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Chapitre 5
Salut,
Comme je vous l’ai raconté dans le chapitre 1, 4 cancres du lycée pro où je bosse en tant que pion m’ont forcé à les sucer, ils m’ont baisé sans capote et ils m’ont fécondé. Le lendemain, j’ai décidé de poser ma démission mais j’ai bien sûr un préavis... Etant donné la situation, je prévoyais de chercher vite un autre job, la peur qu’une chose de la sorte se reproduise étant trop grande. Le fait de m’être fait traiter comme une pute m’a tellement plu que je ne veux pas avoir des problèmes avec la direction... ou pire... je ne veux pas me laisser prendre en otage par le chantage de ces jeunes... ce qui n’a pas manqué avec Titi qui a voulu faire de moi sa pute, dans les toilettes des profs et il m’a même obligé à l’emmener chez moi pour qu’il me rebaise. Et dans le chapitre 3, il m’a donné en pâture à ses potes... Ils m’ont tous baisé et fécondé ... J’ai même eu droit à une bukkake. Je ne vais pas vous mentir, j’ai adoré me faire traiter comme ça... Cependant, je ne supporte pas l’emprise que Titi, cet étudiant à la grande bite, a sur moi et je me suis cru sauver quand un collègue, M. B., est entré dans les toilettes. Mais non, il a profité de moi et il a même soufflé une idée à l’oreille de Titi qui l’a mis à exécution : il m’a attaché dans les toilettes et il a fait payer les mecs qui voulaient me baiser. N’importe qui pouvait venir, payer et se vider dans mes entrailles. Rien qu’avec ça, 21 mecs m’ont tronché et m’ont ensemencé. En plus, 4 mecs se sont branlés sur mon cul.
Quand tout le monde a quitté les toilettes, Moha, un des 4 cancres du premier chapitre, regarde son portable et il dit à voix haute :
- Sale pute, c’est pas fini, j’ai encore une surprise qui t’attend. Tu vas encore servir de beaux mecs en rut ! Nettoie ton cul et rhabille-toi !
Je vais dans une cabine et je me vide du jus que j’ai dans le cul. Des litres en sortent et vont se perdre dans l’eau des chiottes. Dans d’autres circonstances, j’aurais été ravi de boire ce sperme. Mais Moha frappe déjà à la porte. Je fais un lavement rapide. J’ai juste le temps de me rhabiller que Moha me prend par le col de ma chemise et il m’entraine dans les couloirs. Maintenant, c’est comme s’il s’en foutait de se faire prendre par quelqu’un.
On descend d’un étage et il entre dans une salle de cours. C’est sa propre classe. Je reconnais Titi, Manu et Murat, les 3 autres cancres qui ont bien profité de moi lors de l’heure de colle (voir chapitre 1). Mais je reconnais aussi Kévin, le mec qui m’a charmé et baisé en premier dans cet établissement (voir « Gros matos dans la cour »). Mais il n’est pas seul. Il y a toute la promotion. Uniquement des mecs. Moha me fait entrer dans la salle et il me plaque contre le bureau du prof. Je me rends alors compte qu’ils auraient eu cours avec M. B., le prof de musique qui a donné l’idée à Titi de me faire baiser pour gagner de l’argent.
Je comprends comment tout peut marcher aussi bien. Les étudiants devraient avoir cours de musique pendant 1 heure. Mais si je comprends bien, ils vont plutôt profiter de mon cul... Titi dit :
- M. B. et moi avons montré une partie de la vidéo de tes exploits... et tous les mecs sont d’accord avec moi : on veut profiter de ta bonne chatte et juter dedans. Tu vas avoir le jus aussi de quelques puceaux. Ils ont jamais baisé et ils veulent prendre leur pied pour la première fois !
Murat prend des liens et il me fait basculer sur le bureau. J’ai le corps sur le dessus du bureau, mes jambes sont tendues et je suis debout. Murat écarte mes jambes. Les liens de mes pieds sont accrochés au pieds du meuble. Mes mains sont liées et attachées par un lien qui fait le tour complet du bureau. Je ne peux plus bouger. Je suis livré à cette bande de jeunes en chaleur... ce qui me fait directement bander !
Moha prend un jeu de clé resté sur le bureau et il ferme la porte à double tour. Il colle un carton sur la vitre tandis que Kévin ferme les rideaux. Je vais être à la merci de 20 étudiants en rut qui veulent prendre leur pied dans mes entrailles.
Titi dit :
- Allez, mettez-vous à poil et donnez-lui votre queue !
