Mon demi-frère me surprend

Chapitre 2

Salut,

Comme je vous l’ai raconté dans le premier chapitre, Cédric, le fils du nouveau compagnon de ma mère, m’a pris en flag en train de me branler, et quelques jours plus tard, confinement oblige, je l’ai retrouvé sur mon lit, nu, où il m’a demandé de le sucer. De fil en aiguille, il m’a sodomisé. Et je dois dire que j’ai beaucoup aimé...

Le lendemain de ces évènements, Cédric et moi sommes plus complices que jamais. Mais il faut quand même que je bosse et il me faut suivre, le matin, les cours en ligne de la fac. Pourtant, vers 11h, il me dit de de venir vite dans sa chambre, c’est urgent. De mauvais gré (de peur de rater quelque chose d’important au cours) je m’y rends.

Je le trouve assis sur son lit, les jambes écartées, la main sur son paquet. Je lui demande :

- Qu’est-ce qui se passe ?

- J’ai envie de ton cul.

- Je bosse là, Cédric ! Je croyais que c’était une urgence !

- C’en est une ! Ma queue ne peut pas attendre plus longtemps, elle a trop envie de ta petite chatte.

A mon grand dam, ma propre queue fait un bon dans mon caleçon.

- Allez ! Tu en as aussi envie, regarde ! Va chercher ton ordi et suis les cours pendant que je te baise.

Je dois avouer que c’est une idée pas si mauvaise que ça... Je reviens avec mon portable et lui a déjà ôté son short. Il est debout, sa queue est déjà bien droite. Il enlève son t-shirt et je l’admire de nouveau :

Cédric est mince, musclé sec. Il a des épaules assez larges avec des biceps bien développés. Il a un corps en V, avec un torse musclé : ses pectoraux sont bien apparents ainsi que ses tablettes de chocolat. Il a une coupe de cheveux à l’iroquoise : ses cheveux, châtains, sont rasés sur les côtés et sur le dessus, il a une touffe. Il a des tatouages sur le torse, les avant-bras, le ventre, les mollets. Sa queue de 18 cm et ses couilles sont assez foncées. Ces-dernières sont grosses. Les poils de son pubis et de ses couilles sont bien entretenus : ses couilles sont rasées et son pubis a un léger duvet, tout comme son ventre. Il a des cuisses bien musclées ainsi que des mollets et des pieds imposants. Des poils drus et épais recouvrent toutes ses jambes.

Je me penche sur lui et je me mets à sucer sa queue. Je lui fais quelques gorges profondes et je m’applique à bien jouer avec son gland. Je passe ma langue aussi de temps en temps sur ses couilles. Lui me caresse le dos.

Puis il me fait mettre sur le lit et il se branle au-dessus de mon cul tout en le caressant. Il l’admire et il ne cesse de répéter :

- Tu as un trop beau cul ! Je l’adore !

Au bout de quelques minutes, il m’enfonce son pouce dans le trou et il me doigte lentement. Puis il se penche sur mon cul et introduit sa langue. Il donne de petits coups, l’enfonçant toujours un peu plus profondément. Je sens mon intérieur mouiller. Il fait vraiment ça trop bien. Je gémis de plaisir. Mais j’essaie de me contenir, nos parents ne sont pas loin.

Il retire sa langue et il se pose sur le lit, sur le dos. Je capte le message, je passe au-dessus de son corps et je frotte sa queue le long de ma raie. Je le regarde alors droit dans les yeux. Ses beaux yeux marron m’hypnotisent presque. Et, hier, je ne lui ai pas rendu le baiser qu’il m’avait donné. J’avais trop honte. Pourtant, à ce moment précius, une envie irrésistible me prend et je me penche sur ses lèvres que j’embrasse. « C’est mon demi-frère ! », crie ma conscience ! Je lui roule quand même une grosse pelle et il me prend ma tête dans ses mains et il me rend mes baisers. Son gland se retrouve contre mon anus et il appuie. Il arrive à l’enfoncer et à pousser.

