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Chapitre 3
Salut,
Comme je vous l’ai raconté dans le chapitre 1, 4 cancres du lycée pro où je bosse en tant que pion m’ont forcé à les sucer, ils m’ont baisé sans capote et m’ont fécondé. Le lendemain, j’ai décidé de poser ma démission mais j’ai bien sûr un préavis... Etant donné la situation, je prévoyais de chercher vite un autre job, la peur qu’une chose de la sorte se reproduise était trop grande. Le fait de m’être fait traiter comme une pute m’a tellement plu que je ne voudrais pas avoir des problèmes avec la direction... ou pire... je ne veux pas me laisser prendre en otage par le chantage de ces jeunes... ce qui n’a pas manqué avec Titi... il a voulu faire de moi sa pute, il m’a obligé à porter un sex-toy télécommandé qui m’aurait fait presque perdre la face envers d’autres étudiants. Il m’a aussi baisé dans les toilettes des profs et il m’a même obligé à l’emmener chez moi pour qu’il me rebaise. Et tout ceci le lendemain de ce gang bang avec ces 4 cancres.
Le jour d’après, je vais à l’école, la boule au ventre. J’ai certes kiffé le traitement de Titi... mais j’ai peur d’avoir des ennuis...
J’arrive au lycée pro, je vais m’enfermer dans la salle de la CPE. Elle me dit alors que je dois aller faire l’accueil au portail. J’y vais à contre cœur. Et au bout de quelques minutes, mon cœur se serre... je vois arriver Titi... Il se dirige vers moi. Il parle à ses potes, il passe devant moi sans me calculer. Je respire, soulagé. Mais je l’entends dire à ses camarades qu’il revient. Il court vers moi et me tend quelque chose en disant :
- Si tu le renifles pas immédiatement et si après tu ne mets pas le contenu dans ta bouche, je montre les vidéos à tout le monde.
C’est un mouchoir. Intrigué, je l’approche de mon nez et je renifle. Je sens une odeur ... de sperme !
- Allez avale, vite fait, bien fait. Je me suis branlé ce matin en regardant notre vidéo. C’était trop bon !
Je m’exécute et du bout de ma langue, je prends son sperme dans ma bouche et je l’avale. Je ne lui avouerai jamais... mais j’ai immédiatement la trique ! Son jus est trop bon. Un peu âpre mais aussi sucré. Quel régal. Il sourit, satisfait, et s’éloigne en me disant :
- A plus tard. Je vous ai prévu quelque chose de sympa aujourd’hui.
Je crains le pire.
Titi m’envoie un SMS pendant un de ses cours : il me donne rendez-vous dans les toilettes des élèves du troisième étage. Je finis un travail à mon bureau et je me rends dans les toilettes. Je n’ai pas le choix... je n’ai pas envie qu’il envoie la vidéo qu’il a pris de nous (voir chapitre 1). Je suis sous son emprise complète. Il m’attend déjà dans les toilettes, triomphant.
- Ah te voilà, ma petite pute. Allez, viens t’occuper de ton petit Titi. Regarde, elle t’a manqué ?
Disant cela, il secoue sa grosse queue au repos. Cette fois, il ne me fait pas entrer dans une cabine. Il s’approche de moi, me pose une main sur mon épaule et m’oblige à m’accroupir. Je prends son morceau en main et je commence à l’actionner. Mais il me colle vite fait son paquet sous le nez. Il sent la pisse et la sueur... mais aussi le sperme !
- Oui, tu sens bien ! Je me suis pas lavé depuis notre baise d’hier. Tu sens ton odeur ?
J’acquiesce silencieusement. Je prends sa queue en bouche qui grossit très vite. Et ses 22 cm se déploient sous mes yeux. Il enlève son t-shirt et je peux voir son corps svelte, son petit ventre et sa grosse touffe sur son pubis. Sa queue est tellement imposante, tellement massive que je ne peux pas refermer ma main dessus. Ses grosses couilles de taureau sont toujours aussi impressionnantes, elles pendent en dessous de sa teub... aussi grosses que des kiwis.