La plupart suivent ses ordres. Les vêtements tombent, les corps deviennent visibles, les bites aussi. Mais certains ne semblent pas vouloir suivre le mouvement. Titi reprend la parole :
- Ben alors, pourquoi vous restez comme ça ?
- Je sais pas, dit Corentin, mais j’ai peur des conséquences....
- Quelles conséquences ? Tu crois que s’il y en avait, je ferais ça ? Depuis ce matin, je baise cette pute et je la livre en pâture à des mecs en rut !
- Oui mais c’est un pion !
- Arrête ! C’est pas un pion ! C’est une salope avec deux trous qui est là pour nous satisfaire. C’est un vide-couilles, rien de plus ! Tiens, Murat, montre-lui comment on traite une pute dans son genre !
Murat s’avance alors vers moi et sa queue déjà tendue se balance devant mon visage. Murat est un beau rebeu tout en muscle, avec de gros biceps et de beaux abdos. Il est monté 20 cm, sa queue est circoncise et veinée avec un gland énorme et de grosses couilles bien velues.
Il prend ma mâchoire en main, il me crache dans la gueule et il m’ordonne d’ouvrir ma bouche... et j’obéis. Ses 20 cm entrent et il dit d’un ton triomphant :
- Vas-y sale pute, suce bien ma queue ! Tu kiffes la bonne queue de rebeu, pas vrai ? T'es une grosse salope, je l’ai capté dès que je t’ai vu la première fois ! Tu vas morfler !
Il prend alors ma tête dans ses mains et il se met à me déboîter la mâchoire. Il me baise la bouche en faisant de grands mouvements du bassin. Les autres le regardent, à moitié surpris, à moitié plein d’envie. Les dernières résistances tombent, tous les mecs se retrouvent à poils et ils me donnent leur queue à sucer. J'engloutis les bites à tour de rôle pendant que j’en branle d’autres. Je ne sais pas à qui les bites appartiennent, elles défilent dans ma bouche qui n’est qu’un trou ouvert pour eux. Les insultes genre « salope », « bonne suceuse », « vide-couilles », « grosse pute » fusent. Les baffes et les crachats vont bon train. Je me laisse faire, je me laisse utiliser. Je sais que ma place est là, en train de servir ses étudiants pour être leur vide-boules. Alors que je suce Jonathan, il se penche au-dessus de moi et il introduit 2 doigts dans mon trou. De l’autre main, il me caresse le cul. Il s’écrie :
- J’ai toujours fantasmé sur ce cul de salope...
- Il est à toi, fais-toi plaisir, lui dit Moah.
Sans se faire prier, Jonathan passe derrière moi et il crache sur mon trou. Il s’exclame :
- Putain, ça se voit que tu t’es bien fait utiliser aujourd’hui. Ton trou de salope est béant !
Jonathan est un jeune homme de 25 ans, il est plutôt grand et il a quelque chose d’intimidant dans le regard. Il a un corps mince et très poilu. Son torse est recouvert de poils noirs, longs qui forment un tapis. Une petite ligne descend vers son ventre qui est recouvert aussi de poils qui plongent dans son pubis qui est comme une forêt vierge : des poils drus, noirs, hirsutes. Ses jambes et ses bras en sont aussi complètement recouverts. Il a une bite de 18 cm appétissante et assez épaisse avec des grosses couilles ballottantes.
Il crache une nouvelle fois sur mon trou et il enfonce directement son sexe dans mon cul. Bizarrement, je supporte sa queue sans douleur. Une fois enfoncé en moi, il entame des mouvements rapides et profonds avant de se retirer pour me pénétrer de nouveau. Les bites défilent toujours dans ma bouche tandis que Jonathan prend son pied dans mon cul. Moha dit :
- Vas-y, Jonathan, baise-la bien ! Mets cette pute enceinte !
Je comprends que Moha lui met un peu la pression. Vu que l’heure avance, les étudiants ne doivent pas prendre leur temps... Ils doivent me baiser, me juter dans le cul et laisser la place au suivant.
Mon baiseur accélère le mouvement. Il a ses mains sur mes hanches et il me défonce. Ses couilles me fouettent le cul. Son corps poilu me chatouille les fesses et le dos. Mais il faut 5 minutes à Jonathan pour donner un grand coup de bite et dans un hurlement, il lâche sa sauce dans mes entrailles. Je sens sa queue se contracter et il éjacule son jus pendant de longues secondes tandis qu’il pousse un râle profond. Il sort de mon trou et son sperme épais et blanc se met à couler lentement hors de mon cul. Du coin de l’œil, je vois Titi qui s’approche de mon cul : il est en train de filmer toute la scène !
