Premier épisode
Chapitre 2
Salut à tous et merci pour les très nombreux retours que j’ai eus sur la première partie de l’histoire et surtout pour m’avoir demandé d’écrire la suite, ça fait plaisir de voir que mes histoires vous plaisent. Voilà donc la suite.
La journée après la scène de sexe forcée dans les douches de mon club de fitness, mon cul me fait toujours très mal. La grosse teub d’Abdel m’a vraiment bien défoncé, je marche en boitant. Mais elle m’a tellement plu que je bande à chaque fois que je repense à cette séance de baise assez spéciale.
La semaine d’après, je me rends le cœur battant à la salle de sport. Abdel m’avait laissé un mot sur mon sac disant : « Rdv la semaine prochaine même heure, même endroit. Abdel »
J’arrive et Abdel n’est pas encore là. Peut-être qu’il ne viendra pas ? Qu’il s’est dégonflé ? Je commence à faire mes exercices avec une boule au ventre... à cause de l’excitation ? ou de la peur ?
Au bout de 30 minutes, je reconnais de loin le physique musclé d’Abdel. Il ne me calcule pas. Rien que de le voir me fait repenser à la semaine dernière et je sens ma bite gonfler. Je finis mes exercices, le matant du coin de l’œil tandis qu’il s’entraine sans rien laisser paraitre.
Au bout d’une heure, il quitte la pièce et semble se rendre vers les vestiaires. Je ne sais que faire... je continue de travailler... puis une petite voix intérieure me dit que je devrais le suivre. Je me lève et je me dirige dans les douches. Une fois dans le vestiaire, je n’entends pas d’eau couler... bizarre. Je m’avance puis comme sorti de nulle part, je vois une grosse main se diriger vers moi... et elle rebondit sur ma joue. Je suis sonné sous l’effet de la claque. Il me pousse dans le vestiaire et s’écrie :
- Voilà enfin ma petite pute ! Tu en as mis du temps, dis donc !
- Je suis désolé...
- Brave cochonne, je vois que tu bandes ! Je te fais de l’effet, dis-moi. Va te doucher, j’arrive pour te faire ta fête. Et nettoie-toi bien !
- Oui...
Je me dirige le cœur battant vers les douches, je me déshabille et je me douche. Je me nettoie de l’intérieur aussi et après 5 minutes, il déclare que j’ai intérêt à être prêt. Il arrive, complétement nu et je peux enfin l’admirer dans toute sa splendeur : il a de gros pecs bien lourds, bien poilus, des tablettes de chocolat, des cuisses énormes et des bras super musclés. Son pubis est rempli de poils bien noirs, ses couilles sont aussi très velues. Sa bite est déjà toute déployée : 22x6 cm. Il me prend la tête et me force à nouveau à gober son gigantesque membre. Cette fois, sa queue passe mieux. Mon nez se retrouve très vite dans ses poils pubiens. Il reste dans ma bouche ... sans bouger et je comprends vite pourquoi. Je sens tout d’un coup un jet chaud passer directement dans mon estomac. Il me pisse dans la gorge ! J’essaie de me dégager et je recrache son jus de pomme. Il me prend alors par les cheveux et me met une grosse baffe qui me fait basculer par terre :
- Connasse ! Tu n’as pas le droit de recracher ce qui vient de moi. Tout ce que je te donne, tu le prends en toi que ce soit sperme, pisse ou n’importe quoi ! Tu as capté ? (je hoche de la tête) Je vais te montrer où est ta place !
Il me tire par les cheveux pour me faire basculer la tête en arrière. Il me gifle à nouveau puis se place au-dessus de moi. Il pisse une nouvelle fois, m’arrosant le corps. Et je dois avouer que je recommence à bander. Il le remarque et rit bien fort, me traitant de pute et de sac à foutre. Il s’approche de mon visage... et automatiquement, j'ouvre la bouche et je reçois sa pisse dedans. Sa pisse est claire, chaude et forte. Il pisse tellement fort que je n'arrive pas à tout avaler. Le surplus déborde et coule sur mon menton et mon torse. Je fais de mon mieux pour tout faire descendre dans mon estomac, tout en me branlant.
- Ouais, vas-y ma grosse pute, avale... Putain mais quelle salope ! Tu sais comment satisfaire une bonne bite de rebeu !
Il enfourne alors sa queue en moi, continuant de pisser. Quand la source se tarit, il commence à me limer la bouche... Je lui caresse en même temps ses grosses couilles... je kiffe son odeur de mâle en rut.
- Oui, c’est bon ça ! Vas-y, ma pute. Ta bouche est une vraie chatte.