Ma mâchoire craque sous l’effort, elle est tellement ouverte par cette teub massive. Il pose sa main sur ma tête et commence à imposer son rythme. Il fait rentrer sa queue violement en moi, donnant des coups de reins puissants pour l’enfoncer toujours plus profondément. Mon nez atterrit au bout d’un moment dans ses poils de pubis. J’ai réussi à avaler son monstre en entier mais ma mâchoire se crispe de douleur. Satisfait, il me relève et me baisse mon pantalon :
- Ah très bien, tu as mis ton sex-toy comme je te l’avais ordonné. Mais aujourd’hui, on en aura pas besoin.
Il le retire, crache sur mon trou et pose son gland sur ma rosette. Il s’enfonce alors lentement en moi.
- Oui, doucement... ta chatte va encore servir aujourd’hui. Mais incroyable comme elle accueille ma bite ! Elle s’est bien habituée à mon anaconda !
Sa queue m’ouvre bien le trou sur son passage. Je sens ses poils de pubis frotter contre mon cul et ses couilles frôler mes cuisses et là je sais qu’il est bien au fond. J’ai du mal à l’avouer mais cette queue est carrément géniale !
Il se met à me baiser violement. J’ai peur qu’un autre étudiant entre et nous surprenne... Titi ne m’a même pas emmené dans une cabine. Il me baise devant les lavabos, en face des miroirs. Je l’observe dans les reflets, prendre son pied. C’est un vrai mâle dominant sous ses airs d’intello. Il me tient par les épaules, savourant ma soumission. Sa queue est tellement large, elle me fait tellement de bien, je dois l’avouer. Au bout de quelques minutes, sa respiration s’accélère :
- Putain, je vais te mettre enceinte !!
Je sens alors sa queue se contracter et il se vide dans mes entrailles. Son éjaculation est toujours aussi impressionnante. Sa teub crache sa sauce pendant de longues secondes. Il donne encore quelques coups de bite. Et quand il ressort, j’entends le sperme s’étaler sur le sol dans un gros « plouf ». Mon trou est béant. Me croyant libéré de mon devoir, je veux remettre mon pantalon. Mais c’est là que Titi me choppe par la nuque :
- Dis donc, j’ai appris que tu avais posé ta démission. Ça m’a mis un peu en colère quand je l’ai su... (je bredouille quelque chose d’inaudible). Je refuse ! Tu es à moi ! Je veux t’utiliser comme je veux ! Et pour ce genre de trucs, tu dois me demander la permission !
Il m’entraine dans une cabine et là il sort un gros ruban adhésif. Il me met un coup sur la nuque qui me sonne avant que je ne puisse réagir. Il me déshabille complétement et il me scotche la main droite au conduit de la chasse d’eau. Puis la main gauche. Il me fait me pencher en avant et il me lie les chevilles avec une barre qui m'oblige à garder les jambes écartées et tendues.
Je suis maintenant à sa merci. Il me caresse alors les fesses, les écarte et admire son sperme qui coule le long de mes cuisses. Il me remet un doigt dans le cul puis il descend vers mes couilles qu’il triture. Puis il se met à tirer sur ma queue molle. Je commence à reprendre mes esprits et à gueuler, lui demandant d’arrêter. Il me passe alors un bâillon boule qui m’empêche de gueuler.
- Voilà, tu es une pute à dispo maintenant !
Je gesticule comme je peux mais rien à faire, je suis ligoté, impuissant.
- Tu aimes bien faire la pute, hein ? Alors je vais te faire plaisir.
