Premier épisode | Épisode précédent
Chapitre-4
Salut à tous,
Moi, c’est Nico, j’ai 20 ans, je suis étudiant en littérature à Bordeaux. J’habite dans une petite ville dans la proche banlieue de Bordeaux. Je vis encore chez mes parents. Je suis homo, j’ai fait mon coming-out il y a 2 ans, mais je ne le crie pas non plus sur tous les toits. Seule ma famille est au courant, ainsi que mes amis proches.
Je suis mince, je fais 1,80m. J’ai un corps plutôt imberbe. J’ai de beaux abdos et des pecs développés Je suis blond, les yeux bleus, les cheveux courts et je porte des lunettes. Le problème, c’est que je suis mince et que j’ai un énorme cul. J’en ai toujours eu un en fait. Mes hanches et mon cul de meuf me complexent énormément.
Comme je vous l’ai raconté dans le premier chapitre, la crise du Covid a frappé, la fac a été fermée, on est passé en cours à distance. Et puis est venu le confinement. Je me retrouve donc enfermé dans la maison de mes parents, avec mon père, Guy, ma mère, Sylvie, et mon frère, Christophe. Mon frère a 25 ans, il vient de finir ses études d’ingénieur et il cherchait du travail au moment où la crise du Covid a commencé. Il a une copine qui étudie sur Paris et qui, bien sûr, n’est pas chez nous au moment du confinement. Christophe est un chaud lapin et au bout d’un moment, n’en pouvant plus de ne pas pouvoir baiser, et surtout attirer par mon gros cul, il m’a dragué un moment avant que je succombe et que je le laisse me baiser avec sa grosse bite. Après deux semaines, mon père m’a surpris en train de porter un string (sur la demande de mon frère). Moi, je l’ai pris en flag nu... et ça ne m’a pas laissé de marbre ! Et alors qu’un soir il s’est retrouvé endormi en caleçon sur le canapé, j’ai voulu voir de plus près mais il s’est réveillé et j’ai fini par le sucer et il m’a baisé. Depuis, mon père ne m’a pas retouché mais mon frère me défonce dès qu’il en a l’occasion... Et c’est là qu’un soir, mon père est revenu pour se vidanger en moi... juste avant que mon frère, toujours ignorant de la relation entre notre père et moi, prenne la suite. Mais mon paternel nous a pris en flag, ce que Christophe n’a pas remarqué. Mon père a assisté à notre baise en se branlant, ce qui m’a prouvé que ça lui avait bien plu !
Le lendemain, mon père entre dans ma chambre discrètement. Il s’assoit sur mon lit, les yeux pétillants. Je suis en train de bosser sur un devoir. Quand je me retourne, il prend immédiatement la parole :
- Ça m’a terriblement excité de voir ton frère te baiser... mais ça me tourmente aussi !
- Pourquoi ?
- Comment ça pourquoi ? Voir mon cadet se faire baiser par son aîné, c’est déjà une chose... mais que ça m’excite à ce point, ce n’est quand même pas normal.
- Il faut pas culpabiliser, papa ! Dis-moi, tu bandes ?
Je vois que son entrejambe a pris du volume. Il rougit et il fait un oui de la tête. Je reprends :
- Ça a dû vraiment te faire de l’effet de voir Christophe me défoncer !
- Putain oui ! Mais pas que ! Quand je vois ton gros cul maintenant, je ne peux m’empêcher de penser à cette sensation démente d’être dedans...
- Se pourrait-il que tu sois en manque en ce moment ?
- Oh putain, t’imagines même pas ! J’ai de gros besoins sexuels ces temps-ci et je suis très frustré de ne pas pouvoir les assouvir à ma guise. Ta mère ne veut pas baiser en ce moment !
Je me lève alors et je vais m’assoir sur le lit à côté de mon père... avant de me mettre sur ses genoux.
- Tu sens mon gros cul ?
- Oui...
- Tu le veux maintenant ?
- Oui...
Je glisse alors par terre et j’ouvre le pantalon de mon père. Il enlève son t-shirt et son pantalon pendant que j’enfonce sa queue dans ma bouche.