Il me maintient alors la tête et me baise la gueule profondément. Il n’y va pas de main morte et me fait de grosses gorges profondes. Je bave de partout. Il la retire de temps en temps pour me laisser reprendre mon souffle puis il reprend de plus belle. Au bout d'un moment, il pousse un cri roque, sort de ma bouche, tout en la tenant grande ouverte... et soudain, 5 gros jets chauds coulent sur ma langue... puis 5 autres jaillissent, viennent tapisser ma langue et certains vont se perdre au fond de ma gorge. Il y a tellement de sperme qu’on pourrait croire qu'il pisse. Son sperme chaud déborde de ma bouche et je le sens couler sur mon corps...
- Vas-y, suce bien. Tu n’as pas le droit de laisser perdre une goutte de jus !
Je m’applique à sucer ce qui continue de couler de son gland et à récupérer jusqu'à la dernière goutte, puis je passe aux couilles. A l’aide de sa bite, il récupère le sperme qui a coulé sur mon corps et sur mon ventre, puis il me la fait lécher. Je prends avec plaisir cette sucette en bouche.
- C’est bien, ma petite pute à rebeu. Tu es mon urinoir... mon trou à jus. Je t’ai montré où est ta place : au service de ton rebeu. Maintenant douche-toi, on va chez moi.
Je me douche, m’habille, imitant mon rebeu, on sort et il m’emmène dans sa voiture. On roule un bon quart d’heure et on se gare dans un parking, au centre-ville et on entre dans son appartement qui est assez bien rangé. Un salon, une cuisine, deux chambres, une salle de bain. Il m’emmène dans sa chambre et m’ordonne de me déshabiller. Il met un drap sur le lit, me fait signe de m’y poser et disparait quelques secondes. Il revient avec une capote usagée, remplie de sperme.
- Bois ça !
Je fais une mine dégoûtée et je secoue la tête. Le sexe forcé ok, la pisse à boire, ça passe... mais là, ça va trop loin.
- Bois, je ne me répéterai pas.
Je me sens mal à l’aise et décide de me lever. Il m’agrippe d’une main et me pousse sur le lit puis me vide le contenu de la capote sur la tête. Le jus coule dans mes cheveux et sur mon visage. Il n’y en a vraiment beaucoup. Je suis écœuré.
- C’était mon jus. Maintenant, tu vas boire le jus d’un pote renoi. Spécialement prélevé pour toi. Je te le présenterai à l’occasion.
Il quitte de nouveau la pièce et revient avec une autre capote.
- Si tu veux que j’utilise la violence...
Il se précipite sur moi et prend ma queue en main... je bande... il sourit, sachant que j’aime quand il me traite comme ça. Il me pousse, je me retrouve couché sur le lit et il se pose sur mon torse. Je vois son jogging complétement déformé par sa queue qui bande. J’ouvre alors la bouche et je sens une forte odeur de sperme. Il renverse tout le contenu de la sur ma langue. Je reste comme ceci pendant quelques secondes puis j’avale tout. C'est un peu écœurant... mais ma bite semble kiffer, elle bande à fond. Il approche sa massue de mon visage et étale son sperme qui m’a fait couler sur la tête. Il utilise son gland. Puis il fait descendre son jus vers ma bouche... je le lèche et j’avale tout. Il m’ouvre de nouveau la bouche et crache sur ma langue. A trois reprises, il laisse tomber des filets de bave dans ma bouche que j’avale.
- C’est bien. Dis merci de t’avoir offert ce breuvage.
- Merci....
- Maintenant, on va clarifier les choses : Il va falloir que je t’apprenne le respect ! « Merci qui... » ?
- Abdel...
- Non ! Pour toi, ce sera « Maître »
- Merci, maître ....
Puis il se pose à côté de moi et me dit :
- Tu vois mes pompes ? Lèche-les.
Je ne proteste pas... même si ça ne me plait pas. Je me mets à lécher ses pompes. Elles ont l’air neuves, ce qui me rassure un peu. Je commence par la gauche, je remonte de la semelle vers la languette puis passe à la droite. Lui, il sort sa grosse queue de son jogging et se met à se branler tout en me regardant.
- Enlève mes chaussures et sniffe mes chaussettes.
Je m’exécute mais en lui ôtant ses pompes, j’ai un mouvement de recul. Elles dégagent une odeur de sueur... Evidemment, on revient du sport... Je m’approche et je vois bien qu’elles sont chaudes et humides. Je hume... Il approche son pied, me le met sous la bouche et je le lèche.
- Retire mes chaussettes.
Je m’exécute et commence à lui lécher les orteils. Puis je passe ma langue sous son pied.