Mes lèvres s’éloignent des siennes et je m’assois sur sa queue. Je me retrouve avec ses couilles collées contre mon anus. Il se met alors à donner des coups de bite. Il prend mes fesses entre ses mains, il les caresse tout en me baisant sensuellement. Ses coups de reins sont lents et profonds. Je me penche sur lui pour l’embrasser à pleine bouche.

Au bout de quelques minutes, il me fait basculer sur le dos. Je lève les jambes et il me prend sur sa bonne queue. Il est enfoncé en moi, je sens bien sa bite me travailler l’anus. Ses coups de queue sont plus durs, plus bestiaux. Mais il est posé au-dessus de moi et nous nous embrassons. Sa queue me pénètre bien, m’ouvre bien et ses couilles claquent contre ma raie. Je sens son corps musclé plaqué contre le mien. Ma queue est coincée contre ses abdos. Je vois dans le miroir ses couilles brunes et sa queue marron me posséder.

Après bien 10 minutes, il me souffle à l’oreille qu’il va jouir. Il donne un grand coup de queue et je sens ses jets de sperme atterrir au fond de mes entrailles. Je me fais vraiment tapisser l’intestin ! De longues secondes s’écoulent et sa source semble intarissable. Puis, il ressort de mon cul et un torrent de sperme dégouline de mon trou. Il prend son jus et il me branle avec. Dans un cri involontaire, je jute de gros jets sur mon ventre. Il sourit, satisfait, puis il vient se poser à côté de moi. Alors, il prend ma tête dans ses mains et il m’embrasse tendrement. Je reste à ses côtés, écoutant le cours à moitié, et appréciant ses caresses sur mon corps. J’ai toujours mauvaise conscience... mais je me laisse faire, c’est tellement bon. Cédric est un si bon amant !

Pendant les prochains jours, toute occasion sera bonne pour baiser. On nique partout : dans la douche, dans nos chambres, dans la cuisine, dans le garage. Dès qu’on peut, bien qu’on ne soit jamais seuls, on en profite.

Deux semaines après ces évènements, le gouvernement annonce la fin du confinement. Moi, j’ai toujours cours à distance. Cédric lui sort beaucoup. Mais on baise toujours ensemble, dès que possible.

Un jour, il me fait une surprise. Un après-midi, alors que je suis seul à la maison, il arrive avec un mec à la maison. Au moment où je le vois, je sens presque ma bite se dresser dans son caleçon. Le mec doit avoir 25 ans, il est grand, il a des épaules massives et sous son polo-shirt on devine de gros biscoteaux. Il porte un petit short aux couleurs militaires. Ses bras et ses jambes sont musclées et son torse bombé. Il a des cheveux bruns et courts. Cédric fait les présentations :

- Nico, voilà Tristan, mon mec.

Je le regarde, pétrifié. Je suis surpris d’apprendre que Cédric est homo. Je ne le savais pas en tout cas. Ensuite, un soupçon de jalousie fait son apparition, mais j’essaie de conserver la face :

- Ton mec ? Tu es homo alors ?

- Oui et non, je ne me laisse pas enfermer dans des cases. J’aime les mecs, les meufs, les trans. Je profite de ce que la vie nous donne.

- Ok...et tu as donc profité de moi aussi ?

- Non, toi, je t’ai savouré. Je t’apprécie énormément. Et tu es une grosse cochonne. C’est pour ces raisons que je te présente mon copain. Et je t’en fais cadeau aujourd’hui.

Je le regarde, sidéré. Mais quand mes yeux passent de nouveau à son copain, celui-ci enlève son t-shirt et son short. Même dans mes rêves les plus fous, je n’aurais jamais osé penser pouvoir voir un mec monté comme ça devant moi.

Tristan n’a pas un poil sur le corps. Nulle part. Ses épaules sont larges, ses pectoraux sont bien dessinés, bombés, il a des abdos de malade, de larges bras bien gonflés, des cuisses énormes et une queue au repos trône au-dessus de petites couilles marron.

