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Chapitre 6
Fini l’idylle entre mon parrain, Richard, et moi : Romain et Jonathan, les deux fils de Richard ont débarqué plus tôt que prévu dans la maison de vacances familiale. Lui et moi avions décidé de passer les vacances ensemble, comme tous les ans, dans sa maison au bord de la côte Atlantique, à Royan. Certes, je dois bosser car j’ai mon mémoire à finir pour valider la fin de mes études mais je voulais profiter de la mer pour me changer les idées... et de Richard, mon beau parrain en instance de divorce que j’ai surpris un jour en train de se branler. Après nous être branlés ensemble, nous avons cédé à la tentation et nous avons fait l’amour. Et depuis ce moment, nous vivions des instants magiques. Il semblait complètement revivre. Je bossais, on allait à la plage, on cuisinait ensemble... et on baisait souvent ! Mais la venue de ses deux fils a changé la donne. On a essayé de faire l’amour discrètement mais j’ai surpris Romain qui nous observait en train de baiser. Ce-dernier m’a fait du chantage et il a voulu que je le suce. Son frère nous a surpris et il a exigé le même traitement. Finalement, les deux frères m’ont baisé et ils m’ont rempli. Je ne veux pas parler de cette situation étrange à mon parrain qui lui aussi à envie de mon cul.
Dès que Jonathan, Romain et Richard ont une minute de libre et se sachant pas observer, ils viennent dans ma chambre et ils me baisent. Je ne sais plus où donner de la tête. J’ai sans arrêt le cul rempli et explosé. Mon trou devient de plus en plus béant, s’adaptant à la morphologie de ces bites exceptionnelles. Je dois avouer que j’adore faire ma chienne et me faire baiser sans arrêt. Mais d’un autre côté, ça m’épuise. Cependant, je me donne corps et âme à tous, en raison de l’amour que je porte à mon parrain, afin que le divorce avec son ex-femme lui soit le moins difficile possible...
Par exemple, aujourd’hui, nous allons ensemble à la plage. J’ai tous ces beaux mecs devant les yeux... et je me dis qu’ils m’ont encore baisé presque toute la nuit. Ça explique pourquoi je suis crevé. Je n’ai presque pas dormi. Richard, mon parrain, demande à son fils Jonathan d’aller acheter des sandwichs à la boulangerie. Avant de partir, ce-dernier me demande :
- Nico, tu veux m’accompagner ?
J’accepte. Nous passons à travers une pinède qui est un raccourci pour nous mener à la boulangerie préférée de mon parrain. Au milieu de cette petite forêt, Jonathan se colle à moi et il se met à me caresser le cul.
- Putain, ton cul est trop bon. Il me donne envie là...
Il m’entraine en dehors du sentier, il me fait m’arrêter et il me colle contre un gros pin. Nous sommes bien cachés de ceux qui pourraient passer par là. Je me retrouve avec le ventre appuyé contre l’arbre. Jonathan ouvre alors son maillot et il se met à branler sa queue. De sa main restée libre, il me malaxe le cul et son pouce m’enfonce le tissu du short de bain dans le trou. Je me laisse faire. Je jette un coup d’œil en arrière et je remarque que Jonathan bande déjà bien.
Jonathan a 20 ans. Il a un visage charmant et masculin avec des cheveux bruns, touffus et bien épais. Il est grand (près d’1,90 m). Il porte une barbe aussi bien épaisse mais bien entretenue. Il est large d’épaules et il est un peu enrobé. Il a un torse bombé et grassouillet avec de gros tétons et un ventre dodu. Son torse et le milieu de son ventre sont parsemés de poils noirs. Il a des bras et des cuisses assez musclés. Son pubis est recouvert de poils courts, frisés et noirs. Il a une queue fine et longue, dans les 20 cm avec un gros gland. Il a des couilles assez petites et poilues.
