Premier épisode
Comme je vous l’ai raconté dans la première partie, je suis parti faire du camping dans les Pyrénées avec mon meilleur ami, Paul. Il est marié mais nous sommes partis seuls en vacances pour profiter de la montagne, chose qui n’est pas le trip de sa femme. Nous avons démarré à Cauterets et avec comme but ultime le Pic du Midi. Grandes randonnées la journée, le soir dodo dans une tente commune, mais bien sûr chacun dans son duvet. Pendant ce temps avec lui, tout comme les années d’avant, je n’ai aucune pensée cochonne pour lui. Mais hier soir, tout a dérapé. Paul a avoué son amour pour moi, nous nous sommes embrassés, il m’a baisé tendrement et nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.
Le lendemain, quand je me réveille, Paul n’est plus sous la tente. J’en sors, craignant qu’il ne m’ait abandonné à cause de notre « écart » de la nuit. Je l’appelle et je le vois à la rivière, il vient en fait de faire sa toilette. J’admire ce beau mâle qui s’approche de moi : il est assez grand (1,80m), il a des cheveux bruns, crépus et très fournis, le teint mat. Il a des épaules assez larges, un petit ventre, il porte une barbe de 3 jours et des lunettes. Il est très poilu sur tout le corps. Sa teub au repos doit faire dans les 11 cm... et je me remémore son membre bandé de 17cm qui m’a bien baisé la veille.
Mes craintes se dissipent vite quand il vient vers moi et m’embrasse à pleine bouche. Je le rends son baiser, je l’enlace et on se roule de grosses pelles. Sa bite se déploie et je comprends vite le message. On va dans la tente, il me prend mon visage dans ses mains et il dépose des baisers sensuels sur mes lèvres. Mes mains sont posées sur ses hanches et elles glissent dans son dos pour le serrer. Je le presse contre moi, lui fait de même et on se lèche les oreilles et dans le cou. Je passe et repasse mes mains sur chaque centimètre de son beau corps. Je m'attarde sur son magnifique ventre poilu. Puis je descends vers ses tétons que je lèche et je mordille. Puis je remonte vers ses lèvres pour l’embrasser à pleine bouche. Il me caresse les bras pendant que je pelote son ventre et ses bourrelets qui m’excitent.
Tout d’un coup, il me retourne et me fait mettre à quatre pattes. Il plonge sa langue dans mes fesses et il commence un irrésistible anulingus. Sa langue effleure tout d’abord ma rondelle, puis la pénètre légèrement. Je ressens comme une décharge électrique. J’ai la chair de poule sur tout le corps. Il fait ça super bien, sa langue me pénètre, me lubrifie.
Son anulingus dure bien 10 minutes.
Quand il a fini ce traitement spécial, je me précipite sur sa queue qui me fait envie depuis le début. Je le suce bien, je fais des gorges profondes. Il gémit de plaisir. Pendant 15 minutes, j’alterne entre les gorges profondes et les léchages sensuels du gland, des couilles ou du frein. Quand il n’en peut plus, il me retourne de nouveau et recommence à me lécher le trou. Je suis maintenant vraiment bien lubrifié. Il approche alors son gland de mon trou et l’enfonce lentement. Arrivé au fond, il reste en moi et il colle son torse contre mon dos tout en m’enlaçant de ses bras. Il m’embrasse alors le cou, le dos et il se met à donner des petits coups de rein. Fait incroyable, il me baise d’une telle manière que sa queue tape ma prostate. Ne voulant pas jouir trop vite, je m’échappe de son étreinte et me précipite sur sa queue pour la sucer. Elle sent bon le mâle. Je le couche sur le duvet et je m’installe sur sa queue. Je prends son beau sexe bandé et je place son gland sur mon anus. Je m'assoie délicatement sur sa bite, qui rentre sans problème. Quand je sens ses poils du pubis et ses couilles bien poser contre mes fesses, je me mets à bouger et à chevaucher sa belle teub, tout en l'embrassant et en lui caressant les seins. Je mouille tellement que mon cul glisse simplement sur sa teub. Je sens son gland aller tout au fond de moi et me fouiller les entrailles. Je monte et je descends sur cette bite toute dure. Ses grosses couilles frappent mes fesses et s'écrasent contre elles.
