Premier épisode | Épisode précédent
Chapitre 4
Matowu et sa famille vivent ensemble dans une grande maison à M., en Nouvelle-Aquitaine. Ce black a une grande famille. Il a une femme, 5 fils nés de son union avec sa première épouse et 3 fils nés de sa deuxième union. Deux de ses fils lui ont aussi offert 4 petits-fils de 18, 20, 22 et 25 ans.
Matowu a 55 ans et il est le maître incontesté de la maison. Il règne en père et en grand-père. C’est un mâle dominant, un alpha. Son propre père jusqu’à son dernier petit-fils sont voués à être à son service. En sa présence, on parle à voix basse. Personne n’oserait jamais contester ses décisions. Son pouvoir spirituel est indiscutable. Pour les membres de sa famille, c’est une relation normale et inerrante à leur nature. Même sur le plan sexuel, ils sont là pour le servir.
Aujourd’hui, Matowu convoque la famille de Jean-Yves, son deuxième fils de 42 ans. Elle est composée de José et Yanis et de leur mère Françoise. Il les accueille dans sa chambre. Il leur a demandé de venir nus. Ils entrent ensemble et ils se mettent au garde à vous devant le chef de famille.
Mattowu s’attarde sur Françoise qui est toujours aussi mignonne. Elle a une peau d’ébène, elle a de longs cheveux et un corps magnifique, lisse, dans un poil. Ses seins sont énormes. Son cul est fin et bien moulé.
Mais aujourd’hui, Matowu n’a pas envie de femme. Il lui dit :
- Lave tes hommes et prépare-les bien.
Elle prend alors le seau qu’elle a apporté, ainsi qu’un gant et elle se met à laver Yanis, son fils de 18 ans. Matowu admire ce beau jeune homme :
Il a 18 ans, il est mince et assez grand (1,80m). Il a une peau caramel, des dreadlocks et quelques poils sur le visage. Il est musclé sec. Il a des poils sous les aisselles, quelques poils au milieu du torse, un filet entre le nombril et le pubis qui lui est bien poilu (des poils noirs et frisés). Sa petite bite pendouille et des couilles bien remplies, sans un poil, noires.
Françoise passe ensuite à son aîné, José qui a 20 ans. Il est mince, sans être pour autant musclé. Il a une grosse tête. Il est très mignon, il a des cheveux courts et crépus, il est grand (il fait 1,90m). Il a une peau marron, il se rase complètement le corps. Entre les jambes, il a queue fine et assez longue, complétement noire avec un gland marron et de petites couilles.
Elle s’occupe ensuite de son mari Jean-Yves qui, pense Matowu, est resté un très beau jeune homme qui ressemble à deux gouttes d'eau à son frère jumeau Baptiste. Jean-Yves a une peau très claire, on pourrait presque le prendre pour un latino. Il a un tatouage sur le torse, seul chose qui le distingue de son frère. Il est mince. Il a les cheveux coupés courts sur le dessus et rasés sur les côtés. Il porte le bouc. Il a un corps normal, ni maigre, ni gros. Il est de taille moyenne. Son torse est recouvert de poils ainsi que le milieu du ventre, tout comme son pubis où les poils y sont courts, noirs et frisés. Entre les jambes, il a une bite imposante, longue et assez épaisse, surtout au milieu du membre. Le gland est recouvert d’un long prépuce. Ses couilles sont grosses et poilues.
Une fois la toilette terminée, la femme conduit ses hommes dans la salle de bain préparer leur trou. Une fois finie, les 4 membres de la famille se présente devant Matowu qui bande déjà dans son pantalon. Ses 26 cm sont bien visibles. Il dit à Françoise :
- Femme, sors maintenant, laisse-nous seuls.
Françoise se retire sans un mot et Matowu admire son fils et ses petits-fils. Il leur fait signe et ils se regroupent autour du chef de famille qui se lève. Ses trois descendants le déshabillent et peuvent l’admirer dans son plus simple appareil.
Matowu est un black de 2 mètres. Il a le crâne rasé et les traits durs. Il porte une barbe bien taillée avec des poils noirs et drus et quelques poils blancs. Il possède un corps svelte et musclé sec. Des pectoraux saillants et des abdos se dessinent. Il a des bras musclés. Une chaine en or avec une croix pend autour du cou. Il n’a aucun poil sur le corps. Sa peau est noire très sombre. Sa queue de 26 cm est noire, épaisse (aussi épaisse que la circonférence de ma main fermée), très longue, traversée de 3 grosses veines, légèrement recourbée vers le bas avec un gland marron. Il a aussi de couilles de taureau lisses, rondes, bien pendantes. Ses jambes sont musclées, son cul bombé.