Mon père est assez grand, il a 45 ans. Il a un visage lisse, des cheveux bruns mais certains sont blancs. Il porte des lunettes noires qui le rajeunissent. Il joue au volley-ball donc il est assez sportif. Il a de beaux pecs et des biceps bien formés. Son torse est recouvert de poils noirs plutôt longs. Une épaisse ligne de poils descend de son torse vers son pubis extrêmement poilu. Sa queue bandée est magnifique. Elle doit faire dans les 17 cm. Elle est hyper dure, et vraiment bien épaisse, aussi épaisse qu’une cannette de soda. Ma main n’arrive pas à en faire le tour. Il a des grosses couilles bien pendantes, ballottantes et poilues. Son gland rouge est bien gros.
Je m’applique à faire des allers-retours profonds sur sa teub. Elle est bien dure. Je m’aide de ma main mais il semble encore bien chaud car il m’arrête assez vite. Alors il se lève et il demande timidement :
- Tu peux me bouffer le cul comme tu l’as fait avec ton frère ? Ça avait l’air de bien lui plaire !
Je souris et sans répondre, je le fais retourner et j’enfonce ma tête dans sa raie. Ma langue se met à titiller sa rosette et très vite, la pointe de ma langue pénètre son anus. Je fais de petits allers-retours, ce qu’il semble apprécier car il se met à gémir. Je ressors et je demande :
- Ça te plait ?
- Oui, c’est trop bon ! Continue !
Je renfonce ma tête dans son cul et je bouffe son trou avec plaisir. J’essaie d’y entrer le plus profond possible et ma langue tournoie dans son anus serré. J’envoie mon paternel au septième ciel.
Je me redresse au bout de quelques minutes. Mon père se retourne, il semble comblé. Il se colle contre moi et il fait descendre mon leggin. Il se met à masser mes grosses fesses. Sous ses caresses, mes miches se mettent à vaciller comme si c’était des vagues. Finalement, il me prend par les épaules, il me fait mettre mon corps contre le mur, il mouille sa queue et il l’enfonce dans mon anus. Il s’exclame :
- Ça glisse comme dans du beurre !!
- C’est normal...
- T’as encore le jus de ton frère en toi !?
- Bien sûr !
- Cochon !
Ça semble l’exciter. Son gland durcit, il saisit mes hanches et il se met à me défoncer sauvagement. Il m’enlace dans ses bras tout en me donnant des coups de bourrin. Sa teub va bien masser ma prostate, elle ouvre bien mon cul en grand. Chacun de ses coups me fait trembler de plaisir. Il m’embrasse dans le cou en murmurant des choses comme : « C’est trop bon ! », « J’adore ton cul ! », « Tu m’as vraiment trop excité hier soir ! ».
Et en effet, il semble bien chaud, car en à peine quelques minutes, et malgré ses jouissances de la veille, il se bloque en moi et sa queue expulse une quantité hallucinante de jets puissants qui me mitraillent le fond de l’anus. Je sens sa semence chaude envahir mon cul. Quand il ressort, c’est un tsunami de sperme qui gicle partout, sur mes jambes, sur mes pieds, dans mon leggin qui est encore coincé aux chevilles. Mon père saisit ma queue, il la branle avec vigueur et je gicle 3 giclées contre le mur.
Il se rhabille, il m’embrasse dans le cou et il sort vite de ma chambre. Je dégouline de sperme, je décide donc de changer de leggin car celui-ci est plein de jus. J’en remets un autre... et je trouve qu’il me serre. Putain ! Ce n’est pas possible ! Mon cul a encore pris un peu de volume !? Je n’arrive pas à y croire.
Je descends à la cuisine me prendre un café avant de reprendre mon devoir. Je passe devant mon frère qui regarde la télé. J’entends un « hummm ». Je me sers une tasse de café et je remarque qu’il m’a suivi. Il se colle contre moi et il me caresse discrètement le cul en disant :
- Ce leggin te va bien ! Il met bien en valeur ton cul !