- Vas-y, approche-toi de lui et prends ses pecs dans tes mains.

J’obéis et je touche cette masse de muscles. Je les prends en main et je les masse. Quelle sensation ! Sa peau est douce et ses muscles sont durs comme de la pierre. Je bande sur le champ !

- Bien, il te plait, alors. Regarde, je crois que tu lui plais aussi.

Et en effet, ses 19 cm sont maintenant déployés sous mes yeux. Je me mets à genoux et il s’approche de moi et se met à me caresser la tête tandis que je prends sa queue en main : elle pointe vers le plafond. Elle a l’air bien dure, elle est parcourue de grosses veines. Je l’enfourne dans ma bouche, comme un affamé et je lui fais immédiatement une gorge profonde. Puis je ressors et ma langue commence à jouer avec son gland tandis que mes mains massent ses couilles. Il a l’air d’apprécier car sa bite devient dure comme du bois. Puis je le suce. La main posée sur la tête, il dirige un peu la cadence et me fait monter et descendre sur son chibre. Puis sa main devient plus directrice et il commence à me défoncer la bouche que j’ouvre au maximum. Son gland va toucher le fond de ma gorge. Il pousse un long gémissement. Il ressort de ma bouche et s’y ré-enfonce immédiatement sur toute sa longueur. Il répète ceci pendant de longues minutes, me démontant bien la mâchoire. J’essaie de réprimer mes réflexes vomitifs. Puis il me fait me relever.

Je vois Cédric en train de se branler devant le spectacle. Puis il nous dit d’aller dans sa chambre. On s’exécute. Bien sûr, Cédric nous suit. Tristan me fait pencher sur le montant du lit, il se baisse, il caresse mes deux fesses puis il les écarte. Il lèche ma raie des deux côtés et il pose sa langue sur ma rosette. Il l’y introduit lentement et il me fait un anulingus de dingue ! Je gémis comme jamais. Puis il s’arrête, crache sur mon trou et il y fait rentrer son index. Il tourne, il le fait entrer et sortir puis il ressort. Il met ensuite deux doigts et il me doigte de plus en plus vite. Il crache sur son gland, il le pose sur ma rosette et il s’enfonce lentement en moi jusqu’à ce que son pubis claque contre mes fesses. Il met ses mains sur mes hanches et il commence de lents va-et-vient. Sa bite coulisse en moi comme dans du beurre. Je lève les yeux et je vois Cédric qui se branle devant le spectacle que nous lui offrons. Il se mord les lèvres de plaisir.

Tristan me caresse le corps tout en me baisant. Il dépose aussi des baisers dans mon dos. Ses coups de reins sont langoureux et profonds. Il marque des pauses de temps en temps puis il reprend sa baise. Il sort de mon cul et me donne sa queue à sucer puis il recommence à me faire l’amour . Ceci doit bien durer 15 minutes.

Puis mon demi-frère m’attire sur le lit, il m’y fait coucher et les deux mecs se mettent à me lécher et à me sucer. C’est étonnant pour moi de voir mon demi-frère me sucer. Je le prenais plutôt pour un macho 100% actif qui donne le ton. Mais je m’étais trompé apparemment. C’est beau de voir ces deux mecs se partager ma queue. Ils sont visage contre visage, la langue bien tendue et ils me titillent le gland. Puis ils passent leur langue sur ma teub et Cédric enfonce ma queue bien au fond de sa gorge. Ensuite, il me suce en la branlant tandis que son mec me caresse un peu partout. Puis Tristan me suce et me gobe entièrement la teub, il me fait même des gorges profondes. J’adore, je me laisse sucer pendant bien 10 minutes. Puis ils remontent pour m’embrasser et les 3 langues se rencontrent, virevoltent et s’entremêlent.

Puis Cédric me fait mettre sur le dos et il enfonce sa queue en moi. Il commence à me baiser en adoptant une cadence soutenue, régulière et bien appuyée. Puis il ressort et dit à Tristan :

- Vas-y, prends-le bien à fond, il adore se faire baiser par de grosses bites !

