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Chapitre 5
Fini l’idylle entre mon parrain, Richard, et moi : Romain et Jonathan, les deux fils de mon parrain, ont débarqué plutôt que prévu dans la maison de vacances familiale. Richard et moi avions décidé de passer les vacances ensemble, comme tous les ans, dans sa maison au bord de la côte Atlantique, à Royan. Certes, je dois bosser car j’ai mon mémoire à finir pour valider la fin de mes études mais je voulais profiter de la mer pour me changer les idées... et de Richard, mon beau parrain en instance de divorce que j’ai surpris un jour en train de se branler. Après nous être branlés ensemble, nous avons cédé à la tentation et nous avons fait l’amour. Et depuis, nous vivions des instants magiques. Il semblait complètement revivre. Je bossais, on allait à la plage, on cuisinait ensemble... et on baisait souvent ! Mais la venue de ses deux fils a changé la donne. On a essayé de faire l’amour discrètement mais j’ai surpris Romain qui nous observait en train de baiser. Ce-dernier a voulu que je le suce et je l’ai fait mais je n’ai pas avalé... ce qui ne lui a pas plus car il est venu la nuit suivante, s’est assis sur moi, il s’est branlé et il m’a joui dans la bouche alors que je dormais. Ses puissants jets de sperme m’ont réveillé et il a tout simplement ajouté :
- Ça t’apprendra à pas m’avoir sucé jusqu’au bout. T’as intérêt la prochaine fois à faire ce que je dis !
Le lendemain, quand je me réveille, je ne sais pas comment faire. J’ai peur que Romain parle de ce qu’il a vu entre son père et moi ... ce qui pourrait avantager sa future ex-femme dans leur divorce.
Peu après que je me suis réveillé, Romain ouvre ma porte de chambre et se glisse sans bruit. Je le regarde, surpris. Il se déshabille puis il me dit :
- Allez, suce-moi ! Je bande bien dur ce matin !
Ce mec est une vraie machine ! Il aimerait jouir une troisième fois en l’espace de quelques heures. Cette fois, je ne me fais pas prier. « C’est mon devoir », me dis-je. Il s’assoit sur une chaise. Sa bite est dressée devant ses abdos. Elle doit bien faire dans les 21 cm. Son pubis est assez velu, rempli de poils frisés et roux. Il a de grosses couilles qui ont l’air bien pleines, avec des poils longs et roux. Je mate aussi son corps : il est mince. Romain a une peau très claire, tout comme son père. Il n’est pas très musclé, il est d’ailleurs assez maigre. Une ligne de poils roux descend de son nombril dans son pubis velu. Ses jambes sont minces et parcourues de poils roux.
Moi, je me mets entre ses jambes et je commence à lécher son gland. Puis j’enfonce sa queue dans ma bouche. J’en ai la moitié dedans. Mais il me pose sa main sur ma nuque et il enfonce ma tête sur sa bite jusqu’à ce que mon nez se perde dans ses poils de pubis. Il me maintient ainsi, moi j’étouffe un peu et au bout de quelques secondes, il relâche la pression. Je ressors la teub de ma bouche. Un grand filet de bave en sort. Mais j’ai peu de répit. Puis, il plaque de nouveau sa main contre ma nuque et sa queue s’enfonce dans ma bouche. Ensuite, il me libère et je me mets à le sucer. Je rentre et je sors sur sa teub, je fais de grands allers-retours. Il me fait faire des gorges profondes de temps en temps.
J’arrête à un moment, car je crois avoir entendu du bruit dans le couloir. Je remarque alors que Romain n’a pas fermé la porte. Je vais la fermer puis je reprends ma suce.
Je m’occupe de lui ainsi pendant 15 minutes. Sur les dernières minutes, il me prend la tête et il se sert de ma bouche comme d’un sex-toy. Puis il plaque sa bite au fond de ma gorge et je la sens se faire inonder par de nombreux jets de sperme qui giclent directement dans mon œsophage. Quand il a fini de jouir, il relâche la pression et je me relève. Il se rhabille et ajoute :
- J’ai toujours su que c’était bon d’avoir un pote homo...
Et il repart en souriant. Je vais sur mon lit et je repense à tout ça. Même si j’ai beaucoup d’affection pour mon parrain, je trouve génial la façon dont me traite son fils. Je ne suis qu’un vide-couilles et c’est bon de temps en temps de se sentir traiter comme ça. Je me mets alors à triturer ma queue.
