Salut à tous, je m’appelle Chris. J’ai 30 ans. Je suis brun, j’ai les cheveux courts, je suis mince (mais pas du tout musclé, je ne suis absolument pas sportif), de taille moyenne et un peu poilu. Mes poils commencent à partir du nombril et partent en une ligne bien noire et plongent dans mon pubis assez velu. Mes jambes sont aussi recouvertes d’une toison noire et soyeuse.
Ce soir, je sors avec des potes en boîte. Je suis célibataire depuis peu. Et je suis bien décidé à en profiter. On va dans un bar gay. On passe une très bonne soirée, on boit beaucoup. A un moment, je sens une main sur mon épaule. Je me retourne et qui est ce que je vois ? Un de mes anciens potes d’école, Romain.
- Salut Chris, tu vas bien ?
- Romain ! Ah ben, ça va et toi ? Ça fait longtemps ?
- Et oui, en effet.
- T’as vraiment pas changé !
Et en effet, depuis près de 10 ans qu’on ne s’est pas vus, je trouve que Romain n’a pas pris une ride. Il est toujours aussi charmant. Il a toujours le regard aussi espiègle et les traits toujours aussi juvénile. Par contre, il porte un t-shirt très moulant et un petit pantalon qui met ses fesses bien en valeur.
- Et si je m’étais attendu à te voir ici !, reprend Romain. T’es gay ?
- Et oui, ça, j’ai fait mon coming-out il y a 5 ans, quand j’étais à la fac. Et donc ... toi aussi ?
- Oui.
Bon, je dois avouer que cette question était plutôt rhétorique. Depuis très longtemps, je me doute que Romain est homo. Ça fait très longtemps que je me le dis. Il a des manières assez féminines et il s’est toujours habillé de façon très particulière. En plus, il marche en dandinant du cul.
On décide de s’asseoir, de prendre un verre, puis après, on va sur la piste danser. Il est vraiment super canon. Il me fait vraiment de l’effet, je dois dire, même si je le trouve un peu efféminé.
Vers 11h, il me dit :
- Je vais vous devoir te quitter, là, j’ai mon bus qui passe.
- Comment ça ? Si tôt ?
- Et oui, c’est le dernier bus qui rentre chez moi.
- T’habite où ?
- À Saint-Sulpice.
Je connais, c’est un petit village à 20 km d’Angoulême.
- Non mais c’est dommage. Pourquoi t’en aller déjà ? Si tu veux, tu peux passer la nuit chez moi, y a pas de souci.
Romain accepte. On va sur la piste de danse. La nuit se prolonge. Finalement, vers 3h du matin, on décide de rentrer chez moi. Quand j’ouvre la porte, je lui dis :
- Romain, je vais te laisser mon lit. Attends, je vais changer les draps.
- Et toi, tu dors où ?
- Moi, je vais me mettre dans le canapé.
- Bah non, ça serait trop con. Allez, on est 2 anciens potes, on peut bien dormir dans ton lit à deux. Moi, ça me dérange pas.
- Ok, pas de problème.
On se déshabille et on se met en caleçon.
Romain a comme moi la trentaine. Il est plutôt petit avec des cheveux bruns, plutôt courts. Il a un visage imberbe, de magnifiques yeux verts. Son corps est aussi imberbe. Il est svelte, musclé sec avec de petits pectoraux et des tablettes de chocolat. Il a un petit cul musclé et bombé qui ne me laisse pas indifférent. En un mot, un cul d’enfer et son corps, la tentation incarnée.
Romain est vraiment magnifique. Franchement, j’arrive à peine à contenir mon excitation. L’alcool aidant, je finis par me rapprocher de lui et je passe une jambe sur la sienne. Romain ne bouge pas, il me laisse faire. Je me colle alors à lui et ma main passe autour de son corps. On se regarde dans les yeux. Je le trouve vraiment sexy, vraiment super craquant avec ses traits fins et ses lèvres pulpeuses. Finalement, je ne tiens plus et mes lèvres vont se coller sur les siennes. Je l’embrasse et il répond à mes baisers. Nos mains caressent le corps de l’autre. On devient vraiment chaud. Ma main descend vers son caleçon et je me mets à triturer sa bite. Elle est plutôt petite... mais ce n’est pas ça qui m’intéresse de toute façon. Je le fais un peu se retourner. On se positionne en cuillère. Je le prends dans mes bras, mais une de mes mains se met à caresser son cul qui est bien ferme et bien dur, comme je les aime.
