Confinement en famille

Chapitre-3

Salut à tous,

Moi, c’est Nico, j’ai 20 ans, je suis étudiant en littérature à Bordeaux. J’habite dans une petite ville dans la proche banlieue de Bordeaux. Je vis encore chez mes parents. Je suis homo, j’ai fait mon coming-out il y a 2 ans, mais je ne le crie pas non plus sur tous les toits. Seule ma famille est au courant, ainsi que mes amis proches.

Je suis mince, je fais 1,80m. J’ai un corps plutôt imberbe. J’ai de beaux abdos et des pecs développés Je suis blond, les yeux bleus, les cheveux courts et je porte des lunettes. Le problème, c’est que je suis mince et que j’ai un énorme cul. J’en ai toujours eu un en fait. Mes hanches et mon cul de meuf me complexent énormément.

Comme je vous l’ai raconté dans le premier chapitre, la crise du Covid a frappé, la fac a été fermée, on est passé en cours à distance. Et puis est venu le confinement. Je me retrouve donc enfermé dans la maison de mes parents, avec mon père, Guy, ma mère, Sylvie, et mon frère, Christophe. Mon frère a 25 ans, il vient de finir ses études d’ingénieur et il cherchait du travail au moment où la crise du Covid a commencé. Il a une copine qui étudie sur Paris et qui, bien sûr, n’est pas chez nous au moment du confinement. Christophe est un chaud lapin et au bout d’un moment, n’en pouvant plus de ne pas pouvoir baiser, et surtout attirer par mon gros cul, il m’a dragué un moment avant que je succombe et que je le laisse me baiser avec sa grosse bite. Après deux semaines, mon père m’a surpris en train de porter un string (sur la demande de mon frère). Moi, je l’ai pris en flag nu... et ça ne m’a pas laissé de marbre ! Et alors qu’un soir il s’est retrouvé endormi en caleçon sur le canapé, j’ai voulu voir de plus près mais il s’est réveillé et j’ai fini par le sucer et il m’a baisé.

Une semaine plus tard, je dois constater que je n’ai malheureusement pas été baisé une deuxième fois par mon père. Mais par contre, mon grand frère s’en donne à cœur joie et il me saute dès qu’il en a l’occasion.

Le mercredi soir, après que ma mère est allée se coucher, j’entends toquer à ma porte. Excité, je pense que mon frère vient profiter de mon gros cul. J’ouvre et je constate que c’est mon père.

- Je peux entrer ?
- Oui, bien sûr.

Il s’assoit alors sur le lit, la tête baissée. Je lui demande si ça va. Il répond :

- Bof... Je me sens mal par rapport à la semaine dernière.
- Pourquoi ?
- J’ai baisé mon propre fils !
- Oui... C’était génial.
- C’est vrai... mais je me sens mal...
- Pourquoi ? Je suis majeur, on était tous les deux consentants.
- Mais c’est pas normal, moi je...

Mon père ne termine pas sa phrase car je me suis levé et j’ai enlevé mon leggin, dévoilant mon gros cul. Il ne dit plus rien, il se tait, les yeux rivés sur mes fesses. Je fais alors tomber un stylo et je fais genre de le ramasser lentement. Je sens le regard de mon père sur mes miches.

- Allez, papa, fais-toi plaisir !

Mon père se lève alors et il se place derrière moi. Je reste penché en avant. D’une main, il se met à malaxer mon croupion. Puis, il se baisse devant et il enfonce ses deux paluches dans mon cul qui vacille sous ses mouvements. D’un coup, sa tête disparait dans ma raie et il me fait un anulingus de malade. J’essaie de ne pas gémir... mais pas facile... Sa langue tournoie dans mon trou et s’enfonce toujours plus profondément. Je tourne la tête et je vois la moitié de son visage plongée entre mes fesses.

Finalement, il se redresse et je me retourne pour l’embrasser. On se pose sur mon lit et on se roule des pelles pendant que je masse son paquet volumineux dans ma main. Je finis par le déshabiller et tel un chiot, je me mets à lécher son corps, ses tétons. Mon père est vraiment magnifique. Il est assez grand, il a 45 ans. Il a un visage lisse, des cheveux bruns mais certains sont blancs. Il porte des lunettes noires qui le rajeunissent. Il est assez sportif. Il a de beaux pecs et des biceps bien formés. Son torse est recouvert de poils noirs plutôt longs. Une épaisse ligne de poils descend de son torse vers son pubis extrêmement poilu.

