Premier épisode | Épisode précédent
Chapitre 6
Salut à tous et merci pour les nombreux retours que j’ai eus sur mes précédentes histoires.
Dans « Pris de force dans les douches par un rebeu », je vous racontais ma rencontre avec Abdel, un rebeu dont la grosse teub m’avait vraiment bien défoncé dans les douches de mon club de fitness. A la fin de ma période d’essai, Abdel m’a déclaré que j’étais officiellement sa pute, que je lui appartenais, que je devais m’installer chez lui, ce que j’ai d’ailleurs fait. La vie avec Abdel se résume à le servir et à être son vide-couille.
Depuis qu’Abdel et son pote black m’ont demandé de m’épiler et que je suis lisse de partout, Abdel me baise au minimum 3 fois par jour. Il m’a par exemple aussi livré à des mecs en extérieur et il m’a donné à Claudio qui m’a fait tourner dans une cave auprès de ses potes blacks (voir les chapitres précédents).
Ça fait voilà 6 mois que j’habite chez Abdel, que je le sers et que je lui sers de vide-couilles. Je ne travaille pas, je suis censé tenir son appartement propre, lui faire à manger et être là pour exécuter ses envies. En retour, il m’offre tout ce que je veux. Je suis à ses ordres et lui obéis au doigt et à l’œil. Il m’offre régulièrement à ses potes blacks. Je me suis fait à cette nouvelle vie.
Aujourd’hui, il m’a envoyé un SMS, me demandant de venir lui rendre visite au bureau. J’attends devant l’immeuble et quand la voie est livre, je me faufile dans le bâtiment. D’habitude, je le rejoins d’habitude dans les toilettes où il me baise vite fait. Mais aujourd’hui, il m’ordonne de le rejoindre dans son bureau. Je m’y faufile sans que personne ne me voit et je referme la porte. Il est là, en costume cravate, à bosser sur son ordi. Sans me regarder, il m’ordonne :
- Viens me sucer sous mon bureau.
Je me baisse et je passe sous son bureau. Sa queue est déjà sortie, tendue, droite comme un « i ». Je me cale entre ses jambes et je m’empare de sa queue de la main droite tandis que la main gauche caresse ses cuisses à travers son pantalon. Je prends sa queue en bouche et je commence à le sucer. Je fais aussi quelques gorges profondes. Il se laisse faire et exprime son désir par de petits gémissements et grognements qui m'encouragent à continuer. Je salive et je sens la grosse queue coulisser dans ma bouche.
Il se recule sur sa chaise et il agrippe mes cheveux. Il prend les choses en main et il me fait monter et descendre sur son morceau. Je sens son gland m’explorer le fin fond de ma gorge. Sa grosse queue ouvre ma mâchoire en grand.
Quelqu’un frappe, il me lâche, se rassoit à l’ordinateur et il se met à taper. Il dit :
- Entrez !
Et un de ses collègues entre. Ils parlent de boulot, des derniers chiffres de vente et de plein de trucs qui ne m’intéressent pas. Je suis toujours sous le bureau... et voyant la queue d’Abdel bien dressée, je ne peux résister, je m’en rapproche doucement, et je me mets à lécher ses grosses couilles poilues. Je remonte ensuite vers son gland que je prends en bouche. Je fais tourner ma langue tout autour, je titille son frein. Puis je l’enfonce jusqu’à avoir son morceau entièrement dans ma gorge. Mon nez se retrouve dans son pubis velu qui sent le mâle. Puis je commence à le sucer en silence. Il est très fort, il ne laisse rien paraitre. Même mes gorges profondes ne réussissent pas à le déstabiliser. Puis je reprends ma suce. Je trouve la situation super excitante. Au bout de 2 minutes, son collègue nous laisse. Il pousse alors un soupir et dit :
- Espèce de salope ! Tu fais quoi là ? Tu veux qu’on nous capte ?
- Je suce mon maitre, tout simplement...
- Brave petite, mais...
Il n’a pas le temps de finir sa phrase que quelqu’un frappe. Une collègue rentre sans attendre la réponse d’Abdel et moi, je reprends ma suce. Il ne laisse rien paraitre mais je sens que ses jambes se crispent, comme s’il se retenait de jouir. Je salive énormément ce qui fait bien coulisser sa queue dans ma bouche. La situation semble l’exciter car il ne jouit normalement pas aussi vite. Sa collègue se casse vite et là, il va fermer la porte à clé, se précipite sur moi, me colle une baffe. Il me prend par le cou, je ne peux plus respirer et il dit :
- Salope ! Tu vas voir ce que tu vas prendre !
