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4 | Concours de branle dans les vestiaires
Voici donc la suite des aventures de Nico qui est entré dans un club de rugby et qui s’est retrouvé l’amant de Jo, de Claudio et de quelques autres. Nico, 20 ans, monté 17cm, blond aux yeux bleus, avec un corps un peu enrobé, a vite découvert que ce club est assez spécial et que les membres de l’équipe s’accordent des troisièmes mi-temps assez sympas. Nico a décidé d’accepter son rôle de pute de service.
Voilà quelques semaines qui ne s’est rien passé dans les vestiaires. Pas de nouveau mec. Pas de baise surprise sur les bancs des vestiaires. Pas de mec me chauffant en se branlant sous les douches. Cependant, je reçois maintenant presque tous les jours la visite de Jo après le boulot (voir comment l’histoire à commencer au chapitre 1). Mais aujourd’hui, j’ai pu vivre une nouvelle aventure intéressante : Après l’entrainement, je me rends aux toilettes avant d’aller me doucher. Je ne fais apparemment pas de bruit car en entrant, j’entends quelque chose comme si quelqu’un regardait un porno (gémissements, etc.). Sachant dans quel genre de groupe je suis, j’essaie d’ouvrir la porte d’où proviennent les bruits. Elle n’est pas verrouillée. Et je retrouve Jérémy la queue bien dure dans une main et dans l’autre son téléphone où un porno défile.
- Oh désolé, je ne t’avais pas entendu, je ne voulais pas te déranger, dis-je (mensonge !)
- Oh Nico… c’est moi qui suis désolé, j’aurais dû fermer la porte... Je pensais qu’il n’y avait plus personne, je voulais me branler vite fait. Ça fait une semaine que je n’ai pas juté. A la maison c’est l’enfer et je n’en peux plus, il faut que je me soulage.
Je ne dis plus rien. Je m’avance, ferme la porte, approche lentement la main de sa bite et je la touche. Il ne bronche pas. Je commence à le branler. Il ne dit toujours rien, seul un petit sourire me fait comprendre qu’il est ouvert à la suite. Je m’accroupie et prends sa bite en bouche. Elle devient bien dure. Mais d’abord, laissez-moi vous décrire Jérémy : il a 22 ans, il est blond, de corpulence normale, avec un petit ventre, sans poils (à part sur le pubis). Il possède de petites couilles et une grosse bite bien pendante au repos, un pénis de chair comme disent les spécialistes : il ne se gonfle pas beaucoup quand il est en érection. En effet, je dois avoir 18 cm dans la bouche. Je le suce, il gémit et au bout d’une minute, il retire sa bite de ma bouche, se branle 3 secondes, place sa teub sur la pointe de ma langue et il me jute un sperme super épais dans la bouche. 1 jet, puis un 2ème… deux autres m’atterrissent sur la joue. Puis 2 autres entrent dans ma bouche. C’est assez énorme de voir sa bite pulser son jus en dehors et … on voit qu’il n’a pas juté depuis des jours… La quantité de jus est énorme ! Une fois qu’il a fini, il m’enlève le sperme de la joue avec sa teub et l’enfonce dans ma bouche, je nettoie sa queue avec ma langue. Puis il remet sa queue dans son pantalon, me ferme la mâchoire avec ses mains, je comprends alors que je dois tout avaler, ce que je fais avec plaisir. Puis il disparait, me laissant là avec une bite tendue… J’entends du monde entrer, je me nettoie alors le visage avec du PQ, j’attends de ne plus bander pour pisser puis je sors pour aller me doucher. Il n’y a plus grand monde dans les vestiaires. Je me déshabille, mets ma serviette autour de la taille pour pas qu’on voit que j’ai bandé (ma queue semble encore un peu gonflée, le gland est assez proéminent) et je vais sous les douches.
Claudio (mon beau black mince et bien monté) et Guillaume (petit mec de 30 ans, enrobé avec des tatouages sur les bras et le torse, pas poilu) sont là (pour plus d’informations, lire le chapitre 2), ainsi que Geoffroy. Ce-dernier est un latino de 25 ans très musclé, aux cheveux courts et bruns, avec une bite normale mais épaisse et très brune. Sa bite et son cul sont rasés. Je vais dans un coin des douches, j’enlève ma serviette et me tourne immédiatement vers le mur. Geoffroy rigole et me lance :
- Eh, Nico, tu te tournes, tu as peur de nous montrer ta petite bite ?