Le suivant rentre facilement en moi et il me ramone bien à fond ! C’est Marco, un mec de taille normale, de 25 ans. Il a une barbe noire, il est mince et lui aussi est extrêmement poilu sur le corps. Ce sont des poils noirs, fins et courts mais pas un centimètre carré de sa peau n’est sans poil. Ses bras et ses jambes sont aussi bien velues. Son pubis est bien entretenu, les poils y sont courts. Ses petites couilles sont rasées. Sa queue de 19 cm est fine. Marco me travaille bien le cul tandis que Titi me prend la tête dans ses mains et il me baise la gueule à fond. Sa grosse teub s’enfonce profondément dans ma gorge.
Marco donne des coups de bites réguliers, puissants et profonds. Sa queue glisse dans le sperme de son pote Jonathan. Il a l’air d’apprécier car sa queue est bien dure. Ses mains sur mes cuisses, il se défoule en moi. Il lui faut 10 minutes avant de m’engrosser. Je sens la violence de 4 jets de sperme me frapper le fond de mes entrailles.
Je vois ensuite Rafik se placer derrière moi. C’est un rebeu de 18 ans, ses cheveux sont rasés sur les côtés et il porte une casquette qui cache ses cheveux courts sur le dessus. Il a un visage très mignon, qui a l’air très innocent. Il porte plusieurs boucles d’oreilles à chaque oreille. Il a de grosses lèvres et un sourire charmeur. Il est musclé. Il a de gros bras, des pectoraux saillants et des cuisses imposantes. Il est imberbe. Il a seulement des poils noirs et frisés au niveau du pubis. Sa queue fait 17 cm, elle a un gros gland. Il a aussi de petites couilles rasées.
Rafik pose ses mains puissantes sur mes hanches, il introduit sa queue en moi qui glisse toute seule dans le sperme des 2 autres mecs. Son gros gland force le passage mais il entre sans problème et il se met à me défoncer. Il me démonte sans concession en poussant des râles virils. Il se penche sur moi et il me murmure à l’oreille :
- T’as une trop bonne chatte, putain !
Il fait de grands allers-retours, m’empalant constamment sur sa bite jusqu’aux couilles. Je suis comme un jouet entre ses mains. Il semble être très chaud. Après quelques minutes, j’entends son souffle s’accélérer. Il dit :
- Putain, je vais juter dans ton cul...
Je ressens alors ses giclées de sperme en moi, il pousse des râles en même temps. Il jouit un sperme copieux et crémeux qui coule doucement hors de mes entrailles quand il les quitte.
Le prochain à me baiser est Éric, un black de 20 ans, mince, avec une peau couleur caramel. Il n’a pas de poils sur le corps, son pubis et ses couilles sont rasées. Ses boules sont grosses et pendantes. Sa queue est noire sombre, recourbée vers l’avant et circoncise. Elle fait 22 cm. Il m’enfonce un doigt dans le cul qu’il se met à travailler. Puis il finit par m’enfoncer son matos dans l’anus. Il me fait bien écarter les jambes et je sens sa trompe glisser dans mes fesses jusqu’à ce que ses couilles soient plaquées contre mon périnée. Il entame alors de longs va-et-vient, accélérant et ralentissant ses coups de butoir. Ensuite, il colle son corps contre mon dos, il m’enlace de ses bras tout en me déposant des baisers dans le cou (un des rares moments de tendresse de cette putain de journée) et il donne de gros coups de bassin. Ses assauts deviennent rapides. Je suis plaqué contre le bureau tandis que le black se déchaine en moi.
Ses 22 cm m’explosent bien le cul. Je kiffe de sentir son corps puissant qui me domine. Ses fesses sont les seules parties de son corps à bouger. Elles montent et descendent de plus en plus vite. Sa pénétration est vraiment intense. Ses couilles se balancent et cognent mon cul et mes propres boules. Et dans un râle, il expulse son jus dans mes entrailles. Ce sont des jus puissants qui me remplissent. Il reste couché quelques secondes sur moi, savourant son orgasme. Quand sa queue molle quitte mon cul, un torrent de jus coule le long de mon périnée et va former une flaque sur le sol.
C’est maintenant au tour de Djamel de me baiser. Il a 22 ans, il a les cheveux mi-longs et épais, une barbe mal entretenue, un corps musclé sec avec de beaux pectoraux et biceps. Ses aisselles sont très poilues. Une ligne de poils noirs éparses descend de son cou, recouvre son ventre et atterrit dans son pubis velu de poils noirs, longs et frisés. Ses beaux tétons sont aussi entourés de poils. Ses jambes et ses bras sont velus, tout comme ses boules. Sa queue fait 19 cm.