J’ouvre son pantalon et j’en sors sa queue bandée qui est magnifique. Elle doit faire dans les 17 cm. Elle est hyper dure, et vraiment bien épaisse, aussi épaisse qu’une cannette de soda. Ma main n’arrive pas à en faire le tour. Il a des grosses couilles bien pendantes, ballotantes et poilues. Son gland rouge est bien gros.

Mon père se pose sur le lit et il me caresse les cheveux pendant que je saisis sa queue et que j’enfonce délicatement le gland dans ma bouche. Je le titille de ma langue, puis je prends la moitié de son morceau en bouche et je commence à le sucer. Je fais une gorge profonde avant de reprendre une suce lente. Mais, il me fait vite remonter.

- Ça fait une semaine que j’ai pas joui...

Je comprends. Je passe alors à ses couilles que je lèche... et une envie soudaine me prend... Ma langue se met à brouter ses poils de son périnée. Ils sont denses... et plus ils vont vers sa raie, plus la densité augmente. Ma langue continue son chemin et se retrouve au milieu d’une forêt dense de poils.

- Tu fais quoi, demande le père.
- Rien. Lève tes jambes.

Sans rien dire, mon père obéit. J’ai alors accès à son anus. Ma langue plonge dans cette forêt vierge poilue et elle finit par trouver son petit trou. Je me mets à m’en délecter. Je fais des va-et-vient sur sa rosette, ce qui le fait gémir un peu. Et il ne bronche pas quand ma langue entre dans son intimité. J’entame alors un bouffage de cul de malade. Je ne contrôle plus ma langue qui tournoie en lui. Au bout de 2 minutes, je veux reprendre mon souffle et mon père baisse ses jambes et il murmure :

- C’était trop bon !

Il se place de nouveau devant mon cul, il le caresse, il le malaxe, il l’écarte bien et il renfonce délicatement sa langue dans mon trou qu’il bouffe. Il semble se délecter. Parfois, il ressort et il admire mes fesses et mon petit anus mouillé. Finalement, il se redresse et il tape ses 17 cm contre mon gros cul. Ça fait un bruit bien lourd. Il malaxe mes fesses, sa queue dans ma raie. Puis, il enfonce lentement le gland dans mon trou. Petit à petit, sa bite descend dans mes entrailles. Très vite, je sens ses poils pubiens plaqués contre mon gros cul. Il entame directement des mouvements lents de va-et-vient. Mais au bout de quelques secondes, ils deviennent rapides, amples et secs. Ses cuisses rebondissent contre mes miches et elles y provoquent des vagues.

- C’est trop bon, soufflé-je.
- Oui !
- Tu peux venir te vider en moi jour et nuit, papa !
- D’accord, fils.
- Défonce-moi, vas-y !
- Mais je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme-là !
- Pas grave ! Je veux que tu me marques !
- D’accord, fils !

Il pose alors ses mains sur mes hanches et il se met à me défoncer. C’est un vrai marteau-piqueur. Il fesse aussi mon cul, augmentant la fréquence et la force des vacillements. En moins de deux minutes, j’entends son souffle s’accélérer et d’un coup de reins puissants, il bloque sa bite en moi que je sens se vider. Putain ! Il me remplit bien ! Une semaine de semence se retrouve dans mes entrailles ! J’ai l’impression de me faire mitrailler le cul. Sa bite explose en moi et sa semence m’envahit ! 11 jets me remplissent ! Il reprend son souffle puis il se penche sur moi et il m’embrasse. Sa bite molle sort de mon anus qui dégouline un torrent de sperme. Mon père roule sur le côté et je me retrouve dans ses bras. On se câline un peu mais il dit :

- Je vais y aller, pas que ta mère se doute de quelque chose !

Il se rhabille et il va dans la salle de bains. Moi, je joue avec mon trou plein de sperme et je jouis en un temps record. Je prends ensuite un livre et je lis pendant une heure. Et c’est là que mon frère entre dans ma chambre. Il ferme la porte, il se déshabille (moi, je suis toujours nu). Et il se jette sur moi. Il me roule une grosse pelle puis il s’écrie :

- C’est quoi ça ? (Il renifle le jus qui est sur mon ventre). Tu t’es branlé ?
- Oui.
- Putain ! Sans m’attendre ! Mais j’ai trop envie !
- Moi, aussi, regarde !