Finalement, une main passe dans son caleçon et elle se met à triturer son petit cul. Il a l’air vraiment bien chaud. Je commence à frotter ma queue, qui est encore prisonnière de mon caleçon, contre son contre ses fesses. Mais quand je me mets à baisser son caleçon, il le remonte en disant :
- Chris, m’en veux pas, mais je crois que je suis trop fatigué ce soir, désolé.
Il remonte son caleçon. Il s’éloigne un peu de moi. Je me remets sur le dos, ahuri par cette réaction. Très vite, je l’entends ronfler. Je suis tellement excité que je vais me branler dans la salle de bain, vite fait. Quand je reviens, je me colle contre lui et je m’endors.
Le lendemain, on se réveille vers 9h. Cette fois, j’essaie de le prendre dans mes bras, de l’embrasser dans le cou tout en malaxant ses fesses. Mais il se lève en prétextant :
- Je suis désolé, mais il faut que j’y aille, sinon, je vais être en retard pour le repas familial.
Il se lève, je lui prépare un café qu’il avale et il s’en va. Je suis vraiment un peu déçu. Mais j’oublie très vite Romain dans les bras d’un de me amants.
Un mois plus tard, alors que je m’y attendais plus du tout, je reçois un message de la part de Romain qui me demande si je veux sortir ce soir. Je réponds par l’affirmatif. Et finalement, on sort tous les deux en boîte. Plus la soirée avance, plus il devient tactile, plus on se rapproche et plus nos corps se frottent l’un contre l’autre. Mes mains arrivent sur ses fesses. Et quand il me dit qu’il est fatigué, je retente ma chance, bien chaud, et je lui propose d’aller chez moi. Je regarde l’heure, il est 2 heures. Je suis vraiment chaud et j’espère vraiment cette fois sera la bonne.
Comme la dernière fois, arrivé chez moi, je suis bien chaud. Je me déshabille complètement... alors que lui garde son caleçon. On va dans mon lit, on rigole comme des adolescents. On s’embrasse, nos mains caressent le corps de l’autre. Et finalement, je lui demande :
- Dis, tu veux pas me sucer ?
A ma grande surprise, il s'éloigne en me disant :
- Non, je suis désolé. Je crois pas que j’en ai envie ce soir.
Et comme la dernière fois, ce petit con se retourne et très vite, il s’endort. Je suis vraiment frustré. Je m’endors avec la queue bien dure.
Le lendemain, alors que j’essaie de nouveau de le séduire, il prétexte de nouveau qu’il doit partir. Je suis vraiment énervé et je le laisse partir.
Trois mois plus tard, je le rencontre de nouveau alors que je rentre dans le bar gay avec des pote. Il est seul et il boit au bar. Il me fait un grand salut. Je l’ignore. Une heure plus tard, je vais le voir, un peu énervé, décidé à lui dire qu’on en resterait là. Je distingue alors des larmes dans ses yeux. Je ravale ma colère, je finis par m’asseoir avec lui et il m’explique qu’il a eu une grosse déception amoureuse. On parle beaucoup pendant la soirée, puis je lui demande s’il veut venir dormir à la maison. Il accepte. On se retrouve au lit comme les deux fois. Et très vite, la température monte, on se met à s’embrasser. Et sans que je m’y attende, sa main descend vers mon entre-jambe, il ouvre mon caleçon, il en sort mes 18 cm, il se met à les sucer. Peu avant que j’atteigne l’orgasme, il s’arrête et il se met à pleurer.
Je le prends dans mes bras. Vous ne pouvez pas vous imaginer l’état dans laquelle je suis. Ce petit con m’a chauffé pendant des mois... et au moment où j’allais atteindre l’orgasme, il se retire. Essayant de cacher mon énervement et ma frustration, je le prends dans mes bras et je le caresse. Très vite, il s’endort dans mes bras.
