long de celle de son pote, passant mes sphincters les uns après les autres. Le rebeu commence des va-et-vient. J’adore les doubles sodo !
- Putain ! Comme elle prend nos deux queues, cette tepu !
- Ouais ! Elle a l’air aimer ça !
Certes, mon cul souffre, je le sens complètement ouvert mais je gémis de plaisir sous les puissants coups de reins du rebeu. Ensuite, les deux mecs se mettent à donner des coups de bite en même temps, ils sont synchros : l’un rentre, l’autre sort. Leurs couilles se frottent les unes aux autres. Quelle sensation incroyable de sentir deux queues à l’intérieur de moi en train de me baiser.
Amin ressort et ils me refont mettre sur le dos. César passe sa langue sur mon trou où il enfonce ses 20 cm très vite. Il adopte une cadence rapide et régulière qui font frapper ses couilles contre mes fesses. Puis, il se met accroupi derrière mon cul ce qui me fait encore mieux ressentir son gros gland. Ensuite, Amin prend sa place. Il crache sur mon trou et il entame une cadence ample et rapide. Sa queue entre et sort de mon trou. Il me lime bien. Il me domine de sa stature. Son regard est celui du mec dominant qui est satisfait d’avoir trouvé une petite chatte pour le satisfaire. J’admire aussi sa bite... sa grosse queue me distend le trou au maximum... c’est comme si j’avais un tronc d’arbre dans l’anus ! J’adore voir son corps velu aller et venir devant mes yeux. Et ces mains poilues qui me tiennent les cuisses... elles me donnent vraiment envie. Il me met quelques baffes en disant :
- Ça te plait, salope ?
- Oui.
- Tu aimes te faire baiser ?
- Oui.
- Tu aimes te faire traiter comme une pute ?
- Oui.
Amin sourit, satisfait. Au bout de 10 minutes, je me retrouve à plat ventre sur le lit. César me défonce pendant que je suce son pote. Puis, Amin reprend. A un moment, il dit à son pote :
- Je vais pas pouvoir tenir plus longtemps, bro !
- Vas-y, ensemence cette pute ! Mets-la bien enceinte !
Amin accélère les coups de reins et il finit par se bloque en moi. Je sens alors sa queue pulser des jets de sperme qui mitraillent mon anus. Je compte bien 9 giclées puissantes. Il ressort et César prend immédiatement la suite.
- Putain, ton sperme est bien chaud !
Le renoi se met à baiser dans le jus de son ami. La semence sort par vagues sous l’effet de sa queue qui fait piston. Cinq minutes plus tard, c’est le tour de César de jouir :
- Je vais te féconder comme une femelle !, dit-il avant de se bloquer en moi.
Il envoie 6 giclées épaisses dans le fond de mon anus. Il tasse ensuite son jus qui dégouline aussi hors de mon trou.
Les deux se redressent et ils me donnent leur queue à nettoyer. Celle de César est toute blanche, recouverte du jus de son pote. Amin dit :
- Salope ! On t’a bien fécondé !
- Garde bien notre jus dans ton cul !, ordonne César
Je me mets à me branler à fond. A ma grande surprise, Amin me fait coucher sur le lit et il approche sa bouche de mon gland. Au moment où je vais jouir, il enfonce ma queue en gorge profonde et je jouis directement dans son œsophage.
J’ai à peine le temps de me remettre de mes émotions qu’Amin dit :
- T’es une bonne pute ! Mais maintenant, casse-toi !
Je me rhabille sans pouvoir me laver et je sors du bâtiment. Je me précipite dans le RER. Une fois assis, je me remets de mes émotions... et je sens mon trou béant qui laisse échapper par vagues le sperme qui se met à remplir mon caleçon. Il me tarde que mon chef me renvoie à Sarcelles...
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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