Il pose sa main sur mes épaules, il me plaque contre le bureau. Sa bite trouve toute seule l’entrée de mon cul et sans l’aide de ses mains, sa queue s’enfonce en moi. Il commence alors à me baiser. Djamel donne d’énormes coups de bassin. Ses mouvements deviennent toujours plus violents, plus rapides. Puis très vite, il s’enfonce d’un grand coup de reins en moi et il hurle un « putain » sonore, accompagné de violents jets de sperme qui me crépissent le trou.
Djamel sort immédiatement de mes entrailles et Corentin ne laisse pas le temps au sperme de couler. Il m’embroche directement sur sa queue et il me baise. Corentin est blond, il a 18 ans. Il a les cheveux courts sur les côtés et plus épais sur le dessus. Il a de magnifiques yeux bleus. Il a un corps assez musclé avec des épaules larges. Son torse et son ventre sont recouverts de poils courts châtains. Ses jambes sont par contre très velues, tout comme son pubis et ses grosses couilles. Elles sont bien fermes. Sa queue fait 20 cm.
Sa bite est entrée à moitié en moi, il crache dessus et il continue sa descente. Son gland m’ouvre bien mon anus. Une fois complétement enfoncé en moi, il saisit mes hanches dans ses mains et il se met à me baiser avec un rythme saccadé et soutenu. Ses couilles claquent contre mon cul. Il saisit ma queue et il remarque que je bande. Il me dit :
- Tu as l’air d’aimer de faire traiter de la sorte. T’aimes avoir plein de bites dans le cul, pas vrai ? Comment tu trouves ma bite de puceau ?
Je ne dis rien mais il prend mon silence pour de l’approbation et il accélère ses coups de reins. Je gémis de plaisir.
- Tu aimes ça, pas vrai, répète-t-il
- Oui, j’adore sentir des grosses bites comme la tienne en moi.
Ça m’est sorti tout seul, sans que je puisse contrôler mes paroles. Il semble apprécier, sa queue durcit. Dans un ultime coup de reins, il se vide en moi. Je sens son jus remplir mes entrailles. Il quitte mon cul. Alors, un geyser jaillit de mon anus et s’explose par terre.
Le suivant est Christian, un céfran, un peu bronzé. Il a 30 ans. Il a les cheveux rasés, il porte une moustache. Il est un peu rondouillard. Il a de petits seins et un petit ventre. Il a des tatouages sur les bras et sur le corps. Son corps est complètement recouvert de poils courts et noirs. Son pubis est poilu, tout comme ses grosses couilles marron. Il a une queue de 16 cm avec un long prépuce.
Christian m’écarte les fesses, il crache sur mon trou et il s’enfonce en moi lentement. Il pose ses mains sur mes hanches et il me fait me relever. Il commence à me donner des coups de reins. Il est très doué. Sa queue malaxe bien ma prostate et je dois me retenir de ne pas jouir. Ses coups de reins restent réguliers et assez rapides. Parfois, il sort de mon cul pour jouer avec ma rosette à l’aide de son gland. Puis, il reprend sa baise. Après 5 minutes, il jouit en moi une quantité respectable de sperme.
Le suivant se prénomme Carlos. C’est un Espagnol de 25 ans. Il est très mignon. Il a des cheveux noirs courts et une barbe de 3 jours ainsi que des sourcils épais. Il a un corps assez musclé, surtout ses biceps et ses pecs sont gonflés. Il a de petites couilles poilues noires et une queue de 22 cm, fine et marron foncée. Son torse, son ventre, ses bras et ses jambes sont recouverts d’un fin duvet.
Je sens sa bite contre mon trou bien lubrifié par le sperme des autres. Il fait glisser sa queue dure d’un trait. Il commence à me baiser avec des mouvements amples. Sa queue fait des bruits mouillés qui me laissent penser que le jus que j’ai en moi continue de couler. Après quelques minutes à me défoncer, je sens son jus gicler dans mes entrailles. Il me dose bien. Puis il présente sa queue devant ma bouche et je nettoie la bite devenue presque toute blanche. Je bois son jus mélangé à celui des autres.
Le suivant est Farel : c’est un black. Il est grand (1,85m), mince, avec une peau d’ébène foncé. Il a des cheveux courts et crépus. Son corps est imberbe. Il arbore une queue de 20 cm, assez épaisse, circoncise, complètement noire. Ses boules, grosses, pendent sous la teub.
Il enfonce lentement sa bite en moi et il me murmure à l’oreille :
- T’es un bon vide-couilles, toi !