Quand je me réveille le lendemain, il n’est plus là, il y a un mot sur la table de la cuisine qui me dit : « Désolé pour tout ça. Je dois y aller, j’ai un repas de famille. » Enervé, je déchire le mot.
Un mois et demi se passe sans que je n’aie de ses nouvelles. Moi non plus, je n’essaie pas d’en avoir. Un soir, alors que je rentre du boulot, je vois que j’ai un message de Romain qui écrit : « Ça te dérange si je passe ? ». Je lui réponds : « Non, pas de souci, tu peux passer pour l’apéro ». Je n’ai pas en fait envie d’écouter ses problèmes pendant des heures. Donc message clair : « Pour l’apéro ». J’espère cependant une petite récompense à la clé... même si j’y crois peu.
Il arrive, on discute. Il me dit qu’il s’est bien remis de sa rupture et qu’il est désolé d’être parti comme un voleur la dernière fois. Puis, sans que je m’y attende, il se met à caresser ma jambe. Je le regarde, surpris :
- Qu’est-ce que tu fais ?
- Tu sais... Je suis un peu désolé de t’avoir chauffé la dernière fois et de pas avoir pu terminer. Par contre, j’aimerais bien aller jusqu’au bout cette fois.
Ma bite ne fait qu’un bond dans mon caleçon. Il le remarque et sans que je lui dise quoi que ce soit, il se met entre mes jambes, il ouvre ma braguette et il en sort ma queue. Il la prend en main et délicatement, il se met à faire aller et venir mon gland. Et puis, ses lèvres passent dessus et elles avalent lentement mon morceau. Moi, je mets ma tête en arrière, savourant ses caresses buccales. Très vite, il me fait des gorges profondes.
Je suis prêt à atteindre l’orgasme et je l’arrête car cette fois, j’ai un bon feeling. Je me lève, je le plaque contre moi et je me mets à malaxer ses fesses... c’est de ça dont j’ai envie. On va dans ma chambre. Une fois la porte fermée, je le prends dans mes bras tout en massant son cul, et on se roule de grosse pelle. Puis, il me fait basculer sur le lit, il s’empare de ma queue et il recommence à la sucer. C’est une suce longue et bien profonde dans sa bouche. Ensuite, il remonte vers moi, on s’embrasse. J’ai enfin son corps magnifique entre mes mains. Je malaxe ses fesses, un de mes doigts passe dans sa raie, puis dans son trou et je me mets à le doigter. Romain gémit d’une façon très féminine... ce qui m’excite, d’une certaine façon. En l’entendant, je ne peux plus résister. Je le retourne sur le lit. Il se retrouve sur le dos. Moi coller contre lui, je l’embrasse tandis qu’une de mes mains se met à écarter ses miches. Ma queue cherche l’entrée de son trou. Mon gland finit par s’y enfoncer et lentement, je fais entrer mon morceau. Après plusieurs allers-retours, j’arrive au fond de lui. Je commence alors à lui faire l’amour d’une façon très sensuelle, avec des mouvements de reins lents et amples, tout en l’embrassant. Ma queue est pressée par son petit trou bien serré. « Enfin ! », me dis-je, « depuis le temps que j’en rêve ! »
Et c’est là que je laisse libre cours à mes pulsions, je me mets à le défoncer à fond, comme pour me venger du fait qu’il m’ait fait tant d’attendre tant de mois. Depuis le temps que je fantasmais sur son petit trou ! Je lui donne alors de gros coups de reins. Je le pilonne tel un marteau piqueur. Ma queue sans capote va-et-vient dans ses entrailles à une vitesse incroyable. Mon gland frappe le fond de son cul à répétition. Mes couilles claquent contre ses fesses. Plus je le défonce, plus Romain gémit fort. Par contre, je ne suis pas très endurant... Son petit trou est tout simplement trop serré. Mais je m’en fous, je donne libre court à mon envie et. Je démonte Romain qui gémit de plaisir. Dans un ultime coup de rein, je pousse un râle profond tandis qu’il gémit comme une salope, et je l’ensemence. Je sens ma bite expulser un premier jet très puissant qui s’explose contre ses entrailles. Six autres jets suivent. Ma queue pompe le jus en lui.