Il saisit son portable et pianote dessus. Puis il reprend ses « caresses ». Ensuite, il frotte son paquet contre mon cul. Il tire ensuite ma tête en arrière et il me dit :
- J’ai envoyé un message à certains mecs du bahut. Je leur ai dit que j’ai une surprise bien délirante aux toilettes du troisième. Pas grand monde vient ici, on va être tranquille. Je leur ai aussi dit qu’ils peuvent en amener d’autres s’ils veulent.
Je regarde Titi, perturbé, apeuré. Il ne respecte pas notre marché... Je suis sa pute s’il ne dit rien à qui que ce soit. C’était ça, le deal ! Mais là, tout est en train de déraper.
Quelques minutes plus tard, la porte des toilettes s’ouvre. Quand le mec nous surprend, il pousse un sifflement :
- Putain, mais qu’est-ce que tu fais avec un pion ! T’es fou !
- C’est ma pute perso ! Elle fait tout ce que je lui dis ! Si tu as envie de son cul, vas-y sers-toi. Elle est à toi ! Regarde, j’ai déjà marqué mon territoire !
- Putain, son trou est béant ! Tu as bien dû la défoncer, cette sale pute de pion ! Tu vas voir, tu vas prendre pour toutes les heures de colle que tu m’as donné ! Connasse.
Je tourne un peu la tête et je reconnais Salim, un rebeu pas méchant, mais pas brillant. Il a 25 ans, il a redoublé plein de fois, et il se laisse enrôler dans tous les mauvais coups. Il est petit, mince, il a les cheveux courts, une barbe de trois jours, un sourire de Don Juan. Il enlève son t-shirt et baisse son pantalon. Je vois qu’il bande déjà. Il a un corps sec, poilu de partout (des poils noirs et frisés), même son pubis. Par contre, il a les couilles petites et rasées. Il a 17 cm entre les jambes.
Il s’approche de moi et se met à me caresser le cul. Je commence à m’agiter. Titi me fout un coup dans la nuque qui me calme. Salim me donne quelques fessées. Il prend du jus qui coule de mon cul, il s’en enduit la bite qu’il enfonce d’un coup en moi.
- Putain, trop bon ! Quelle bonne chatte de salope ! Et ton jus est encore tout chaud, Titi !
Il commence à me baiser. Il s’enfonce bien au fond de moi. Il donne des coups reins puissants et réguliers tout en me tenant par les épaules. A ce moment, un truc que je redoutais arrive... la porte des toilettes s’ouvre et un mec qui voulait pisser nous surprend :
- Mais qu’est-ce que vous faites ?! C’est un pion ça, non ?
- Non ! On a une pute à baiser. Tu peux la prendre si tu veux, dit Titi.
- Salim, c’est toi ? T’es PD ?
- Non. Titi m’a proposé une bonne chatte et j’ai pas pu refuser. C’est vraiment trop bon. Tu veux essayer ?
Salim se retire alors et fait admirer mon cul dégoulinant de sperme. Il ajoute :
- Allez, je te croirais pas si tu me disais non ! Regarde comme tu bandes ! Même ton survêt peut pas cacher ta queue tendue !
Je regarde et je vois Amine dont les dernières défenses tombent. Il se déshabille et met sa queue directement en moi. Amine a 20 ans, c’est un rebeu avec un corps normal, il est grand, avec des cheveux noirs et crépus, une barbe fournie et un regard perçant. Il a quelques poils sur le corps, alors que son pubis et ses couilles sont une vraie jungle velue. Il a une queue de 18 cm très épaisse et de grosses couilles bien remplies. Il ne prend pas de gant, il me baise sauvagement dès qu’il est au fond de moi. Il agrippe mes hanches et il se défoule en moi.
- Putain, quelle chatte ! Elle est trop bonne votre pute !
Sa grosse queue épaisse maltraite ma prostate, je bande à fond. Je me surprends même à gémir de plaisir. J’essaie de me calmer, je ne veux pas leur montrer que ça me plait. Mais Titi n’est pas dupe :
- Ça te plait ce traitement, ma petite pute !