Mais après de 5 minutes, la porte de ma chambre s’ouvre. Je remonte vite les draps et je vois que c’est Jonathan, le frère de Romain qui rentre. Il me sort de but en blanc :
- J’ai vu tout à l’heure que tu as sucé mon frère ! Tu veux pas me sucer aussi ?
- C’est pas ce que tu crois, ton frère m’a...
- Je m’en fous ! J’ai envie de me vider dans une bonne bouche et Romain avait l’air d’apprécier.
- Non, mais...
- Mon père sait que tu aimes la bite ?
Cette phrase me fait réfléchir. Il ne faut pas que Richard sache ce qui se passe entre Romain et moi, ce ne serait pas bon pour son divorce ... et pour notre relation ! Je bafouille :
- Non. Mais s’il-te-plait, dis rien.
Jonathan me regarde alors d’un air dominant et il vient se coucher dans mon lit, à côté de moi. Il enlève son t-shirt et fait glisser son caleçon le long de ses jambes.
Jonathan a 20 ans. Il tient plus de sa mère que de son père. Il a un visage charmant et masculin avec des cheveux bruns, touffus et bien épais. Il est grand (près d’1,90 m). Il porte une barbe bien épaisse et bien entretenue. Il est large d’épaules et il est un peu enrobé. Il a un torse bombé et grassouillet avec de gros tétons et un ventre dodu. Son torse et le milieu de son ventre sont parsemés de poils noirs. Il a des bras et des cuisses assez musclés. Son pubis est recouvert de poils courts, frisés et noirs.
Il commence à jouer avec sa queue qui se met à gonfler. Il a une queue fine et longue, dans les 20 cm avec un gros gland. Il a des couilles assez petites et poilues. Je le suce et j’arrive à prendre sa bite entièrement dans ma bouche. Ma gorge a bien été entrainée par la queue de son frangin (qui est un peu plus grande) il y a quelques minutes de cela. Son gros gland caresse le fond de ma gorge. Mon nez se retrouve dans son pubis odorant qui me fait encore plus bander. J’entame des va-et-vient ponctués de quelques gorges profondes. Jonathan se penche en arrière et ferme les yeux, savourant mon traitement. Il murmure :
- Tu suces trop bien !
Ce compliment me donne envie d’accélérer mes va-et-vient. Son gland laisse échapper une bonne quantité de mouille. Ma main descend sur ses boules velues et douces. Je les caresse et je les malaxe, ce qui accentue ses gémissements. Il me caresse les cheveux.
Sa respiration s’accélère. Il accompagne ma suce de quelques petits coups de reins. Puis, là, c’est l’explosion ! Sa bite durcit de plus en plus puis elle se contracte. Il me crache son jus dans ma bouche. Ses jets sont assez puissants et ils frappent le fond de ma gorge. Je subis son déluge de sperme. Il jute pendant bien 20 secondes de nombreux jets qui m’inondent la bouche et que j’essaie d’avaler au fur et à mesure... ce que je n’arrive pas à faire. Un peu de sperme coule de mes lèvres et va tapisser mon menton et ses couilles. Le flot de jus finit par s'arrêter. J’avale sa semence qui a un goût amer et salé.
Sa queue reste bien droite. Je me branle et je remarque qu’il ne débande pas. Je le regarde d’un air interrogateur et il me dit :
- Allez, viens prendre ta deuxième dose.
Je me rapproche de sa queue et il s’amuse à la frotter sur mon visage. Je m’en empare et je m’amuse avec son gland. Je le lèche, je l’embrasse. Puis j’enfonce sa queue dans ma bouche. Elle est toujours aussi dure. Une de mes mains remonte sur son gros ventre, elle caresse son corps velu et elle se dirige vers un de ses gros tétons. Je m’amuse à le triturer et à le pincer. Il gémit de plaisir.
Au bout de 15 minutes, il prend sa queue en main et il se met à se branler. J’ouvre la bouche au-dessus de son gland quand j’entends sa respiration s’accélérer. Il pousse un gémissement et un grand jet de sperme gicle dans mes cheveux et sur mon front. Le deuxième gicle dans ma bouche quand je prends le gland sur ma langue. Pareil, il gicle une bonne quantité de sperme. Puis il éjacule en rasades. J’ai l’impression que sa source est intarissable. Au total, il me lâche une douzaine de jets de sperme dans la gorge.
