Tiens, on sonne à la porte. Tout excité, je vais ouvrir la porte. Je vais avoir de la visite. Je tchate depuis quelques jours avec un petit mec du nom de Hugo. Il a 20 ans, selon son profil, c’est un petit mec bien skinny comme je les aime.
Quand Hugo entre, je suis sous le charme. Il est vraiment comme sa description de profil : il est petit (il fait 1,50m) pour 45 kg. Il porte un t-shirt noir qui laisse dépasser de petits bras maigres ainsi qu’un jean moulant qui laisse deviner de petites jambes maigres. J’adore.
Moi, je m’appelle Johan, j’ai 23 ans, je fais 1,95m pour 90 kg, je suis assez musclé et je suis monté 24 cm.
Je prends le petit mec dans mes bras, je le soulève de terre comme s’il ne pesait rien et je l’entraine dans ma chambre. Ce faisant, on se roule de grosses pelles. Il a ses bras autour de mon cou.
Une fois dans ma chambre, je le jette sur le lit. Je me précipite sur le lit et on se roule de grosses pelles. Très vite, nos vêtements volent dans la chambre et je peux l’observer avec envie : il a une peau pâle, son corps est imberbe. Ses bras sont minces et ses avant-bras maigres : on devine presque les os. Son torse est à peine bombé et il est tellement maigre que sa peau dessine le moindre contour de ses côtes. Son ventre est plat. Ses jambes sont vraiment fluettes. Il a quelques poils sur le pubis. Il a de petites couilles et une queue fine de 16 cm.
Nos bites sont dressées. Je prends sa tête dans mes mains tout en lui roulant une pelle. On s’embrasse de façon très torride. J’ai ma tête contre la sienne. Ses mains se mettent à caresser tout son corps. On s’embrasse pendant de longues minutes.
Soudain, Hugo s’arrête et il me regarde :
- J’aime bien m’occuper d’actifs... Mais j’ai un kiffe... C’est de les attacher pour sucer leur queue comme ils le méritent. Ça te dit ?
- Hm... Je sais pas... tu sais bien que je suis actif domi !
- T’as rien à craindre, c’est moi le passif.
Je réfléchis quelques secondes, puis je finis par dire :
- Ok, ça marche.
Il va alors chercher le matériel dans son sac et il revient. Il m’attache bien. Les cordes sont serrées, elles me font un peu mal. Mais je ne dis rien. Je me retrouve saucissonné sur le lit, sur le dos. Ma queue est redevenue molle.
Me voyant ainsi livré sur le lit, Hugo se jette sur moi et il me lèche dans le cou. Puis, il me fait lever le bras et il plonge sa tête contre mon aisselle. Il se met à snifer l’odeur qui s’en dégage. Il se met à me brouter les aisselles. Il s’enivre de mon odeur de mâle. Ensuite, sa langue descend le long de mon ventre et elle arrive au niveau de ma queue qui bande de nouveau sous ses caresses buccales. Sa langue passe sur mes couilles et sur ma teub. Mes 24 cm semblent lui plaire.
Ensuite, sa langue passe le long de mes boules et de mon périnée. Il veut me faire lever les jambes mais je refuse.
- Non, j’aime pas ça !
- Ok, désolé.
Soudain, il me retourne sur le ventre, d’une force presque surhumaine. Surpris, je remarque que je ne peux plus du tout bouger. Il m’a vraiment bien ligoté. Je le vois alors écarter mes fesses et il plonge sa tête dans ma raie. Il me broute le cul. Je sens sa langue pénétrer mon trou. En colère, je m’exclame :
- Arrête ça tout de suite !
Il ne m’écoute pas et il continue de me faire un anulingus. J’essaie de me débattre, mais rien à faire. Malgré mes 1,95m et ses 1,50m, il a réussi à me maitriser à faire de moi ce qu’il voulait. Il finit par se redresser et du coin de l’œil, je le vois lorgner mon cul.
- Oublie ça tout de suite, m’écrié-je
Sans prêter attention à mes dires, il se met à malaxer mes fesses. Je sens sa queue me toucher les poils de mon cul. La colère fait place alors à un autre sentiment, je reprends la parole :
- Je t’en supplie, arrête. Détache-moi.
- Non, dit-il simplement. J’ai envie d’essayer ton cul.
- C’est moi le mec qui donne les ordres ici, reprends-je, hors de moi.
Il ne m’écoute pas. Il saisit la boîte de capotes... et il se rend compte qu’elle est vide.
- Ce sera au naturel, alors !
Il commence à écarter mes fesses et je sens alors son gland pénétrer doucement mon anus.
- Putain ! Je vais te faire la misère quand je serai détaché.
