Premier épisode
Chapitre 2
Salut,
Moi, c’est Nico, 24 ans, je mesure 1,78m, je suis blond, mince, peu poilu, assez bien monté : une queue de 17 cm, assez large. J’ai fait mon coming out il y a quelques années et toute ma famille est au courant. Tous l’ont accepté, mon parrain, Richard, aussi. Nous avons toujours été très complices.
Cette année, nous avons décidé de passer les vacances ensemble, comme tous les ans, dans sa maison au bord de la côte Atlantique, à Royan. Certes, je dois être bosser car j’ai mon mémoire à finir pour valider la fin de mes études mais je compte bien profiter de la mer pour me changer les idées. Richard est un beau mec. Il est en instance de divorce et il est très déprimé depuis le début du séjour. Il se branle beaucoup et un jour, je le surprends. Après nous être branlés ensemble, nous avons cédé à la tentation et nous avons fait l’amour.
Le lendemain de notre baise, nous nous réveillons dans les bras l’un de l’autre. Il m’embrasse et me caresse le dos. J’ai des frissons et j’apprécie son traitement. Et surtout je commence à sentir son gourdin enfler et se positionner contre mes reins. Je me retourne et je l’embrasse sur la bouche. Puis je me recule et le regarde. C’est vraiment un beau mec : il a 45 ans, d’épais cheveux roux avec une barbe fournie. Il est de stature et de taille normale. Son corps est imberbe, seul son ventre est couvert de poils roux. Sa peau est très pâle. Son pubis et ses couilles sont aussi très poilues. Il a un long prépuce mais qui est décalotté et qui laisse voir sa belle bite de 19 cm ... une queue bien tendue avec un beau gland rose, bien gros.
J’adore vraiment sa queue... Je ne peux résister et je me précipite sous les draps. Je prends ses couilles d’une main, la queue de l’autre et je pose ma langue sur le gland. Je joue avec son frein et j’enfonce sa queue dans ma bouche, d’un trait jusqu’à ce que mon nez et mes lèvres soient dans ses poils pubiens. Je déguste sa queue et je lui inflige une superbe pipe... il semble beaucoup apprécier car je sens sa queue gonfler et au bout de même pas 5 minutes, il jute de gros jets au fond de ma gorge. Je n’ai pas besoin d’avaler, les jets sont tellement puissants qu’ils vont se loger directement dans mon œsophage.
Pendant la journée, je bosse sur mon mémoire puis on va à la mer. Un truc me frappe : Richard est comme métamorphosé. Il est heureux, souriant. On passe un bon moment à la plage, très complice.
Le soir, on cuisine ensemble. On fait des spaghettis avec des fruits de mer achetés tout frais dans une poissonnerie. Je m’occupe des pâtes tandis qu’il fait la sauce. Puis à un moment, il s’approche de moi... Il colle son beau paquet contre mon cul. Moi, je ne me laisse pas distraire. Mais ses frottements sont de plus en plus pressants. Je bouge alors mes fesses et je sens son sexe dur plaqué contre ma raie. C’est alors que Richard se penche sur moi et me dépose un baiser dans le cou... ce qui me provoque des frissons. Il me mordille le lobe de l’oreille et me lèche. De l’oreille, il passe au cou et à ma nuque. Je me laisse faire, électrisé. Puis je me retourne et nous nous embrassons langoureusement. Il m’enlève mon t-shirt et me lèche le torse puis me tète les tétons. Puis il descend plus bas et passe sa langue sur mon short, prêt à exploser. Il se relève, m’embrasse tout en m’entrainant vers le canapé. Mes mains se mettent à lui palper le paquet. Puis je lui retire son t-shirt et je me mets à passer ma langue sur son corps qui a encore un peu ce goût salé de la mer. Puis je passe à ses aisselles qui sentent la transpiration. Ce parfum de mâle m’enivre. Je les lèche tandis que mon nez, plongé dans les poils, hume ce parfum délicieux. Puis je le pousse sur le canapé et descends vers son short. Je l’enlève. Il est nu dessous. J’approche mon nez de son pubis et je m’imprègne de son parfum de mâle qui s’en échappe. Il bande à fond. Je prends sa queue en bouche et je le suce lentement. On est interrompu par l’eau des spaghettis qui débordent partout sur la cuisinière. On se précipite pour éponger les dégâts et on finit de cuisiner, rigolant comme des ados. On reste nu. On s’embrasse, on se caresse, on rigole. Ce sont des instants magiques.