Il est endurant et au bout de 15 minutes, suant à grosses gouttes, je descends de mon destrier et je me mets sur le dos, les jambes en l’air et il en profite pour m’embrocher avec ses 17 cm. Il se penche sur moi et m’embrasse tout en me baisant avec douceur et sensualité. Il est super endurant, il tient ainsi pendant 40 minutes. Aucun de nous deux ne faillit. On est en pleine action, on s’embrasse, on se roule des pelles, je lui triture les tétons. J’adore aussi voir et surtout sentir son bide et ses poils. Je passe une main sur son ventre, le contact de ses poils sous ma main me fait bander un peu plus. Ils sont doux et chauds.
Il me dit de me mettre sur le ventre, je m’exécute et il s’enfonce de nouveau en moi. Il me prend dans ses bras et il accompagne ses coups de bite de baisers et caresses. Sa bite masse ma prostate et je gémis toujours plus fort. Au bout de 5 minutes, il me fait jouir sans que je me sois touché. Les contractions de ma jouissance doivent le surprendre et aussi il doit les apprécier car il pousse un « putain » et je sens alors les rythmes de ses coups s’accélérer. Très vite, il gémit et je sens alors mes entrailles se remplir de son liquide chaud. Il s’effondre sur moi, essoufflé, sa tête dans mon cou. Je me relève et il m’embrasse. Il sort de moi et je sens alors une fontaine couler de mon cul. Je l’observe puis je détourne le regard. Il me demande ce qui se passe. Je réponds timidement :
- Si c’est ok pour toi, tu pourrais ramasser le jus qui sort de mon cul avec ta teub et me le donner à boire.
Son visage s’illumine et il exauce mon souhait. Il fait plusieurs allers-retours à mon cul et il m’abreuve de son divin nectar. Une fois fini, il me murmure à l’oreille :
- N’hésite pas à demander d’autres trucs si tu as des envies. Je fais tout ce que tu veux.
- Toi aussi, alors.
- D’accord... Nico, je t’aime.
- Moi aussi, mon bébé.
Il m’embrasse et nous nous couchons dans les bras l’un de l’autre. Puis très vite, on se relève car je veux me doucher et nous voulons commencer notre randonnée.
La journée se passe bien, on rencontre peu de gens, on en profite pour se tenir la main, s’embrasser. Quand la nuit tombe, nous décidons de choisir un coin retiré au lieu d’aller dans le refuge où on avait prévu de passer la nuit. On se fait griller quelques trucs et pendant tout ce temps, Paul a sa tête posée sur mon épaule. Il me donne à manger ce qu’il fait griller. Je trouve cet instant très romantique. Il m’embrasse souvent, je le prends dans mes bras, on écoute les insectes chanter et on regarde les étoiles illuminer le ciel nocturne. On finit par aller se coucher, nus. Il m’enlace. Très vite, je sens sa queue dans mon dos en train de gonfler. Il me place alors sur le dos... et à ma grande surprise, il descend vers ma bite et la prend en main. Je lui dis :
- Tu sais, tu n’es pas obligé...
- J’ai envie de te donner du plaisir ce soir....
Il actionne ma queue et il se penche sur mon gland. De la pointe de sa langue, il le lèche... puis le gobe. Il prend la moitié en bouche et commence à me sucer. Il se débrouille bien pour un débutant. Je gémis pour lui montrer que j’apprécie. Il prend mon manche dans sa main, de l’autre il me masse les couilles tout en continuant à me sucer. Je le regarde faire... il s’applique vraiment. Il veut me donner du plaisir, tout simplement. J’éjacule très vite dans un grand râle. Une fois fini, il me regarde droit dans les yeux, satisfait et il ouvre la bouche. Elle est remplie de mon liquide blanc opaque. Elle est vraiment bien pleine. Ça m’a fait apparemment de l’effet de voir mon meilleur pote me sucer.
- Tu n’as pas obligé d’avaler, tu...
Il ne me laisse pas finir, il ferme sa bouche et avale tout.
- Allez, on dort !
- Et toi, tu veux pas jouir ?
- Non, pas ce soir. Je voulais simplement te faire plaisir. Je voulais que tu jouisses, tout simplement.
Il m’enlace et on s’endort vite.
