Premier épisode
Chapitre 2
Salut à tous,
Suite au succès de l’histoire et suite aux demandes, j’ai décidé d’en faire une suite.
Le lendemain de la baise forcée par les quatre cancres, je décide de poser ma démission mais j’ai bien sûr un préavis... Etant donné la situation, je prévois de chercher vite un autre job, la peur qu’une chose de la sorte se reproduise étant trop grande. Le fait de m’être fait traiter comme une pute, alors que je suis pion dans ce lycée pro, m’a tellement plu que je ne voudrais pas avoir des problèmes avec la direction... ou pire... je ne veux pas me laisser prendre en otage par le chantage d’autres jeunes !
Une fois la démission déposée chez la CPE qui a été vraiment étonnée, je vaque à mes occupations, priant pour ne pas rencontrer mes « tortionnaires » de la veille (voir le chapitre 1). Pendant une pause, je vois Titi s’approcher de moi.
- M. R., je peux vous parler seul à seul.
- Je ne crois pas que ce soit le moment, je suis occupé.
- Mais M. R. je voulais vous montrer une vidéo que j’ai trouvé sur Internet, se met-il à presque crier.
Comprenant qu’il fait allusion à la vidéo qu’il a prise de nous en train de baiser, je dis :
- Qu’est-ce que tu veux ?
- Je voulais vous donner ceci.
Il me donne une enveloppe et chuchote :
- Tu vas mettre ça tout de suite dans ton cul, ma petite pute. Et mets-le bien profond ! Va aux toilettes, allez !
Je soupèse l’enveloppe. Elle n’est pas très lourde. Je vais à contre-cœur aux toilettes et j’ouvre le petit paquet : c’est un sex-toy, pas très gros. Un plug. Je m’humidifie les doigts et j’introduis l’objet dans mon cul. Je me demande ce que Titi prévoit... Je retourne dans la cour pour ma surveillance. Titi me lance un regard interrogateur et je fais un signe de tête. Mais une bagarre éclate et je me précipite pour régler le problème. Et tout d’un coup, alors que plein d’étudiants sont autour de moi, je sursaute. Une décharge bizarre parcourt mon bas-ventre et me remue les tripes ! Je laisse échapper un gémissement, les élèves me regardent bizarrement. Je deviens rouge et j’essaie de contenir mes cris. Je vois alors Titi me sourire diaboliquement, me montrant une petite télécommande. Son sex-toy est en fait un plug vibrant télécommandé ! Le salaud ! Il me fait ça devant tout le lycée ! Le plug se met à travailler ma prostate et je sens que je commence à bander. J’essaie de régler l’altercation mais j’ai peur de me faire gauler. Un collègue arrive, je lui dis de prendre le relais, car je ne me sens pas dans mon assiette. Je vais aux toilettes et je m’enferme dans une cabine. Je bande maintenant à fond. Je n’en peux plus. Je suis chaud comme la braise. Après quelques minutes, les vibrations s’arrêtent. Je me rince le visage et je ressors. Là, j’entends Titi qui me dit :
- Ne t’avise pas de l’enlever !
Je fais un signe de tête et je disparais.
Dans la journée, je suis désigné pour faire la surveillance en permanence. Je m’assois au bureau quand je vois alors Titi qui me sourit ! Mon calvaire n’en finira donc jamais !? Je dis aux étudiants de faire leurs devoirs ou de s’occuper en silence et je m’assois. J’essaie de me concentrer sur mon devoir de fac à rendre... mais dur dur avec Titi qui peut allumer son joujou à tout moment. Au bout de 10 minutes, je sens que le plug s’active. Je lance un regard mauvais à Titi. Les vibrations deviennent de plus en plus importantes, ma prostate se fait de plus en plus maltraiter. Heureusement que le bureau où je suis assis ne laisse pas entrevoir mes jambes, personne ne peut voir ce qui se passe en dessous de ma ceinture. J’essaie de me contenir et je pense y arriver car personne ne remarque mon état. Ma queue se dresse lentement pour devenir dure comme de la pierre. Et au bout de 15 minutes, sans que je me sois touché, ma queue expulse mon sperme. Je jouis sans m’être touché, sous l’effet du plug. J’essaie de contenir mon orgasme... mais un gémissement m’échappe. Les étudiants me regardent bizarrement... puis retournent à leur travaille. Moi, je m’affale sur le bureau quand le plug s’arrête enfin.
A la pause de midi, j’ai une heure pour manger et l’heure d’après sera réservée à la surveillance. Je commence à me diriger vers la cantine quand Titi s’approche de moi et me fait signe discrètement de le suivre. J’en ai un peu marre et je le suis. Il est devant les toilettes des prof. Il me fait signe de les ouvrir. Je m’exécute et on entre sans que personne ne nous ait vus. Je ne suis pas trop inquiet qu’on nous surprenne, les profs étant tous en train de manger à cette heure-ci.
