Bande de potes 2 | Meetmemz

Bande de potes

Chapitre 2

C’est au lycée que j’ai connu ma bande de potes. Il y a Giovanni et Stefano, deux italiens, Rachid et Alan, deux rebeus, Lucas, et moi, Nico. On s’est connu au lycée, on était dans la même classe. Dans notre jeunesse, on a fait les 400 coups ensemble, au lycée puis à la fac. Nous sommes inséparables. Les années sont passées, on a terminé nos études, on s’est marié, on a tous fondé une famille.

Et voilà, aujourd’hui, nous avons 50 ans. On a tous notre petit train-train (genre métro, boulot, dodo). Mais malgré tout, nous nous voyons souvent. On va assister à des matchs, on faisait partie de la même équipe de foot, on sortait dans les bars. Moi, je suis blond, les yeux bleus, un peu poilu, monté 17 cm. J’ai une femme, Aurore, et deux filles de 15 et 18 ans. Ma femme et moi avons une vie sexuelle plutôt calme. Nous habitons dans une grande maison dans la banlieue de Poitiers. Je travaille comme informaticien, ma femme est contrôleuse de train, ce qui fait qu’elle est souvent en déplacement. Mais je sors avec mes potes dès que j’en ai l’occasion. Je pensais tous savoir d’eux... jusqu’au soir où j’ai surpris Alan en train de sucer Rachid qui l’a ensuite baisé... ce qui semble m’avoir bizarrement excité !

Pendant toute la semaine qui suit cette découverte, je suis bouleversé. Mes pensées me font revivre sans arrêt ces instants intenses entre mes deux potes rebeus. Je me sens trompé. Nous qui sommes censés tout nous dire, ne pas avoir de secret les uns pour les autres, je suis attristé par le fait qu’ils nous cachent ça. Je dois dire que j’ai été choqué d’apprendre ainsi que mes deux potes rebeus couchent ensemble... qu’ils soient gays ou bi... mais ça ne me dérange pas. Je trouve ça par contre bizarre... Je ne sais pas comment je vais réagir quand ils me prendront dans leurs bras la prochaine fois.

Le vendredi suivant, ma femme part pour le week-end avec les enfants chez ses parents à Nîmes. Je suis content de devoir faire un déménagement de serveurs dans la nuit de vendredi à samedi car je ne tiens absolument pas à aller voir ma belle-famille. Le samedi après-midi, Giovanni m’envoie un message pour savoir ce que je fais le soir. Je lui dis de passer car je suis seul. Il dit de ne pas ameuter les autres car il a de l’herbe. On fume de temps en temps un joint ensemble depuis déjà la fac. A l’époque, on fumait de la beuh tous ensemble. Puis, la vie « sérieuse » a commencé et pas mal ont exprimé leur mécontentement quant à cette pratique (ou plutôt le mécontentement de leur femme). C’est pour cela que Giovanni et moi fumons de temps en temps en cachette.

Il arrive vers 20h et on s’ouvre une bonne bouteille de vin. Il sort un pétard de son pantalon et on se met à tirer une latte. On trinque et on se met un film. Une comédie américaine. On se met vite à planer. Mais dans un moment de lucidité, je lui dis :

- Ah au fait, je vais changer de numéro de téléphone à partir de lundi. Je vais te le donner tant que j’y pense.

Je prends mon nouveau smartphone et je lui dicte le numéro. Giovanni me regarde alors d’un air espiègle.

- Il est déjà activé ?

- Oui.

- Vas-y donne.

Il prend son portable et il pianote sur le mien. Il me montre alors ce qu’il a fait. Il vient d’envoyer un SMS à Alan qui dit : « Salut, on s’est vu ce matin au boulot ! Je ne sais pas si je t’ai déjà dit... mais je te trouve canon ! »

Très vite, Alan répond :

« C’est qui ? »

« Devine »

« Aline ? »

« Non. Je te donne des indices : j’ai une grosse poitrine, et je me suis épilé rien que pour toi ».

On continue ainsi pendant une dizaine de minutes jusqu’à ce que le portable sonne. Je décroche et une voix féminine se fait entendre.

- C’est qui ?

Giovanni et moi nous mettons à rire. Je prends alors la parole et je lui dis que c’est Giovanni qui déconne avec mon nouveau portable.

- Maintenant, vous avez mon nouveau numéro !

- Oui, c’est ça ! Merci pour cette belle soirée, Nico !

Et elle raccroche mais je peux encore l’entendre dire à Alan :

- Qu’ils sont cons ceux-là ! Ils se défoncent toujours ?!

On rit de plus belle.

- Attends, on essaie autre chose !

Il saisit le numéro de Rachid et il envoie : « On a écrit sur le tchat tout à l’heure. Je voulais te dire que je suis toujours intéressé. »

Il envoie le message et on continue le film en attendant une réponse. Mais rien ne vient. On oublie alors le portable, on rigole bien devant le film et on tire sur le joint. Quand le film est fini, je remarque que la bouteille est vide. Je vais en chercher une autre et on la vide en moins d’une heure. Quand il voit l’heure, Giovanni dit :

- Bon, je vais rentrer. Il faut se lever tôt pour aller à Limoges demain... Ma mère fête ses 90 ans !