Le lendemain, on se lève tôt et on va prendre notre douche dans une rivière, mais cette fois ensemble. On est nus dans l’eau claire quand je vois que Paul bande. Il s’approche alors et il se jette sur moi. Il m’embrasse avec passion, il me met sa langue bien au fond de la gorge. Ses bras m’enlacent dans le dos tandis que mes mains parcourent son corps velu. J’adore y passer redécouvrir ses poils. Bien vite, je glisse le long de son ventre pour me retrouver à quatre pattes dans l’eau, l’eau jusqu’au cou et je gobe sa teub d’un coup. Je commence à le sucer. Puis je me relève pour l’embrasser. Il me roule une pelle comme s’il voulait me dévorer. Je prends ensuite son gel douche et je lui en enduis le corps de la main droite. Je commence à frotter son torse et ses tétons qui pointent. Je passe ma main gauche dans ses poils, ce qui me fait bander à fond. Ils sont doux et chauds. Je fouille sa fine toison. De ma main gauche, je caresse ensuite ses poils du ventre, puis les poils des cuisses. Puis ma main remonte, passant sous ses aisselles, le long de son bras, pour redescendre sur l'abdomen. Ses poils sont doux et soyeux. Je sors de ma contemplation et de mes deux mains, je continue de le nettoyer. Je descends vers son ventre que je frotte et masse. Son ventre vacille un peu sous mon lavement. Je remonte vers son torse, je lui fais lever les aisselles et je m’en approche. Je les hume... elles sentent le mâle, j’ai l’impression que ma queue va exploser, se délectant du touché de ce que mes yeux voient. Mais mains passent dedans et je m’applique à laver ses dessous de bras. Puis je m’occupe de ses bras. Je sens un mélange de graisse et de muscles sous mes doigts. J’adore. Je passe derrière lui pour savonner son dos et ses épaules. Je le frotte de haut en bas et j’arrive à son cul rebondi. Je le malaxe tout en le lavant. Puis je passe la main dans sa raie et effleure sa rondelle. Son cul est broussailleux, je kiffe. Puis je lave ses cuisses, ses mollets, des deux côtés puis ses pieds et je lui demande de se retourner. J’ai sa bite devant moi, toute dressée. Je passe mes doigts dans son pubis poilu puis je descends vers ses couilles que je nettoie consciencieusement. Puis c’est au tour de son gland et de son membre. Je le branle un petit peu et je remarque qu’il mouille. Je rince sa queue et du bout de ma langue, je ramasse sa mouille que j’avale.
Je me relève et je vois qu’il me dévore du regard... mais avant tout, il se rince puis il me lave aussi. Tout en le faisant, il me couvre de baiser, caresse mon corps et triture mon cul. Il fait ça tellement bien que je bande à m’en péter la bite. Dès qu’il a fini, je me précipite sur sa queue et je le suce avidement. Mais très vite, il me fait me relever, me retourne, me lubrifie avec du gel douche et introduit lentement sa bite en moi. Et là, je remarque que je l’ai bien chauffé. Il donne des coups de queue puissants et rapides. Son ventre vacille et vient se cogner contre mon dos, ses couilles se balancent et fouettent mon périnée. Tout en me baisant, il m’embrasse tandis que je me branle. Très vite, sa respiration accélère et il me lâche sa purée dans les entrailles et je sens mon cul se remplir. Je jouie aussi, ma purée tombe dans l’eau et est emportée par le courant de la rivière. Il me prend dans ses bras et m’embrasse le cou. Sa queue se ramollit et finit par sortir de mon trou. A ce moment, des petits plouf se font entendre... son sperme coule hors de mon cul pour finir lui aussi dans l’eau.
Nous nous séchons, nous nous habillons puis après un petit-déjeuner copieux, nous nous mettons en route. Le soir, même scénario. Pas de refuge, nous nous retirons des sentiers et campons isolés. Nous nous préparons à manger quand Sarah, la femme de Paul, appelle. Paul lève les yeux au ciel et il répond. Ils commencent à parler. Je suis un peu jaloux je crois... puis une idée me vient. Je frotte ma main sur son pantalon et il me regarde, surpris. Puis, il comprend, il se met à sourire et se laisse faire. Je déballe sa bite et je la caresse, la masse. Elle se met à grossir. Une fois qu’il bande bien, je me place entre ses jambes et je le suce. Sa teub est bien dure. Je m’imagine alors une scène : comme si Sarah était à côté de nous, en train de papoter avec son mari et que moi j’étais sous la table en train de le sucer.
