Premier épisode
Chapitre-2
Salut,
Moi, c’est Nico, je suis étudiant en littérature moderne, j’ai 22 ans, je suis blond, les yeux bleus, je suis mince, de taille moyenne et je vis à Poitiers.
Lors d’une soirée, j’ai fait la connaissance d’Abdoul, un magnifique jeune homme marocain qui m’a envoûté dès le premier regard. Il m’a invité à venir chez lui et très vite, on s’est caressé et embrassé avant de finir dans son lit. Mais après notre partie de jambe en l’air, Abdoul m’a avoué qu’il était dans une relation à distance avec un mec. Mais il s’est empressé d’ajouter qu’il aimerait le quitter pour moi. Moi, voyant que des sentiments pour lui se sont aussi développés, je me suis senti un peu chamboulé.
Je suis chez moi, dans mon lit en train de repasser dans ma tête cette rencontre qui m’a bouleversé. Mais Abdoul me laisse à peine le temps de rassembler mes pensées. Quelques heures après son aveu, il m’appelle :
- On peut se voir maintenant ?
- Je viens chez toi, si tu veux.
Je suis certes content qu‘il appelle... mais je me dis que c’est une bonne chose si on se voit chez lui car je peux partir à tout moment si la situation devient trop compliquée pour moi.
J’arrive chez lui et il m’accueille avec un verre de vin rouge. Il boit une gorgée et il me regarde d’un air grave. Il finit par prendre la parole :
- Je n’y suis pas arrivé.
Il me serre alors dans ses bras. Je sais ce qu’il veut me dire : il n’a pas réussi à casser avec Mickaël qui habite à Dijon et avec qui il a une relation à distance.
- J’ai tout de suite su que ça serait difficile. On s’est appelé en visio et il m’a regardé d’un air si triste... Je n’ai pas pu lui dire la vérité. Mais je lui ai parlé de toi... que tu es mignon. Il sait même que tu es chez moi à l’instant.
Abdoul me regarde d’un air plein d’espoir. Je me dis qu’il n’a pas réussi à casser avec son mec mais qu’il a quand même parlé de moi... que je suis mignon et que je lui rends visite. Je prends alors Abdoul dans les bras et je lui dis :
- Je comprends ta situation... mais c’est soit lui, soit moi. Je ne peux pas tolérer un autre mec aux côtés du mien.
- Oui, bien sûr.
Il se recule, il sourit et il me roule alors une pelle. Il se jette alors sur le lit et il me tend les bras :
- Viens ici, j’ai besoin d’un câlin.
Je me glisse dans ses bras et je le regarde dans ses magnifiques yeux verts. Je place ma tête sur son torse pendant que mes mains caressent son ventre. Les siennes me caressent le dos... Très vite, Abdoul m’attire vers lui et on s’embrasse tendrement. Ses mains caressent mes bras. Puis, elles passent sous mon t-shirt pour frôler la peau de mon ventre et puis mon torse. Ses bras m’entourent et il se retourne. Je me retrouve sur le dos et Abdoul est sur mon ventre. Ses baisers deviennent plus torrides, plus sauvages. Il m’embrasse dans le cou puis il m’enlève mon t-shirt.
J’apprécie ce moment intense mais je n’arrive pas à faire taire mes pensées... Est-ce vraiment ce que je veux ? Abdoul, ne se doutant de rien, se redresse et enlève son t-shirt. J’ai alors de nouveau son magnifique corps devant les yeux. Abdoul a un corps svelte, mince, sans être vraiment musclé. On devine des pecs qui restent assez plats... mais des abdos sont légèrement visibles. Son corps est assez poilu. Le milieu de son torse est recouvert d’une toison noire et frisée, assez dense qui recouvre ses pecs de façon plus éparse. Son ventre est aussi un peu poilu, avec des poils courts et frisés.
Ma queue se dresse et je saisis Abdoul. Je le fais basculer sur le dos et je me retrouve sur lui. Je le regarde droit dans les yeux.
- Embrasse-moi, me supplie-t-il.
Mes lèvres se précipitent sur les siennes tandis que ma peau caresse la sienne. Nos baisers sont intenses et passionnés. Ma langue s’entremêle autour de la sienne et mes mains défont sa ceinture. Il fait aussi glisser son short et il se retrouve nu. J’enlève mon pantalon avant de me coller de nouveau contre lui. Abdoul est vraiment magnifique... Il a un piercing à l’arcade sourcilière droite... et de magnifiques yeux verts. Il a un magnifique visage et de belles lèvres épaisses. Sa peau est assez foncée. Ses jambes et ses avant-bras sont aussi poilus. Il a un pubis velu, recouvert de poils noirs, frisés. Il a une bite de 19 cm, circoncise, marron foncée, assez épaisse, avec des couilles un peu poilues, presque noires qui pendent bien. Elles ressemblent à de gros œufs.
Je perds alors entièrement le contrôle. Je me précipite sur lui et le fait de sentir sa bite contre moi me fait abandonner toute résistance. Abdoul doit le sentir car il me fait basculer sur le dos et sa langue se met à explorer mon corps. Je sens sa bite contre ma jambe qui produit une mouille importante. Ses mains me caressent le corps, sa bouche explore mon torse. Je gémis quand sa langue titille mes tétons. Il poursuit l’exploration de mon corps, sa langue traverse mon torse et elle passe sur son ventre, avant d’atterrir dans mon pubis. Puis, il attrape ma queue qu’il lèche. Puis, il se met à me sucer.