Lentement et doucement, je sens sa bite entrer en moi. Hugo est en train de me dépuceler ! Jusqu’ici, j’ai toujours été uniquement actif. Je pousse un cri un peu de douleur mais je dois dire qu’il m’a bien lubrifié l’anus avec sa salive et que ça rentre assez bien. Sa queue s’introduit centimètre par centimètre dans mon anus. Elle descend lentement, m’écartant les chairs. Hugo se retrouve en moi et je sens son pubis collé contre mon cul. J’ai l’impression que mon cul est déchiré en deux. Il commence des va-et-vient et je ressens de la douleur. Hugo y va doucement : seule la base de sa queue sort de mon trou avant d’y re-rentrer lentement. Ses couilles tapent doucement mes fesses. Mais j’ai l’impression qu’un bâton dur me pénètre. Hugo m’embrasse alors dans le cou et il me murmure à l’oreille :
- Putain, t’es trop serré, dit-il.
Hugo me met alors une main sur la bouche alors que je me mets en colère. Il continue de faire de petits allers-retours en moi. Finalement, j’ai l’impression que je m’habitue à sa bite. Il accélère ensuite la cadence. Je me surprends alors à gémir.
- Tu as l’air d’apprécier ma queue, non ?
Je ne réponds pas. Mais mes gémissements parlent pour moi. Je regarde dans le miroir et je vois le corps maigre et petit de ce freluquet. Il fait tache en comparaison à mon dos qui paraît énorme par rapport à sa taille de crevette. Mon dos est aussi plus large que son corps et ça fait bizarre de voir ses bras bien écartés, posés de chaque côté de mon corps et de voir aussi ses petites cuisses taper contre mes grosses fesses. S’il posait sa tête contre mon dos musclé, elle se retrouverait contre mes omoplates.
Soudain, je sens ma bite prendre du volume. Je ne comprends pas ! Mon corps réagit de façon incompréhensible ! Mes 24 cm bandent lentement, ils se retrouvent coincés entre mon ventre et le lit. Hugo se met à me baiser de plus en plus rapidement. Il me lime brutalement, ressortant presque entièrement sa teub de mon cul pour me pénétrer de toute la longueur de sa queue, d’un coup sec. Il a toujours sa main sur ma bouche qui empêchent mes gémissements de sortir de mon gosier. Ce petit con est en train de baiser mon trou encore vierge il y a quelques minutes de cela. Il accélère encore plus la cadence. Ses couilles claquent contre mes fesses bruyamment. Il me défonce sans ménagement, telle une bête de sexe. Son petit corps se frotte contre le mien.
Au bout de 5 minutes, je sens sa respiration s’accélérer dans mon dos.
- Putain, je vais jouir !
- C’est ça, donne-moi bien ton foutre dans mes entrailles, m’écrié-je.
Dans un ultime coup de reins, Hugo éjacule dans mon cul. Je pousse un râle puissant au même moment que lui. Soudain, je sens les soubresauts de sa queue qui me féconde. Son jus gicle en moi, j’en ressens la chaleur au fond de mes entrailles. Ce sont une dizaine de jets, énormes, puissants qui me mitraillent le fond du cul.
- Voilà, petite pute, je t’ai bien ensemencée !
Hugo reste en moi jusqu’à qu’il débande. Puis, il se retire alors et je regarde alors mon réveil. Paniqué, je m’exclame :
- Détache-moi vite ! Mon frère va pas tarder à rentrer de l’école !
Hugo se met à rire et il ne m’écoute pas. Il allume une cigarette et il va la fumer à la fenêtre. Soudain, j’entends un gloussement. Je tourne tant bien que mal la tête ... et je vois alors mon frère qui est devant la porte, en train de nous mater.
- Julien, c’est pas ce que tu crois ! Il m’a forcé !
- Ah bon ?, s’exclame Hugo.
Il me retourne sur le ventre et mes 24 cm sont dressés sur mon ventre. Mon frère prend la parole :
- C’est du beau ! Voilà ce que tu fais quand les parents sont pas là ? Tu te fais baiser comme une salope ?!
- Ta gueule !, dis-je.
Hugo me donne alors une baffe en s’exclamant :
- C’est pas comme ça qu’on parle à son petit frère, salope ! Regarde comme ton cul dégouline de sperme ! T’es une pute, en fait !
- Détache-moi s’il-te-plaît, Julien !
- Non, montrez-moi plutôt ce que vous faisiez.
- Quoi ?
- Oui, Johan, montre-moi. Sinon, je dis tout aux parents !
- C’est quoi ce délire ! Espèce de petit puceau ! Ferme-la et libère-moi !
- Non... je crois que je vais aussi participer !
Mon frère se plante devant moi... et il se met à se déshabiller. Il a 18 ans, il est petit (1,70m pour 50 kg). Il est maigre aussi. Il a de cheveux bruns et frisés, un visage lisse rempli de boutons d’acné. Il porte aussi un appareil dentaire. Son corps est maigre, ses jambes sont fines, ses bras sont tels des cure-dents. Il a une taille de guêpe. Il est imberbe. Même son pubis montre à peine des poils. Il a de grosses couilles marron qui semblent bien remplies. Par contre, il a une bite assez grosse, de bien 18 cm, épaisse. Il a toujours eu un style assez soumis, je trouvais. Mais là, il est en train de prendre de l’assurance.