On passe à table puis on fait la vaisselle et on décide de regarder un film. On est nu, on est collés l’un à l’autre et on s’embrasse sans arrêt, on se câline. On bande tout le temps. On se frôle les bites, les couilles. On se caresse. C’est un instant très sensuel.
Quand le film se finit, il me prend par la main et m’entraine dans sa chambre. On s’embrasse, on se lèche et on se mordille les tétons. On joue avec nos queues. Puis je reprends là où je m’étais arrêté : je prends sa queue en bouche et je le suce. Je me délecte de son odeur. Je lui fais de bonnes gorges profondes pour que mon nez se retrouve dans ses poils pubiens afin d’humer son parfum. Je lèche aussi ses couilles qui ont aussi un bon goût de mâle. Puis je descends sous son scrotum, je lèche son périnée et ma langue glisse pour arriver à son cul. Il lève alors les jambes en l’air pour que je puisse accéder à son trou. J’embrasse et je lèche sa rosette par petits coups de langue. Je titille d’abord son trou. Puis j’enfonce la langue lentement dans son anus. Il gémit de plaisir. J’insère ma langue toujours plus profondément, son trou se détend. Mon nez est dans ses poils de cul... J’adore son odeur de mâle.
Puis je ressors et je caresse son trou humide. J’y enfonce lentement un doigt. Richard se crispe mais se laisse faire. Mon index glisse en lui et se retrouve à lui masser la prostate. Il découvre une sensation inconnue qui le fait gémir. Puis j’y mets un deuxième doigt. Je les ressors, je lèche sa rosette puis un désir soudain me prend. Je me relève et je présente mon gland à l’entrée de son anus. Il est serré donc j’y vais doucement. Arrivé à la moitié, Richard me demande de sortir ... puis de réessayer. J’y vais lentement car c’est sa première queue qu’il prend et son anus vierge est bien serré. Il faut dire que ma queue est assez épaisse. Après plusieurs tentatives, j’arrive au fond de son trou. Je commence à coulisser et j’admire alors ma bite disparaitre et ressortir de son cul... sans capote ni rien. Je savoure de voir mon gland rose s’enfoncer dans son cul blanc et ma queue y disparaitre jusqu’à la base de mes couilles poilues. Puis j’accélère le rythme et je vais à chaque fois taper de plus en plus fort au fond de son trou. Il gémit tout doucement. Je lui demande :
- Ça va ? Je te fais pas mal ?
- Non, c’est trop bon, continue !
Et j’accélère la cadence. Je sors de temps en temps pour m’amuser à l’aide mon gland avec sa rosette. Je fais rentrer et sortir ma bite complétement, essayant alors de viser le trou pour aller en chercher le fond. Il est bien ouvert désormais, ça marche sans problème.
Puis, je lui demande de se mettre sur le dos. Il se couche, le cul dans les airs et je reste debout. J’enfonce ma queue en lui et je le baise sensuellement : je me couche sur lui, j’entoure son torse de mes bras, je l’embrasse et je reprends une baise lente. J’ai vraiment bien ouvert son cul, ma queue rentre toute seule et tape au plus profond de ses entrailles. Mes grosses couilles lui fouettent le cul et rebondissent à chaque passage, faisant le bruit de baise typique que j’adore. Je m’arrête plusieurs fois pour ne pas jouir tout de suite : je veux encore en profiter. Et je reprends tout en lui faisant des baisers sur la bouche et dans le cou.
