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Chapitre-16
Salut, moi c’est Dylan, j’ai 26 ans. Je suis de taille moyenne (1,78m), j’ai les cheveux châtains et les yeux verts. Je suis musclé assez fin. Dans les premiers chapitres, je vous avais raconté l’histoire (réelle) de ma rencontre avec Mehdi, un stagiaire de mon magasin. Mehdi est un rebeu de 28 ans, bien musclé, monté 19 cm. Il m’a livré à deux de ses potes, Faress et Ahmed. On a eu beaucoup de plaisir ensemble. Entre temps, l’un a eu une copine, ö’autre a trouvé du boulot dans une autre ville... mais dès qu’ils en ont l’occasion, les rebeus passent me voir pour bien me défoncer...
Les choses ont pas mal bougé. Faress s'est retrouvé une meuf pendant les vacances d’été, le problème est qu'elle vit un peu loin. Il envisageait, un temps, de la rejoindre. Mais apparemment, c'est plus trop dans ses projets. Il fait maintenant les-va et-vient les week-ends. Il lui arrive de venir faire quelques va-et-vient dans mon cul aussi.
Aujourd’hui, on sonne à ma porte en fin d'après-midi. J’ouvre la porte, je suis un peu surpris de le voir, j’ouvre la bouche pour le lui dire mais il fait comme si on s'était quitté la veille (je ne l'ai pas revu depuis 3 mois !). Il ne me laisse même pas le temps d’en placer une. Il entre, il referme la porte, il me plaque contre lui, ses deux mains sur mon cul et il me galoche en rentrant sa langue dans ma bouche. Au bout de quelques secondes, il en ressort et il me dit :
- Faut que tu me vides là !
Il me pousse dans la chambre, il se déshabille rapidement. Il semble être en rut ! J’enlève aussi mes vêtements, il me pousse sur le lit et il se couche sur moi. Je l’admire dans toute sa splendeur :
Faress a 34 ans, il est brun, frisé. Il porte une barbe de trois jours, il est musclé sec. Il est très peu poilu, il a seulement une petite touffe frisée au pubis et un filet de poils qui remonte jusqu’au nombril. Il a une paire de couilles énormes et pendantes. Sa queue de 18 cm est très foncée, tandis que son gland est rosâtre.
Je reste à l’observer, comme envoûté, tout en caressant son corps. Cependant, ma main descend assez vite sur sa queue. Elle est déjà raide et dure, je la caresse, elle est vraiment belle. Alors, il me dit :
- Tu vois l'effet que tu me fais, petite salope ! Va falloir arranger ça !
Sans attendre, je le fais basculer sur le dos, je lèche son torse, ses aisselles, je mordille ses tétons. Il gémit bien, puis je m’occupe de ses couilles, que je gobe, et de sa queue que j’enfonce dans sa bouche. Je me mets à faire de lents allers-retours sur son morceau quand il prend ma tête dans ses mains, il la soulève, sa queue sort de ma bouche et il me demande :
- Tu la kiffe ma queue hein ?
- Hummm oui !
- Mets ta chatte dessus !
Je me lubrifie le trou avec ma salive, je me doigte un peu et je vais m'empaler sur sa teub. Il pose directement ses mains sur les hanches et il accompagne ma descente. Quand je suis bien calé sur son morceau, que je sens mes boules posées dans les poils de son pubis et ses couilles contre mon cul, je me mets à monter et descendre sur sa teub. Je me baise tranquillement.
La chevauchée est longue, très virile et bestiale. Cette position me permet de diriger la cadence mais quand mon trou s’est fait à sa queue, il me dit :
- Ça y est, ta chatte est bien ouverte ! Défonce-toi maintenant sur ma queue !
Je me mets alors à le chevaucher avec rudesse. Sa teub est tel un piston qui rentre et sort. Mes fesses rebondissent sur ses cuisses. Ses couilles claquent contre mon cul.
- Encore plus vite ! Fais de ma bite ton jouet ! Profites-en ! Sers t’en, salope ! Oui, c’est ça ! Quelle pute !
J’augmente le rythme toujours plus.
- Tu sens bien ma queue, sac à foutre ?
- Oui !
- Oui ! Ta chatte la serre bien ! Trop bon ! T'es une bonne tepu de céfran ! Plus vite, va chercher mon yop au fond de mes couilles !
Je vais toujours plus vite.
- Oui, c’est ça ! C’est mon jus qui te fait envie ! T’inquiète, je vais t’engrosser !
Je kiffe trop.
- Cambre-toi bien en arrière, grosse pétasse !
Je m’exécute et je sens encore plus sa queue en moi. Je gémis fort :
- Oui, gémis bien comme une femelle en chaleur !
Je fais de rapides et grands allers-retours sur sa queue. Ses insultes m’excitent, je me sens dominé, comme lui appartenant. Faress est aujourd’hui très endurant et je me fais plaisir sur son morceau.
- Ça fait 3 mois qu’on s’est pas vu, c’est ça ?! Ta chatte m’a trop manqué ! Tu es vraiment né pour ça, grosse tepu !
Il me met parfois de petites gifles et je kiffe trop.
Je me baise avec sa teub pendant un bon moment, puis ses mains me cramponnent fermement par les hanches, il me bloque, il lève un peu mon cul et il se met à me pilonner en donnant des grands coups de reins. Je gémis dans les aigus et lui pousse des râles de plus en plus fort. Ses coups de teub sont très rapides et brutaux et ses grosses couilles rebondissent bruyamment contre mon cul. Ils ne cessent de m’insulter de : « salope », « garage à bite », « chienne », « vide-couilles », ...
A un moment, il pousse à fond et il crie :
- Oh putaaaain, prends ça salope !
Son jus jaillit alors dans mon cul qui se retrouve inondé tel un tsunami. Je me sens complètement rempli par sa semence bouillonnantes… Il m’envoie 8 jets bien puissants dans le fond de mes entrailles. Je me branle tandis qu’il tasse son jus et j’éjacule très vite. Il décule. Il va ensuite prendre une douche rapide. Quand il revient, il me trouve allongé sur le lit, sur le ventre. Il s’approche de moi, il écarte mes fesses pour voir mon trou encore ouvert, il observe le sperme qui a coulé de mon cul et qui a formé une flaque sur le lit. Il me dit :
- Je t'ai bien défoncé et fécondé là !
- Hummm... oui Faress, c'était trop bon !
J’admire sa queue molle pendre entre ses cuisses viriles. Je commence à la caresser, elle durcit un peu. Je regarde Faress docilement. Alors, j’ouvre et j’approche ma bouche de sa queue et il dit :
- Quelle salope, t'en as jamais assez toi !
Il pose un genou sur le lit, je commence à branler sa queue qui se redresse, je la lèche, je recommence à la sucer et je lui taille une pipe. Je tète sa teub comme un biberon jusqu'à ce qu'il crache dans ma bouche encore de longs jets de sperme chauds, onctueux. J’en compte 4. Sur ce, il se rhabille et il repart.
A suivre…
Merci à Dylan pour ses révélations. Cette histoire est réelle.
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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