Premier épisode
Chapitre 2
Salut à tous,
Comme décrit dans le premier chapitre, je m’appelle Chris. Je suis étudiant en littérature, j’ai 22 ans. Je suis ouvertement gay, même si on ne le lit pas sur mon visage. Ma famille, mes amis, mes copains de fac, tous sont au courant. Je suis brun, j’ai les cheveux courts, je suis mince (mais pas du tout musclé, je ne suis absolument pas sportif), de taille moyenne et un peu poilu. Mes poils commencent à partir du nombril et partent en une ligne bien noire pour plonger dans mon pubis assez velu. Mes jambes sont aussi recouvertes d’une toison noire et soyeuse. Je suis actif et passif, j’adore la baise, même si mon côté timide m’empêche de draguer ouvertement les mecs.
Depuis quelques semaines, je vis dans une collocation avec 5 beaux mâles : ils sont tous plus grands et plus musclés que moi, certains plus minces, d’autres plus corpulents. Mais ils sont des aimants à filles. Ils se font sans arrêt draguer. Moi, bien sûr, je fais tâche à côté d’eux avec ma carrure de gringalet. Il y a Nicolas, Damien, Ensar, Roy et Patrick. Un jour, Damien, que j’avais déjà pris en flag en train de baiser sa copine, m’a dragué et m’a baisé en me disant qu’il avait envie de moi car il m’avait vu sur Grindr. Après la baise, il m’a confié que tous les mecs de la colloc’ m’ont vu sur le site et qu’ils ont apparemment tous envie de moi...
Trois jours après la baise avec Damien, je reste toujours sur ma faim. Personne ne m’a abordé, alors que je croyais qu’ils avaient tous envie de moi. Damien fait comme si rien ne s’était passé. Il me parle comme à un pote. Il n’a pas essayé de me séduire une nouvelle fois. Entravé par ma timidité maladive, je n’ose rien entreprendre. J’ai bien essayé de chercher les mecs de ma coloc sur Grindr, mais ça n’a rien donné. Donc je continue de fantasmer sur ces mâles bourrés de testostérone. J’essaie cependant de me faire une raison.
Le samedi suivant, on sort tous ensembles en boîte. L’alcool coule à flot, les mecs se font draguer par les meufs. Certains partent plus tôt que nous pour aller tirer leur coup. Mais personne ne tente une approche. On rentre vers 4h du mat’ et je vais me coucher, frustré.
Le lendemain, je me lève vers 13h et je vois Nicolas dans la cuisine. Il me sert un café et je lui demande :
- On est les seuls qui sommes levés ?
- Non, Cendrillon, tu es le dernier à t’être levé. Aidan et Roy ne sont pas rentrés, Damien est sorti avec sa copine et je ne sais pas ce que Patrick fait. En tout cas, il est parti aussi.
Je ne préfère pas lui faire remarquer que ce n’est pas Cendrillon qui avait dormi pendant des années mais bien la Belle au bois dormant... Enfin bref. Je l’observe et je me dis qu’il ne peut pas tout avoir... être intelligent et être un pur bogoss. Je me mets à sourire. Il me demande ce qu’il y a. Je secoue la tête et je continue de boire mon café. Puis je l’observe : c’est vraiment un mec super canon. C’est un brun ténébreux au regard envoûtant. Il est grand, il a des cheveux mi-longs, des yeux verts. C’est un vrai macho, il sait qu’il est beau et il en joue. Par contre, je l’ai vu hier soir dragué des filles, comme à son habitude, il était très charmeur et très doux à la fois... ce qui ne l’a pas empêché d’aller tirer un coup vite fait aux toilettes.
Je finis de boire mon café d’une traite et je me dirige vers la salle de bain. Je me déshabille et je vais dans la douche. Je savoure l’eau qui coule sur mon corps. Je dois dire que j’ai mal à la tête, suite à la quantité d’alcool assez impressionnante que je me suis envoyée. Mais je me rends compte que l’eau chaude me fait du bien et qu’elle commence à réveiller ma queue qui se met à gonfler. J’ai les yeux fermés et je passe en même temps ma main sur mes couilles et le long de ma bite.