Il se relève, satisfait et quitte ma chambre. Moi, je reste sur mon lit, le visage dégoulinant de sperme. Au bout de quelques minutes, je me lève pour aller me doucher. Puis, je descends et la journée se passe sans accroc. Plage, resto avec mon parrain et ses deux fils. On fait comme si tout était normal... mais moi, je me sens vraiment mal à l’aise.
Richard et moi ne restons pas seuls aujourd’hui, donc impossible de parler de choses intimes ou de baiser ensemble. Le soir, on regarde tous ensemble un film et on boit quelques bières. On va tous se coucher vers minuit. J’entends que tous vont dans leur chambre respective.
Mais 30 minutes plus tard, ma porte s’ouvre lentement et ... Jonathan et Romain se tiennent debout, devant la porte, complètement nus, la queue à la main. Romain ferme la porte et il dit :
- Petit coquin ! Jonathan m’a raconté que tu l’avais sucé aussi. T’es une grosse salope !
- Oh oui, et tu es aussi la salope de notre père, c’est ça ?
Je ne réponds pas.
- Jo, il n’a pas envie que ça se sache. Il va falloir alors acheter notre silence, mon beau ! A genoux !
Je ne me fais pas prier et je me pose devant mon lit à genoux. Les deux mecs s’avancent et commencent à se branler. Jonathan dit :
- C’est trop bon d’avoir un vide-couilles pour les vacances !
- Oui, on va bien se servir de sa bouche !
Pour marquer ma docilité, je passe de queue en queue et je leur lèche le gland ou leur membre. A bout de 5 minutes, Jonathan dit :
- Je vais jouir, ouvre ta bouche.
J’ouvre alors ma bouche en grand, son gland vient se poser sur mes lèvres et il se branle jusqu’à ce que le premier jet gicle sur ma langue. Le deuxième jaillit sur ma joue, le troisième dans mes cheveux et les autres inondent mon visage ou ma bouche. Je compte en tout 10 jets. Je n’ai pas le temps d’avaler que Romain gémit et il jute d’abord 4 jets épais et bien blancs qui vont directement sur ma langue ou au fond de ma bouche. Puis, il enfonce son gland dans ma gorge où il continue de larguer sa semence.
Quand il ressort, Jonathan me nettoie le visage avec sa main et il me donne le sperme à avaler. Je lèche sa main avec gourmandise. Et je remarque qu’il bande toujours. Il dit alors à Romain :
- Cette salope me fait vraiment envie ! Regarde-moi ce cul !
Romain le regarde avec méfiance.
- Tu veux le baiser ou quoi ?
- Pourquoi pas ?
- Tu es homo ?
- Non, ce serait la première fois que je baise le cul d’un mec... mais tu l’as bien dit, c’est une grosse salope et elle va faire ce qu’on veut !
- Je sais pas trop...
- Moi, en tout cas, je vais utiliser son cul ! Un trou est un trou ! Ça fait trop longtemps que j’ai pas baisé !
Jonathan se pose alors devant ma bouche, me présentant son cul. Un gros cul bien en chair, poilu à souhait. Ma langue sort automatiquement et je me mets alors à lui bouffer le cul comme jamais. L’odeur de ses poils est sensationnelle, un mélange de transpiration et de mâle.
Au bout de 5 minutes, il se relève et il passe derrière moi. Il crache sur mon trou et il y fait entrer son gros pouce. Il le fait tourner tout en me caressant le cul.
- J’ai trop envie de cette belle chatte...
Il positionne alors son gland sur mon anus, sans capote et il s’enfonce dans mon trou qui n’offre aucune résistance.
- Putain, c’est trop bon ! Ton trou est trop serré... même s’il semble avoir bien servi ! Il est habitué aux grosses queues, à ce que je vois ! C’est mon père qui se sert de ce petit cul comme ça ?
Je ne réponds pas. Très vite, il m’embroche sur sa queue. Il pousse un long soupire quand ses 20 cm sont complètement rentrés. Ses poils de pubis me chatouillent le cul à merveille. Je frisonne de plaisir. Jonathan se met à donner de petits coups de bite.
