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Comme je vous l’ai raconté dans les sept premières parties, je suis parti faire du camping dans les Pyrénées avec mon meilleur ami, Paul. Il est marié mais nous sommes partis seuls en vacances pour profiter de la montagne, chose qui n’est pas du goût de sa femme. Nous avons démarré à Cauterets et avec pour but ultime le Pic du Midi. Un soir, tout a dérapé. Paul m’a avoué son amour pour moi, nous nous sommes embrassés, il m’a baisé tendrement et nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre. Et pendant ces journées de randonnées, nous n’avons pas arrêté de faire l’amour. Malheureusement, ces jours magnifiques et intenses ont pris fin quand sa femme nous a récupérés. Après une petite dépression, j’ai essayé de reprendre goût à la vie. Mon chef m’a envoyé pour un stage de 2 semaines à Nantes... où mon Paul habite ! Je l’ai contacté et derrière le dos de sa femme, nous nous sommes envoyés en l’air... et pas qu’une fois ! On a baisé ensemble dès qu’on pouvait : après le boulot, le week-end, après le sport. Mais sa femme n’était pas contente que son mari soit si souvent absent... et Paul a utilisé cette situation pour offrir un week-end entre copines à sa femme tandis que lui voulait s’occuper des enfants... et on en a profité pour baiser ensemble toute la nuit.
Le lendemain, Paul et moi nous levons quand nous entendons les petits faire du bruit dans leurs chambres. On prépare le petit-déjeuner et étant donné qu’il fait beau, on décide de partir à l’océan. Nous passons la matinée sur la plage puis nous allons manger dans un bon restaurant sur la côte. Puis, vers 14h, nous rentrons.
Quand nous arrivons, nous sommes surpris de trouver Natalie dans l’appartement. Nous couchons les enfants pour la sieste et nous nous asseyons devant un bon café. Je demande à Natalie :
- Comment s’est passé ton week-end ?
- Bien.
- Tu es rentrée plus tôt. Y a-t-il eu un souci ?
- Oui.
- Ah ok.
Je ressens un certain malaise, ses réponses sont lapidaires et sèches. Paul lui demande :
- Ça va ?
- Bof...
Nous nous taisons. Puis elle reprend au bout de quelques minutes :
- Nico, tu peux nous laisser s’il-te-plait ? Il faut que je parle à mon cher et tendre.
- D’accord.
Je remballe mes affaires et je me mets en route. Je stresse un peu, me demandant si elle a remarqué quelque chose.
Le soir, je décide d’envoyer un message à Paul. Pas de réponse. Il se manifeste seulement le lendemain. Il me demande tout simplement par message s’il peut passer après le boulot. Je lui dis de venir.
Il arrive vers 18h. Quand il entre dans la pièce... il se précipite sur moi et il me roule une grosse pelle. Je suis surpris... mais ravi ! Je lui rends ses baisers endiablés. Puis, il me retourne et il me prend dans ses bras et il se frotte contre moi. Je sens une barre bien dure contre ma raie et il l’y frotte avec envie. Pendant ce temps, il me caresse ma teub encore prisonnière de mon pantalon. Elle prend tout de suite du volume. Il me retourne, il m’embrasse puis il descend vers ma braguette qu’il ouvre et d’où sort mon morceau. Il prend mes 17 cm en bouche et il commence à les sucer. Il me fait des gorges profondes.
Puis, il se relève et il me déshabille. Mes vêtements volent au travers de la pièce. Il me pousse alors sur le lit, il ôte ses habits aussi et il se jette sur moi.
Paul fait 1,80m, il a des cheveux bruns, crépus et très fournis, le teint mat, des épaules assez larges. Il porte une barbe de 3 jours. Il est baraqué, avec de beaux « seins » fermes et un ventre rond un peu prononcé. Ses poils sombres recouvrent entièrement son corps. A partir du pubis, ils remontent pour traverser le ventre et vont se perdre dans la masse de poils qui recouvrent son torse. Il est tout aussi poilu sur ses jambes massives. Ses bras puissants sont aussi recouverts de poils, des épaules jusqu’aux doigts. Sur le pubis et les couilles, il a des poils très sombres et très épais. Ses tétons sont énormes et roses. Sa bite est de taille moyenne, très brune, avec un gland rose, le tout surmontant ses grosses boules brunes et poilues. J’adore aussi son cul poilu, bien bombé, bien rond, bien ferme.
Il se penche au-dessus de ma bite et il la reprend en bouche. Puis, il remonte vers moi et il m’embrasse fougueusement. Sa langue joue avec la mienne. Je sens sa bite contre mon ventre. Au bout de quelques minutes, il me fait lever les jambes et il plonge sa langue dans mon anus. Il me broute le fion comme il en a le secret. Je gémis fort. Mes cuisses plaquées sur mon torse, il se penche sur moi et il m’embrasse. Je sens son gland qui titille ma rosette... puis je le sens me pénétrer lentement. Petit à petit, sa queue entre entièrement en moi... et quand je me retrouve avec ses boules plaquées contre mon cul, il se met à me faire l’amour.