Matowu se rassoit et les trois blacks se penchent au-dessus de son corps. Ils s’emparent de la bite du chef et ils se mettent à la lécher comme une flopée de chiots qui a découvert un os. Leurs trois langues se touchent, se lèchent, bavent. Matowu s’exclame :
- Vous faites ça bien, mes petites salopes ! Elle est bonne ma queue, hein ? Doucement, prenez-la chacun à votre tour ! Il y en aura pour tout le monde !
Donc, à tour de rôle, les trois passifs se mettent à sucer le morceau. D’abord, c’est Jean-Yves qui enfonce la queue dans son gosier. La bite bandée et chaude entre dans sa bouche et va directement au fond de sa gorge. Jean-Yves a l’habitude de prendre la bite de son père en gorge profonde. Matowu lui caresse la tête tandis que son fils le suce et semble vouloir toujours avaler le morceau plus loin dans sa gorge. Puis, Jean-Yves sort la queue de sa gorge et il la tend à José qui s’en saisit et qui en enfonce la moitié dans sa bouche. Matowu apprécie ses lèvres douces et chaudes. Il se dit que son petit-fils se débrouille bien et qu’il pourra bientôt l’avaler aussi profondément que son père. C’est ensuite au tour de Yanis de prendre la bite. Il en avale les trois quarts et il fait des va-et-vient avec sa bouche sur la teub tout en la branlant. Il arrive tout de même à engloutir l’imposant engin presque dans son intégralité.
Les trois se passent la queue de Matowu pendant 15 minutes. Ceux qui ne sucent pas s’occupent de la lécher ou de mordiller ses tétons ou de lécher les couilles. Ils dégustent la teub avec plaisir. Puis, Matowu se lève dit :
- Allez, mettez-vous sur le l’un à côté de l’autre ! Ecartez bien vos jambes pour me montrer votre petit trou.
Les trois passifs vont se mettre sur le lit, dociles, à quatre pattes. Matowu passe les culs en revue et il en profite pour les caresser. Il va de gauche à droite, une main trainant sur les fesses de son petit-fils Yanis puis José pour enfin arriver au cul de son fils qu’il caresse puis sa main se dirige vers ses couilles qu’il malaxe. De l’autre main, il saisit la queue de José qu’il se met à branler.
Il revient vers Yanis et il pose son gland sur son trou. Françoise a fait du bon travail, elle a déjà enduit les trous de gel. Matowu frotte sa tige dressée contre la raie de Yanis puis il enfonce lentement sa queue dans le petit trou. Yanis se contracte puis il se détend, appréciant les 26 cm qui le pénètrent. Quand Matowu se retrouve au fond de son cul, il marque une pause puis il se met à donner de grands coups de bassin. Il baise son petit-fils sur toute la longueur de sa teub. Yanis ne ressent que du plaisir.
C’est ensuite au tour de José. Le gland de Matowu passe très vite ses sphincters et la bite glisse dans le trou bien ouvert. Il fait de lents allers-retours, faisant entrer et sortir entièrement sa queue puis il se met à défoncer son petit-fils qui couine comme une truie.
Ensuite, il s’enfonce dans le trou béant de son fils qui est habitué à se prendre sa grosse queue. Il y va directement et il se déchaine dans ce cul. Il y reste bien 5 minutes avant de ressortir. Matowu les baise à tour de rôle. Il les défonce sauvagement. Il adore sentir ses couilles de taureau se balancer rebondir contre les boules et les queues pendantes des passifs. Il apprécie surtout le trou de Yanis qui est encore très serré. Il remarque d’ailleurs que ce-dernier jouit du cul et que la bite entre et sort sans résistance.
Matowu change toutes les 30 secondes de cul. Ses coups de reins sont de plus en plus violents, de plus en plus brutaux. Ses cuisses claquent contre les fesses, les couilles fouettent les parties génitales de sa progéniture.
Au bout de 30 minutes, Matowu arrête la baise, il s’assoit dans le fauteuil et il fait signe à ses petits-fils qui s’approchent de lui. Yanis se penche sur la bite et la gobe. Ses mains caressent tout le corps de son grand-père. Ensuite, Yanis passe la teub à son frère José qui prend la place et qui s’en occupe comme si c’était une glace. Matowu se met à caresser la tête de son petit-fils, ce qui le fait redoubler d'ardeur et il fait des gorges profondes. Puis Matowu dit à ses petits-fils :
- Je vous offre le cul de mon fils.