Je ne réponds pas mais quand il tâte ma queue qui bande, il sait que ce rôle me plait. Farel me pelote le cul, la queue complètement enfoncée dans mes entrailles. Il admire la jument qu’il va baiser. Puis il se met à donner de petits coups de reins. Il me baise lentement, sensuellement. Il se penche sur moi, il entoure mon torse d’un bras. Son souffle chaud dans ma nuque me fait encore plus bander. Puis, il se redresse et il commence à accélérer le rythme, me baisant avec des mouvements amples pour que je profite de toute la longueur de sa grosse queue. Ses coups de hanches sont de plus en plus rapides et violents.
Il m’engrosse au bout de 10 minutes. Je sens ses jets de foutre violents gicler dans mes intestins. Je sens le foutre couler de ma chatte quand il la quitte.
Murat se met derrière moi et il me fourre 1 doigt dans le cul. Il le ressort et il me les approche du nez.
- Tiens, renifle ! C’est le bon jus de tes étudiants qui t’ont fourré !
Je m’enivre du parfum de ce nectar. Ça me fait de l’effet. Ma queue durcit. Murat continue :
- Vas-y, lèche mon doigt, salope !
Je m’exécute et j’avale le sperme des étalons qui m’ont déjà engrossé.
- Cette salope kiffe le jus, les mecs ! Je vais lui donner le mien !
Il me fourre ses 20 cm circoncis et veinés dans le cul, d’un trait, violemment. Il me bourrine comme un malade. Son gros gland me laboure le conduit. Il déguste ce plaisir de n’avoir rien entre mon cul et sa grosse bite, pas de capote, rien. Ses va-et-vient sont sauvages et rapides. Il sort sa queue, la rentre, la sort, la rentre.
- Ta chatte m’avait manqué !
Il se met à me cracher dessus, pour me rabaisser encore plus. Me traiter ainsi semble lui plaire... car il se met à me baiser avec plus de violence. Il me démonte le cul. Mon corps tremble sous ses assauts. Ses grosses couilles poilues me frappent les fesses. Très vite, il gueule et je me retrouve rempli par le jus du rebeu. Il se retire et le jus dégouline de mes entrailles.
Les bites continuent toujours de défiler dans ma bouche. Certaines queues, comme celle de Jonathan ou de Christian rebande déjà. Gaël se met derrière moi et il m’enfonce sa bite dans la chatte dégoulinante.
Gaël est un gros mec de 19 ans. Il a des cheveux courts, presque rasés sur le côté, et une touffe épaisse sur le dessus qui est teinte en blond vénitien. Il est châtain. Il a aussi une barbe. Il est vraiment très gros, c’est un chubby. Il a de gros seins et un énorme ventre mou. Ses tétons sont énormes. Il doit faire 1,75m pour 140 kg. Le milieu de son torse est poilu, son ventre et son pubis le sont un peu aussi. Sa queue fait 13 cm et ses couilles de taureau sont grosses et pleines.
Il se met à me baiser lentement. Il se penche sur moi et il me murmure à l’oreille :
- Je suis encore puceau. Je n’ai jamais eu le courage de franchir le pas avec les mecs. C’est l’occasion !
Il colle son corps dodu contre le mien, il me serre dans ses bras tout en me baisant doucement. Son gros gland masse bien ma prostate. Il accélère ses mouvements. Son gros ventre me donne des coups dans le dos. Il me fait tourner la tête et ... il me roule une pelle. Puis il remet ma bouche à disposition. Il me baise avec des mouvements amples. Ses couilles de taureau se balancent et cognent contre mon périnée et contre mes propres couilles. Après quelques minutes, je sens son gland devenir encore plus gros dans mes entrailles et alors des jets de sperme puissants m’inondent le fond du cul. Il jouit en silence. Mon cul se remplit de sa semence. Il savoure encore quelques secondes mon trou... puis il en ressort. Il me murmure à l’oreille :
- Merci ! Je saurais à qui penser la prochaine fois que je me branlerai.
Il me dépose un baiser furtif dans le cou. Le suivant est Yori, un étudiant d’origine japonaise qui est en France depuis 2 ou 3 ans. C’est un bogoss, avec un visage charmant. Son grain de beauté sous l’œil droit lui donne encore plus de charme. Il est de taille moyenne, il a des cheveux mi-longs, noirs et épais. Il est de corpulence normale, il a quelques poils au milieu de son torse, sinon le reste du corps est imberbe. Son pubis présente la trace de quelques poils courts. Il a une teub de 25 cm ! Elle est marron, épaisse traversée par une grosse veine. Il a aussi de grosses couilles pendantes et poilues.