- Oui c'est bon ça ! Tu me sers bien. Tu es une bonne petite pute. Retire mon pantalon et lèche-moi les jambes maintenant.
J’obéis et une fois son jogging enlevé, je lèche des orteils et passe ma langue sur ses chevilles puis je remonte vers ses cuisses. Je kiffe ses jambes poilues et ses grosses cuisses musclées. Ses poils bien noirs et drus chatouillent ma langue. De mon point de vue, je vois sa grosse queue bien gonflée et ses grosses couilles bien poilues. J’adore ! Je n’ai qu’une envie, c’est le sucer. J’avance vers sa bite mais il m’arrête. Il se lève, revient et me bande les yeux.
- Tu te laisses faire, tu es à moi. Pose-toi sur le lit.
Je m’exécute et je le sens s’approcher de moi. Il se met à me caresser partout... un geste presque sensuel en comparaison à tout ce qu’il m’a fait vivre jusqu’ici. Sa main me parcoure le torse, le ventre puis la bite et l’entrejambe pour remonter vers le cou.
- Il va falloir faire disparaitre ses bourrelets, ma petite pute.
Sa main redescend vers mon entrejambe et il se met à caresser mon trou. Son index s'y enfonce lentement. Puis il se redresse et je le sens s’approcher de moi. Une ombre passe devant mes yeux et je le vois mettre son trou devant ma bouche... je sors ma langue qui effleure ses poils bien épais. Puis elle perce son œillet. Je m’enfonce en lui avec gourmandise. Je déguste son fion tandis qu’il pousse de petits gémissements.
Puis il me relève et me pose au bout du lit, la tête dans le vide au bout du lit. Son lit King Size a une hauteur parfaite ! Il doit à peine fléchir les jambes pour faire entrer son gland qu’il pose sur ma langue. Il entre son énorme engin lentement en moi pour que je m’y fasse. Il continue sa progression doucement jusqu’à buter dans ma gorge. Puis il ressort son énorme morceau de chair et me le remet dans la bouche ! Moi, docile, je me laisse faire. Il donne un grand coup de rein et sa queue coulisse dans ma bouche jusqu'à la glotte. J’ai des hauts le cœur. Puis il ressort. J’ai juste le temps de reprendre mon souffle... qu’il me la remet en bouche. Il pousse encore, son gland passant ma luette et pénétrant ma trachée qui se contracte sur sa queue. Je tâche de bien encaisser son traitement ! Je sens son précum couler dans ma gorge. Puis il se penche sur moi et met à me baiser la bouche. Il me met sa queue bien au fond de la gorge, allant toujours de plus en plus loin à tel point que ses couilles claquent contre mon menton. J'émets un bruit d'étouffement et il ressort entièrement, je bave énormément. Il rentre de nouveau et entame alors de longs va-et-vient. Je sens sa bonne odeur de mâle quand il me fait plonger mon nez dans ses poils.
Finalement, il sort de ma bouche, se pose sur le lit, m’attire vers lui et me fait allonger sur lui, mes lèvres arrivant sur ses seins que je recommence à téter. Je sens son sexe sur mon ventre, dur. Je commence à lécher son torse. Avec ma langue, je descends le long de son corps. Je prends un plaisir extraordinaire à sentir sur sa peau ferme la masse de ses poils si fournie des pectoraux au ventre. Enfin, il relève les bras et me fait comprendre que je dois lui lécher les aisselles. J'aime le contact de ses poils sur mes lèvres et ma langue et d'après ses soupirs je constate qu'il apprécie. Ses aisselles sentent le mâle.
Je descends ensuite vers sa queue, je la lèche puis je lui bouffe les couilles. Puis je remonte à nouveau à sa queue et je prends son gland en bouche. Il bande raide. Il mouille toujours beaucoup, j'avale ce nectar. Je me tiens à ses cuisses très dures et très velues.
Il se relève, m’agrippe avec ses grosses paluches et je me retrouve à quatre pattes. Il me met du gel dans le trou, il me doigte, puis introduit quelque chose de froid... c’est un gode. Il est assez petit et il s’enfonce vite en moi. Il le ressort puis va chercher un gode plus long et plus large (21x6). Il le rentre violemment dans mon cul. Je sens l’objet m’écarter le trou. Il commence alors de longs va-et-vient, de plus en plus rapide, jusqu'à ce que je sente mes couilles taper contre le gode. Il me pénètre avec le petit gode tandis que le plus gros est encore dans mon cul. La sensation est assez bandante. Puis il prend un autre, de 25x4. Il introduit le gland du gode. Le reste glisse tout seul.
