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Sur une île déserte

Chapitre 7

Il y a maintenant presque 4 mois, je me suis réveillé sur une île déserte après un crash d’avion alors que je me trouvais sur un vol en direction de la Nouvelle Calédonie. Ne voulant pas quitter la plage car je voulais avoir la possibilité de lancer une fusée de détresse si jamais un navire ou un avion passé, j’ai fait mon propre camp et je n’ai découvert aucun signe de civilisation. Mais au moment où j’étais en train de me branler, je me suis fait surprendre par un mec nu qui m’a donné sa queue à sucer avant de me baiser au jus. Je me suis alors rendu à l’évidence que la jungle était habitée... j’ai décidé d’aller découvrir ce qui se cachait dans les profondeurs de cette jungle... J’ai alors assisté à une baise entre deux mecs qui étaient en train de se laver dans une rivière quand un mec m’a assommé avec un bâton. Je me suis retrouvé dans une hutte où 2 indigènes ont profité de moi. Depuis, je suis le vide-couilles du village. Matin, midi et soir, les mecs de la tribu profitent de moi et de mes deux trous... Cependant, une nuit, après une cérémonie où les autochtones m’ont fait une bukkake, mes « hôtes » se sont fait attaquer par une tribu ennemie qui m’a enlevé comme trophée. Un de mes habitués les a poursuivis et les a attaqués et j’en ai profité pour me sauver. Mais lors de ma fuite, j’ai vu un mec seul en train de se branler. Je suis allé vers lui, je l’ai sucé et il m’a baisé. Trois de mes poursuivants m’ont alors retrouvé, ils m’ont défoncé avant de me rapporter comme trophée à leur campement.

Cela fait presqu’un mois que je suis prisonnier et je sers, comme dans l’autre village, d’esclave sexuel aux mecs de la tribu. Aujourd’hui, comme chaque matin, je me fais baiser par mes geôliers qui viennent calmer leur érection matinale... Je suis en train de me faire baiser par un de mes autochtones préférés. Il a une vingtaine d’années. Il est mince, assez petit, musclé sec... avec une énorme teub qui doit faire dans les 30 cm. Je suis à quatre pattes, les jambes bien écartées, le cul offert. Comme tous les autres mecs, il rentre et il enfonce sa teub dressée dans ma chatte. J’ai mis un moment à me faire à son monstre. Mais depuis, je ne peux m’en passer. Sa teub est noire, recourbée vers le bas, si épaisse que ma main ne peut en faire le tour. Elle entre directement en moi et elle chasse le sperme déjà contenu dans mes entrailles.

Mon amant se met à baiser lentement. Je sens mon trou se faire écarteler par sa massue. Mais je supporte bien ... et j’apprécie énormément. Contrairement aux autres mecs qui se vident directement en moi, celui-là prend son temps. Il me place sur le dos et il me baise sensuellement en me regardant droit dans les yeux, d’un regard plein d’envie et de désir. J’adore cet amant ! Il accélère le mouvement, la moitié de sa queue sort de mon cul avant de re-rentrer. Ses énormes couilles me frappent les fesses. Ses mains sont plaquées sur mes cuisses. J’adore sentir sa bite me ramoner. Parfois, il la fait sortir, puis elle rentre, sans l’aide de ses mains. Une fois, n’en pouvant plus, je l’ai pris vers moi et je l’ai embrassé. Ça l’a surpris mais depuis il cherche ma bouche avec envie. Et là, il se penche sur moi et il me roule une grosse pelle. Au bout d’une dizaine de minutes, il embroche sa queue au fond de mes entrailles et il jouit dans un cri bestial. Je sens alors 11 giclées me mitrailler le cul pour bien me remplir. Il me dépose un baiser sur les lèvres avant de sortir de mon anus qui, dégouline de sperme, tel un tsunami. Dommage qu’il ait une femme, me dis-je en le regardant partir.

J’attends le prochain ... qui met du temps à venir ! Soudain, j’entends des cris et des coups de feu ! Je reste seul dans la tente et très vite, tout se calme. Un silence pesant envahit la jungle. Soudain, un militaire en uniforme entre et me regarde, abasourdi. Il ne doit pas avoir l’habitude de voir des mecs nus, le cul béant, dégoulinant de sperme. Puis, il finit par prendre la parole :

- Vous êtes Nico R... ?
- Oui, c’est moi !
- Les mecs, je l’ai trouvé !