Il me crache à la gueule, il enfonce ses 22 cm au fond de ma goge, il plaque sa main sur le derrière de ma tête et il me défonce la gueule. Il ne cesse de répéter des trucs genre « sale pute ! », « vide-couilles », « tu vas voir ce que tu vas prendre ! » Au bout de 3 minutes, dans un ultime coup de rein, il s'enfonce dans ma gorge et il se finit en moi. Sa queue se contracte. Et il envoie 8 jets puissants de sperme chaud qui atterrissent dans ma bouche. Il jouit une grosse quantité de jus. Il sort de ma gorge, j’ouvre ma bouche pleine de sperme tout en le regardant et j'avale le tout sous ses yeux. Il me donne une petite baffe de satisfaction, il se rassoit et il me donne sa queue à nettoyer. Elle est posée sur le siège, maintenant au repos. J’adore voir, après la jouissance, ses 14 cm, circoncis, bien bruns, encore gonflés par l’orgasme. Une fois mon travail terminé, il remballe son matos et me renvoie à la maison.
Je prépare le repas et Abdel rentre vers 19h. nous mangeons et il m’ordonne à la fin du repas :
- Va préparer les godes sur le lit, après fais la vaisselle et rejoins-moi dans la chambre.
J’obéis et une fois la vaisselle terminée, je me rends dans notre chambre. Il est couché sur le lit, nu. Je l’admire dans toute sa beauté : il a 26 ans, il est très musclé. Il a un corps massif, tout en muscle (de gros pecs et des tablettes de chocolat de ouf) et plutôt poilu. Je ne peux m’empêcher de mater ses gros pecs bien lourds, bien poilus, ses cuisses énormes et ses mollets super musclés, le tout recouvert d’un duvet noir et dense. Son pubis est rempli de poils bien noirs, ses couilles sont aussi très velues. Son long engin circoncis et bien marron est posé sur le lit, au repos.
Il me fait signe de m’approcher et je vais directement entre ses jambes. Je caresse son gros matos et je prends sa bite en bouche. Elle gonfle immédiatement. Ses 22 cm, bien épais, se trouvent dressés, énormes, devant mes yeux.
Au bout de 5 minutes, il me fait mettre à quatre pattes et il ouvre sa caisse où sont cachés tous ses accessoires. Il prend un gode de 20 cm et il me le met dans le cul, à sec. Je crie de douleur. Mais la douleur fait vite place au plaisir : sa queue est bien plus grosse et elle me baise sans problème.
Puis, il prend un peu de gel, il en enduit mon trou. Alors, il y enfonce son gode de 26 cm qui glisse bien. Je me sens écartelé mais je supporte, poussant même des gémissements de plaisir. Voyant que ça me plait, il me donne des fessées, me disant :
- Sale pute, tu aimes ça, hein ? Tu aimes te faire écarteler par ton rebeu ?
- Oui, maître.
Il se relève et il me crache dessus. Je me sens rabaissé... à ma place. Il fait toujours des va-et-vient avec le gode. Il est de plus en plus rapide, de plus en plus sauvage. Il me donne des fessées aussi. Puis il le ressort et là, il sort un truc énorme :
- Regarde ce qu’on m’a livré aujourd’hui. Un gode de 40 cm de long et de 10 cm de diamètre.
Je prends peur en voyant un sex-toy aussi gros ! Ça ne rentrera jamais ! Il essaie quand même. Il me sent me crisper et il dit :
- Détends-toi ! Prends un peu de poppers et apprécie. Je suis sûr que ton petit cul de lope va apprécier !
Avec plus de délicatesse que tout à l’heure, il enfonce le gros gland dans mon trou. Je me sens comme écartelé. Il s’enfonce toujours plus profondément et mon cul avale comme par miracle cette massue. Quand il commence à faire des allers-retours, je me mets à crier de douleur. J'ai l'impression qu'il me transperce le ventre... Je supporte bien les 26 premiers centimètres ... mais plus loin, je sens mon cul se mettre à chauffer et à me faire très mal. Les douleurs arrivent par vagues, de plus en plus intenses. Mais quelques minutes plus tard, Abdel sourit quand il comprend que je gémis de plaisir. Il me défonce lentement et puissamment, faisant à chaque fois sortir entièrement le sex-toy pour le renfoncer sur toute sa longueur. Il me maintient les hanches pour m’empêcher de me sauver sous la pression qu’exerce le gode dans mon anus. Au bout de 20 minutes, il retire le gode et il prend une photo de mon trou béant et il me la montre : les lèvres sont déformées, elles pointent vers l’extérieur comme un cratère. Je reste les yeux écarquillés.
