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Chapitre-3
Salut,
Moi, c’est Nico, je suis étudiant en littérature moderne, j’ai 22 ans, je suis blond, les yeux bleus, je suis mince, de taille moyenne et je vis à Poitiers.
Lors d’une soirée, j’ai fait la connaissance d’Abdoul, un magnifique jeune homme marocain qui m’a envoûté dès le premier regard. Il m’a invité à venir chez lui et très vite, on s’est caressé et embrassé avant de finir dans son lit. Mais après notre partie de jambe en l’air, Abdoul m’a avoué qu’il était dans une relation à distance avec un mec. Mais il s’est empressé d’ajouter qu’il aimerait le quitter pour moi. Moi, voyant que des sentiments pour lui se sont aussi développés, je me suis senti un peu chamboulé. Le lendemain, nous avons passé la journée ensemble et nous avons fait l’amour. Mais j’ai très vite compris qu’il n’a pas la force de quitter son mec...
Le lendemain, je me réveille et je regarde mon portable. Un message d’Abdoul… Il me demande si j’ai bien dormi et il m’annonce qu’il aimerait m’inviter à prendre un petit-déjeuner marocain. Je dois avouer que son message me fait avoir mauvaise conscience. Je saute sous la douche, puis je prends mon vélo et peu de temps après, je me tiens devant la porte de l’appart d’Abdoul. Il ouvre la porte, souriant, il me tire par le t-shirt et il m’embrasse tendrement. Il m’entraine ensuite dans sa cuisine. Il me sert le petit-déj’ marocain qu’il m‘a promis. On se met à parler et au bout de quelques minutes, il commence à me raconter l’histoire de son grand amour au Maroc.
Abdoul avait 18 ans et l’autre avait à peu près son âge. Il était aussi musulman. Ils sont tombés amoureux l’un de l’autre, ils sont restés longtemps ensemble, en secret... jusqu’au jour où Abdoul l’a retrouvé au lit avec son meilleur ami. Abdoul a alors eu une montée de colère et il a saisi une chaise qu’il a brisé sur son copain. Puis, il les a chassés de l’appart. Depuis, il a le cœur brisé. Personne n’a pu depuis combler le vide laissé par cet amour et par cette trahison. Une ombre de colère et de tristesse se dessine sur son visage. Je suis mélangé entre la pitié et le « respect » devant sa réaction (il a explosé une chaise sur son mec...).
Le petit-déjeuner est bon mais il est trop épicé pour moi. Puis, nous nous dirigeons vers son lit. La radio est allumée et on écoute la dernière chanson de Louane. On se couche sur le lit et on commence à se câliner... comme un couple. Puis, Abdoul se met à m’embrasser. Je sens ses mains parcourir mon corps... Je commence à comprendre que c’est sa technique de drague. Et cette fois, je m’abandonne à ses caresses et à ses baisers. Mes mains passent sous son t-shirt et caressent son corps.
Je me retrouve dans les bras d’Abdoul et je me laisse faire. Il me caresse le dos et il m’embrasse tendrement. Puis, il enlève mes vêtements. Je fais de même avec lui et je l’observe : Abdoul est hyper craquant. Il a un piercing à l’arcade sourcilière droite... et de magnifiques yeux verts. Il a un magnifique visage et de belles lèvres épaisses. Il a un corps svelte, mince, sans être vraiment musclé. On devine des pecs qui restent assez plats... mais des abdos sont légèrement visibles. Son corps est assez poilu. Le milieu de son torse est recouvert d’une toison noire et frisée, assez dense qui recouvre ses pecs de façon plus éparse. Son ventre est aussi un peu poilu, avec des poils courts et frisés. Il a un pubis velu, recouvert de poils noirs, frisés. Il a une bite de 19 cm, circoncise, marron foncée, assez épaisse, avec des couilles un peu poilues, presque noires qui pendent bien. Elles ressemblent à de gros œufs.
Sa queue est collée contre ses abdos. Je me colle contre lui pour reprendre nos doux baisers et je sens sa teub conntre mon ventre. Il m’entoure mes jambes des siennes et on se retrouve plaqués l’un contre l’autre. Ses lèvres passent dans mon cou pour m’embrasser et moi, je savoure ses baisers en m’enivrant de son odeur. Puis, il me roule de grosses pelles pendant de longues minutes. Ensuite, il me fait rouler sur le lit pour se retrouver sur moi. Son corps m'écrase, sa peau douce comme du velours me caresse. Ma queue bande à fond, la sienne aussi. On s’embrasse avec fougue. L’instant devient torride. Puis, sa langue glisse le long de mon corps, de mon sexe et elle passe sous mes couilles avant d’atterrir sur mon trou. Il caresse mes fesses tendrement, puis il les écarte. Il se met à lécher mon cul. Il titille mon anus, ma rosette, puis il y enfonce sa langue et il commence à me bouffer le fion. Je gémis fort. Le bout de sa langue essaie d’aller le plus loin possible en moi. Je l’entends se régaler. Je m’abandonne à ses caresses buccales, tel un pantin désarticulé. Je savoure sa langue qui me fouille l’anus.