- Oui, je crois que j’ai pris encore du cul !
Je dis ça en m’extirpant de ses bras car ma mère entre. Je lui demande :
- On mange quoi à midi ?
- Des pâtes ? Ça te va ?
- Ouais. Bon je me remets à bosser.
Je remonte à l’étage et je me dirige vers ma chambre. J’entends mon frère me suivre. Il me saisit l’épaule. D’un geste brusque, il me fait alors me retourner et il me plaque contre lui pendant que ses mains malaxent mes fesses. Il m’attire dans la buanderie, il sort la queue de son jean :
- Suce-moi.
Je pose ma tasse sur un meuble et je me mets à genoux. Je mate son engin : il est droit comme un « i ». Il est épais, marron, avec un gros gland rouge. Elle fait bien 22 cm. Elle est veinée. Il a aussi de grosses couilles velues et pendantes.
Je saisis sa teub et je l’enfourne dans ma bouche. Je lui fais direct une gorge profonde. Puis, je suce la moitié de sa bite tandis que l’autre moitié se trouve dans ma main qui la branle. Il se laisse faire, il me regarde avec envie tout en me caressant les cheveux. Il jute au bout de 5 minutes 6 jets puissants qui atterrissent directement au fond de mon gosier. Je n’ai pas d’autres choix que d’avaler. Je retire sa bite hors de ma bouche. Je vois quelques gouttes sortir de sa teub, je les avale avec un plaisir non dissimulé. Je me redresse et il me plaque de nouveau contre lui. Il m’embrasse, puis il me dit tout en me massant les fesses :
- Je te remplirai plus tard !
- D’accord, murmuré-je.
- Tiens, regarde, j’ai un petit truc pour toi.
Il sort un bout de tissu de sa poche :
- C’est à ma copine. Je pense que ça t’irait bien !
- C’est quoi ?
- Son string.
Le bout de tissu est minuscule.
- Il est trop petit.
- Porte-le aujourd’hui s’il te plait.
- Ok.
- A tout !
Il me pose un baiser sur les lèvres et il disparaît. Je prends ma tasse, je vais dans ma chambre et j’essaie le string. Putain, il est vraiment trop petit ! Mes grosses fesses le distendent à fond ! Et en plus, la ficelle me rentre dans le cul ! Mais ça me plaît en fait. Ça met vraiment bien mon cul en valeur. Je suis sûr que ça va plaire à Christophe et ... à papa. Je secoue alors la tête. Quelles sont ces pensées !? Je trouve mon cul trop gros ! Non ?
Je remets mon leggin et je continue mon devoir. Vers midi, j’entends la porte s’ouvrir discrètement. Mon frère s’engouffre dans ma chambre. Il murmure :
- Montre-moi ton string !
Je me lève et je baisse mon leggin. Christophe siffle d’admiration. Je vois sa queue se tendre immédiatement dans son short. Il l’ouvre et il s’approche de moi. Il joue avec sa massue contre mon fessier. Et rapide comme l’éclair, il me fait mettre en avant, le cul bien cambré et il enfonce sa queue d’un trait dans mon trou. Je gémis un peu, un mélange de douleur et de plaisir. Il s’exclame :
- Tu as encore mon jus d’hier soir ?
- Oui !
Je souris ! S’il savait que c’est un mélange de sa semence et de celle de notre père... Christophe pose ses mains sur mes hanches et il se met à me marteler le cul à coups de bite. Mon corps se retrouve ébranler... et mes fesses vacillent dans tous les sens. Il pose ses mains sur mes fesses et il se met à les caresser et les malaxer. Il me défonce. Je remarque que seul son plaisir compte. Il ne fait pas attention à moi, il m’utilise comme son vide-couilles. J’entends alors la voix de ma mère :
- Les garçons, à table !
Je veux me relever mais Christophe me plaque contre le mur.
- Pas question ! Tu me fais trop envie avec ta petite ficelle ! Tu attends que je me vide en toi.
- Oui... mais si maman...
- Ta gueule !
