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Chapitre 7
Salut à tous et merci pour les nombreux retours que j’ai eus sur mes précédentes histoires.
Dans « Pris de force dans les douches par un rebeu », je vous racontais ma rencontre avec Abdel, un rebeu dont la grosse teub m’avait vraiment bien défoncé dans les douches de mon club de fitness. A la fin de ma période d’essai, Abdel m’a déclaré que j’étais officiellement sa pute, que je lui appartenais et que je devais m’installer chez lui, ce que j’ai d’ailleurs fait. La vie avec Abdel se résume à le servir et à être son vide-couille.
Aujourd’hui, malgré la chaleur de la canicule, Abdel va au boulot. Quand il part, je remarque qu’il a laissé tout trainer : ses habits de la nuit, sa serviette de bain, son bol du petit-déjeuner. Il fait vraiment chaud dans l’appart, je décide de remettre à plus tard le rangement. Vers midi, je me fais quelque chose de léger à manger. J’essaie de me motiver pour ranger mais je me sens fatigué. Je décide d’aller faire une petite sieste.
La sieste dure. Abdel rentre plus tôt que d’habitude et quand il entre dans l’appartement, il s’énerve :
- C’est quoi ce bordel !
Vu que je dors, je ne réponds pas. Il m’appelle mais je suis profondément endormi, je ne l’entends pas. En colère, il me trouve dans le lit en train de roupiller. Il entre dans une colère noire :
- Tu crois que je vais bosser et gagner le fric pendant que toi, tu dors toute la journée sans rien foutre ?
Je me réveille et je le regarde, apeuré, sans rien dire. Prenant ça pour un affront, il hurle :
- Réponds-moi, salope, quand je te parle.
J’essaie de bredouiller quelque chose mais aucun son ne sort de ma bouche. Son visage est rouge de colère.
- Putain, tu vas morfler, salope !
Il se précipite sur moi comme un boulet de canon. Il enlève les draps, il me prend par mon t-shirt et il me jette par terre. Je ne bouge pas, médusé par ce qui m’arrive. Il se penche sur moi, il me déchire mon t-shirt, il tire sur mon caleçon qui craque. Il ouvre sa braguette et il sort sa bite. Il se met à me pisser dessus. Ses jets puissants et chauds giclent contre ma figure, contre mon torse, ils coulent le long de ma bite et ils forment une grosse flaque dans laquelle je me retrouve au milieu.
Quand il a fini, il me saisit violement la nuque et il me plonge le nez dans la pisse qui se trouve sur le sol. Il m’ordonne :
- Allez, sale pute, lèche-moi tout ça ! Fais ton boulot ! Nettoie bien tout ce bordel !
Je m’exécute docilement. J’ouvre ma bouche, je la plonge dans ce liquide chaud et j’aspire sa pisse. La peur m’est bizarrement passée et je commence même à bander. Mais Abdel s’en aperçoit :
- Ça te fait bander, sale pute ! J’aurais dû m’en douter ! Tu vas voir, connasse, je vais m’occuper de toi ! Je reviens. A mon retour, t’as intérêt à avoir tout bu !
Il va dans une pièce voisine et je l’entends ouvrir et fouiller dans un tiroir. Je m’applique bien à boire tout son breuvage. Quand il revient, je finis d’en aspirer les dernières gouttes. Je remarque alors qu’il tient un truc dans sa main. C’est un martinet. Je me recule de peur et il me dit :
- Approche-toi, mets-toi à 4 pattes, cul vers moi !
Voyant que j’hésite, il me saisit par la nuque, il me jette au sol et il me met une grosse baffe. Je finis alors par obéir. Je tends mon cul et le premier coup de martinet tombe. Je reçois le coup qui me fait comme un effet de choc électrique. La douleur se propage ensuite dans tout mon corps. J’en ai le souffle coupé. Puis je hurle de douleur. Le deuxième coup tombe puis le troisième. Je continue de hurler. J’ai super mal. Je le regarde, moi apeuré, lui en rage. Prenant mon regard comme un regard le défiant, il fait pleuvoir des coups de martinet sur mon dos. Puis sur mes fesses. Je crie toujours de douleur. Mais voilà que les coups sur les fesses produisent un effet inconnu jusque-là : je ressens une sorte de plaisir ... je me mets même à bander ! Il le remarque aussi, il écarquille les yeux. Il reprend ses coups de martinet sur le cul. Ma queue se met encore plus à grossir et je bande dur ! Il s’en aperçoit et il hurle :
- Grosse salope ! Tu aimes ça ! Tu bandes toujours ! Putain, tu vas voir ce que tu vas prendre !
Il me prend les cheveux, tirant ma tête en arrière et il fait pleuvoir les coups sur mon cul. J’ai mal mais je me mets à crier de plaisir. Il s’en rend compte et je vois alors son pantalon faire des mouvements au niveau de son entrejambe. Il se met lui aussi à bander ! La situation l’excite ! Il continue de me fouetter puis il arrête et me regarde d’un air pervers.