- Je ne vais pas tenir longtemps ! Trop bonne, la chatte ! Je peux l’engrosser ?
- Oui, vas-y, elle est là pour ça. Et elle adore ça !
J’entends sa respiration s’accélérer, ses coups de queue augmentent en intensité. Il pousse alors un cri incontrôlé et je sens sa queue me pomper son jus dans mes entrailles. Il se retire et Salim pousse un sifflement :
- Putain, tu l’as bien engrossée ! Regarde tout ce jus qui coule !
Salim prend le sperme d’Amine, s’en enduit la queue et il prend la suite. Il me baise toujours avec un rythme régulier. Et au bout de quelques minutes, donnant maintenant de grands coups de reins, il m’ensemence lui aussi. Il reste quelques secondes en moi puis se retire. Il se rhabille puis vient me chuchoter à l’oreille :
- J’ai vraiment envie de toi, je te donnerai plus tard mon numéro de tel. J’ai des potes rebeus à qui tu pourrais plaire...
Ma queue se redresse, rien qu’à entendre ça ! Il part. Mais quelques minutes plus tard, la porte s’ouvre et quelqu’un dit :
- Titi ?
- Oui, je suis là !
- Alors, c’est quoi la surp... ah putain ! Tu t’es fait une belle pute ! Alors, M. R..., comment se retrouve-t-on ?
Je tourne la tête et je vois Éric, un mec de 40 ans qui est dans notre bahut pour se réorienter. Pas très futé, je lui avais dit un jour dans un moment de colère que ce n’était qu’un incapable qui n’arriverait à rien. Méchant, je sais... Mais il m’avait mis hors de moi.
- C’est qui l’incapable maintenant ? Oh, mais ta pute s’est déjà bien fait ensemencer ! A mon tour maintenant !
Il enlève son t-shirt et son short. Éric est brun, avec une barbe fournie, longue et bien entretenue. Il a des tatouages sur tous les bras et un sur le torse. Il est enrobé, avec un petit bidon. Il est extrêmement poilu sur tout le corps, les jambes, le dos et les avant-bras. Il a une queue de 20 cm et de très grosses couilles pendantes. Il se met à me défoncer tout en me mettant de grandes fessées. Le mec tient sa vengeance. Mais ses coups de pieu sont exceptionnels. On voit que le mec a de l’expérience comparé aux autres étudiants. Même s’il ne le fait pas volontairement, il me baise sauvagement d’une telle façon que j’ai presque l’impression que ma prostate est sur le point d’exploser pour me faire jouir sans les mains. Il se défoule en moi. Ses grosses couilles me fouettent les fesses.
- Putain, quel cul !
Au bout de 5 minutes, il ajoute sa semence à celles des trois autres mecs. Malgré la taille de ses couilles, il ne semble pas être un gros juteur. Je ne ressens rien. Dommage. Mais il m’a bien baisé.
Éric nous quitte en saluant quelqu’un... je me retourne et je remarque le jeune Giovanni, un petit italien timide de 19 ans, cheveux coupé courts en brosse avec une barbe de trois jours. Titi lui demande :
- Ça t’a plu de mater ? Tu as aussi envie d’essayer cette chatte ?
- Je sais pas...
- N’aie pas peur, Gio, ce n’est plus notre pion, il a démissionné. C’est une chatte en chaleur qui a besoin de ton jus dans ses entrailles. Tu veux pas l’engrosser ?
- Oh que si...