Les coups de bite redoublent d’intensité. Il me défonce tel un marteau-piqueur. Quand ma mère nous rappelle, je hurle qu’on arrive. Une minute plus tard, Christophe se bloque dans mes entrailles et il y envoie une bonne dose de sa semence : ce sont 4 giclées qui me frappent le fond de l’anus et qui me remplissent. A bout de souffle, Christophe tombe sur mon dos. Sa queue s’extirpe de mon anus et je remarque qu’elle est toute blanche. Il la fourre dans son pantalon avant que j’aie pu la nettoyer. Je remets mon leggin et on descend manger.
Après le repas, j’aide ma mère à faire la vaisselle. Ensuite, je remonte dans ma chambre car je vais avoir un cours en ligne. Je monte l’escalier et je passe devant la chambre de mon frère. Je n’entends rien. Soudain, un bras m’empoigne et me tire dans la salle de bains. C’est encore mon frère ! Il me baisse mon leggin et il adore mon cul et la petite ficelle.
- J’ai pas arrêté de penser à ton cul pendant le repas ! T’as pas vu que j’avais toujours la gaule ?
- Non...
Il me saisit contre lui et il me plante ses 22 cm dans le trou. Il se met à faire des va-et-vient lents.
- Christophe ! J’ai cours dans 5 minutes ! Arrête !
- Ta gueule !
Il commence alors à me labourer le cul. Son pubis poilu frappe mes fesses, ses grosses couilles velues et pendantes me fouettent les cuisses. Ses mains me malaxent fermement les miches. Il s’exclame :
- Putain ! J’adore voir ma queue entrer et sortir de ton gros cul ! C’est dément !
Il ferme alors les yeux, il se colle contre moi pendant que ses mains s’occupent toujours de mon cul... et que sa bite me défonce. Un peu de tendresse dans cet acte de baise sauvage. Car il me pilonne vraiment bien ! Il se déchaine bien en moi et il finit par se vider dans mon anus. Je ne ressens pas ses jets de sperme, à mon grand regret. Mais quand il ressort, je me précipite sur sa queue blanche de jus et je la nettoie bien comme il faut. Christophe me regarde en souriant et en me caressant la tête. Puis, il se refroque et il disparaît. Je remets le string en place puis mon leggin et je sors à mon tour.
Je me place devant mon ordi et le cours commence. Une demi-heure plus tard, mon père entre dans ma chambre. Il me demande :
- Tu as ta cam allumée ?
- Non, pourquoi ?
- Suce-moi, s’il-te-plait.
- Mais, papa, j’ai cours.
- Nico, je suis trop en manque là !
Il s’approche de moi et il sort sa queue. Toujours assis sur ma chaise de bureau, je me penche et je gobe ses 17 cm. Je suis quand même assez facile à convaincre ! Très vite, il met ses mains sur ma tête et il commence à me baiser ma bouche. Je me laisse faire, il se fait plaisir, il entame une cadence infernale. Il enfonce sa queue bien au fond de ma gorge. Il se sert de moi pour se vider les couilles. Et en effet, très vite, il bloque sa bite au fond de ma bouche. Je me retrouve le nez dans ses poils pubiens. Et sa teub se met à sursauter. Elle lâche 4 ou 5 jets de sperme dans ma gorge. Une fois son orgasme passé, il retire sa queue de ma bouche et il sort de la pièce. Je reprends le cours, tout en jouant le sperme épais et âcre de mon paternel avant de l’avaler.
Une heure plus tard, le cours est fini. Je me mets sur mon lit et je ferme les yeux. Dans une demi-heure, le prochain cours va commencer. Mon frère entre alors dans la chambre. Il me voit sur le lit. Il se couche à côté de moi et il me caresse le cul... Puis, il retire son short : il bande déjà. Sans rien dire, il prend ma tête et il la fait passer à sa queue. Je le suce alors. Au bout de 5 minutes, on entend la voix de mon père :
- Nico !
- Putain, il fait chier s’exclame mon frère.