En effet, je bande de nouveau. Il sourit et il reprend son roulage de pelle. Mais très vite, il me fait me retourner sur le lit, et il s’agenouille devant mon cul qu’il malaxe. Il enfonce sa tête entre mes miches et il me broute la raie. Soudain, il se retire et il dit :

- Putain ! C’est du sperme aussi dans ton trou ?
- Oui.
- Tu as gardé mon jus de cette aprèm ?
- Apparemment.

Je souris intérieurement. S’il savait ! Christophe se met à jouer avec mes fesses, à les fesser, à les malaxer, à les mordiller, à frotter son visage dans ma raie, à cracher sur mon anus. Il savoure lui aussi mon gros cul. Je repense alors à mon père qui était dans mon trou avec sa langue ... et maintenant mon frère... Putain ! Je bande à fond. Je suis trop excité.

Je me retourne alors et je le fais remonter. Mais alors que je veux lui rouler une pelle, Christophe se précipite sur mes tétons qu’il se met à dévorer. Il les léchouille, les mordille, les masse... Putain ! C’est trop bon ! Je me découvre une zone érogène jusqu’ici inconnue. Je gémis fort et mon frère se donne à cœur joie de me donner du plaisir. Mais finalement, je fais allonger Christophe sur le lit. Je l’embrasse tendrement, nos corps collés l’un contre l’autre, avant de saisir sa queue... Putain ! Elle est trop belle. Je mate alors mon frère. Il est grand (1,90 m), sportif. Il a des cheveux châtains, mi-longs, un visage lisse. Il a un corps superbement musclé. Il a de beaux pectoraux et des tablettes de chocolat à se damner. Ses bras et ses cuisses sont aussi musclées. Il a un piercing sur le téton gauche. Il a beau petit cul musclé et imberbe. Il a une toison de poils courts sur le torse. Une ligne de poils en descend sur son ventre et arrive dans un pubis extrêmement velu, tout comme le milieu de son ventre. Ses jambes sont aussi poilues. Il a aussi de grosses couilles velues et pendantes. Sa bite est droite comme un « i ». Elle est épaisse, marron, avec un gros gland rouge. Elle doit bien faire 22 cm. Elle est veinée.

Je saisis sa queue. Elle est vraiment plus grosse que celle de mon père. Je me mets à la sucer. Depuis les semaines que je m’en occupe, je me suis bien habitué à son gros morceau et j’arrive à faire directement une gorge profonde. Très vite, Christophe plaque ses mains sur ma tête et il dirige la cadence de suce. Moi, je le laisse m’utiliser comme un sex-toy. Il donne aussi des coups de reins. Il est si excitant.

Après quelques minutes, il me lâche et je reprends la suce. Puis, ma langue passe à ses couilles. Je vois alors son petit trou imberbe... Comme avec mon père, l’envie me prend d’y enfoncer la langue. Doucement, je descends le long de son périnée et je me mets à titiller sa rosette. Christophe gémit. Mais au moment où la pointe de ma langue s’incruste dans son intimité, il se redresse et il s’écrie :

- Tu fais quoi là ?
- Je veux te bouffer le cul...
- Non pas question ! Je suis pas homo !
- Ok dommage !

Je me lève alors et je fais mine de remettre mon leggin.

- Nico, tu fais quoi là ?
- J’ai plus trop envie de baiser là...
- Quoi ?
- Oui.
- Juste parce que t’as pas pu me brouter le cul tu veux plus qu’on baise.
- C’est ça !

Pour lui montrer que je suis sérieux, je me mets dans mes draps et j’éteins la lumière.

- T’es con, putain ! Bon, allez, vas-y, t’as gagné !
- Cool.

Je me redresse et il se met à quatre pattes.

- Mais juste ce soir ! Juste pour voir !
- Ok !

Je m’empare de ses fesses que je masse et j’enfonce mon visage dans sa raie. Ma langue sort et elle s’enfonce par à-coups dans le trou présenté. Je mouille bien l’anus où je fais tourner ma langue. Immédiatement, j’entends des gémissements discrets de mon frère.