Il se met alors à genoux et ... il enfonce sa langue dans mon trou ! Il me broute la chatte. Il l’humidifie bien et il joue avec sa langue dans mon anus. J’essaie de ne pas gémir trop fort... ce qui est bien dur ! Au bout de quelques minutes, il se relève et il m’enfonce ses 20 cm dans l’anus. Ils glissent tous seuls. Il me prend par les hanches et il commence à faire de lents va-et-vient. Au bout de 2 minutes, il pose ses mains sur mes épaules et il accélère la cadence. Il me baise bien, sa queue s’enfonce profondément en moi et elle me défonce bien. Il prend un rythme régulier. Ses petites couilles se balancent sous sa bite.
Après 5 minutes, il sa cale en moi et il se vide dans mes entrailles. Je sens son corps, qu’il colle contre mon dos, pris de spasmes causés par l’orgasme et je sens aussi son jus se déverser en moi. Il se retire lentement de mon cul et il me présente sa queue recouverte d’un sperme épais et blanchâtre. Je comprends le message : je nettoie sa bite, faisant disparaitre toute trace de jus. Il me donne un baiser furtif sur la bouche et il me met une fessée. Nous remettons notre maillot et nous continuons notre chemin.
Nous revenons sur la plage avec les sandwichs et Richard ne manque pas de remarquer :
- Vous avez été longs. Il s’est passé un truc ?
- Il y avait la queue devant la boulangerie ! Elle allait même dans la rue, ment Jonathan.
Mais Romain n’est pas dupe et il lui lance un regard lubrique... mais il a l’air aussi jaloux. Nous partons de la plage vers 14h car le soleil commence vraiment à taper fort. Nous en profitons pour aller faire une petite sieste. Vers 15 heures, Richard se faufile dans ma chambre. Il plonge dans mon lit et il m’embrasse comme un fou. Je lui dis :
- Arrête ! Si tes fils nous entendent ?!
- Mais non, ils dorment, je suis allé vérifier !
Je me laisse faire, sachant que je vais le regretter. Tant pis... Je fais comme si de rien n’était, je n’ai pas le choix. Son corps se frotte contre le mien et je sens sa queue déjà tendue.
Je le mate à la lumière tamisée de ma lampe de chevet : Richard a 45 ans, d’épais cheveux roux avec une barbe fournie. Il est de stature et de taille normale. Son torse est imberbe, son ventre est couvert de poils roux. Sa peau est très pâle. Son pubis et ses couilles sont aussi très poilues. Il a une belle bite de 19 cm avec un long prépuce qui laisse entrevoir un beau gland rose, bien gros.
Je sens son corps viril et sexy contre moi et je me mets à bander aussi. J’abandonne toute résistance quand il descend pour me sucer.
Il remonte vers moi, sa queue titillant mon trou. Tout en m’embrassant, son gland perfore mon anus et s’y enfonce lentement. Il murmure :
- Ton trou n’est plus aussi serré qu’au début. C’est vraiment agréable. Ton anus s’habitue à ma queue.
S’il savait, me dis-je... Je savoure la progression de sa queue en moi et je me mets à gémir quand il commence à faire de allers-retours. Ses couilles ont l’air bien pleines, elles me chatouillent le cul. Je kiffe !
Il entame des mouvements puissants, son torse se frottant contre ma poitrine. Je place mes jambes autour de sa taille pour le rapprocher plus de moi. Je veux le sentir tout simplement au fond de moi.
Puis, il sort de moi, il se met à genoux sur le lit, la queue tendue et luisante de mon anus. Je me redresse et j’enfonce sa queue dans ma bouche. Elle est bien dure... et je me rends compte qu’elle a un goût de... sperme ! Richard m’a baisé dans le sperme de son fils ! J’espère qu’il n’a pas remarqué ce jus en moi. Je nettoie sa queue du mieux que je peux. Et il faut dire que j’adore ses 19 cm. Je le suce pendant 10 minutes. Je lèche son gland, je fais des gorges profondes. Pendant ce temps, sa main descend le long de mon dos et il me caresse la raie. Un doigt s’enfonce dans mon trou. Je sens alors sa bite se durcir. Il a vraiment envie de moi !
Je me mets en levrette et je sens vite sa queue glisser en moi.
- Hm, tu mouilles bien du cul, me murmure-t-il à l’oreille.