Très vite, 3 autres militaires, l’arme à la main, entrent et m’observent, bouchée bée. Celui qui les a appelés me demande :

- Qu’est-ce qui s’est passé ici ?
- Je suis depuis quelques semaines l’esclave sexuel de cette tribu !
- Ah oui, en effet, ils vous ont bien utilisé à ce que je vois.

Je vois alors que le premier soldat qui est entré, passe sa main sur son paquet. Son collègue me demande :

- Racontez-nous votre histoire !

Je parle alors du crash d’avion, de mon attente des secours sur la plage, puis de mon exploration de l’île avant de me faire capturer et de me faire utiliser par tous les mecs des deux villages dans lequel j’étais.

- Par tous les mecs ?!, s’exclament-ils d’une voix.
- Oui, dis-je en rougissant. Ils appréciaient bien mon trou.
- En effet, reprend le premier soldat. Depuis des mois, la compagnie aérienne a lancé des recherches et on a finalement trouvé votre message sur la plage. On a cherché dans toute la jungle. Et voilà comment on vous trouve...
- Ça semble vous exciter, non ?, demandé-je.

En effet, son érection est bien visible.

- Oui, avoue-t-il.
- Vous pouvez m’utiliser aussi, proposé-je. Votre tenue de militaire me rend toute chose...

Les 4 soldats se regardent dans les yeux... et ils se mettent à sourire. En un battement de sourcils, ils ont ouvert leur braguette et les queues tendues se retrouvent devant ma bouche.

Martin a les cheveux rasés. Il doit avoir 23 ans. Il a un visage imberbe. Ses couilles sont grosses, sa teub est épaisse, marron, elle fait 19 cm.

Jean a 30 ans. C’est un black avec une peau café au lait. Il des cheveux noirs courts et crépus. Il a un pubis hyper velu, une bite fine de 21 cm avec des couilles longues et pendantes.

Thierry est très grand (2m), il a une peau mate, il a le crâne rasé et un visage ovale. Il doit avoir 30 ou 35 ans. Sa queue doit faire 17 cm, avec de petites couilles rasées.

JB a 25 ans, il est de taille moyenne. Il est brun avec des cheveux courts et un visage hyper mignon. Il a une queue de 15 cm, très épaisse, avec de grosses couilles poilues.

Ils se mettent côte à côte et je me pose à genoux devant eux. Je me mets à les sucer à tour de rôle. Pendant ce temps je les admire dans leur uniforme de soldat, vert clair, blanc et marron. Ils me font vraiment envie, ainsi habillés.

Je suce d’abord la queue de Martin avec envie. Je fais de rapides allers-retours sur la moitié de sa teub. Puis, il me fait passer à celle de JB. Elle m’ouvre vraiment bien la mâchoire. Je fais directement des gorges profondes, ce qui le fait bien gémir. Je le suce aussi rapidement. Ensuite, je passe à la bite du black. Sa queue est bien grosse, j’en suce que la moitié. Mais ça ne semble pas assez pour JB qui me plaque sa main sur ma tête et qui me fait sucer sauvagement la queue de son collègue. Je me délecte vraiment de ce gros morceau. J’adore aussi sentir ses couilles me frapper le menton et le cou. Puis, je passe à Thierry. Lui plaque sa main contre ma nuque et il m’impose un rythme rapide et profond de suce. Et les cinq minutes suivantes, je passe de bite en bite, et les mecs me baisent la bouche. Je me sens tel un objet sexuel, tel un esclave sexuel. Je me sens à ma place.

Ces 4 soldats sont vraiment incroyables. Ils n’ont pas peur de se faire sucer par un esclave sexuel. Pire, ils prennent beaucoup de plaisir. Les mecs finissent par se mettre à poil : Martin est super musclé. Il a de gros pecs, des bras très musclés, des abdos. Il est complètement imberbe. Il a des tatouages qui recouvrent ses deux bras. Il a des cuisses puissantes. Quant à Jean, il est grand et mince, musclé sec.

Thierry a de larges épaules. Il est baraqué. Ses bras et ses jambes sont musclées. Il a des tatouages sur tout le corps. Il est imberbe. JB est mince, musclé sec. Il a une ligne de poils épaisse qui descend de son torse jusqu’à son pubis qui est assez velu. Il a des jambes aussi très poilues.

Martin me fait mettre à quatre pattes et il enfonce ses 19 cm dans mon cul. Ils glissent dans mon anus, tassant le jus des autochtones, et il commence à me baiser avec énergie, avec des mouvements amples. Jean se place devant ma bouche et il me laisse le sucer doucement tout en me caressant la tête.