Il s’en occupe pendant bien 5 minutes avant de se redresser et de se placer entre mes jambes levées… qui se referment sur ses hanches. Abdoul plaque corps contre le mien, il m’embrasse tendrement alors que je sens son gland pénétrer lentement mon anus. Ses 19 cm glissent dans mes chairs, ouvrent mes spincters et arrivent finalement au fond de moi. Je sens ses couilles caresser mes fesses. Et toujours en mÄembrassant, il entame de lents va-et-vient.
On ne forme qu’une masse compacte de chair qui s’enlace et qui s’embrasse. Je me laisse aller sous ses baisers et ses coups de reins qui me font bien couiner. Le moment est magique, on forme une forme de symbiose que j’aimerais vivre éternellement. Je prends le corps musclé de mon rebeu dans mes bras et il m’embrasse dans le cou tout en me baisant. Puis, Abdoul tourne sa tête et il m’embrasse.
Puis, Abdoul se redresse et il me baise avec plus de force tout en maintenant mes chevilles. De mon point de vue, j’admire sa grosse queue, presque noire, entrer et sortir de mon trou. J’admire aussi les poils de pubis qui viennent se coller contre mon périnée et mes couilles pendantes. Ses coups de teub me font bien gémir de plaisir.
Abdoul serre son corps de nouveau contre le mien et il se met à donner de bons coups de bite. Son rythme de baise devient de plus en plus rapide. Le rebeu ne peut plus se contenir et il se défoule dans mon cul tout en m’embrassant. Les longs coups de reins d’Abdoul sont saccadés et rapides. Ses grosses couilles claquent bruyamment contre mon cul, ce qui me fait gémir de plaisir : j’adore quand il me lime de cette façon puissante et profonde. Il me baise sauvagement. Je sens aussi son gland qui s’enfonce en moi, me procurant un bonheur indescriptible.
Dans un ultime coup de reins, il s’enfonce en moi et une grande quantité de son sperme chaud et abondant gicle dans mon cul qui se fait inonder. Ce sont bien 7 jets. Il reste un moment immobile, juste en m’embrassant. Puis, il tasse un peu son jus... dans lequel je sens sa bite nager.
Il sort de mon anus, qui dégouline de sa semence. Il se pose à côté de moi pendant que je me branle et il m’embrasse tendrement sur la bouche et dans le cou. Je jouis une dizaine de jets sur mon ventre. Une fois l’orgasme passé, je me couche sur le lit et je me laisse aller... Je suis vidé, tout dégoulinant de sperme.
Après ce moment d’intimité, il me dit :
- Viens, on va prendre une douche !
On enfile nos caleçons et on se dirige vers la douche. Il ferme vite la porte à clé et on se déshabille. Abdoul me lave le corps tendrement, puis il me rince. Je fais de même. Ensuite, on se retrouve dans sa chambre et on se pose sur le lit. On se câline. On passe de longues minutes ainsi, sans parler. Je savoure ce moment... jusqu’à ce qu’Abdoul reprenne la parole :
- Demain, je vais quitter la ville.
Ces mots me font l’effet d’un glaive qui me transperce le cœur...
- Je dois trouver du travail pour pouvoir financer mes études en France. Un de mes cousins m’a trouvé un petit boulot dans un centre de distribution dans le sud de la France. C’est là que je me rends. A Perpignan...
- Et tu vas loger où ?
- Dans un foyer.
- Et tu pars quand ?
- Mon train part ce soir...
Sans répondre, je tourne ma tête de côté et mon regard se perd dans le vide. Je connais ce sentiment. A chaque fois que j’essaie d’accepter mes sentiments pour Abdoul, de lui ouvrir mon cœur, je reçois un coup dans l’estomac. Même si ce sentiment ne m’est pas inconnu, il n’en est pas moins douloureux...
- Je reviens dans 4 semaines. Après, je serai là pour toi. Et durant mon absence, on pourra s’appeler tous les jours.
- Ah. Et tu appelleras qui d’autre ? Mickaël ? Ou tes autres amants dont je ne connais pas l’existence ? Et combien de fois tu vas me tromper durant ces 4 semaines ? Et surtout : pourquoi tu veux travailler si loin ?
Abdoul me prend dans ses bras sans rien dire et il m’enlace en m’embrassant tendrement. Et le soir, il met son plan à exécution. Il part en effet pour le sud de la France. Je rentre chez moi, complètement vidé...
A suivre....
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Meetmemz
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