Tout à coup, je sursaute ! Je me retourne et je découvre Nicolas, tout sourire qui me touche le cul. Il s’est glissé en catimini dans la salle de bain et il s’est approché de moi pour me frôler les fesses. Je le regarde, surpris et il me dit :
- Tu veux pas t’occuper un peu de moi ? J’ai cru comprendre que Damien avait bien aimé ton petit trou...
Je le regarde, médusé, et je reste muet. Il se déshabille et je découvre son magnifique corps mince qui est musclé sec. Ses pectoraux sont bien dessinés, tout comme ses abdos. Ses bras sont aussi musclés avec des veines traversant les biceps. Son torse est recouvert d’un beau duvet de poils noirs, tout comme son pubis. Par contre, il a de grosses couilles rasées. Il a un beau morceau entre les jambes qui me laisse sans voix. Sa queue est presque noire et elle pend bien entre ses jambes. Elle est longue et épaisse, circoncise avec un gland rosâtre. Elle est plaquée sur les couilles dont elle en épouse la forme. La dernière partie pend mollement dans le vide, à la verticale. Le gland est vraiment gros.
Il me regarde avec un regard de défi et il commence à se toucher la queue qui se met à gonfler. De sa main libre, il continue de me caresser le cul. Sa bite prend du volume et elle se met à l’horizontale puis elle se lève et se met presque à la verticale contre son ventre. Le morceau est énorme : il est très épais, sa main ne peut en faire le tour ... et il est long : il doit bien faire 26 cm. Sa queue se dresse comme une poutre devant ses abdos. Il la plaque contre son ventre et elle arrive presque sous son torse. Ne pouvant résister, je me retourne et je prends sa queue en main. Je m’accroupis et je me retrouve avec cet anaconda devant le visage. Je me rends compte alors comment son gland est énorme, gonflé ! Sa teub est magnifique ! Je n’aurais jamais cru qu’il avait une telle bête entre les jambes ! Je le regarde dans les yeux, il se mord les lèvres. Ne pouvant résister à son regard, je prends délicatement son gland en bouche que je lèche longuement. Sa queue se tend encore plus. Je descends lentement puis je fais des allers-retours, allant toujours plus loin sur son chibre. J’ai la mâchoire explosée mais je supporte... Je monte et je descends sur son morceau puis je vais lécher de nouveau ses belles couilles. Ensuite, je remonte et je m’occupe de sa bite. Je descends de plus en plus loin dessus. Il me caresse toujours la tête. Je m’applique, voulant donner le meilleur de moi-même à ce beau mec. Ensuite, je prends ses couilles à pleine main... Elles ont l’air de nouveau bien remplies ! Je le masturbe tout doucement de l’autre main. Il se laisse faire, il me caresse la tête.
- Suce-moi, tu me rends dingue !
D’un coup, j’engloutis sa bite en entier dans ma bouche, sa bite rentre jusqu'aux couilles et je reste quelques secondes au fond, appréciant que mon front soit collé contre ses abdos.
- Putain ! Tu la prends bien au fond, ma grosse queue !
Je la ressors puis je commence à le suce, la moitié de la queue dans la bouche, tout en le branlant. Par moment j'accélère, puis je ralentis. Il passe ses doigts dans mes cheveux ou il me caresse les épaules.
- Tu fais ça trop bien !
Je le regarde. C’est vraiment un bogoss ! Mes mains ne peuvent alors s’empêcher de caresser ses abdos et ses pecs. J’ai du mal à croire que je plaise à un mec comme ça ! On ne joue pas dans la même catégorie !
Au bout de quelques minutes, il me fait me lever, il me retourne, il se met à genoux devant mon cul et il me fait écarter les cuisses. Il soulève mes fesses et il caresse mon trou. Ses doigts jouent avec mes poils et ils parcourent ma raie. Il pose sa langue dessus et le dévore. Il alterne léchouilles de ma rosette et pénétration avec sa langue. Je souffle fort de plaisir.