Il enfonce son engin dans ma chatte, sans ménagement. J’en ai le souffle coupé. Quelle queue ! Ça ne semble pas le déranger. Il commence à me baiser doucement. Puis, il se met à me défoncer franchement. Il prend la caméra de Titi et il filme en gros plan la baise. Sa queue m’ouvre bien le fion et il y fait de grands allers-retours, faisant sortir complètement sa bonne bite. Il l’y renfonce parfois brutalement, ce qui me fait bien gueuler. J’adore sentir sa queue veinée me pénétrer. Ses couilles me fouettent le cul. Au fur et à mesure de la baise, elle devient toute blanche du sperme des autres mecs. Puis il s’arrête au bout de 10 minutes et il jouit dans mes entrailles. Malheureusement, il ne jute pas une grande quantité.
Yannick est le suivant : il est très grand (2m), les cheveux courts et châtains. Il est de corpulence normale. Il est poilu sur le torse. Un filet de poils en descend, passe par le nombril et rejoint le pubis qui est taillé court. Ses jambes sont poilues. Il a de grosses couilles pendantes et une teub épaisse de 18 cm, recourbée vers l’avant.
Il m’enfonce lentement sa bite bien raide et il prend mes pectoraux à pleine main. Il les masse tout en commençant à me baiser. Il n’arrête pas de répéter :
- Putain, ton cul est trop bon !
Il se met alors à bourriner mon trou avec force et rapidité. Il ne lui faut pas longtemps pour lâcher sa semence dans mes entrailles qui vient s’ajouter à celle des autres mecs. Je ne sens pas son jus m’envahir mais je sens sa queue l’expulser... ce qui me fait autant d’effet.
Karim rentre ensuite en moi. C’est un rebeu de 25 ans, il est assez musclé, il est imberbe. Il a une grosse bite de 20 cm et une belle paire de couilles. Il me fait bien pencher en avant et il rentre ses 20 cm d’un coup. J’en ai le souffle coupé mais il s’en fout, il commence à faire des allers-retours. Il gueule :
- Oh oui, c’est bon !
Il me pilonne énergiquement et il dit sans arrêt :
- Ton petit cul de céfran est trop bon !
Ses couilles me fouettent le cul et il me laboure le fion.
- Tu es une bonne salope, le pion ! Et ça te plait, hein ? Tu mouilles du cul !
Je ne sais pas si c’est le sperme des étudiants ou si je mouille vraiment du cul, mais en tout cas Karim glisse en moi et me baise comme une salope. Il lui faut 10 minutes pour me remplir de son jus chaud.
Valentin prend la suite : il a 19 ans, il n’est pas très grand, il est mince. Il est brun, imberbe, il a des poils seulement sur le pubis et sur ses couilles qui ont l’air bien remplies. Il est monté 17 cm. Il enfonce la moitié de sa queue en moi puis il s’arrête. Je comprends alors ce que je dois faire. Je me mets à bouger du cul et je me baise moi-même sur sa teub. Puis, il prend les rênes au bout de quelques minutes. Il m’appuie bien sur le cul, me faisant cambrer et il se met à me baiser. Il prend une cadence rapide et régulière. Je me tortille du cul et Valentin apprécie. Il gémit fort. Il finit par me juter dans le cul. Je ne sens rien mais un torrent composé des jus de tous les mecs coule toujours le long de mon périnée. La flaque en dessous de moi est immense.
Le suivant est Stéphane : il a 30 ans, il est petit et musclé. Il a des abdos de malade, des pectoraux et des biceps bien travaillés. Il est brun et il a une barbe de 3 jours. Il est complètement rasé. Sa queue de 18 cm est épaisse et ses couilles sont marron et grosses. Il s’enfonce en moi et il m’encule directement. Il prend un rythme soutenu. Moi, pendant ce temps, je suce toujours les queues qui se succèdent dans ma bouche. Il me baise pendant presque 10 minutes. Parfois, il sort sa queue de mon trou qu’il frappe avec son gland. Il finit par se déverser en moi en de longs jets puissants qui fouettent le fond de mes entrailles.
A peine retiré, c’est Kévin qui s’enfonce en moi. C’est le premier étudiant avec qui j’ai baisé et qui est sûrement à l’origine de tout ça.
Kévin a des cheveux bruns, il porte un bouc. Il est mince, svelte avec un corps taillé comme un athlète, musclé : il a des abdos et des pecs saillants, de petits biceps. Il a un corps sans poil. Seul son pubis a des poils noirs et frisés. Il a une queue de 25 cm, large, avec un énorme gland. Il a aussi des couilles conséquentes, poilues. Bien que sa peau soit claire, son matos est marron sauf son gland qui est rose. Sa queue est épaisse, parcourue de grosses veines saillantes.