Il entre dans une cabine, je le suis, il ferme la porte et ouvre sa braguette. Ses 22 cm se déploient devant mes yeux, déjà bien bandés. Je m’agenouille devant lui et je prends son morceau dans ma main. Il est tellement imposant, tellement massif que je ne peux pas refermer ma main dessus. Il soulève son t-shirt ce qui révèle son corps svelte et son petit ventre et sa grosse touffe sur son pubis. Ses grosses couilles de taureau pendent en dessous de sa teub... aussi grosses que des kiwis.
J’approche ma bouche de son gland et je l’enfonce dedans tout en masturbant sa queue.
J’arrive à enfoncer la moitié mais le reste bloque : sa queue est trop large. Il commence à donner des coups de rein, la bite s’enfonce un peu plus. Les coups sont de plus en plus brutaux, son gland vient maintenant me caresser le gosier. Je lutte toujours contre le réflexe vomitif. Ma mâchoire morfle. Je tente alors d’enfoncer sa teub plus profondément. Il me caresse la tête, comme satisfait de mon initiative et j’arrive à faire rentrer sa bite en entier. Elle touche le fond de ma gorge. Mon nez se retrouve dans ses poils de pubis. Il sort sa queue de ma bouche, se branle et approche ses couilles de ma langue. Je les lèche, ne pouvant les gober tellement elles sont grosses. Je passe de l’une à l’autre, les mouillant bien. Puis il me remet sa queue en bouche, après m’avoir bien biflé. Je suce sa queue avec ferveur, comme si ma vie en dépendait.
- Tu suces bien, mon petit pion... Tiens, donne ton cul !
Je me redresse, je baisse mon pantalon et il enlève le sex-toy. Il crache sur mon trou et il y enfonce un doigt. Il va bien profond. Puis un deuxième et un troisième. Je me crispe. Il pose alors de gros mollards sur ma rosette et les enfonce bien au fond. Puis il enduit sa queue de sa bave et son gland se trouve vite dans mon trou. Il enfonce son pieu lentement en moi, sa queue m’ouvrant bien le trou sur son passage. Je sais qu’il est bien au fond de mes entrailles quand je sens ses couilles frôler mes cuisses.
Il se met à me baiser sauvagement, sans concession. C’est un vrai mâle, il ne pense qu'à son plaisir. Il me tient par les épaules, savourant ma soumission. Ses cuisses claquent fortement contre mes fesses. Sa queue est si large j’ai du mal à ne pas crier... de bonheur ou de douleur. Au bout de cinq minutes, il se met à pousser un cri :
- Grosse pute, je vais te féconder !
Il me balance sa sauce dans les entrailles. Il donne encore quelques petits coups de bite et reste enfoncé en moi. L'éjaculation dure longtemps, presqu’une minute. Quand sa queue quitte mes entrailles, je sens mon trou, béant, libérer une grosse quantité de jus qui va s’écraser sur le sol des toilettes. Titi relève son pantalon et disparait. Je me nettoie et sors à mon tour des toilettes, comme si de rien n’était.
Je continue mon boulot sans voir Titi de l’après-midi. A la dernière sonnerie marquant la fin de la journée, je soupire de soulagement et je vais dans le bureau de la CPE, vide, pour finir de remplir quelques papiers. Au bout de quelques minutes, on frappe. Titi rendre alors. Il ferme la porte à clé.
- Lève-toi, c’est moi le boss ici.
Je lui cède ma place. Il s’assoit.
- Vas-y, suce-moi. Passe sous le bureau.
Je ne proteste pas, je m’exécute. Je pose ma main sur son paquet que je caresse. Une réaction se fait immédiatement ressentir, sa bosse gonfle, augmente. Il sort son chibre de son pantalon et je l’enfonce dans ma bouche. Je lui fais quelques gorges profondes, puis je le suce tout en le masturbant avec énergie, ayant peur qu’on se fasse surprendre.
Après 10 minutes de ce traitement, il s’écrie :
- Oui, vas-y, c’est bon. Vide-moi mes grosses couilles.
Il pousse un long gémissement et son gland enfle. Alors, il pose ses mains sur ma tête pour maintenir sa queue dans ma bouche et là, c’est comme s’il explosait. Sa queue remplit ma bouche d’une semence épaisse. Elle est prise d’une dizaine de soubresauts qui libèrent son sperme. J’essaie d’avaler son jus mais je ne suis pas assez rapide. Il sort de ma bouche sous les petits coups de rein qu’il donne. Puis il se retire. Ma bouche pleine de son foutre dégouline de partout. J’avale son jus puis il m’ordonne de tout lécher. Je m’exécute.