- Putain, j’ai trop envie de toi, ma grosse salope !
Je suis sur le sol, KO. Il sort sa queue de son pantalon. Elle bande déjà bien. Il me prend par les cheveux, il me tire vers lui et il enfonce sa queue dans ma bouche violement. Il me prend par les oreilles et il va de plus en plus profond dans ma gorge. Puis, il sort sa queue de ma bouche. Je tousse. Il me met alors de grosses claques. Et sans crier garde, il remet sa queue dans mon fond de gorge. Il me maintient la tête et il commence à me baiser la gueule profondément. Il n’y va pas de main morte et il me fait de grosses gorges profondes. Je bave de partout. Il retire sa bite de temps en temps pour me laisser reprendre mon souffle puis il recommence de plus belle.
Après, Abdel se déshabille et je peux admirer ce beau mâle : il a un corps massif, tout en muscle (de gros pecs et des tablettes de chocolat de ouf) et plutôt poilu. Il arbore de gros pecs bien lourds, bien poilus, des cuisses énormes et ses bras sont super musclés. Son pubis est rempli de poils bien noirs, ses couilles sont aussi très velues. Sa bite de 22 cm est circoncise et bien marron. Elle est veinée, énorme, épaisse et chaude. Il a de très grosses couilles poilues.
Il dit alors :
- Mais tu bandes, salope ! Ça t’a plu que je te passe au martinet ?
Il me fout alors une de ses chaussettes odorantes dans la bouche et il s’écrit :
- Je vais t’apprendre la vie ! Tu vas comprendre que je te loge et que je te nourris pas pour que tu ne foutes rien de tes journées !
Il me pose contre le sol, cul en l’air et il approche son gland de mon cul. Il y entre, sans lubrifiant. Il s’enfonce d’un coup. Je hurle de douleur mais la chaussette dans ma bouche atténue mes cris. Il dit :
- Tu es ma salope ! Tu reçois ce que tu mérites. Ton cul de chienne va voir ce que c’est la bite d’un vrai mâle rebeu !
Il se met alors à me défoncer violement, agressivement. Il s'amuse à me faire crier à chacun de ses coups de bites. Mes cris de douleurs font vite place à des gémissements de plaisir. A un moment, voyant que je bande, il prend ma queue et mes couilles dans ses mains et il serre de toutes ses forces tandis qu’il me pilonne. Il fait de grands allers-retours, sortant son gland et me pénétrant chaque fois plus violement, claquant son bassin contre mon cul. Malgré la douleur, je continue à bander. Il ressort de mon cul et il se place devant ma bouche. Il sort la chaussette et le remplace par sa bite. Il me l’enfonce au fond de la gorge sans ménagement. Et il me détruit le gosier. Je me rends compte que le rebeu se sert de moi comme d’un jouet sexuel... ce qui me fait bander à fond !
Il remet la chaussette dans ma bouche et sa queue replonge dans mon cul. Il dit :
- Tu kiffes, pas vrai ! L’odeur de ma chaussette ... tu la sens, l'odeur de ton mâle ?
Il continue de me limer, son gland me détruisant les entrailles. Ses va-et-vient sont toujours plus brutaux. Je sens sa bite tout au fond de mon ventre qui tape sans retenue, cherchant à toujours aller plus loin. Et c’est sous l’effet de ses coups de bite, mais aussi du traitement qu’il m’a infligé, que je me mets à jouir sans me toucher. Je gicle de nombreux jets qui viennent gicler sous mon ventre.
Puis au bout de 15 minutes, je sens sa bite se tendre. Il me crie :
- Sale pute, je vais te remplir la chatte et marquer mon territoire ! Tu es ma pute ! Tu es mon vide-couilles de rebeu ! Tu es ma chienne, tu m’obéis ! Est-ce que tu feras ce que je t’ai ordonné ?
Je secoue la tête affirmativement. Il me plaque alors contre lui, il bloque sa queue dans mon cul et il se décharge en moi. Je sens ses jets de sperme gicler dans mes intestins. Il continue de me limer et il me murmure à l’oreille :
- Tu sens bien mon jus dans ta chatte de pute ?
Il se retire et le sperme coule comme un torrent hors de ma chatte. Abdel s’écrie :
- Putain, salope, j’adore trop ta chatte !
Il me donne alors sa queue à nettoyer et il quitte la chambre, me laissant sur le sol, dégoulinant de sperme, le cul en feux. Je me relève difficilement et je vais panser mes coups dans la salle de bains. Je me remets dans le lit. Je caresse mes pansements sur le cul. Je me remets immédiatement à bander. Je trouve tout ça très bizarre. Puis je comprends que j’adore quand Abdel me traite comme sa chose, son objet, son esclave et qu’il peut faire ce qu’il veut de moi...
A suivre...
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire.
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Meetmemz
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