Tristan me met en levrette, il entre en moi et il me baise sauvagement. Cédric se couche sur le lit et me donne sa queue à sucer. Tristan fait bien entrer et sortir sa queue de mon fion. Puis les deux mecs changent de trou et continuent de me baiser. Bien que la queue de Cédric soit moins longue et moins grosse que celle de Tristan, je la sens aller plus loin et plus profond en moi. Les deux mecs alternent entre mon cul et ma bouche, changeant tour à tour de rôle, pendant bien 30 minutes. Mon trou chauffe, mais je suis aux anges.

Puis Tristan me fait poser sur le corps de Cédric qui lui est couché sur le lit. Je sens sa queue me titiller la raie. Mais c’est Tristan qui me prend et me baise sauvagement. Pendant ce temps, mon demi-frère prend ma tête dans ses mains et il me roule une grosse pelle baveuse. Je me dis que mon demi-frère m’embrasse tandis que son copain m’encule sans capote. Je devrais avoir honte... mais non, j’adore ça, je me fais traiter comme un trou à bites. Ensuite, Tristan sort de moi et il place la queue de son copain dans mon anus. Je me mets sur mes pieds et je commence à monter et descendre sur la queue de mon demi-frère. Pendant ce temps, Tristan prend ma queue dressée en bouche et la suce.

Et à un moment, Tristan me dit de chevaucher Cédric autrement. Je m’exécute, je me retrouve face à mon demi-frère, sa queue toujours en moi, et je me surprends à lui rouler une grosse pelle. Tout d’un coup, je sens un doigt m’écarter l’anus et s’y enfoncer. Puis je me rends compte que ce n’est pas un doigt mais le gland de Tristan qui essaie de forcer mon anus. Je comprends que Tristan essaie d’enfoncer son gland en même temps que Cédric. Je me dis que ça ne va jamais passer. J’ai l’impression que mon cul va exploser. Je crie. J’ai mal. Tristan continue sa descente. Mais comme par magie, son gland coulisse le long de la queue de Cédric et entre dans mon anus. J’ai deux queues en moi, en même temps ! Tristan reste immobile, me laissant le temps de me faire à cette nouveauté. Je me détends un peu et il se met à coulisser et je me sens partir au septième ciel. Quelle sensation de dingue ! Mon trou me fait mal, il brûle. Mais il contient deux bites en même temps. Quelle sensation nouvelle... extraordinaire ! J’adore, je bande à m’en faire péter le rouleau. J’imagine les deux teubs bien au fond de moi tandis que Tristan me baise et ses couilles frappent celles de Cédric tout en s’enfonçant en moi. Quel beau spectacle ça doit être de voir la queue de Tristan coulisser sur celle de Cédric dans mon trou déformé par ces deux bites.

Au bout de deux minutes, Tristan, sous la pression de la queue de Cédric et celle de mon cul serré autour de sa teub, hurle qu’il va jouir. Il colle ses couilles contre celles de Cédric et un torrent m’envahit les entrailles. Il se retire et son jus gluant coule le long de la queue de Cédric. Il descend lentement vers ses couilles. La queue bien lubrifiée par le jus de son copain, Cédric me baise avec violence dans le sperme de son copain. Au bout de 5 minutes, il jute en moi. Il donne un grand coup de queue et je sens les jets de sperme atterrir au fond de mes entrailles et se mélanger à celui de Tristan.

Il se retire, sa queue et ses couilles couvertes de sperme. Des flots de jus dévalent de mon anus pour se répandre sur le pubis de Cédric. Je sens mon trou béant, endolori.

Je me pose entre les deux mecs qui me branlent et j’éjacule une grosse quantité de jus sur mon ventre. On s’embrasse, se fait des câlins, juste avant d’aller se doucher. Puis je vais dans ma chambre, complétement sonné par ce que je viens de vivre...

A suivre...

J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).