JB est le suivant à me baiser. Il pose ses mains sur mes épaules et il prend une cadence régulière et ample. Il se fait plaisir dans mon cul pendant que je suce toujours la grosse bite du black.

Quand il sort de mon anus, Thierry me fait coucher sur la paillasse, sur le côté, et il se glisse derrière moi. Sa bite glisse dans mon anus, il colle son corps baraqué contre mon dos et il se met à me baiser en maintenant ma jambe en l’air. Il y va doucement, faisant sortir ses 17 cm complètement avant de les renfoncer jusqu’à ce que ses couilles soient collées contre mes fesses. Moi, je suce maintenant Martin tandis que Jean attend son tour dans mon trou qui arrive très vite. Il me place alors sur le dos, il tient mes chevilles dans ses mains et il se met directement à me pilonner. Je sens ses 21 cm entrer et sortir en moi. Je gémis fort, car il me défonce bien, tel un marteau-piqueur. Ses longues couilles pendantes frappent ma raie sur tout son long.

- Je vais bientôt jouir, dit Jean au bout d’une dizaine de minutes.

Il se bloque en moi et il jute au fond de mes entrailles. Il tasse encore un peu son jus et il sort. Son sperme, mélangé à celui des autochtones, sort par vagues hors de mon anus. JB empêche la semence de s’en échapper en y plongeant sa queue épaisse. Il m’a placé en levrette et il me pilonne directement à fond. Ses mouvements de bite sont petits, rapides et profonds. Il lui faut 3 minutes avant de se vider alors à son tour dans mes entrailles. Il tasse sa semence et c’est Martin qui prend la suite dans mon anus avec sa grosse teub. Il fait des mouvements amples, faisant sortir entièrement sa teub avant de la renfoncer brusquement. Il jute rapidement une grosse quantité de jus gluant au fond de mon trou de vide-couilles. Mon anus dégouline mais Thierry me fait mettre sur le dos et il enfonce sa teub en moi. Il maintient mes cuisses bien écartées et il admire sa teub entrer et sortir à une cadence régulière de mon trou. Oui, il me baise aussi sans capote et sa teub devient toute blanche, tellement elle trempe dans la semence de tous les mecs qui m’ont ensemencé jusqu’ici.

Cinq minutes plus tard, il accélère le rythme. Il se met à bien me défoncer. Sa queue entre et sort à une vitesse folle. Le sperme sort hors de mon cul, inondant ma paillasse. Ses couilles rebondissent contre mes fesses. Et dans un ultime coup de queue, je sens sa bite expulser sa semence au fond de mon trou, s’ajoutant au sperme de ses trois autres potes. Il ressort, je nettoie sa teub puis celle des trois autres soldats. Ils sont tous satisfaits et ils se félicitent mutuellement de cette baise.

Puis, les mecs se rhabillent et ils me lancent des vêtements qu’ils disent voir trouver sur la plage. Je repense à mon campement que j’ai quitté il y a des années, j’ai l’impression.

- Bon, Nico, il est temps de rentrer, vous ne croyez pas ? Il est de temps de quitter ce lieu de sauvages.
- Oui.

Je m’habille et je sors. Je découvre alors un bain de sang. Les soldats ont abattu tous les autochtones, même mon amant préféré. J’en ai le cœur fendu. Ils me conduisent à leur hélicoptère et on décolle. Une fois sur le continent, je suis accueilli en héros. Les médias m’appellent « Robinson Crusoé ». Je raconte alors mon histoire au monde entier, taisant bien sûr le fait que j’étais esclave sexuel.

Finalement, je retrouve ma vie d’avant... qui me semble très étrange. Je me remets sur les sites de rencontre mais je ne trouve pas mon bonheur. Je me rappelle alors comment sont les mecs sur ce genre de sites... des mythos, des poseurs de lapin, etc. Je vais dans des saunas, dans des soirées gang bang... mais je ne retrouve pas ce kick que j’ai eu avec mes « sauvages ».

Je déprime très vite... et je prends alors une décision ultime : je décide de tout abandonner dans la civilisation et de me rendre de nouveau sur l’île. Je veux retourner dans la première tribu qui m’a accueilli ... afin de vivre à nouveau et de redevenir leur esclave sexuel... car c’est bien ma destinée. Je suis né pour servir ces beaux autochtones bien membrés...

FIN

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Meetmemz

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