Se laissant persuader, il finit par enlever son t-shirt et son pantalon de jogging. Il est petit (même pas 1,70m) et gros. Il a des gros seins et des tétons marron très larges et un gros ventre rebondi, avec de gros bourrelets. Son corps est parsemé par-ci, par-là de poils. Son pubis et ses grosses couilles sont aussi un peu poilus. Sa queue, épaisse, de 17 cm est déjà bien tendue. Il s’avance vers moi et il n’hésite pas. Il s’enfonce dans ma chatte et à ma grande surprise, il me saisit les hanches et il commence une baise endiablée. Il me baise vraiment bien, profondément. Il m’ouvre magnifiquement. Il est endurant en plus. Il me baise ainsi pendant 15 minutes, sans interruption. Je sens sa sueur goutter sur mon dos. Son visage est rouge, il sue. Et dans un cri incontrôlé, il plaque ses couilles contre mon cul, sa teub bien au fond de moi et il m’envoie sa sauce dans les entrailles. Je sens sa queue pulser et libérer son jus. C’est une énorme quantité que je reçois. Je sens comme mon colon se remplit.
Il se retire et se rhabille tandis que son sperme, ajouté à celui des autres, coule de mon trou et s’écrase par terre.
Quelques minutes plus tard, un mec entre et tape la bise à Titi.
- Alors, il est là mon cadeau ? Je peux m’en servir de suite ?
- Vas-y, la chatte est à toi !
Le mec s’approche et se déshabille tandis qu’il caresse mon cul. Je reconnais Rémi, un petit branleur de 22 ans, plutôt branché muscu qu’études. Il enlève sa casquette et son débardeur noir. Le mec est super bien fait. Il a des cheveux assez courts et châtains, des épaules musclées, des biceps saillants et puissants ainsi que des pectoraux bien développés. Ses abdos sont pas mal dessinés et il a une taille de guêpe. Ses cuisses sont gonflées. Il est très poilu. Des poils châtains parsemés sur les pectoraux vont se perdre dans sa pilosité qui recouvre entièrement le milieu de son torse. Un filet descend de son torse vers le nombril et le pubis, qui lui est très velu. Ses abdos sont aussi recouverts de poils clairs. Il est monté 18 cm.
Il pose sur ma rosette son gland qui s’enfonce lentement en moi. Il attrape d’une main une hanche et il se met à faire de petits allers-retours réguliers. Puis sa main passe sur mon épaule et il commence à me défoncer. Son pubis claque contre mon cul. Il s’exclame :
- Putain, Titi, c’est un trop bon cul ! Merci pour cette petite pute !
Disant ceci, il me fesse. Il tient bien 10 minutes et il gueule qu’il va jouir. Il s’enfonce au fond de mes entrailles et me tasse son jus dans le cul, l’ajoutant à celui des autres étudiants. Il a peine le temps de sortir de mon cul qu’une grosse voix se fait entendre :
- Mais qu’est-ce que vous faites ici ! Ça va pas !?
J’essaie de regarder en arrière et je vois Titi qui blêmit. Le mec qui arrive est un prof !
- Mais c’est M. R. ! Vous êtes malades !? Vous allez voir, je vais vous dénoncer ! Sortez tous de là !
Enfin, un sauveur arrive ! C’est M. B, un prof de musique. Il doit avoir 45 ans, il a une barbe grisonnante et un crâne rasé. Je lui fais signe de me libérer en me débattant. Mais au lieu de me défaire de mes liens, il me pose une main sur le cul...
- Il faut dire qu’une occasion comme ça ne se présente pas tous les jours...
Je le regarde, sidéré ! Il ne va pas oser ! Et à mon grand dam, il enlève son t-shirt, puis son pantalon. Il se retrouve nu, sans caleçon. Il est blond avec des cheveux courts et une barbe bien taillée. J’ai toujours trouvé que c’était un beau mec ! Il a un corps assez musclé avec des pectoraux assez développé et de gros tétons, des biceps bien gonflés et un ventre rebondi et d’apparence assez dure. Il a de poils clairs sur tout le corps, surtout sur le torse et le pubis. Il a une belle queue de 19 cm, fine et longue. Il me lèche le cul, se délectant du sperme que mes étudiants m’ont injecté. Il avale tout ce qui coule puis il pousse sa queue bien au fond dans mon cul. Elle rentre sans problème. Il pose ses mains sur mes fesses et il commence à me baiser. Ses mouvements sont réguliers et profonds. Après 5 minutes, il se décharge en moi. J’accueille ses gémissements avec bonheur. Ce traitement me plait énormément... Un prof, un collègue à vrai dire, qui profite de ma situation désespérée pour me baiser au jus, sans aucun remord.