Je vois mon frère admirer mon cul. Hugo s’adresse à lui :
- Voilà comment tu vas t’occuper de ton frère !
Hugo, dont la queue bande de nouveau, enfonce sa teub dans ma bouche et il se met à me limer la gueule. Puis, il ressort ... et je vois mon frère qui veut enfoncer sa teub dans ma bouche... que je ferme, refusant de le sucer. Hugo prend la parole :
- Je crois que tu vas devoir appeler tes parents, Julien !
- Oui, j’en ai bien l’impression !
Vaincu, j’ouvre la bouche et je sens la bite de mon frère glisser sur ma langue. Il se met à faire des allers-retours, tout en profondeur. Il me démonte la bouche comme le lui a montré Hugo. Il est vraiment très viril comme ça devant moi. Ses couilles rebondissent contre mon menton. Je remarque alors que je bande comme un fou. Ses petites mains me caressent la tête. Moi, j’ai vu sur ses petites jambes qu’il écarte bien.
- C’est une méga bonne suceuse, s’exclame mon frère !
- Oui et tu vas voir... Il aime aussi se prendre des bites dans le cul, il encaisse bien !
- Vas-y ! Montre !
Sans s’occuper de mes yeux suppliants, Hugo grimpe sur le lit et il enfonce de nouveau sa bite dans mes entrailles. Il entame immédiatement de grands va-et-vient sauvages, tassant son jus. Le spectacle semble plaire à Julien qui accélère bien la cadence, limant ma bouche profondément et de plus en plus énergiquement.
Puis, Hugo ressort de mon trou ensemencé et c’est Julien qui passe derrière moi. Il présente son gland devant mon anus qui est recouvert de sperme. Il pousse et il s’enfonce jusqu’à la garde, d'une traite. Je gueule de plaisir. Julien couche son petit corps sur mon grand corps. Il me mordille dans le dos en disant :
- Je vais t’ensemencer, mon grand frère !
Il entame une baise lente avec des mouvements amples. A chaque va-et-vient, je sens ses couilles taper contre mon cul. Petit à petit, il accélère le rythme pendant qu’Hugo me fout sa bite dans la bouche qu’il se met à baiser. Ses petites mains sont sur mon cul et elles essaient de le masser. Julien s’écrie :
- Tu vas prendre cher, mon petit Johan !
Les coups de reins de mon frère deviennent de plus en plus puissants. Il se laisse aller, il donne libre court à ses pulsions et à son plaisir. J’admire alors la baise dans le miroir : mon frère, ce gringalet tout maigre, est en train de me limer comme il faut. Son corps tout mince, comme un sac d’os, bouge en cadence derrière mon gros cul qu’il caresse ou qu’il frappe de temps en temps. Ses bras ressemblent à des cure-dents qui me maintiennent en place. Sa petite taille contraste avec ma grande taille. Voir cette autre petite crevette se donner à fond derrière moi m’excite.
Une pensée me traverse l’esprit... Mon petit frère de 18 ans, vierge il y a encore quelques instants, est en train de me baiser. Rien qu’à cette pensée, je sens ma bite se contracter et j’éjacule, sans me toucher, une dizaine de jets sur le lit et sur mon ventre. Julien doit ressentir mon orgasme car il gémit fort. C’est à ce moment-là qu’Hugo me fout sa bite entièrement dans la bouche et qu’il éjacule. Je sens sa queue se tendre et ses jets de sperme m'inonder le fond de gorge : ce sont 7 giclées que je suis obligé d'avaler.
Julien passe une main dans mes cheveux et il me tient fermement la tête, à bout de bras, pendant qu’il me défonce. Je sens sa queue prendre du volume en moi et je l’entends pousser un gémissement. Il jouit en moi, longuement, sa bite plantée au fond de mon cul, ses couilles contre mes fesses. C’est comme une explosion dans mes entrailles. Julien libère sa semence de puceau. J’ai l’impression qu’il ne va pas s’arrêter d’éjaculer. Ce sont presque une vingtaine de jets qui me remplissent. Quand il ressort, c’est un tsunami qui explose hors de mes entrailles.
Julien laisse mon trou dégoulinant de sperme et il me plante sa bite en bouche que je nettoie. Je sens des gouttes de sperme couler hors de sa queue et tomber sur ma langue. Je sens aussi son jus couler à la base de mon cul.
Julien se rhabille et sans un mot, il sort de ma chambre. Hugo rigole et il me détache. Je me redresse, ankylosé, pendant qu’il se rhabille. Il disparait aussi de ma chambre après m’avoir dit qu’il reviendrait très bientôt. Je m’assois, le cul dégoulinant de sperme...
Moi, le mâle dominant, l’actif avec les 24 cm, suis devenu le vide-couilles de mon frère et d’Hugo.
Merci à Johan pour ses idées.
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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