Puis, il me plaque contre le rebord du lavabo, le cul bien cambré. Son gland titille ma rosette. Il écarte mes fesses et son gland s’introduit lentement dans mon anus. Je me dis que ça n’entrera jamais. Son gland est si épais qu’il n’entre pas en entier dans mon trou... Il a vraiment du mal à passer. Je crie de douleur mais son gland finit par rentrer. Maintenant, il fait doucement et il s’enfonce lentement dans mes entrailles. Je sens son gland m’ouvrir les entrailles comme un éperon. Je n’ai pas vraiment mal mais je sens son morceau passer. Je prends une profonde inspiration et j’essaie de me détendre. Nicolas s’enfonce toujours plus en moi. La descente semble interminable. Et sur les derniers centimètres, il donne un coup sec et je me prends tout dans le cul. J’en ai le souffle coupé. Il reste comme ça quelques secondes. Puis il se met à bouger. Quelle sensation incroyable ! Quelle bite !
Il commence à faire des allers-retours lents. Il y va doucement et il me caresse le dos. Je sens ses couilles frapper mon périnée et mes cuisses... Elles se balancent sous sa bite tendue. Il entame des petits va-et-vient qui me font couiner. Je me sens rempli, écartelé. Il me baise avec douceur. Il se met à aller un peu plus vite et je sens ma prostate bien massée. C’est un super baiseur, je prends vraiment mon pied.
- Putain, t’as un trop bon cul ! Ton petit trou est trop serré ! Trop bon ! Tu sens ma grosse queue en toi ?
- Oh oui, elle est trop bonne !
En effet, je sens bien sa queue me pénétrer et ses couilles me frapper le périnée. Je ressens bien mes chairs dilatées et sa bite enfouie dans mon cul. Au bout de 5 minutes, il me dit :
- Viens, on va sur mon lit.
Je me sèche, nous allons dans sa chambre et il me place sur son lit, en levrette. Il m’empale sur sa queue et reprend sa baise. Il pose ses mains sur mes hanches et il me pénètre lentement en donnant de grands coups de reins profonds et puissants. Il me lime le cul pendant bien 1 heure. Je ne cesse de répéter : « C’est trop bon ! », « Oui, vas-y, baise-moi ! », ... Puis il alterne entre coups rapides, où sa queue sort de moi pour re-rentrer aussitôt, et coups sauvages et profonds. Je ne ressens aucune douleur, ce mec me baise super bien. C’est un dieu du sexe !
Puis, il me fait mettre sur le dos et il reprend une baise lente et sensuelle. Son corps est collé contre le mien, son regard plongé dans mes yeux. Je meurs d’envie de l’embrasser mais je n’ose pas. Son regard est plein d’envie et de bestialité... mais aussi de sensualité. Ses mains sont posées sur mon torse. Je sens ses couilles aller et venir, me caressant le cul. Puis, il accélère la cadence, son regard est maintenant celui d’une bête en rut, j'adore. Il saisit mes chevilles et il se met à me défoncer bestialement. Il me baise sauvagement, moi je crie de bonheur. Ses coups de reins violents font trembler tout mon corps. Je sens ses couilles qui fouettent mon cul. Il m'encule de toutes ses forces pendant de longues minutes. Il grogne ... J’ai l'impression que sa queue prend encore du volume. Il agrippe bien mes chevilles, il va toujours plus vite et enfin, il gueule : grâce à la jouissance, je remarque sa queue pomper. De nombreux jets submergent mes entrailles, au moins sept ou huit jets puissants.
Quand sa queue sort, un flot de sperme coule hors de mon cul. Je nettoie consciencieusement sa queue qu’il a présenté devant ma bouche : je ne veux pas gaspiller la moindre goutte de sperme. Puis je la laisse tomber, pendante, entre ses jambes.
- Putain, ça fait longtemps que j’ai pas joui comme ça ! T’es trop bon !
Je sens toujours la chaleur de son sperme en moi. Je me branle alors et je jute de grosses flaques de sperme sur mon ventre. Il s’écroule sur le lit. Il s’endort. Je me lève, je vais dans la salle de bains et je reprends une douche. Une heure plus tard, alors que je suis en train de regarder un film sur Netflix, il arrive et me dit :
- C’était super ! J’ai adoré... Et toi ?
- Oui, moi aussi, c’était génial.
Il sourit, je le trouve trop craquant. On est interrompu par Aidan qui rentre. Il se pose directement à côté de moi et il se met lui aussi à regarder le film. Nicolas me sourit et retourne dans sa chambre. Ma queue frémit d’envie rien qu’en repensant à cette baise...
A suivre...
Merci à Chris pour ses idées.
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire réelle. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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