Mon parrain

Chapitre 8

Fini l’idylle entre mon parrain, Richard, et moi : Romain et Jonathan, les deux fils de Richard, ont débarqué plus tôt que prévu dans la maison de vacances familiale. Lui et moi avions décidé de passer les vacances ensemble, comme tous les ans, dans sa maison au bord de la côte Atlantique, à Royan. Certes, je dois bosser car j’ai mon mémoire à finir pour valider la fin de mes études mais je voulais profiter de la mer pour me changer les idées... et de Richard, mon beau parrain en instance de divorce que j’ai surpris un jour en train de se branler. Après nous être branlés ensemble, nous avons cédé à la tentation et nous avons fait l’amour. Et depuis, nous vivions des instants magiques. Il semblait complètement revivre. Je bossais, on allait à la plage, on cuisinait ensemble... et on baisait souvent ! Mais la venue de ses deux fils a changé la donne. On a essayé de faire l’amour discrètement mais j’ai surpris Romain qui nous observait en train de baiser. Les deux frères m’ont fait du chantage, ils m’ont baisé et ils m’ont rempli. Et depuis, dès que Jonathan, Romain et Richard ont une minute de libre et se sachant pas observer, ils viennent dans ma chambre et ils me baisent. J’ai sans arrêt le cul rempli et explosé par ces bites exceptionnelles. Je dois avouer que cette situation épuisante m’excite. Je me donne corps et âme à tous, en raison de l’amour que je porte à mon parrain, afin que le divorce avec son ex-femme lui soit le moins difficile possible... Mais un jour, Romain a capté que je baisais toujours avec son père. Il était furieux. Il m’a alors voulu me punir : il ne dirait rien à mon père si j’acceptais de servir de vide-couilles à ses potes. J’ai accepté. Il m’a livré à son frère et à 4 mecs. Mais on s’est fait surprendre par Richard qui a viré tout le monde et qui a dit à ses fils et à moi qu’il fallait qu’on parle...

Richard ferme la porte d’entrée quand tous les copains de Romain sont sortis. Il revient, il est furieux :

- C’est quoi ce bordel ?!

- Laisse-moi t’expliquer, commencé-je...

- Je croyais qu’on vivait quelque chose de fort ! Mais apparemment pas ! Je te suffis pas ! Tu dois faire la pute avec tous les mecs de la ville ?

- Non, Richard ! Je l’ai fait par amour pour toi !

- Tu te fous de moi !?

- Papa, nous ne savions pas que vous aviez une relation, commence Jonathan.

- Richard, ne les crois pas, crié-je ! Ils m’ont fait du chantage. Je devais leur servir de vide-couilles sinon ils allaient tout révéler à ton ex-femme !

- Je crois rêver ! C’est vrai, Romain ?

- Pourquoi moi ?, s’écrie-t-il

- Car ce genre de chantage, c’est bien ton style !

Et à mon plus grand étonnement, Romain dit :

- Oui, c’était mon idée ! Je savais bien que si maman apprenait ça, elle gagnerait le divorce. Et surtout si elle savait que tu es homo, ça changerait le cours procès, il me semble...

- J’aurais jamais cru que tu étais comme ça, mon fils. Je suis déçu.

- Et attends... tu restes encore une semaine, c’est ça ! Donc Nico aussi ?

- Oui, dis-je, assez mal à l’aise.

- Jonathan et moi ne dirons rien à maman. A une condition !

- Laquelle ?

- Que tu mettes le cul de Nico à disposition. On le baise quand on veut, où on veut. Après, ce que vous faites, je m’en fous.

- Vous délirez ! C’est pas un morceau de viande ! J’aime Nico !

- Papa, on vous laisse en parler. Tu as jusqu’à ce soir pour me faire connaitre votre décision. Mais garde bien une chose en tête... Si maman vient à l’apprendre...

Les deux fils de Richard sortent. Il hurle :

- Quels petits connards ! C’est quoi ça ? Vous croyais que vous allez me prendre en otage ?

Je le regarde droit dans les yeux et je lui dis :

- J’ai fait ça par amour pour toi. Ils m’ont fait aussi du chantage et je ne voulais pas que tu découvres que je baisais avec eux... Je ne voulais pas te faire de mal.

- Je le sais, mon Nico.

Il m’embrasse et il me prend dans ses bras.