Il ressort et dit à Titi qu’il a fini et qu’il devrait faire vite, la récré ne va pas tarder. Puis il lui murmure à l’oreille quelque chose que je ne perçois pas.
Titi rentre, accompagné de quatre autres mecs. Il ferme la porte, il m’enlève mon bâillon et il m’ordonne de pas prononcer un mot. Les quatre mecs s’approchent et me donnent leur biberon à téter.
Je vois à peine les visages, seulement les teubs qui défilent sous mes yeux... et dans ma bouche. La première est assez petite, dans les 15 cm, circoncise avec un pubis et des couilles rasées. La deuxième est aussi rasée, elle fait 18 cm avec de grosses couilles. La troisième fait 20 cm, avec un pubis et des couilles très poilues. La quatrième fait dans les 16 cm et est marron, circoncise avec de petites couilles et un pubis poilu. Ça aurait pu très bien être une bite de rebeu. Les gars m’attrapent par les cheveux et me font passer de queue en queue. Je remarque que je les suce avec avidité... pour ma plus grande honte. Je procure du plaisir aux quatre mecs qui poussent de faibles gémissements.
La sonnerie de la récré retentit et les mecs prennent alors leur queue en main et se mettent à se branler. La queue du premier propriétaire se place devant ma bouche et automatiquement, je l’ouvre et je tire la langue. La bite jute peu de sperme, dont quelques gouttes atterrissent sur ma langue et le reste tombe sur mon menton. La deuxième pousse la première et éjacule un jus liquide et épais qui coule abondamment sur ma langue. Le mec me met sa queue dans la bouche et je la suce goulument. Le propriétaire de la quatrième bite me passe tendrement la main sur le cou et il m’attire vers lui. Il se retrouve perpendiculaire à ma langue. Tandis qu’il me caresse le visage, un premier gros jet jaillit de sa queue : une partie atterrit sur ma langue, alors que l’autre touche la première queue. Le deuxième jet est encore plus puissant et va repeindre la cloison de la cabine. Le troisième va déjà moins loin. Le quatrième tombe sur ma langue et sur mon torse. Les cinq autres coulent sur ma langue et descendent dans mon œsophage. Le troisième mec s’active comme un malade sur sa grosse queue. Puis il gueule, il se poste devant moi et un petit jet atterrit sur ma langue. Ma déception est de courte durée. Le deuxième jet jaillit et s’explose contre ma joue jusque dans mes cheveux. Le troisième passe dans ma bouche, me couvre le nez et finit dans mes cheveux aussi. Le quatrième est moins puissant et atterrit dans ma barbe. Le cinquième l’est plus et va jusqu’au front. Les trois autres sont aussi puissants et me recouvrent le visage et les cheveux. Et les autres jets vont se perdre sur ma langue et dans ma bouche. J’ai le visage peinturluré.
Les mecs quittent la cabine et à ma grande surprise, Titi me remet mon bâillon, souriant. Il n’a pas joui malgré une belle bosse dans son pantalon. Il remarque mon regard, inquiet. Il me murmure à l’oreille :
- Ne t’inquiète pas, je n’en ai pas fini avec toi ! M. B. a eu une super idée ! Aujourd’hui, tu vas être la pute du lycée. Tu vas me rapporter gros !
Je le regarde, effaré. Il ne dit rien et sort de la cabine. Je commence alors à paniquer...
A suivre...
Merci à Bay pour ses idées.
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire réelle. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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