Il se relève, remontre son pantalon et sort en me lançant un « salut ». Le petit goût salé de son sperme chaud me reste en bouche.
Une fois revenu à mes esprits, je finis mon boulot puis je sors. Les femmes de ménages sont déjà à l’œuvre. Je sors de l’établissement et je vois alors Titi qui m’attend. Il me sort :
- Allez, on va chez toi.
On monte dans le bus. On fait comme si on ne se connaissait pas. Puis on descend, et une fois dans mon appartement, il se met nu, sa grosse queue pendante, au repos.
- Allez, au travail !
Je me penche, je le suce. Sa queue gonfle vite. C’est beau la jeunesse ! Une heure à peine après l’avoir vidé, il rebande déjà, prêt à se servir de moi.
- Montre-moi la chambre.
Je me relève et je l’emmène dans ma chambre. Il se pose sur le lit, la queue bien droite. Je l’engouffre dans mon gosier et je continue de le sucer.
- Déshabille-toi et mets-toi à quatre pattes sur le lit.
J’obéis et il se place alors derrière moi.
- Ton cul suinte encore de mon jus ! Tu as aimé ça, toi, avoue !
Ne me laissant pas le temps de répondre, il s’enfonce en moi. Mon trou, toujours lubrifié par sa semence et toujours bien béant, laisse passer son monstre sans problème. Il glisse en moi, m’écartelant les entrailles. Très vite, ses couilles cognent contre mes fesses. Rapidement, il commence son martèlement. Ses coups de bite sont violents et rapides. Ma queue raide se balance sous ses coups de rein. Ses couilles ballotent sous sa grosse queue et me frappent au rythme de ses mouvements. Son gros gland me martèle les entrailles ! Je sens son pubis poilu contre mes fesses. Il donne des grands coups de bite amples.
- T'aime ça, avoue ? T’es une bonne salope ! Si les mecs le savaient au bahut...
Voyant que je ne réponds pas, il me fesse violemment.
- Tu aimes ça ou quoi ? Réponds !
Je ne veux pas lui donner cette satisfaction. Je me tais. Les coups pleuvent alors sur mes fesses ! Je finis par craquer :
- Oui, tu me baises trop bien ! Continue !
Et je dois m’avouer que je ne mens même pas... Puis il me fait retourner sur le dos. Lui debout, il m’embroche et continue sa baise sauvage. Je m’accroche à son cou tandis qu’il me détruit mon cul. Ses grosses couilles rebondissent contre mes fesses. Il se couche sur moi, je sens son souffle dans mon cou. Il me baise violemment à grands coups de reins. Parfois, il fait ressortir sa queue avant de me la remettre bien au fond.
La baise dure bien 40 minutes. Mon colon chauffe... Titi transpire à fond, une odeur de mâle se dégage de lui.
- Vas-y branle-toi !
Je me branle et sous l’effet de sa trompe, je jouis très vite. De gros jets explosent sur mon ventre et quelques-uns viennent se loger dans mon cou.
Ses coups de queue se font alors plus amples et violents. Je sens sa queue grossir dans mes entrailles. Il explose en moi en criant de bonheur. Sa jouissance dure moins longtemps que ce midi. Mais j’ai quand même l’impression que mon trou et mes entrailles sont remplies ! Il continue son pilonnage. Le jus coule le long de ma raie et dégouline sur le sol. Puis il s’arrête, essoufflé, et il s’effondre sur moi
- Putain, c'était bon ! T’as un trop bon cul !
Je sens sa bite rétrécir dans mon cul. Quand elle s’en échappe, une rivière de jus sort de mon cul.
- Nettoie bien ma queue !
Je m'exécute et je récupère le sperme sur sa queue. Je sens que mon anus reste bien béant, mon cul est compétemment cassé. Il m'écarte ensuite les jambes.
- C’est beau de voir mon sperme sortir de ta chatte !
Il en récupère avec ses doigts et me les met dans ma bouche. J'avale.
Puis il se lève et va récupérer ses affaires. Il en sort un paquet de cigarettes. Il prend alors ses aises, et il s’allume une clope. Puis il va se doucher. Il me dit de lui faire à manger. J’obéis, sans rien dire. Puis il se casse. Avant de partir, il me donne le plug et me dit :
- Tu dois le porter demain toute la journée.
Il n’attend pas ma réponse et il referme la porte. Je vais me doucher, me sentant un peu sale. Puis je me pose sur le canapé et je médite... Quelle étrange journée.
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire. Merci à Bey pour ces idées. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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