- Richard, tu n’as pas le choix.

- Je sais...

Le soir, au repas, mon parrain fait savoir à ses fils qu’il est d’accord. Le pacte est scellé : ils peuvent m’utiliser comme bon leur semble pendant une semaine et ils ne diront rien à leur mère. Romain s’écrie :

- Très bien ! Nico, suce-moi !

Je regarde mon parrain, exaspéré. On est en train de manger... Il me regarde avec un air honteux. Mais il ne dit rien. Alors, je m’exécute. Je passe sous la table. J’ouvre la braguette du pantalon de Romain et j’en sors sa queue qui bande déjà. Il a une grosse bite de 21 cm. Elle est large et courbée vers l’avant. J’arrive à peine à fermer ma main autour. Elle est parcourue de grosses veines et elle est pourvue d’un petit gland bien rouge. J’enfonce le gland dans ma bouche et je me mets à le sucer. Jonathan ouvre alors son pantalon et il se branle. Quels cochons ! Ils font ça ouvertement devant leur père.

Romain me prend la tête dans ses mains et il se met à me faire faire des allers-retours sur sa bite. J’arrive à lui faire des gorges profondes et il bloque bien ma tête. Il gémit fort, comme s’il voulait énerver son père. Il se sert de ma gorge comme d’un sex-toy.

Je m’occupe de lui ainsi pendant 10 minutes. Sa jouissance approchant, il accélère le rythme. Il gueule et il plaque sa bite au fond de ma gorge et je la sens gicler. Ma gorge se retrouve inondée par de nombreux jets de sperme qui giclent directement dans mon œsophage. Quand il a fini de jouir, il prend ma tête et il la met directement sur la queue de son frère. Il a une queue fine et longue, dans les 20 cm avec un gros gland. Il a des couilles assez petites et poilues.

Romain guide les allers-retours de ma tête sur le chibre de son frère. Il lui faut 5 minutes pour décharger dans ma gorge. Il gémit fort et là, c’est l’explosion ! Sa bite durcit de plus en plus, puis elle se contracte. Il me crache son jus dans ma bouche. Ses jets sont assez puissants et ils frappent le fond de ma gorge. Je subis son déluge de sperme. Il jute pendant bien 20 secondes de nombreuses giclées que j’essaie d’avaler au fur et à mesure... ce que je n’arrive pas à faire. Un peu de sperme coule de mes lèvres et va tapisser mon menton et ses couilles. Le flot de jus finit par s'arrêter.

Je me relève, et je me rassois. Je n’ose pas regarder mon parrain dans les yeux. Mais il me semble remarquer que son pantalon est gonflé. Est-ce que la scène lui a fait de l’effet ?

On mange. A la fin du repas, Romain me dit :

- Tu porteras à partir de maintenant un short sans caleçon. Je veux avoir accès à ton petit cul n’importe quand.

Je vais me coucher tôt, épuisé par les évènements de la journée. Et je ne serai pas dérangé de la nuit.

Le lendemain, je bosse un peu sur mon mémoire. Je ne suis heureusement pas dérangé. Puis, je vais vers 11h dans la cuisine pour aider mon parrain. On prépare le repas ensemble. A un moment, Romain entre dans la cuisine, il me plaque contre la table, il baisse mon short et il enfourne sa teub dans mon trou, directement, à sec, d’un trait. Il pose ses mains sur mes hanches et il se met à me baiser. Richard s’arrête de cuisiner et il regarde la scène. Quand l’eau déborde, il se remet aux fourneaux tout en nous jetant des coups d’œil de temps en temps.

Romain me baise sauvagement. Sa bonne teub m’écarte bien les chairs et tape contre le fond de mon cul. Il se déchaine en moi, m’utilisant comme son jouet sexuel. Son pubis tape contre mon fessier et le fait bien trembler. Il ne marque pas de pause. Il veut tout simplement jouir dans son jouet. Et au bout de 10 minutes, il gémit, il se bloque en moi et il me dose. Une dizaine de jets viennent frapper le fond de mes intestins. Il reste quelques secondes sans bouger puis il se retire. Un torrent sort alors de mes entrailles et va éclabousser lourdement le sol. Il me montre son jus et je lèche tout ce qui est tombé par terre. Romain sort de la cuisine, nous laissant continuer la préparation du repas.