Surpris, les deux garçons ne savent comment réagir. Leur père est une personne de respect, sévère. Ils n’ont jamais imaginé dans leurs plus grands fantasmes baiser leur père.
- Allez-y, baiser-le ! C’est un ordre !
Jean-Yves se met alors en position sur le lit, le cul cambré comme une grosse salope. Il commence à tortiller du cul et Yanis se retrouve poussé par son frère qui se saisit de sa queue et la dirige vers le trou de leur père. Yanis ferme les yeux et il sent son frère qui continue de le pousser. La queue s’enfonce dans le trou offert de leur père. José le pousse toujours et Yanis arrive au fond du cul de son père qui se met à gémir, comme une chienne en chaleur. Ça donne un coup de fouet à Yanis qui se met à baiser sauvagement son père. Ce-dernier trouve la bite de son fils excellente, même si elle est petite (17 cm, la plus petite de la famille). José donne à son père sa bite à sucer. Il lui met directement en gorge profonde et il se met à lui baiser la gueule. Il est satisfait de pouvoir un peu se défouler sur son père qu’il prend parfois pour un tyran. Mais Jean-Yves apprécie le traitement de son aîné. Il prend les fesses de José dans ses mains et il accélère ses va-et-vient, poussant la bite tout au fond de sa gorge. Yanis regarde avec envie sa bite entrer et sortir sans capote dans le trou de son père. Il admire ses poils pubiens s’écraser sur les fesses de son père.
Quand Yanis sort du trou, José prend immédiatement la place laissée libre. Il présente son gland à l'entrée de son anus et il s’enfonce d’une traite. Jean-Yves se crispe cependant il ne crie pas. Il est habitué à ce genre de traitement. Mais José n’en aurait eu que faire, il fait des va-et-vient sauvages dans le cul de son père. Ses 20 cm entrent et sortent dans une cadence rapide et violente.
Yanis et José alternent les trous de leur père. Et finalement, Yanis demande à son grand-père :
- Je vais pas tarder à jouir. Vous voulez que je le féconde, grand-père ?
- Oui, donne-lui tout au fond du cul.
Les coups de reins deviennent alors plus amples et plus violents. Très vite, Yanis se cale au fond du cul de son père et il l’ensemence avec de grands jets de sperme. Jean-Yves sent les puissantes doses brulantes de son fils lui remplir les entrailles. José prend immédiatement la suite. L'idée de baiser son propre père dans le jus de son petit frère le fait éjaculer au bout de quelques secondes. Il inonde les intestins de son père de cinq gros jets d’une lourde semence bien blanche.
Matowu, satisfait, enfonce sa grosse queue dans le cul ensemencé de son fils et il entre dans le trou dégoulinant... qui se met à dégouliner encore plus sous la pression exercée par ses 26 m. il commence à donner des coups de butoirs qui deviennent de plus en plus puissants. Matowu le baise sauvagement. Les deux jeunes restent derrière et admirent la force de lion de leur grand-père qui défonce leur père. Ils sont fascinés par leur sperme qui sort par vagues du cul de Jean-Yves et qui recouvre les boules de Matowu. Sous ses mouvements puissants, les couilles se balancent et envoient voltiger le jus un peu partout. Au bout de 20 minutes, Matowu assène un énorme coup de boutoir et il jute en Jean-Yves qui a l’impression de se prendre des litres dans l’anus. Yanis et José admirent le cul de Matowu qui ne cesse de se contracter. Son périnée est marqué de spasmes, il pompe des litres de spermes dans le cul de Jean-Yves. Son orgasme semble interminable.
- Yanis ! José ! Buvez le jus qui va sortir !
Les deux jeunes hommes s’approchent et Matowu sort des entrailles de son fils. Une fontaine de sperme jaillit du trou et les deux petits-fils recueillent avec leur langue le divin breuvage de leur grand-père, mélangé au leur. José écarte bien les fesses de son père pour offrir à son frère encore plus de sperme qui sort de ses entrailles. Yanis ne peut s’empêcher de lécher le trou et d’avaler le jus de son grand-père qu’il trouve divin.
Puis, Jean-Yves se retourne, ses deux fils le sucent. Ils se délectent de son morceau. Leurs langues se rencontrent parfois et ils en profitent pour se rouler de grosses pelles baveuses avant de reprendre leur travail sur les 26 cm de leur père qui pousse très vite des gémissements bruyants. Il éjacule une bonne quantité de sperme sur la langue de ses fils.
A suivre...
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire.
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
Autres histoires de l'auteur :