- Ça te plait ?
- Ta gueule ! Continue !

Oui, ça lui plait ! Je m’amuse à lui bouffer le cul avec passion pendant 5 minutes. Puis, je me redresse, il se met sur le dos et je reprends ma suce. Ensuite, j’enjambe son corps, je place sa queue contre mon anus... et je m’empale dessus. Enfoncé complètement sur sa bite, je me mets à faire des allers-retours lents. J’adore sentir ses boules coincées contre mon cul et mes couilles posées dans le tapis que forme ses poils pubiens. Je place mes mains sur ses pecs musclés et je m’aide pour monter et descendre tandis que ses deux mains massent et accompagnent mes fesses. J’accélère la cadence et je sens son membre bien dur me limer à fond. Je pense alors à mon père qui était il y a si peu de temps encore à l’endroit où maintenant son aîné est. Et je pense à ma mère qui, sans rien se douter, dort tranquillement. Ça m’excite terriblement et j’accélère encore plus la cadence. Mes fesses rebondissent bien sur les cuisses de mon frère, ce qui les fait bien onduler.

Christophe me fait ensuite mettre sur le dos, il s’enfonce en moi et j’entoure son cou de mes bras. Soudain, je vois la porte de ma chambre entrouverte... et dans l’embrasure, je distingue mon père ... qui nous mate ! Et il bande. Je ne dis rien et je laisse Christophe me sodomiser tout en gémissant doucement et observant mon père. Je prends alors le visage de Christophe et je lui roule une pelle... tout en matant notre voyeur. Ma langue pénètre dans sa bouche mais mes yeux restent rivés sur mon père qui comprend mon jeu... Il sort sa queue et il se met à se branler.

- Christophe... Baise-moi comme jamais, dis-je, toujours les yeux fixant l’embrasure de la porte.

Mon frère se redresse alors et il se met à me pilonner. Je mate mon père qui me regarde aussi, droit dans les yeux. Je sens des flots de jus qui sortent de mon anus pour aller recouvrir mon périnée... et les boules de mon frère. Tout en regardant mon père, comme si je m’adressais à lui, je demande à Christophe :

- Tu sens le jus qui coule hors de mon trou... tassé par cette grosse bite.
- Oh oui, je le sens bien !, répond Christophe.

Mon père fait un « oui » de la tête. Je lui souris, puis je ferme les yeux et je me laisse aller sous les coups de reins puissants fraternels. Je gémis toujours plus fort et je regarde de temps en temps mon père qui se branle comme un malade. Christophe entame une cadence régulière, me limant bien sur toute sa queue. A chaque mouvement, je sens ses couilles se balancer sous lui pour me fouetter le cul.

Ensuite, il me fait mettre sur le ventre et il s’enfonce d’un coup en moi. Il pose ses mains sur mes hanches, son corps se retrouve collé contre mon dos et il entame de sauvages coups de reins qui produisent un gros bruit mouillé, dû à sa queue qui me pilonne à fond. Je me sens bien, aussi proche de lui, avec sa tête dans mon cou. J’adore sentir ses bras puissants qui m’entourent. Je sais que mon père a une vue magnifique sur son cul musclé qui me ramone et sur ses couilles blanches de son propre sperme qui me fouettent.

- Ton cul est trop bon, frérot ! Je vais pas tarder à jour !

Dans un râle, il donne un dernier coup de reins et je sens sa semence venir s’ajouter à celle de mon père. Ce sont 7 giclées qui me frappent le fond de l’anus et qui me remplissent à leur tour. A bout de souffle, il tombe sur moi. Je remarque alors un mouvement et je vois mon père éjaculer dans sa main. Il se retire vite et mon frère ne le remarque pas quand il se retourne et qu’il vient se place à côté de moi, sortant de mon anus dégoulinant de leur jus.

Christophe finit par quitter la chambre et je me roule dans mes draps, encore plein de sperme. Je m’endors ainsi, les pensées dirigées vers mon frère et ... surtout vers mon père qui nous a pris en flag en train de baiser. Je suis impatient de savoir comment va se dérouler la suite...

A suivre...

Merci à Arthur et à Pierre-Esteban pour leurs idées.

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