Il se débrouille vraiment bien. Il me fait directement des gorges profondes. Il s’applique bien pour me pomper. Mes couilles tapent sur son menton. Pendant ce temps, ses mains malaxent mon cul et parfois, il mouille son doigt pour s’insinuer dans mon anus afin de préparer le terrain. Puis, sa langue passe sur mon périnée et elle s’enfonce dans mon trou qu’elle se met à bien fouiller. Sa langue chaude m’arrache des gémissements... Il se met à me bouffer le cul avec gourmandise. Puis, il reprend son doigtage et après m’avoir mis 3 doigts dans le cul, il me fait me retourner sur le ventre. Son corps glisse contre mon dos et il m’embrasse dans le cou. Moi, je me laisse toujours faire en fermant les yeux et en appréciant ce traitement.
Je sens soudain son gland contre mon trou. Il s'y introduit lentement et sa bite descend centimètre par centimètre en moi. Il commence par me baiser avec douceur, je sens sa teub sortir complètement de mon anus, puis entrer à nouveau jusqu'au fond de mes entrailles. Ses poils caressent mon dos et j’adore ça. Je me sens possédé et je gémis fort en savourant ses coups de bite. Je sens ses grosses boules frapper mon cul... et je les entends bien aussi.
A un moment, sa queue sort de mon anus sous ses amples mouvements. Il la fait alors aller et venir contre ma raie tout en m’embrassant dans le cou. Puis, il la replonge dans mon trou, il se redresse un peu, ses bras tendus des deux côtés de mon corps, et il entame un pilonnage bien en règle. Ses coups de queue sont profonds, rapides, puissants. Parfois, il ralentit avant de reprendre sa défonce. Ses couilles claquent contre mon trou. Je les sens bien caresser la peau de mon cul.
Il se redresse, il me fait bien serrer les jambes et il gémit quand il sent sa grosse queue entrer et sortir de mon anus serré. Je ressens encore mieux sa grosse bite coulisser en moi. Il admire sa teub me pénétrer, faire des allers-retours en moi, sans capote. Il admire sa grosse bite noire entrer et sortir de mon petit trou rose et de mes fesses bien blanches. Quel beau contraste !
Soudain, il se repose sur moi, il m’enlace dans ses bras, il m’embrasse comme un fou dans le cou et il se met à me pilonner super rapidement et super profondément. Surpris, je gueule de plaisir. Très vite, il pousse un râle puissant et je sens sa queue me remplir d’une dizaine de jets. Quand il se retire, je sens le sperme jaillir hors de mon trou, couler le long de mon périnée pour recouvrir mes couilles et atterrir sur les draps. Abdoul replonge sa queue en moi et il se met à tasser son jus qui continue à sortir par vagues hors de mon anus.
Finalement, il me fait mettre sur le dos et il se met à branler ma bite. Je sens son jus jaillir hors de mon trou et ça me rend tellement chaud que j’éjacule très vite. Une fontaine de sperme jaillit de ma queue pour éclabousser mon ventre ainsi que tout ce qui se trouve autour de moi.
Abdoul lèche sa main et il se pose à côté de moi en me prenant dans ses bras. On reprend notre souffle. Mes pensées se bousculent alors dans ma tête : qu’est-ce qu’il s’est passé ?! Je ne voulais pas baiser avec Abdoul... mais cependant, je n’ai pas pu lui résister ! Je sens une chaleur monter en moi. Je me sens oppressé. Je me redresse et je m’assois sur le bord du lit, la tête dans mes mains. Abdoul s’inquiète :
- Ça va pas ?
- Si, si... mais je dois partir.
- Non, reste, s’il-te-plaît... On peut regarder un DVD et se faire des câlins en même temps jusqu’à ce qu’on s’endorme.
Je le regarde et je soupire. Je me lève, Abdoul aussi, il remet son short et il me prend dans ses bras.
- Viens dans mes bras, s’il-te-plaît.
Je me laisse faire, je me couche sur le lit et Abdoul passe ses bras autour de mon cou. Sa tête se retrouve sur mon torse. Mais j’ai vraiment trop chaud, la sueur coule sur mon front et j’ai mon cœur qui bat la chamade... Je ne peux plus rester :
- Désolé, je dois y aller.
- Si tu pars, je vais me sentir comme une pute..., m’avoue Abdoul.
Ça, je le veux vraiment pas... car en fait, c’est moi qui me sens comme une pute, étant donné la situation. Je me lève et je m’habille tandis qu’Abdoul reste couché sur le lit. Il me regarde avec des yeux de chien battus. Avant que je parte, il me demande :
- On se reverra ?
- Mais bien sûr.
Je l’embrasse sur la bouche avant de m’éclipser. Je m’élance dehors où je respire l’air frais. Je rentre chez moi et je vais directement me coucher. Je suis certes crevé mais je n’arrive pas à fermer l’œil... Les évènements qui se sont déroulés dans les dernières 48h passent et repassent dans ma tête....
A suivre...
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Meetmemz
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