Sans me laisser de repos, il me met le gode de 26 cm dans la bouche et il me dit :
- Tu vas sucer ça pendant que je vais te défoncer.
Il se met derrière moi et son gland posé sur mon anus s’enfonce d’un trait, sans lubrifiant. Il me baise à sec. Je crie de douleur et le gode tombe de ma bouche :
- Ramasse et suce-le bien ! Comme si c’était une vraie bite !
Je pose le gode sur le sol, la ventouse le maintient droit et je commence à le sucer tandis qu’Abdel me défonce sans ménagement.
- Oui, c’est ça ! Suce-le bien ! Parfait, ma petite salope !
Il me secoue comme un prunier, mon anus est son jouet et il s’en sert comme d’un vide-trou. Cependant, au bout de 15 minutes de ce traitement intense, il sort de mon cul avant de jouir. Il va alors chercher un truc dans sa caisse et il se positionne au-dessus de mon cul. Je vois alors qu’il a attrapé le gel spécial fist. Il en enduit mon trou et son bras. Il s’agenouille derrière moi et se met à caresser mon cul.
- Ton trou se contracte, comme s’il avait faim ! Comme s’il attendait mon poing ! Oui, bébé, tu vas l’avoir !
Ses doigts m’écartent le fion et après ce traitement de fou, ils s’enfoncent en moi comme dans du beurre. Puis, je sens que la base de son pouce veut passer mon premier sphincter. Il fait bien tourner sa main et finalement, ça passe. Je sens que sa main s’enfonce toujours plus loin en moi. Je me sens comme démantelé. Il fait tourner son poing et essaie d’aller toujours plus loin.
Son poing est maintenant dans mon anus et il se met à accélérer ses va-et-vient, faisant descendre sa main toujours plus profondément en moi. Il investit pleinement mon anus, je le sens bien au fond de mon trou et il commence à le fouiller. Il passe alors le deuxième sphincter et rentre dans mon intestin. J’essaie de me détendre, le poppers m’aide bien. Je gémis à la fois de douleur et de plaisir. Ma chatte s’élargit et elle laisse passer son avant-bras musclé qui se retrouve complètement en moi. Mais il continue. Très vite, je sens son coude taper ma prostate. Il ne s’arrête pas là et il continue sa descente. Je sens ma chatte s’élargir autour de son biceps musclé. Et quelques minutes plus tard, je me retrouve avec le bras entier enfoncé dans mon trou. Il donne quelques coups de poing et moi je crie de plaisir.
Il retire son bras lentement ... Mon cul est complétement explosé ! Mon anus ne peut même plus se serrer ! Une fois ressorti, il pose son gland sur ma prolepse qui est bien sortie. Il joue avec puis il s’enfonce dans mon anus. Il reste dans mon antre, je me demande s’il va pouvoir jouir comme ça... En tout cas, je ne ressens rien... Mon anus baille comme une moule grande ouverte. Ça ne semble pas le déranger. Il se met à me baiser. Il glisse en moi comme jamais, malgré la taille de son monstre. Son fist m’a vraiment bien ouvert. Par contre, je ne ressens toujours rien ! Je trouve ça un peu frustrant...
- Baisez-moi, maitre ! Je veux vous sentir au fond de mes entrailles ! Enculez-moi à fond !
Il me tient fermement par les hanches et il commence des va-et-vient rapides, violents, utilisant toutes ses forces. Il me balance d'énormes coups de reins. Ses grosses couilles frappent bruyamment mon cul. A l’aide de son bras, il m’enlace le cou tandis qu’il me bourrine. Son étreinte autour de mon cou devient de plus en plus serrée. Il commence à m’étouffer. Il m'étrangle, je respire de plus en plus difficilement. Je sens que son excitation augmente, sa queue et son gland gonflent. Au dernier moment, il serre ma glotte encore plus fort ce qui me fait suffoquer... et il jute dans un râle bruyant. Je sens mon trou se remplir de jets brûlants et gluants. Il desserre alors son bras et il ressort de mon cul, le sperme coule. Il me le sert sur ses doigts et j’avale tout. Il me prend ma queue et au bout de quelques secondes, je jouis comme jamais de grands jets sur les draps.
Il me prend par la nuque et m’oblige à nettoyer les draps du sperme qui coule de mon cul et de ma queue. J’avale tout. Il me prend dans ses bras puissants, me plaque sur son torse et on s’endort ainsi, mon trou toujours béant qui laisse dégouliner le sperme de mon maître.
A suivre...
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
Autres histoires de l'auteur :