Il est tendre et sensuel. Je sens son gland bien gonflé qui me masse la prostate. Il se met à augmenter le rythme tout en m’embrassant et en me répétant... « Je t’aime ». Je lui murmure que je l’aime aussi. Au bout de 5 minutes, il sort de mon cul et il engouffre ma teub dans sa bouche. il me suce à fond... et tout d’un coup, il monte sur le lit et il s’empale sur ma bite. Ma queue arrive au fond de ses entrailles... et il se met à me chevaucher. Son petit trou serré me fait du bien. A un moment, je lui fais relever le cul, il reste immobile et je commence des va-et-vient lents, enfonçant ma bite bien loin dans son anus... ce qui le fait hurler de plaisir. Puis, j'accélère la cadence. Il crie de plaisir. Je suis tellement chaud que je me mets pas longtemps à jouir dans son cul. Il gémit sous l’effet de ma bite qui pulse le jus hors de ma queue.
Il se relève, son cul dégoulinant de sperme. Il enfonce sa bite dans mon trou et il recommence à donner de légers mouvements. Je lui dis :
- Paul... Vas-y ! Baise-moi !
Il entame alors de grands mouvements de reins profonds et puissants. Je me sens défoncé. Je gueule de plaisir, malgré ma jouissance. Je gémis à chaque coup de reins. Il me pilonne à fond. Tel un animal, il me baise sans répit. Il accélère toujours plus le rythme, mais il ralentit aussi par moment, sortant sa queue entièrement de mon cul avant de l’y renfoncer aussitôt pour reprendre une cadence endiablée. Il se penche sur moi, il m’embrasse à pleine bouche tout en continuant son pilonnage. Il me baise à fond la caisse. Malgré ma jouissance, j’apprécie son traitement. Ses coups de bite sont brutaux, ses cuisses rebondissent contre mon cul qui tremble d’excitation. Son ventre vacille sous ses assauts.
Après 10 ou 15 minutes, il murmure :
- Je vais te remplir !
- Oui, vas-y, bébé, donne-moi ton jus !
Ses assauts deviennent encore plus sauvages et dans un ultime coup de reins, je sens mon cul se remplir de son sperme brûlant et liquide. Je compte 8 salves qui m’envahissent.
Quand il ressort, je me précipite sur sa bite que je lèche pour avaler tout le sperme resté dessus tandis que nos culs dégoulinent de notre semence respective. Nous restons pendant quelques minutes sur le lit, terrassés par ces instants jouissifs.
Il m’entraine alors sous la douche et je me mets à le savonner. Mes doigts passent entre les poils de son magnifique corps qui est bien dodu. Je savoure cet instant. Je passe ma main dans les poils de son pubis puis je nettoie bien sa queue toute molle. Puis ma main passe dans son cul.
Il me savonne aussi et nous allons ensuite dans la chambre. On se pose sur le lit, je le prends dans mes bras... et Paul se met à pleurer.
- Qu’y a-t-il, bébé ?
- Il faut que je t’avoue quelque chose.
- Quoi, demandé-je, avec un peu de peur dans la voix.
- Natalie a tout découvert (je reste silencieux, il continue). Quand elle est rentrée hier, elle a vu que les draps du lit étaient recouverts de nombreuses petites tâches marron... et les draps sentaient le sperme.
Alors, il se tait et il pleure à chaudes larmes. Je le prends dans mes bras, présageant ce qui va suivre. Paul reprend au bout de quelques minutes :
- Elle a tout compris. Elle a tout de suite demandé si on couchait ensemble. Je n’ai pas pu lui mentir. J’ai tout avoué. Elle a répliqué qu’elle s’en doutait. Et elle m’a demandé de prendre une décision... (je le regarde intensément). Nico, c’est la dernière fois qu’on se verra. Natalie ne veut plus que tu voies nos enfants... et nous allons couper les ponts.
- Quoi ?, m’écrié-je C’est elle qui t’as demandé ça ? Tu cèdes à son chantage ?
- Oui. J’aime mes enfants par-dessus tout et je ne veux pas la perdre... ce qu’elle m’a bien fait comprendre si je choisissais l’autre voie.
- Si tu me choisissais moi, c’est ça ?
- Oui !
- Je ne l’aurais jamais cru comme ça.
- Elle a aussi été très déçue... toi, notre témoin de mariage...
- Tu n’as pas pris ma défense ? Tu ne lui as pas dit que tu m’aimais ?
- Non... (et après une pause) Nico, c’est fini.
Paul se lève alors et il s’habille. Il me prend dans ses bras et il me serre de toutes ses forces.
- Nico ... je t’aime tellement !
- Alors reste !
- Non...
Il me roule une grosse pelle et je me laisse faire. Il se dirige vers la porte et il me quitte par ce baiser que je n'oublierai jamais. Il ferme la porte après avoir murmuré un « adieu » qui lui fend le cœur... et je ne le reverrai plus jamais. Je me mets alors à pleurer, une fois la porte fermée.
Mon stage arrive à son terme et je rentre chez moi quelques jours plus tard, le cœur lourd. Je garderai avec nostalgie ces instants merveilleux que j’ai passés avec Paul dans les Pyrénées... puis à Nantes. J’ai vécu des moments magiques et je mettrai un moment à passer à autre chose... Mais les plans culs sur Paris vont bien m’aider à tourner la page.
FIN
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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