- Ton trou est habitué aux grosses bites ! On va voir si celui-là rentre aussi bien.
Je vois alors le gode le plus énorme que j'ai jamais vu ! 30cm de long et 8cm de large. Il insère le gland dans mon trou mais la douleur m'envahit déjà. Je me retourne et je vois Abdel, bite à la main, cuisses écartées, en train de prendre son pied tandis qu’il enfonce le faux pénis dans mon cul. Les dents serrées, le souffle coupé, je me dis alors que le plus dur est passé. Il continue d’enfoncer lentement le gode. Je cris de douleur :
- Arrête, j’ai trop mal !
- C’est pas toi qui décide, salope ! Tu obéis et tu fermes ta gueule !
Il continue de pousser lentement et je tâte le gode... je peux sentir que la moitié est dans mon cul. Je le sens en moi et je suis certain qu’il n’ira pas plus loin, mon trou est trop serré. Il continue pourtant, il force, le gode rentre un peu plus. Heureusement qu’il prend son temps pour que je m’y habitue. Je sens alors le gland du gode buter en moi, je pense qu’il est impossible d'aller plus loin. Abdel semble bloquer. Mais le gode plonge encore plus dans mes entrailles. Et au bout de quelques minutes, me voilà empaler sur le gros gode dont je sens le gland encastré dans mon ventre. Abdel le retire après quelques minutes. J'ai l'impression que tout l'intérieur de mon ventre se retire avec lui. Mon cul est largement ouvert.
Et d’un coup, il m’enfonce sa queue en entier, brutalement. Il commence alors ses va-et-vient. Il tape fort ! Puis ses gros bras musclés m’entourent et il me soulève comme si j’étais une brindille, sa queue toujours en moi. Il ouvre le balcon et me pose sur une table et il recommence de me baiser. Il me chuchote à l’oreille :
- Je veux te baiser ici pour que tout le monde voie que tu m’appartiens, que tu es ma petite pute !
Il doit aimer l’exhibitionnisme, il me pine comme un malade. Après quelques minutes, il me prend dans ses bras et me retourne, dos sur la table, et il m’envoie de gros coups de butoirs. J’entends le claquement de sa peau contre la mienne. Il ressort de mon trou, il se couche sur la table, je le chevauche. Je m’embroche sur son manche face à lui et je fais des va-et-vient dessus. Je me cramponne à ses gros pecs, je le touche partout, je kiffe son corps. Il me fait signe de changer de position. Je me mets vite sur le dos et il se trouve maintenant au-dessus de moi et sa queue se positionne devant mon trou dont il trouve l’entrée très vite.Il recommence à me défoncer. Pendant 20 minutes, il me baise comme un fou. Il se déchaine. Je suis sur le dos et je sens bien sa queue taper tout au fond de moi et ses grosses couilles bien remplies me frappent sans arrêt le cul et font ce bruit spécifique que j’adore… Les poils de ses couilles, que je sens à chaque mouvement, me frôlent le cul… j’adore cette sensation.
Des signes de sa jouissance apparaissent, sa queue grossit encore, il se met à souffler fort. Puis il pousse un râle et me jute dans le cul. Je sens le liquide chaud en moi qui sort de ses énormes couilles poilues. Je n’en reviens pas… Je sens comme sa queue pulse les jets de sperme dans mon trou. C’est tellement fort… Je compte bien 7 ou 8 jets. Je commence à me branler pour jouir. Des jets impressionnants de sperme viennent s’écraser sur mon torse, preuve que j’ai aimé cette baise. Il sort sa queue de mon trou et immédiatement un flot de jus suit et jaillit hors de mon cul. Il m’a vraiment bien fécondé.
Il me relève, je vois alors des voisins qui sont derrière leur fenêtre en train de se branler... Abdel me dit :
- Peut-être qu’un jour je te livrerai à l’un d’eux. Suis-moi.
Il m’entraine dans sa chambre, me pousse sur son lit, se met à côté de moi... et il me prend dans ses bras. Je ne m’y attendais pas ! C’est la première fois qu’il se montre tendre et câlin envers moi. Il m’embrasse délicatement. Ses lèvres sont charnues et chaudes.
- Tu as réussi le test d’aujourd’hui. Tu es officiellement ma petite pute. A partir de demain, tu t’installes chez moi et tu seras à ma disposition... tu m’appartiens maintenant !
Je le regarde, surpris, ne sachant que penser de ces instants « après-baise ».
Suite au prochain épisode.
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant la suite. Merci à Antoine pour ses idées. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
A bientôt pour la suite de l’histoire avec Abdel.
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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