Sa grosse queue glisse en moi jusqu’à ce que ses grosses couilles soient plaquées contre mon cul. Sa teub m’ouvre bien le trou ! Il pose ses mains sur mon dos et il commence à faire des allers-et-retours lents. Parfois, il me donne un gros coup de queue qui s’enfonce jusqu’au plus profond de moi. Je crie de plaisir. Son énorme gland me ravage l’anus. Puis il commence à donner de grands coups rapides et profonds tout en me maintenant les hanches. Il me pilonne maintenant. Ses lourdes couilles tapent contre mes cuisses. Très vite, son souffle s’accélère et il se bloque en moi. Sa bite devient dure comme de l’acier. Il se met à juter. Sa queue mitraille mes entrailles de son sperme. Je compte bien une dizaine de gros jets puissants. Il sort de mon cul et son sperme coule le long de mes cuisses comme un torrent. Je remarque que mon trou reste bien béant.
Titi en profite pour me baiser, sa grosse queue faisant pression sur le sperme qui continue de sortir de mon cul. Titi a des cheveux mi-longs et châtains, il est mince avec un corps un peu bizarre : il est svelte mais il a quand même de petits seins et un petit ventre. Il a quelques poils sur la poitrine et sur sa bedaine. Quant à son sexe, il est long (22 cm), massif (si large que je n’aurais pas pu refermer ma main dessus), brun et très poilu. Il a des couilles de taureau. Elles pendent en dessous de sa teub, elles sont bien grosses, pendantes et apparemment bien pleines ! Elles ont bien la taille de gros kiwis.
Titi présente son gland à l’entrée. Malgré toutes les bites que je me suis prises, il a du mal à passer. Titi me dit :
- Je vais te déchirer !
Mon anus résiste un peu... puis la teub passe d’un coup. Il se met ensuite à faire tourner son tronc d’arbre dans mon cul et je gémis malgré moi. Puis, il me prend par les épaules et il commence à me défoncer. Il me dit :
- Tu as vu, tu aurais été baisé par beaucoup de mecs aujourd’hui. Tu es une vraie salope ! Tu m’appartiens ! Ton cul m’appartient !
Il me défonce pendant de longues minutes et moi je crie de plaisir contre mon gré. Puis, il finit par dire :
- Je vais te féconder, ma salope !
Il plante son gourdin au fond de mon cul et il gueule de plaisir. 10 jets puissants envahissent mon anus. Puis, il recommence à faire des va-et-vient, tassant son sperme. Sa bite fait pression sur tout le jus contenu dans mes entrailles et il jaillit par vagues hors de mon anus. Titi se retire et il se pose devant moi.
- Nettoie ma queue, ma salope !
Je prends sa bite en bouche et j’enlève tout le sperme.
C’est au tour de Manu de se positionner derrière moi. Manu est un métis avec plein de chaines et de bagues en or, une casquette sur la tête, les cheveux très courts, avec une barbiche et des boucles d’oreille en diamant. Il est mince, imberbe et doté d’une queue de 18 cm.
Manu pose son gland sur mon anus et il rentre doucement puis il s'arrête. Il commence des va-et-vient tout en s’enfonçant toujours. Il rentre complètement en moi et il se met à me baiser sauvagement. Il adopte un rythme très régulier et il se laisse tomber à chaque coup dans mon cul. Le sperme qui inonde mon cul fait office de lubrifiant. Le jus des autres mecs bouillonne dans mon ventre. Je me sens rempli comme jamais. Manu colle son torse contre mon dos. Il va de plus en plus vite. Puis, son corps se raidit et il jouit en moi. Il éjacule de très grosses doses dans mes entrailles.
Et le dernier mec est Moha. Moah est un asiatique d’1,90 et faisant bien 130 kg. Genre rugbyman. Comme un ours, il est très poilu, ses jambes, son corps, son pubis, ses couilles sont noires de poils. Il a des cheveux courts, coupés en brosse. Il a une bite de 17 cm et de petites couilles.
Il crache sur ma rosette qui n’en aurait pas besoin tellement elle est graissée par le sperme des mes. Il m’embroche d’un coup et il enfonce ses 17 cm au fond de moi. Il place ses bras au-dessous des miens, puis il les fait rejoindre mes épaules. Il me maintient, plaqué contre moi. Il se met à me saccager le trou. Sa queue dure me détruit l’anus. Le jus des mecs gicle partout sous la rapidité et la pression de sa teub. Il me défonce sans pitié. Son gland me pilonne la prostate. Assez vite, il éjacule longuement, à longs traits, tout en me pilonnant toujours le cul à grands coups de bassin.