L’après-midi, lors de ma sieste, c’est Jonathan qui entre dans ma chambre, nu. Jonathan a 20 ans. Il a un visage charmant et masculin avec des cheveux bruns, touffus et bien épais. Il est grand (près d’1,90 m). Il porte une barbe aussi bien épaisse mais bien entretenue. Il est large d’épaules et il est un peu enrobé. Il a un torse bombé et grassouillet avec de gros tétons et un ventre dodu. Son torse et le milieu de son ventre sont parsemés de poils noirs. Il a des bras et des cuisses assez musclés. Son pubis est recouvert de poils courts, frisés et noirs. Sa teub de 20 cm bande déjà.

Il vient dans mon lit... et il m’attire contre lui. Il enfonce ma tête entre ses seins et il me câline. Il se met à me rouler de grosses pelles. Je suis étonné par tout ça. Ses mains me caressent le corps et font glisser mon short pour me malaxer les fesses. Puis, sa main m’appuie sur mon épaule et je descends devant sa teub que je prends en bouche. Je la saisis et je la branle tout en la suçant. Je m’occupe de temps en temps de ses boules poilues puis je remonte vers sa queue.

Jonathan me fait ensuite remonter vers lui et il me roule une grosse pelle. Il est passionné. Il murmure :

- Tu me fais trop bander ! Tu es vraiment une belle salope !

Puis, il me retourne et il se met à me bouffer le cul. Je gémis. Sa langue me pénètre profondément pendant que ses mains massent mon cul et mon dos. Puis, sa langue remonter vers mon cou. Il le dévore tout en se frottant contre moi, sa queue au milieu de mon dos. Moi, je suis à plat ventre sur le lit. Puis, il reprend le bouffage de mon cul. Il remonte ensuite contre moi, il enfonce lentement sa teub dans mon anus et il se couche sur mon dos, ses mains agrippant mes hanches. Il se met à donner des coups de queue lents et profonds. Son souffle dans mes oreilles ainsi que ses 20 cm me font gémir fort.

Après 5 minutes, il se relève et il commence à me pilonner l’anus. Ses coups sont puissants, sauvages. Son gros ventre vacille et me cogne le dos. Puis, il se repose contre moi, il me lèche l’oreille et seul son cul bouge.

Quelques minutes plus tard, il sa cale en moi et il se vide dans mes entrailles. Je sens son corps, qu’il colle contre mon dos, pris de spasmes causés par l’orgasme et je sens aussi son jus se déverser en moi. Une grosse quantité de sperme m’envahit. Il se retire et son jus jaillit comme un geyser hors de mes entrailles. Il me donne un baiser furtif sur la bouche et il me met une fessée. Il sort alors de la chambre.

10 minutes plus tard, Romain entre et il se branle devant mes lèvres qui s’ouvrent automatiquement. Peu avant de jouir, il enfonce sa queue dans ma bouche et son jus envahit ma gorge. Je suis obligé de tout avaler. Il se retire et il sort sans un mot. Je m’endors vite, dégoulinant de sperme.

Le soir après le repas, Romain me dit de venir dans sa chambre : Jonathan et lui veulent me baiser. Tout en ricanant, il dit à mon parrain avant de quitter la pièce :

- Si tu as envie, tu peux venir mater.

Les deux frères se déshabillent et s’installent sur le lit. J’ai une belle vue sur leurs magnifiques queues. Romain est l’inverse de son frère. Il a 18 ans, il est roux comme son père. Il a des cheveux très courts, il a un visage fin et séduisant. Il n’est pas très grand et il est mince. Il a une peau très claire. Il est assez maigre. Une ligne de poils roux descend de son nombril jusqu’à son pubis qui est assez velu, rempli de poils frisés et roux. Il a de grosses couilles qui ont l’air bien remplies, avec des poils longs et roux. Ses jambes sont minces et parcourues de poils roux. Sa grosse bite de 21 cm est magnifique.

Je m’agenouille devant les deux mecs, je prends la bite de Jonathan en main tandis que je suce celle de Romain. Il ferme les yeux et il me laisse faire. Je fais des allers-retours plutôt lentement, enfonçant ses 21 cm toujours plus profondément dans ma gorge. Sa queue est bien tendue. Il se laisse sucer ainsi pendant environ 10 minutes. Son frère est à coté et je lui procure le même traitement. Je le suce avec plus de fougue. Il me caresse la tête et moi ses couilles.