S’il savait, je me dis... Je me retrouve empalé sur sa bite. Ses couilles s’écrasent contre mon cul et il se met à me baiser avec passion et sauvagerie. Il me laboure maintenant !
- Je kiffe trop ton cul, dit-il en se penchant au-dessus de mon dos pour l’embrasser.
Ses mains me prennent ensuite les hanches après m’avoir caressé les miches et il accélère la cadence. Il sort à un moment de mon anus pour me bouffer le cul. Sa langue tourne autour de ma rosette et je ne peux m’empêcher de gémir. Puis, il replonge sa teub en moi. Il s’empale en moi, faisant descendre ses 19 cm d’un coup et il recommence à me limer. Richard fait des va-et-vient qui me font gémir. Parfois, il fait ressortir totalement sa queue pour la faire re-rentrer d’un coup dans mon trou humide. Au bout de 10 minutes, sa respiration augmente. Il pousse alors un gémissement rauque et il plaque son gland au fond de mes entrailles. Je sens alors ses giclées chaudes et bouillantes me remplir le trou. Il reste bloqué en moi tout en m’embrassant dans le dos et dans le cou.
Il se retire et un torrent de sperme jaillit hors de mon trou. Il prend ma queue en main, il me branle et il avale mon jus dont il se délecte avec envie. Il m’embrasse sur la bouche qui sent le sperme et il sort de ma chambre, un peu de jus souillant sa barbe.
Je me couche dans le lit et je m’endors sans faire de toilette. Après cette journée de baise intense, je suis épuisé. Je fais une bonne sieste d’une heure. Quand je me lève, Richard me dit que ses fils sont sortis et qu’ils rentreront tard. On passe des moments tendres et romantiques. Mon anus obtient une pause pour la journée.
Le lendemain, au petit-déjeuner, Romain me parle à voix basse alors que mon parrain est allé chercher du lait dans la cave.
- Salope ! Tu as baisé avec mon père hier après-midi ! Je t’ai entendu !
- Je n’ai pas eu le choix... je ne veux pas qu’il se rende compte que...
- Ta gueule ! C’est fini ! On va tout lui raconter !
Je commence à paniquer ! Je ne veux pas que ces deux petits cons cassent ce qu’il y a entre Richard et moi !
- Quoi ? Mais pourquoi ? Je suis à votre disposition ! Qu’est-ce qu’il vous faut de plus ?
- Faire ce qu’on dit !
- Et je le fais !
- Parfait ! Alors, on a décidé de te punir car tu as baisé avec notre père !
Je suis soulagé... mais l’inquiétude prend bientôt le dessus :
- Et je vais devoir faire quoi ?
- On a raconté à des potes qu’on avait baisé une petite pute. Ils nous ont soulé car ils voulaient te rencontrer et te baiser. On a alors dû avouer que tu étais un mec. Et nos potes ont toujours très envie de te rencontrer et de se vider en toi !
Je les regarde bizarrement. Servir de vide-couilles aux potes des fils de Richard ne m’enchante guère... Cependant, je me mets à bander dans mon caleçon. Romain le remarque et il sourit, comprenant que j’accepte.
L’après-midi, Richard me demande s’il veut venir avec moi au magasin de bricolage. Romain me regarde alors avec un petit sourire carnassier. Je réponds :
- Non, désolé, je dois bosser sur mon mémoire, j’ai pris trop de retard.
Je vois Romain pianoter sur son téléphone. Je comprends qu’il ameute ses potes.
Mon parrain part 30 minutes plus tard et presqu’aussitôt, la sonnette de la porte d’entrée retentit. Romain me dit d’aller me préparer et il va ouvrir.
Quand je redescends tout propre, j’entends plusieurs voix parlées et rigolées. Les mecs sont devant la télé et ils matent un porno. Quand je fais mon apparition, les mecs tournent la tête et ils sifflent à la vue de mon petit cul. En effet, je porte seulement un jock-strap que Jonathan m’a acheté le matin même. Romain se lève, il me prend par la main et il me fait m’assoir à côté de lui, au milieu des mecs. Je vois que les pantalons sont bombés et que les bites sont déjà bien dressées. Je vais avoir du pain sur la planche !
A suivre...
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire.
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