Je donne encore quelques coups de reins, puis je ressors. Mon jus épais et blanc dégouline de son trou. Je ne résiste pas et je renfonce ma bite dans son anus, faisant pression sur le jus qui sort en grosse quantité hors du trou pour couler le long de son cul. Je joue un peu avec ma bite dans son cul, puis je ressors.
Il remonte vers moi, il vient m’embrasser. Je pose une main sur son cul et je sens le sperme qui dégouline de ses fesses. Je vais alors lui faire un anulingus et je prends tout le jus que je peux amasser. Je reviens vers Romain et je lui roule une pelle au jus. Je rebande alors immédiatement. Romain descend vers ma queue en embrassant tout d’abord mon torse, puis mon ventre. Il fait détour par mes aisselles qu’il hume et lèche avec envie. Ensuite, il reprend ma queue en bouche. Le petit coquin semble insatiable. Il tète tout d’abord mon gland comme un biberon, puis il suce mes 18 cm sur toute leur longueur. Il revient pour m’embrasser... mais je m’empare de sa tête et je lui fous ma queue au fond de la gorge. Mes mains sur sa nuque, je l’oblige à me sucer à fond. J’utilise sa bouche comme un sex-toy. Il se branle à fond, ce traitement semble lui plaire. Lui me regarde droit dans les yeux, bien soumis. Je vois son trou dégoulinant toujours de sperme... et rien qu’en repensant à la baise, je le fais accélérer le rythme. Mes couilles frappent sa joue tellement je vais vite. Et au bout de 5 minutes, j’éjacule une deuxième fois, cette fois dans sa bouche.
Au moment où le dernier jet gicle au fond de son gosier, je l’entends gémir et un gros jet jaillit vient frapper ma cuisse, suivie par d’autres : sa sauce sort pendant bien dix secondes sans interruption, une dizaine de jets sont expulsés et ils viennent éclabousser mes jambes, ma queue et mon corps. On finit par se coller l’un contre l’autre. Mais quand il commence à s’endormir dans mes bras, je le réveille et je lui dis :
- T’as pas faim ?
- Si !
On va bouffer une pizza que je sors du congélateur. Il reste nu pendant le repas et j’admire son corps magnifique... qui m’appartient pour toute la nuit. Quand on a tout avalé, je lui dis :
- Va dans la chambre ! Ça va être ta fête, cette nuit !
Romain sourit et il se dirige vers ma chambre en dandinant du cul... « Quelle salope », me dis-je.
Durant la nuit, Romain se montre vorace... Un truc me réveille et je remarque vite que le passif s’est faufilé sous la couette et qu’il est en train de lécher ma bite ... qui se dresse, prête à un troisième round !
Il saisit ensuite ma bite et il commence à la sucer. Je me laisse faire. Romain me branle tout en faisant des va-et-vient sur ma teub. Puis, il me lèche les couilles avant de repasser à ma queue qu’il plonge dans ma bouche et qu’il suce avidement. Parfois, il sort ma queue, il la lèche, il titille mon gland du bout de sa langue. Je finis par plaquer ma main sur sa tête et j’accompagne sa suce en dirigeant la cadence. Il me suce ainsi pendant 10 minutes... Je sens mon orgasme monter. Ma bite durcit et alors, je plaque ma bite dans sa bouche en bloquant de mes mains. Ma queue se met à éjaculer en saccades et le sperme va directement se loger au fond de ma gorge. Il n’a pas d’autre choix que d’avaler. Quand il se redresse, Romain se lèche les babines. Je le prends dans mes bras, ma bite demi-molle contre son cul et je saisis sa teub que je branle jusqu’à ce qu’il jute dans la couette. On s’endort ainsi.
Merci à Chris pour ses idées.
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
Autres histoires de l'auteur :