Moah sort de moi et Titi me détache. Il m’ordonne alors de me coucher par terre. La plupart des mecs bande toujours et ils se mettent à se branler au-dessus de moi. Titi me met un anorak sous mon cul et il place une gourde transparente sous mon anus.
- Vas-y, pousse !
Il me suffit de contracter un peu mon trou et j’entends directement un « splash » : les premiers doses de sperme dégoulinent hors de mon cul dans la gourde. Pendant de longues minutes, mon cul laisse couler sans interruption le sperme des mecs qui s’excitent en voyant tout ça. Ils m’ont bien dosé ! Tel un robinet, mon cul laisse échapper le sperme. Titi filme tout ça. Je sens comme mon cul est béant.
Les mecs se branlent au-dessus de moi et très vite, les premières bites jutent. Le premier, c’est Corentin. Il jute quelques salves sur mon nombril. Puis, Kévin m’envoie de copieuses giclées de sperme sur le torse. Manu et Karim jutent en même temps et leur jus va rejoindre celui de Kévin. Yori se branle et de longs jets crémeux tombent dans mes cheveux. Je bande à m’en faire péter le rouleau. Farel éjacule dans mon cou, éclaboussant au passage mes épaules et mes joues. Carlos me déverse son liquide chaud et visqueux sur tout le corps : il m’arrose comme s’il pissait... mais c’est bien du sperme ! Il libère un torrent de jus ! Gaël jute sur ma queue qui baigne déjà dans la semence des autres mecs. Moah n’a rien perdu de son érection et il lâche son jus sur mon visage, y frottant ensuite son gland pour bien étaler son liquide. Titi filme la scène et les mecs se mettent à me recouvrir le corps, le visage, les cheveux de leur semence. Valentin, Murat, Yannick, ... tous se branlent au-dessus de moi me lâchent les uns après les autres leur jus. Ils m’inondent tous le corps de leur sperme chaud et abondant. C’est une douche de sperme que je me prends sur tout le corps. Je me retrouve noyé sous cette pluie de foutre ! Tous marquent de nouveau leur territoire.
Titi me montre la gourde ... qui est presque pleine ! Je me suis reçu presque 1 litre de jus ! C’est dingue ! Titi ouvre la porte. Il prend mes fringues et il les balance par la fenêtre en ricanant. Il me lance mon caleçon en disant :
- Casse-toi, salope ! Je suis trop gentil, je te permets de filer avec ton caleçon. Dégage maintenant.
Les autres mecs rigolent. Je mets le caleçon et je file. Je suis épuisé. Je suis couvert de foutre, de la tête au pied. J’essaie de me faire discret dans les couloirs. Il me semble que peu de classes ont cours maintenant. Heureusement. J’arrive à appeler un taxi, je me précipite dedans. Le conducteur me regarde avec horreur. Je lui dis de foncer. Il démarre et il me pose en bas de chez moi. Je vais chercher de l’argent dans mon appart. Ma voisine est là. Elle me donne ma clé que je lui ai prêtée. Je lui dis de ne pas poser de question mais de tout simplement m’aider. Je m’habille, je vais régler ma note au taxi et je remonte lentement les escaliers. Je suis couvert de foutre, le visage et le corps dégoulinent de sperme. De plus, j’ai le cul dilaté, le jus des mecs coule encore le long de mes jambes. Ma bite est raide... à l’idée d’avoir toutes ces doses qui me remplissent.
Je prends ma queue et je la branle. Je repense à cette journée de folie ! Et je fais le compte de mes amants : au total, 51 mecs différents m’ont baisé aujourd’hui. Je me suis pris 48 doses dans le cul et j’ai reçu 27 doses dans ma bouche ou sur mon corps.
J’éjacule, rien qu’en me rendant compte de ce nombre hallucinant. Mon orgasme est incroyable. Il dure pendant de longues secondes et ma queue n’arrête pas de juter de longs et puissants jets. C’est comme si ma queue explosait.
Le lendemain, je n’irai pas travailler. Pendant bien 2 semaines, je vais avoir mon trou béant et douloureux après les assauts subis. Je poserai un congé maladie et je ne remettrai plus les pieds dans l’établissement... de peur de me faire de nouveau baiser par Titi et sa bande... et surtout à cause du plaisir que j’ai éprouvé. J’ai en effet vécu un de mes plus grands fantasmes. Je me jure que c’est terminé et que j’abandonne mon boulot de pion ! Je vais trouver quelque chose dans la restauration.
Fin.
Merci à Jam et à Jérém pour leurs idées.
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire (en partie réelle !).
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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