On se fait la bise et il rentre chez lui à pied vu qu’il habite à quelques pâtés de maison. Je fais aérer le salon et je range nos verres. Puis, profitant de ma solitude, je me rallume un joint et je sirote un autre verre de vin. Soudain, je vois que mon nouveau portable clignote, m’indiquant que j’ai un nouveau message. Je l’ouvre... Rachid vient de répondre avec comme seul message :

« C’est ça qui t’intéresse ? ».

J’ouvre la pièce jointe... et c’est une photo de sa bite ! Elle est marron sur la partie basse, rose sur l’autre moitié. Elle semble épaisse et elle pend lourdement devant ses boules. Je rigole alors et je me prends au jeu pour voir jusqu’où il ira... Je réponds

« Oui ».

Immédiatement, un autre SMS arrive :

« Elle te plait ? Tu la kiffes ? »

Je réponds :

« Oui ».

Une minute plus tard, Rachid envoie un nouveau SMS :

« Et là ? »

Je vois alors en gros plan une photo de sa bite en érection. Rachid a des boules noires et pendantes, une bite énorme de 24 cm. Elle est épaisse et recourbée vers l’avant.

Je ne sais pas ce qui m’arrive mais la photo me fascine d’une certaine facon. Je réponds :

« Oui, tu as une belle queue »

« Tu veux la sucer ? »

Je ne sais pas quoi répondre. Je bugge... Je tire de nouveau une latte de mon joint... et je finis par répondre :

« J’ai jamais sucé... ».

« Tu aimerais ? »

Je me vois alors répondre : « Oui »

Je me sens tout d’un coup tout chamboulé. Je me demande ce que je suis en train de faire. Je remarque que je bande... Je regarde de nouveau les photos de la queue de Rachid et je dois m’avouer qu’elle m’impressionne. Oui, je dois constater qu’elle me fait envie.

« Tu reçois ? », me renvoie-t-il.

« Oui », écris-je immédiatement.

Il envoie alors deux photos avec comme seul commentaire :

« Elle est à toi quand tu veux »

Les photos de sa bite sont magnifiques. Je prends alors ma queue en main et je me mets à la branler. Je jouis presque quand il me relance :

« Tu es toujours là ? »

« Oui »

« Envoie ton adresse ».

Là, j’hésite... car si je l’envoie, il n’y aura pas de retour possible. Tout pourrait changer. Je commence à prendre peur. Je jette mon portable par terre, comme si c’était le diable qui me tentait. Je reprends une latte de mon joint. Je me sens plané. Je suis toujours bien chaud. Je mets alors un porno sur la télé... et je vois alors des grosses bites qui tronchent une meuf... je reste figé sur ces grosses queues... et je reprends mon portable. Rachid a envoyé le dernier message il y a 10 minutes :

« Alors ? »

Je tapote une réponse... mais j’hésite à l’envoyer. Puis, après avoir re-mater ses images et aidé par le porno... j’écris :

« Toujours intéressé ? »

Pas de réponse. Je me masturbe alors en fermant les yeux et en pensant à sa teub... quand un message arrive :

« Oui »

« Voilà mon adresse »

Je l’envoie vite avant de renoncer. Plus de réponse. Rachid connait mon adresse, il sait maintenant qui lui a écrit. Je finis de tirer sur mon joint, la queue à la main. Et au bout de 15 minutes, on sonne à la porte. J’ouvre... et je trouve Rachid devant moi. Il entre sans dire un mot et il me demande :

- Depuis quand tu sais ?

Je le fais s’assoir, je lui apporte une bière afin de détendre l’atmosphère. Il semble en effet plus détendu quand il voit que je suis zen... Je lui raconte alors la soirée où je l’ai vu se faire sucer derrière le bar et où je l’ai vu baiser Alan.

- Tu ne diras rien à nos femmes...

- Bien sûr que non. Je suis juste choqué... que vous ne m’ayez rien dit... Je croyais qu’on avait aucun secret entre nous... qu’on se disait tout !

- Personne ne te dirait ce genre de trucs.

- Pourquoi, dis-je, surpris

- Tout le monde te prend pour un gros homophobe... C’est pour cela que personne ne t’a rien dit...

- Quoi ? Pourquoi ?

- Tu fais sans arrêt des blagues homophobes, tu parles toujours de ces « PD » qui s’embrassent devant tout le monde et qui devraient rester cachés...

Je me mets à réfléchir et je me rends compte qu’il a raison.

- Mais je ne le pensais pas... C’était juste dit comme ça...

- Moui...

Un silence se fait. Puis, il ajoute en rigolant :

- En tous cas, avec tes conneries, tu m’as bien chauffé !

- Toi aussi...

- Tu étais sérieux quand tu disais que tu voulais essayer.

- En fait... oui...