Je me retourne, la bite un peu gonflée et Geoffroy rigole.
- J’en étais sûr, petite bite. C’est moi qui ai la plus grosse ici !
- Non, c’est Claudio. Il a une méga teub, dit Guillaume.
Geoffroy rigole et nous demande de nous approcher. On compare nos bites et en effet, il a la plus grande, avec bien 15 cm. Guillaume doit avoir (au repos) 9 cm, moi 12, tout comme Claudio.
- Je gagne. Eh, Claudio, pour un black, tu as vraiment une petite bite.
- Tu m’as jamais vu bander car cette bite casse de nombreux culs. Nico, approche.
Je m’approche, il me tend sa teub et je n’hésite pas une seconde. Je le suce. Sa bite gonfle dans ma bouche pour attendre les 22 cm que je connais bien. Je bande aussi, tout comme Guillaume. Geoffroy s’écrie :
- Ouah, tu as une bite de malade ! Mais… les mecs, je savais pas que vous vous connaissiez aussi bien.
- Nico est une très bonne suceuse, avec un bon cul de salope. Alors, je gagne, je pense. Ma bite a l’air de t’impressionner ! Touche-la !
Hésitant, il touche le monstre de Claudio tandis que Guillaume et moi, qui me suis relevé, sommes en train de nous branler. Geoffroy prend la grosse teub dans sa main et commence à l’actionner. Ça semble lui faire de l’effet. Sa bite se met à grossir. Maintenant on peut comparer de nouveau nos teubs. Guillaume perd avec ses 16 cm, je viens ensuite (17 cm). Geoffroy se déclare perdant avec seulement 18 cm, en comparaison avec les 22 cm de Claudio, qui dit :
- Les mecs, vous m’avez donné envie, il faut que je libère la pression.
On forme alors tous un cercle et on commence à se branler. Guillaume sort :
- On va pimenter le truc. Je vais chercher un cookie, on éjacule tous dessus et c’est le dernier qui jouit qui doit le manger.
Personne ne dit rien, il va alors chercher le fameux biscuit. Il revient, le met au centre de notre cercle et on commence alors à se branler. On se regarde les uns les autres, même le beau latino semble excité par la scène. Je vois ces belles bites dressées en train d’être branlées, et les grosses couilles de Claudio qui se balancent à chaque mouvement.
Ils ne savent pas que j’ai un avantage : je suis déjà chaud de mon aventure avec Jérémy. J’éjacule au bout d’une minute. C’est un jet pas très puissant … mais bien crémeux, qui tombe direct sur le cookie. Les autres continue de se branler. Guillaume, dans un cri guttural, jouit avec de gros jets. Un jet m’atterrit atterrissent directement sur la bite que j’essuie et avale immédiatement. Les autres sont moins puissants et tombent directement sur le cookie. Bien sûr, Guillaume a aussi laissé des traces sur le sol… que j’aurais adoré lécher. Il n’y a plus que le latino et le black dans la course. Les deux s’astiquent comme des malades. Geoffroy décharge dans un cri guerrier le premier des jets d’une puissance phénoménale, preuve que la séance lui a plu. Vu qu’il est en face de moi, son premier jet m’atterrit directement sur le ventre, le deuxième sur le visage et les 3 suivants, moins puissants, pile sur le gâteau. Son sperme coule sur ma teub.
Claudio est énervé mais il continue de se branler. Au bout de 3 minutes, il jouit comme à son habitude des tonnes de sperme. Il envoie bien une dizaine de jets sur le sol et sur le gâteau. Geoffroy le ramasse et le lui donne avec un petit rictus au bord des lèvres. Claudio le mange, avec un peu de dégout sur le visage. Je remarque que Geoffroy bande encore…
Ils se lavent leur teub tandis que je prends ma douche. Avant de sortir, Claudio me chuchote à l’oreille :
- C’est ta faute, petite pute. Je suis seul chez moi ce week-end. Tu as intérêt à venir, ça va être ta fête.
Puis, il sort… j’ai une petite boule au ventre, ne sachant pas ce qui m’attend… mais ma teub semble s’en réjouir. Je bande de nouveau. Alors, je me branle et laisse ma purée couler dans les douches. Je me demande quand même ce qu’il va me préparer…
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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