Il sort sa bite de ma bouche, je me retrouve sur le dos, il s’accroupit sur mon torse et il se branle. Il éjacule 3 jets qui tapissent mon visage. J’en ai partout : sur les lèvres, le front, le nez, les paupières. Mon frère sort vite de ma chambre. J’ouvre la porte avec précaution : personne ! Je me précipite dans la salle de bain et je nettoie mon visage couvert de sperme. Mon père m’appelle de nouveau. Sa voix vient de sa chambre. Je m’y rends. Il est assis sur son lit et il me tourne le dos.
- Oui ?
- Vous faites une pause là ?
- Oui.
- Jusqu’à quand ?
- Je reprends dans bien 20 minutes.
- Viens voir.
Je vais vers lui et je remarque que sa bite est sortie de son pantalon et qu’il se branle.
- Je suis trop chaud là... Mets-toi sur le dos.
J’enlève mon leggin sans broncher et je me mets sur le dos, le cul au bord du lit. Il siffle quand il voit le mini-string que je porte :
- C’est quoi ça ?
- C’est une idée de Christophe. C’est le string de sa copine !
- Quel cochon celui-là. En tout cas, ça met bien ton cul en valeur, dit-il en caressant mes miches.
Il se lève et sans hésiter, il enfonce ses 17 cm dans mon trou. Il se met à me défoncer. Je lui demande :
- T’as pas peur que maman nous surprenne ?
- Elle dort sur le canapé...
Il s’approche de moi car il doit avoir senti mon haleine.
- Tu sens le sperme.
- Ah ?
- Et ton visage aussi.
- J’ai sucé mon frère...
- Quand ?
- Y a 2 minutes.
- C’est pas vrai... quel salaud, celui-là !
Mais ça semble l’exciter car ses coups de queue qui sont rapides, puissants mais très courts, redoublent de vigueur. Il se repenche sur moi, il sent le sperme et dans un coup de reins ultime, il se vide en moi. Je sens 11 jets me frapper le fond du cul. Putain ! L’odeur du jus de mon frère l’a vraiment bien excité ! Il se redresse, la queue encore dégoulinante.
- Il te baisera sûrement, ce soir, non ?
- Christophe ? Sûrement...
- Je veux te baiser après lui.
Je retourne « en cours », le cul dégoulinant. La journée se passe sans nouvelle baise ou suce. Après le dîner et le film du soir, je me rends dans ma chambre. Quand les parents sont couchés, Christophe se faufile très vite dans ma chambre. Avant de me rejoindre dans le lit, il se fout à poil :
Mon frère est grand (1,90 m), sportif. Il a des cheveux châtains, mi-longs, un visage lisse. Il a un corps superbement musclé. Il a de beaux pectoraux et des tablettes de chocolat à se damner. Ses bras et ses cuisses sont aussi musclées. Il a un piercing sur le téton gauche. Il a un beau petit cul musclé et imberbe. Il a une toison de poils courts sur le torse. Une ligne de poils en descend sur son ventre et arrive dans un pubis extrêmement velu. Ses jambes sont aussi poilues. Il a aussi de grosses couilles velues et pendantes. Chacun de ses mouvements, sa bite bouge lourdement tel un pendule de gauche à droite. Sa bite est droite comme un « i ». Elle est épaisse, marron, veinée, avec un gros gland rouge. Elle fait 22 cm.
Christophe me prend dans ses bras et il me dépose des baisers sur mes lèvres. Il enlève mon leggin et il se met à caresser mon cul. Puis, il me fait descendre vers sa queue. Je la saisis et je prends son gland en bouche. Je le suce sur toute la longueur de son gros morceau. Sa main posée sur ma tête accompagne ma suce.
- Putain, tu suces trop bien, petit frère !
Ça m’encourage bien et je me retrouve à lui faire des gorges profondes. J’adore sentir mon nez dans ses poils denses de pubis. Puis, je m’occupe de ses couilles. Elles sont si grosses et si lourdes. Ma langue les lèche bien. Ensuite, je reprends ma suce. Sa main sur ma tête me fait accélérer mes mouvements.