Je me lève, me déshabille et lui enlève son pantalon. Je me replace entre ses jambes et j’apprécie la vue sur ses cuisses poilues, sur ses couilles rondes, certainement bien chargées, et sur sa queue gonflée à bloc. Je prends le gland en bouche puis j’engloutis son chibre jusqu'à ses couilles, faisant une gorge profonde. Je le sens tressaillir, je vois bien qu’il essaie de lutter contre son plaisir et de se concentrer sur la conversation. Je ferme les yeux et imagine Sarah à côté de nous, ignorante, tandis que je suce son mari sous la table. Je le biberonne et je sens qu’il se contracte, s’efforçant de parler normalement, de lutter contre sa jouissance mais rien n’y fait. Je ferme les yeux et m’imagine toujours sous la table, suçant Paul qui essaie de ne rien laisser paraitre de son orgasme tandis qu’il se trémousse et que ma bouche se remplit de son sperme. Il a le souffle court, Sarah lui demande ce qu’il passe, il prétexte une crampe et moi je récolte jusqu’à la dernière goutte de son précieux jus. Je lui montre ma bouche remplie, il sourit et j’avale tout. Finalement, jouer le rôle de l’amant de mon meilleur pote marié n’est pas si mal.
Une fois la conversation terminée, il raccroche et nous mangeons. Nous passons la soirée dans les bras l’un de l’autre et au moment d’aller se coucher, il me dit :
- J’aimerais bien être passif ce soir.
- Tu es sûr ?
- Oui, mais fais gaffe, je suis sûrement serré et ta queue est assez épaisse.
- Oui, ne t’inquiète pas.
Il me plaque alors sur le duvet, il s’allonge sur moi et commence à m’embrasser et à me lécher les tétons. Je me laisse faire, appréciant ce traitement... Mes tétons se durcissent. Ma queue devient bien dure. Ses mains me caressent les bras et les épaules. De sa langue, il descend le long de mon torse, puis lèche longuement mes aisselles. Puis, sa bouche remonte dans mon cou puis derrière l'oreille. Je gémis fort, ce sont des zones très érogènes chez moi. Il remonte vers moi et pose ses lèvres sur les miennes. Sa langue entre dans ma bouche pour venir s’enrouler avec la mienne. Son ventre se frotte contre mon corps, sa bite me caresse la mienne.
Puis il passe à mes couilles qu’il gobe une par une. Et enfin, il se met à me sucer. Tout d’abord, il prend ma queue d’une main. Il la caresse en la décalottant complètement. Puis il approche sa bouche de ma tige et il se met à sucer le gland décalotté. Puis il enfonce la queue complètement dans sa bouche. Il me la lèche et me la pompe. Il se débrouille vraiment très bien. Il me caresse en même temps les couilles.
Je sors de mon extase pendant laquelle j’ai bien profité de son traitement et je me mets en position de 69. Nous nous suçons mutuellement. Sa queue est bien grosse, bien veinée, toute excitée, je m'applique à la lustrer. Je m’occupe aussi de ses grosses couilles poilues. Lui prend ma bite dans sa bouche me suce, s'enfonçant à fond de temps en temps.
Je me place derrière lui et je lui caresse le dos. Un frisson le parcourt et lui donne la chair de poule. Mes mains descendent le long de son dos jusqu’à ses fesses que je masse et que je caresse. Puis, toujours de mes deux mains, je lui ouvre la raie. Elle est poilue. Je m’approche de son trou et commence à jouer avec ma langue. Un parfum de mâle pénètre mes narines. J'adore cette odeur. Je commence par la raie puis la pointe de ma langue passe sur sa rosette qui se contracte par réflexe. Je la lèche à petits coups. Puis au bout de quelques minutes, je la caresse avec un doigt humide. Il gémit sous mon traitement et sa queue, qui bande à fond, laisse perdre quelques gouttes de précum. Je glisse le bout de mon index dans son trou qui n’est pas très serré. Aidé de ma salive et de gel, je m’enfonce plus profondément. Je glisse un deuxième doigt et Paul se raidit mais ne dit rien. Je continue lentement ma progression.