Au bout de 15 minutes, ne tenant plus, je lui jouis une bonne dose dans le cul, tout en l’embrassant. Je sens bien ma queue pulser pour bien lui envoyer mon sperme au fond des entrailles. Quand je ressors, mon jus blanc et assez liquide s’échappe de son cul. Je me pose à côté de lui, toujours en l’embrassant. Il bande dur, il se branle et il jute cinq beaux jets puissants sur mon corps. J’étale sa semence sur mon ventre et sur mon torse. Il faut dire que j’adore son jus ! Il se penche alors sur moi et se met à lécher son sperme. Puis il remonte vers moi et nous nous roulons une grosse pelle au sperme. Son jus a vraiment bon goût.
Nous nous embrassons langoureusement et nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre.
Dans la nuit, je suis réveillé par un sentiment bizarre. Je sens qu’un truc de dur veut essayer d’entrer dans mes fesses. Une fois plus éveillé, je me rends compte que Richard tente de me pénétrer. J’écarte alors mes fesses et sa queue s’y enfonce immédiatement. Je ne ressens aucune douleur. Ses 19 cm glissent en moi et je sens les poils de son pubis me chatouiller le cul. Il commence alors de lents va-et-vient. Et je me rends alors compte qu’il n’a plus cette sensualité. Il m’entoure le ventre de ses bras et sans un baiser, tandis que je sens sa queue se raidir, il entame une baise sauvage. Je ressens son souffle dans mon cou. Le souffle d’un mec en manque qui veut se vider. Je suis un peu décontenancé. Mais sa queue va bien profondément en moi. Elle tape bien contre ma prostate. Une vague de plaisir me submerge et j’oublie ce manque de tendresse et je lui offre tout simplement mon cul.
Il me place ensuite sur le ventre et sa queue glisse en moi. Elle s’enfonce jusqu’au bout. Elle va encore plus profondément. Il s’acharne dans mon anus, ses mouvements sont profonds et sauvages, ses couilles claquent sur mes fesses à chaque introduction. Il se plaque alors contre moi, seuls ses fesses bougent. Sa queue me martèle le cul, je gémis de plaisir au rythme de ses coups de rein qui font vibrer le lit. Grâce aux ressorts du matelas, il rebondit sur mon cul ce qui enfonce sa queue encore plus profondément dans mes entrailles.
Au bout de 10 minutes, je sens sa respiration accélérée avant que sa semence coule dans mes entrailles. Je sens sa queue se contracter et expulser une grosse dose de jus. Une fois la source tarie, il se retire de moi et là je sens comme une fontaine de sperme qui jaillit de mon trou pour aller salir les draps. Il a vraiment beaucoup joui. Mon cul trempe dans le sperme.
Il replonge sa queue en moi et il se met à me branler et très vite. Je jouis un sperme épais dans sa main qu’il me tend ensuite et que je nettoie de ma langue avec plaisir. Il se pose alors sur le dos, exténué mais libéré.
- Je suis désolé. Te sentir comme ça dans mes bras, ton petit cul coincé contre ma bite, ça m’a rendu comme une bête !
- C’était génial !
- Non, mais sans préliminaires, ni rien... désolé, je...
- Non. Ne dis rien. C’était trop bon. Des fois, se faire troncher est aussi super.
- Tu es trop mignon ! Viens là !
Je vais me blottir contre sa poitrine qui est encore secouée de soubresauts, son cœur battant à fond. Dans le noir, je passe ma main sur sa peau douce et mes doigts jouent avec ses poils de pubis.
Je m’endors dans ses bras, la tête posée sur son torse. Au milieu de la nuit, c’est moi qui le réveille en l’embrassant. Quand je remarque que sa queue redurcit, je m’assois dessus et je le chevauche jusqu’à ce qu’il me féconde. Quel bonheur nous éprouvons ensemble.
A suivre ...
J’espère que cette histoire vous a bien plus. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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