Au bout de 5 minutes, il se redresse et il me prend dans ses bras. Il malaxe mon énorme cul tout en m’embrassant tendrement. Il savoure la vision du string emprisonné de mon gros cul. Il promène un doigt dans mon trou et il s’exclame :
- T’as encore mon jus dans ton trou ?
- Oui, dis-je en mentant.
C’est le jus de notre père en fait. Mais Christophe me surprend en se mettant sur le lit à quatre pattes :
- Broute-moi le trou !
Je m’accroupis devant ses fesses que j’écarte. J’enfonce ma tête dedans et ma langue se met à mouiller son trou et à faire des allers-retours dedans. Il ne cesse de répéter :
- Putain, c’est trop bon !
Après quelques minutes, je me retire... et j’enfonce le bout de mon index dans son trou. Il ne dit rien. Je continue un peu. Quand j’en ai la moitié dedans, Christophe s’exclame :
- Tu fais quoi là !?
- Silence...
Je sens un peu de résistance mais quand il sent mon doigt titiller sa prostate, il se laisse faire et je me retrouve avec l’index entièrement enfoncé dans son trou. Je fais alors de lents va-et-vient. Je doigte mon frère et ça ne semble pas lui déplaire. Je m’occupe de lui pendant bien 5 minutes et il commence même à gémir. Quel cochon !
Finalement, je me mets à côté de lui et il se lève. Il se place derrière moi et il me bouffe le cul à son tour, tout en me massant les fesses. Il s’abreuve du sperme de mon trou, sans savoir qu’il boit le jus de notre paternel... Je souris, rien qu’à cette idée.
Christophe finit par se redresser et il plonge sa bite dans mon trou. Il semble vouloir prendre son temps car ses mouvements sont lents. Il admire ses 22 cm entrer et sortir de mon énorme cul qu’il frappe, le faisant ainsi vaciller fortement. Au bout de quelques minutes, il entame une cadence rapide et régulière. Il s’arrête, il reprend, il tape sa queue contre mes fesses. Il profite. Puis, il reprend, sa queue entièrement enfoncée en moi, en donnant de petits coups de reins qui la font à peine sortir... et ses cuisses qui frappent mes fesses créent des vagues qui traversent mes fesses.
Après 10 minutes, il se pose sur le lit et je m’empale sur son gros morceau. Ses mains se retrouvent sur mon cul qu’il malaxe avec envie. Puis, ses doigts se mettent à jouer avec la ficelle. Il me fait ensuite mettre sur le dos. Cette fois, ces coups de reins sont sauvages et amples. Il se défoule dans mon cul. Il me dit :
- Je crois que j’ai jamais autant éjaculé qu’aujourd’hui ! Je deviens accro à ton cul !
- Vas-y, il est à toi, fais-en ce que tu veux !
Il sourit et ses coups de queue redoublent de violence. Le lit tremble, mon cul vacille comme jamais. Et il enfonce sa bite au fond de mes entrailles et là, c’est comme un tsunami ! Sa queue libère de grosses giclées de sperme liquides qui envahissent mes entrailles. J’en compte 8 ! Il laisse sa bite en moi quelques secondes. Puis, il la retire et il joue à l’aide de son gland avec le sperme qui en découle. Il se pose ensuite à côté de moi et il me prend dans ses bras. J’ai peur qu’il s’endorme, que notre père arrive... et que Christophe comprenne tout.
Mais il se redresse au bout de 5 minutes et il quitte ma chambre. J’allume un porno et je me branle lentement. Mon père rentre discrètement 30 minutes plus tard. Il est nu. Il se glisse dans mes draps et je sens son sexe dur contre ma cuisse. Il se colle contre moi et il m’embrasse tendrement. Une de ses mains me caresse le visage, l’autre caresse mon cul, doucement. Comme mon frère, il joue avec le string. Ensuite, un doigt passe furtivement dans ma raie et il soupire quand il sent le jus de mon frère qui en coule. Ses baisers deviennent alors plus torrides. Il m’excite énormément ! Ma langue descend le long de son corps et arrive à sa queue que je gobe. Ses mains me caressent les épaules ou la tête. Au bout de 5 minutes, il m’attire vers lui et il me roule une grosse pelle. Puis il se pose à côté de moi, sur le ventre et ses mains écartent de façon démonstrative ses fesses. Je vais vers son cul et je plonge alors ma langue dans son trou. Elle tourne et s’enfonce, elle le mouille bien. Mon père gémit fort. Je tente alors d’enfoncer un doigt dans son anus. Il se redresse aussitôt :
- Non, pas ça !