Enfin, je décide de tenter le pas. Je pose ma bite sur son trou, je la lubrifie et je regarde mon gland. Il est bien gonflé, bien gros, et j’ai peur qu’il le fasse souffrir. Je l’enfonce alors lentement, Paul ne dit rien. Je le ressors puis je le replace dessus, tapotant son trou vierge. J’y vais doucement, enfonçant mon gland un peu plus profond à chaque fois. Paul ne semble pas souffrir. J’y vais plus profondément. Puis mon gland se retrouve comme aspiré : il disparait dans son cul. Je continue ma progression. J'y vais très doucement, je force un peu... Paul grimace, mais ne semble pas avoir de douleur. Je suis content d’avoir réussi à bien le préparer. Son cul s’ouvre sous la poussée de ma bite et je prends possession de son cul : au bout de quelques minutes, mes couilles se retrouvent plaquées contre ses fesses et ma queue tout au fond de lui. Je me penche en avant, mettant mes bras de chaque côté de Paul, je m’allonge sur lui et je le caresse tout en lui embrassant le cou. Et en même temps, je me mets à donner de petits coups de reins. Je commence alors à coulisser, mais doucement, je ne veux pas qu’il ait mal.
Ensuite, je le positionne sur le dos et je continue de le baiser tendrement. Nous nous embrassons à pleine bouche. Ma queue coulisse maintenant plus rapidement. Elle sort puis elle rentre dans son trou, faisant claquer mon pubis sur ses fesses. Paul se branle et gémit de plaisir. Je suis soulagé qu’il apprécie. J’accélère la cadence de mes coups de bite. Je lui dis au bout de quelques minutes :
- Je ne vais pas tarder à jouir.
- Vas-y, donne-moi ton jus... bien au fond !
Sous ces encouragements, mes coups de reins deviennent plus puissants et j’éjacule dans son cul. L’orgasme est très intense. Je gueule et j’ai l’impression que je ne peux pas m’arrêter de lui déverser mon jus dans son trou. C’est fou, je sens comment ma bite éjacule des flots de semence. Et le voilà féconder. Je l’embrasse. Ma bite sort de son cul, du foutre se met à couler le long de sa raie. Il se branle à peine qu’il éjacule déjà... et quelle jouissance ! Son jus se retrouve expulsé partout, sur son ventre, son torse, sa bouche, ses yeux, son nez.
Je me pose à côté de lui et il ne cesse de répéter que c’était trop bon, que c’est une des meilleures baises de sa vie. Nous nous endormons ensemble, en se câlinant, dégoulinant encore de sperme.
Le lendemain, après un lavage sommaire, nous reprenons notre excursion. A un moment de la journée, il me met la main au cul et me susurre à l’oreille :
- J’ai envie de te baiser.
Je ne me fais pas prier, je le prends par la main et on s’éloigne des sentiers. Je me dis que Paul est en train de devenir accroc au sexe avec moi. C’est comme une drogue. Car cette fois-ci, il veut tirer un coup, ce n’est pas le sexe romantique et charnel qu’on a eu jusqu’ici. Mais je bande déjà, je comprends que cette évolution me plait aussi. Je remarque que je suis en train de développer des sentiments forts pour mon meilleur pote, c'est peut-être de l’amour, mais aussi du désir ... le désir de baiser par cet homme à qui j'ai terriblement envie d'appartenir.
Au bout de quelques kilomètres, pensant être seuls, il pose son attirail, je fais de même et il se jette sur moi. Je sens sa queue déjà toute droite, je lui ouvre le pantalon et je le suce. Très vite, il baisse mon pantalon, me positionne contre un arbre, me tartine le trou de gel. Il enfonce rapidement deux doigts en moi. Je pousse un petit cri de surprise qu'il étouffe avec sa langue. Il sort ses doigts de mon trou puis il frotte mon cul contre sa queue bien raide. Il l‘enfonce en moi sans avoir besoin de ses mains. Il donne de gros coups de butoir, il est très sauvage aujourd’hui. Il m’embrasse dans le cou tandis que son ventre cogne contre mon dos. Je sens les poils de son pubis me caresser le cul, ses couilles ballotter et me frapper.
Tout à coup, j’entends un bruit dans les fourrés et je vois alors deux mecs qui nous surprennent en train de baiser... Paul s’interrompt et je remarque que les nouveaux venus ont leur braguette ouverte et de belles queues bien grosses et bien épaisses en dépassent... ils nous observent donc depuis un petit moment, en train de se branler. Je regarde Paul qui semble exciter par la situation...
A suivre...
J’espère que cette histoire vous a bien plus. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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