Romain se place derrière nous et je vois dans le miroir de l’armoire que ce spectacle ne le laisse pas indifférent. Il bande de nouveau et il se branle. Puis il s’approche de nous et il me caresse le cul. Il crache un mollard ensuite sur la bite de son frère et admire sa bave disparaitre dans mon cul sous les va-et-vient de la bite de Jonathan.
- Tu veux le baiser ?
- Oui, murmure timidement Romain.
Je remarque que même s’il fait le mec fier de lui en temps normal, il ose à peine franchir le pas pour me baiser.
- Tu vas voir... sa chatte est trop bonne.
Les 20 cm quittent alors mon cul et Jonathan prend la bite de son frère en main pour la guider vers mon trou. Il y applique le gland. Il se place ensuite derrière son frère, sa bite plaquée contre son cul. Il lui murmure à l’oreille :
- Si je m’écoutais, je m’enfoncerais aussi en toi.
- T’es con ?!
- Allez, je plaisante !
Et Jonathan fait alors pression dans le dos de son frère qui se retrouve poussé en avant, m’embrochant par la même occasion sur sa queue. Je me retrouve enfin avec les 21 cm de Romain au fond de mes entrailles. Jonathan passe sur le côté et il ouvre bien mon cul en demandant :
- Alors ? Tu penses quoi de sa chatte ?
- Elle est trop bonne... Elle me fait vraiment envie maintenant...
- Alors, vas-y, défonce-la !
Romain ne se fait pas prier. Il me saisit les hanches et il commence à me baiser à fond. Je sens bien sa bonne teub m’écarter les chairs et taper contre le fond de mon cul. Il se déchaine en moi, m’utilisant comme un jouet sexuel, comme un trou. Son pubis tape contre mon fessier et le fait bien trembler. Il ne marque pas de pause. Il veut tout simplement jouir dans son jouet. Et au bout de 5 minutes, il gémit, il se bloque en moi et il me dose. Une dizaine de jets viennent frapper le fond de mes intestins. Il reste quelques secondes sans bouger puis il se retire.
Jonathan prend la place de son frère et il crache sur sa bite pour la lubrifier un peu et reprend sa baise. Mais je sais qu’il n’en a pas besoin car Romain m’a bien dosé. Jonathan tasse le jus de son frère, ce qui a l’air de lui plaire. Il commence un lent va-et-vient. Il savoure ma chatte chaude et bien remplie. Il fait sortir sa bite entièrement pour la replonger en douceur dans mes entrailles. Puis, il se met à bien me défoncer. Il se donne à fond. Son gros ventre tape en cadence dans mon dos. Ses couilles rebondissent contre mon cul. Il adopte une cadence super rapide. Il est très endurant.
Au bout de 20 minutes, il commence à suer à grosses gouttes. Il sent le mâle ! Moi, je gémis de plaisir car son gros gland me masse bien la prostate. Puis, sa respiration s’accélère et je sens son sperme jaillir de sa queue et me remplir le cul. Son corps tressaille à chaque jet... Puis, il s’effondre sur mon dos. Moi, je me branle et je jute sur le sol.
Il sort de mon cul qui dégouline des deux spermes. Il tapote sa queue contre ma raie, faisant tomber les dernières gouttes de sperme. Les deux mecs se tapent dans la main et ils repartent discrètement hors de ma chambre.
Et durant la nuit, c’est Richard, mon parrain qui vient me rendre visite et qui me remplit. Bien sûr, je ne lui dis rien que je suis devenu le vide-couilles de ses fils ... qui eux ne savent pas que j’entretiens une relation intime et suivie avec leur père. Mais bien sûr, ils ont capté qu’il se passait quelque chose entre nous, mais ils pensent que je suis aussi son vide-couille.
A partir du lendemain, les trois vont me baiser sans arrêt. Dès qu’ils ont une minute de libre et se sachant pas observer, ils viennent et ils me baisent. Je ne sais plus où donner de la tête. J’ai sans arrêt le cul rempli et explosé. Mon trou devient de plus en plus béant, s’adaptant à la morphologie de ces bites exceptionnelles. Je dois avouer que j’adore faire ma chienne et me faire sans arrêt baiser. Mais d’un autre côté, ça m’épuise. Cependant, je me donne corps et âme à tous, pour l’amour que je porte à mon parrain, afin que le divorce avec son ex lui soit le moins difficile possible... On verra combien de temps je vais tenir ce rythme...
A suivre...
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire (réelle !). N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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