- Pourquoi ? Tu vas voir, c’est trop bon !
- Non.
- Bon dommage...
Je me lève et il me regarde, surpris :
- Tu fais quoi ?
- J’ai plus envie... Tu peux retourner dans ta chambre...
- Parce que je veux pas ton doigt dans mon cul.
- Oui... pas de doigtage... pas de baise.
Mon père hésite ... avant de finalement accepter. Je prends de la bave et j’enfonce très lentement mon index dans son trou. Il se crispe, il veut que je sorte mais je tiens bon. Et quand je me mets à titiller sa prostate, il laisse pousser un gémissement. Je sais alors que j’ai gagné. Je le doigte, tout comme mon frère, pendant bien 5 minutes et il semble apprécier.
Je sors et il me fait mettre sur le dos. Il m’embrasse dans le dos et dans le cou tant en me caressant de ses deux mains. Il n’a pas l’air de se formaliser de mon doigtage. Tant mieux ! Il semble ouvert aux nouvelles choses ! Je sens soudain sa queue entrer lentement dans mon trou déjà bien ouvert par mon frère. Il s’enfonce entièrement dans moi. On gémit ensemble, lui parce que sa queue trempe dans le jus de mon frère et moi parce que sa teub me fait du bien. Toujours en m’embrassant dans le cou, il se met à donner de petits coups de queue qui font vibrer mes fesses, sans que pour autant son corps quitte le mien. Sa bite masse merveilleusement ma prostate. J’adore sentir son souffle brûlant dans mon oreille. Puis, il écarte ses jambes et ses coups de queue deviennent plus profonds et plus puissants, le lit en tremble. Ils expulsent beaucoup de sperme de mon cul.
Mon père me fait ensuite mettre sur le dos. Je remarque que sa queue est blanche de foutre. Il l’enfonce dans mes entrailles, il se colle de nouveau à moi et il m’embrasse tout en donnant de petits coups de bite. Puis, il se redresse et il accélère la cadence. Il y va à fond. Je le regarde dans ses yeux remplis d’envie. Ses coups de reins font bien vaciller mes fesses. Sa queue se met à faire piston et à faire expulser de grosses vagues du jus mélangé de mon père et de mon frère. Puis, il fait une pause, il se colle contre moi et il m’embrasse, la bite toujours dans mon anus. Ses couilles velues me caressent le cul.
Il reprend ensuite sa baise intense. Au bout de quelques minutes, il s’enfonce en moi dans un gémissement et il gicle 6 jets dans mes entrailles. Je les sens bien me remplir et s’ajouter au sperme de mon frère. Il se redresse mais il reste en moi. Je me branle et j’éjacule au bout de quelques seconde sur mon ventre : j’ai gardé mon sperme après toutes ses actions super excitantes de toute la journée et c’est donc normal que mon jus explose sur mon corps : 3 énormes jets traversent mon corps et atterrissent sur mon visage. Les 3 autres suivants tombent violemment sur mon ventre et les 2 derniers giclent sur mon pubis.
Mon père sort de mon cul et il reste quelques instants à me câliner. Il va ensuite chercher une serviette et il me nettoie avant d’aller dans la salle de bains. Puis, il rejoint ma mère dans sa chambre.
Putain ! La fréquence de baise augmente ! Mon frère et mon père sont de plus en plus en manque. Ils se succèdent matin, midi et soir dans sa chambre. Et moi j’ai de plus en plus envie d’être actif...
Merci à Arthur, à Pierre-Esteban et à Hyo pour leurs idées.
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
Autres histoires de l'auteur :