Après 5 minutes, Romain se lève et je me mets à genoux devant sa queue. Je l’enfonce dans ma bouche et je le suce en faisant des gorges profondes. Sa grosse queue m’ouvre bien les mâchoires et elle va profondément dans ma gorge. Ensuite, Jonathan se place à côté de son frère et je me charge de sa bite. Je me mets à alterner les deux bites. Je suis comme un chiot qui ne sait pas où donner de la tête. Parfois, je tends ma langue et les deux jeunes mecs me tapent avec leur bite dessus. Parfois, je prends les deux glands dans ma bouche. Puis, je reprends ma suce. J’alterne toutes les 30 secondes de queue. Je m’en donne à cœur joie... je dois avouer que je commence à aimer qu’ils me traitent comme ça... et j’adore leurs grosses bites !

Puis, pendant que je garde la bite de Jonathan en bouche, Romain passe derrière moi et il me tâte le cul. Il mouille un doigt qu’il enfonce dans mon cul. Il s’écrie :

- Purtain ! Jo, il a gardé ton jus de tout à l’heure ! Salope !

Et d’un coup de reins sec, il s’enfonce dans mes entrailles. Il glisse en moi. Et il se met immédiatement à donner des coups de bite réguliers tout en agrippant mes hanches. Jonathan me caresse la tête, appréciant ma suce. Je me retrouve donc avec les deux trous utilisés.

Au bout de 5 minutes, Romain sort de mes entrailles et je remarque que sa queue est toute blanche. Il me la donne à nettoyer et à sucer. Jonathan en profite pour planter ses 20 cm en moi. Il se met à me baiser avec fougue. Il va bien profondément. Son gros ventre frappe mon cul. Jonathan sort au bout de 10 minutes et les deux frères se placent à côté l’un de l’autre et ils alternent très vite le pilonnage de mon cul, l’un après l’autre. Ils s’enfoncent en moi, ils me baisent sauvagement et ils sortent au bout d’une minute pour laisser la place au frangin.

Ensuite, ils se posent à côté l’un de l’autre sur le lit et je chevauche alors Jonathan. Je m’embroche sur sa bite et je me mets à faire des allers-retours sur son membre. Romain se met debout sur le lit, il me prend ma tête et il enfonce sa queue dans ma bouche. Il m’impose ses mouvements avec les mains. Après 5 minutes, il se remet sur le lit et moi je vais m’embrocher sur sa teub. Jonathan l’imite, il se lève et il me donne sa queue à sucer. Puis je chevauche de nouveau Jonathan.

A ce moment, Richard, mon parrain, rentre dans la pièce. Il s’assoit sur une chaise et nous regarde bizarrement... Ses fils sont en train de baiser son copain... Mais moi, je me sens mal. Je n’ai pas envie de ça. C’est comme s’il cautionné tout ça... Romain ricane et tandis que je fais des va-et-vient sur la bite de son frère, il me plaque contre le corps de ce-dernier. Soudain, je sens son gland me titiller l’anus. Il essaie de rentrer !

- Arrête, ça ne rentrera jamais !

- Ta gueule !

Et comme par magie, son gland glisse le long de la teub de son frère. Il pousse plus et le reste se met à rentrer. Moi, je me sens comme écartelé. Je crie un peu. Romain s’en fout. Il s’enfonce en moi. Il me pénètre, sa grosse queue écartant mes chairs comme jamais. Jonathan murmure :

- Romain, c’est fou de sentir ta bite coulisser le long de la mienne.

Romain ricane et il plante d’un coup le reste de sa teub. Il reste quelques secondes sans bouger. Et il se met à donner des coups de reins. C’est dément. Ma prostate se retrouve pressée. Je sens ses grosses couilles frapper celles de Jonathan qui me colle contre lui, les yeux luisants.

Il ne faut pas longtemps à Romain pour sortir de moi. Jonathan me fait relever et Romain me place sur le ventre. Il grimpe sur moi et il reprend son pilonnage. Richard s’approche alors de moi. Il me prend ma tête dans ses mains et il me murmure à l’oreille :

- Je t’aime, mon Nico. Tu peux pas savoir comment ! Je ne te remercierais jamais assez de te sacrifier comme ça pour moi.