Le regard de Rachid change alors du tout au tout... C’est son regard de macho quand il a trouvé sa proie. Il enlève sa chemisette, il ouvre son pantalon et il le fait glisser sur ses jambes. Il baisse son slip et je découvre sa bite qui est posée flasque sur ses boules.

Ce bogoss a une peau mate, des cheveux noirs et épais sur le dessus, rasés sur le côté et une barbe bien taillée et fournie. Il a un regard perçant. Il a un corps assez sportif, avec de superbes pectoraux gonflés, de gros bras musclés mais avec une petite brioche au niveau du ventre. Son torse et le milieu de son ventre sont recouverts de poils fins et noirs, tout comme ses bras et ses jambes. Son pubis est recouvert de poils noirs bien entretenus.

Je reste muet, hésitant... sans cependant pouvoir enlever mon regard de sa bite. Je me dis alors que je n’ai rien à perdre, que je n’ai qu’à essayer. Ça ne fera pas de moi un homo... je me lève et je me mets à genoux devant lui. Il a un regard dur et plein d’envie.

- Ma grosse queue de rebeu te fait envie ?

- Oui...

- Vas-y, n’aie pas peur... Prends-la en main...

Je saisis alors sa queue, elle est lourde est flasque. Je me mets à la branler doucement... et elle se met à gonfler. Elle grossit et durcit au creux de ma main. Elle devient alors bien dure. Ses 24 cm sont déployés devant mes yeux. Sa teub est trop belle...

Rachid bande comme un taureau. Je le branle. Il me met alors sa main sur la tête et il m’accompagne vers sa bite. Je n’hésite pas et je prends son gland en bouche. J’essaie de bien m’appliquer et j’enroule mes lèvres autour de sa queue. Quel morceau ! Il m’ouvre bien la bouche. J’essaie d’aller plus loin et j’arrive à prendre la moitié de sa queue dans ma bouche. Rachid ferme les yeux quand je commence à faire des allers-retours. Je regarde du coin de l’œil le porno et j’essaie d’imiter l’actrice qui suce un gros black. Je bande comme un fou.

- Comment tu trouves ma queue de rebeu ?

- Elle est magnifique ! Elle est trop bonne, dis-je avant de replonger dessus.

Je fais des va-et-vient. Je n’ai qu’une envie : c’est que mon pote rebeu prenne son pied. Je m’applique bien. J’accompagne mes mouvements de suce de branle avec ma main.

- Tu fais ça trop bien ! Tu es sûr que c’est ta première fois ?

Je hoche de la tête.

- Lèche mes couilles.

Je sors sa bite de ma bouche et je me mets à lécher ses boules poilues. Elles sont énormes et elles me plaisent. Je repense alors au moment où je les ai vues frapper le cul d’Alan quand il se faisait baiser par Rachid. C’était un beau spectacle ! Puis, voyant du coin de l’œil comment la meuf du porno fait, je lèche sa queue sur toute sa longueur et ensuite, je fais tourner ma langue autour de son gland.

Puis, je reprends ma suce. Il donne parfois des coups de reins pour aller plus loin dans ma gorge... ce que je ne supporte pas et je ressors sa queue. Puis, je reprends ma suce. A un moment, il prend le contrôle et il me lime la bouche. Ma queue frémit d’excitation à ce moment-là ! Je me surprends même à cambrer le cul. Rachid le remarque et il se penche sur moi. Il me caresse le cul et il me titille mon trou serré.

Je sens au bout de 5 ou 10 minutes sa bite se durcir. Je ne sais pas si je veux aller jusque-là... mais Rachid me bloque alors la tête et il jute dans ma bouche. Il gicle une tonne de sperme sur ma langue et dans ma gorge. J’avale son jus, je ne peux plus m’arrêter de boire sa semence qui a un goût âpre et sucré. Je me régale. Je ressors sa teub et je la regarde. Elle n’est plus aussi dure... je la lui nettoie, car il reste encore des traces de sperme. Tel un affamé, je ramasse la moindre goutte avec ma langue. Je me branle en même temps et je décharge de grosses giclées de sperme sur mon ventre et sur le tapis... je me relève. Il me donne alors une petite claque sur la joue et il me dit :

- C’était trop bon !

Il ferme son pantalon et il finit sa bière. Un silence pesant s’installe alors. Sans s’attarder, il me fait la bise, disant qu’il doit rentrer et il disparait derrière la porte. Je finis mon verre de vin. Et après avoir nettoyé mon sperme sur le tapis, je vais au lit. Je ferme les yeux et je repense à ce qui vient de se passer. Ma queue bande de nouveau... et je me branle pour jouir une deuxième fois sur mon ventre.

Quelle expérience étrange... mais assez agréable, je dois l’avouer ! Mais les questions affluent dans ma tête. Serais-je en train de devenir bi ? J’ai quand même cambré mes fesses et souhaité prendre sa bite comme Alan dans mon cul... Je m’endors sur ces pensées.

Au milieu de la nuit, je me réveille car j’ai rêvé de Rachid et de sa bite... et alors une de ses remarques me revient à l’esprit : « C’est pour cela que personne ne t’a rien dit... » qui d’autre est au courant ?!

A suivre...

Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).