Il me roule alors une grosse pelle tout en me serrant la tête dans ses mains. Romain quitte mon cul, Jonathan prend sa place et Romain bouscule son père :

- Laisse-moi passer, mon vieux, et regarde quelle pute elle est, ta petite salope !

Il enfonce sa queue dans ma bouche, il prend ma tête dans ses mains et il me baise sauvagement. Pendant ce temps, Jonathan a pris place dans mon cul et il me défonce aussi. Ensuite, ils échangent de rôle. Je remarque alors que mon parrain bande comme un fou... tout comme moi, je dois avouer.

Romain me saisit les hanches et il commence à me baiser à fond. Je sens bien sa bonne teub m’écarter les chairs et taper contre le fond de mon cul. Au bout de 5 minutes, il gémit, il se bloque en moi et il me dose. Une dizaine de jets viennent frapper le fond de mes intestins. Il reste quelques secondes sans bouger puis il se retire. Richard arrive et il me caresse la tête.

Jonathan prend la place de son frère, il récupère le sperme qui coule hors de mon trou et il reprend sa baise. Jonathan tasse le jus de son frère, ce qui a l’air de lui plaire. Il commence un lent va-et-vient. Il savoure ma chatte chaude et bien remplie. Puis, il se met à bien me défoncer. Il se donne à fond. Son gros ventre tape en cadence dans mon dos. Ses couilles rebondissent contre mon cul. Il adopte une cadence super rapide. Il est très endurant. Au bout de 10 ou 15 minutes, il me jute dans le trou. Je sens son sperme jaillir de sa queue et me remplir le cul. Son corps tressaille à chaque jet... Puis, il s’effondre sur mon dos. Il sort de mon cul qui dégouline des deux spermes. Il tapote sa queue contre ma raie, faisant tomber les dernières gouttes de sperme.

Je sors de la pièce, nu, suivi par Richard. Je vais prendre un rafraichissement dans la cuisine. Richard arrive alors derrière moi et il se met à me caresser le corps tout en déposant des baisers dans mon cou. Je veux le repousser, je ne veux pas qu’il me baise. J’ai l’impression que je lui en veux quand même de ne pas intervenir... mais bon... il n’a pas le choix. Ses bras m’enlacent et ses baisers deviennent plus pressants. Je lui dis alors d’arrêter. Mais il continue. Il me caresse le ventre, puis le dos et enfin le cul. Il se baisse et il passe ses mains sur mon dos, sur mes fesses qu’il se met à embrasser. Il remonte, m’embrasse, puis redescend pour me faire un anulingus. Le cochon avale le sperme de ses fils.

Finalement, il se relève, il fait descendre son short le long de ses cuisses et il m’embrasse dans le cou. Je sens dans mon dos sa queue dressée qui se frotte contre moi. Je jette un coup d’œil derrière moi et je remarque qu’il est nu. C’est quand même un bogoss :

Il a 45 ans, d’épais cheveux roux avec une barbe fournie. Il est de stature et de taille normale. Son corps est imberbe, seul son ventre est couvert de poils roux. Sa peau est très pâle. Son pubis et ses couilles sont aussi très poilues. Il a un long prépuce mais qui est décalotté et qui laisse voir sa belle bite de 19 cm ... une queue bien tendue avec un beau gland rose, bien gros.

Il saisit sa bite dans sa main et il l’enfonce en moi. Elle glisse dans le jus de ses fils ce qui semble lui plaire. Il se met à me baiser avec des coups de reins langoureux tout en m’embrassant dans le cou. Je sens son pubis velu rebondir sur mes fesses. Je suis penché sur le plan de travail et dans cette position, son gros gland masse ma prostate. Je sens ma bite gonfler et succomber à ce traitement macho. Après 5 minutes à me faire l’amour, il accélère la cadence, il me saisit les épaules et ses couilles poilues se mettent à rebondir contre mon périnée. Sa bite fait des « flocs », baignant dans le sperme de ses deux fils. Son gland a raison de ma prostate. Dans un cri incontrôlé, je jouis et je lâche plusieurs grosses giclées de sperme qui volent dans la cuisine.

Il lui faut encore quelques minutes pour se vider en moi. Il vient ajouter 3 jets à ceux de ses fils. Il se retire, je me relève et il m’embrasse. Nous allons dans sa chambre, il me prend dans ses bras et il s’endort vite. Moi, je reste éveillé, assez perturbé.

A suivre...

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