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Chapitre 6
C’est au lycée que j’ai connu ma bande de potes. Il y a Giovanni et Stefano, deux italiens, Rachid et Alan, deux rebeus, Lucas, et moi, Nico. On s’est connu au lycée, on était dans la même classe. Dans notre jeunesse, on a fait les 400 coups ensemble, au lycée puis à la fac. Nous sommes inséparables. Les années sont passées, on a terminé nos études, on s’est marié, on a tous fondé une famille.
Et voilà, aujourd’hui, nous avons 50 ans. On a tous notre petit train-train (genre métro, boulot, dodo). Mais malgré tout, nous nous voyons souvent. On va assister à des matchs, on faisait partie de la même équipe de foot, on sortait dans les bars. Moi, je suis blond, les yeux bleus, un peu poilu, monté 17 cm. J’ai une femme, Aurore, et deux filles de 15 et 18 ans. Ma femme et moi avons une vie sexuelle plutôt calme. Nous habitons dans une grande maison dans la banlieue de Poitiers. Je travaille comme informaticien, ma femme est contrôleuse de train, ce qui fait qu’elle est souvent en déplacement. Mais je sors avec mes potes dès que j’en ai l’occasion. Je pensais tous savoir d’eux... jusqu’au soir où j’ai surpris Alan en train de sucer Rachid qui l’a ensuite baisé... ce qui semble m’avoir bizarrement excité ! Ça m’a bouleversé. Nous qui étions censés ne pas avoir de secret les uns pour les autres, j’étais attristé par le fait que mes deux potes rebeus nous cachaient des choses. Un soir, alors que j’étais seul chez moi, Giovanni est venu me voir, on a fumé un joint et on a fait des blagues à Alan puis à Rachid. Ce-dernier m’a envoyé plus tard un message, pensant que j’étais un de ses mecs rencontrés sur un site de rencontre. Il m’a envoyé des photos de sa bite... qui m’a fait de l’effet. Je l’ai finalement fait venir et nous avons baisé ensemble... Puis, c’est Alan qui m’a fait venir chez lui et qui a commencé par me rouler une grosse pelle avant que je le baise... Et quelques jours plus tard, Rachid et Alan m’ont attiré à une prétendue soirée entre potes durant laquelle on fait un plan à 3. A la fin, Alan m’a surpris en me déclarant son amour. Je n’ai pas eu le temps de répondre qu’il s’était déjà enfui… Trois semaines plus tard, je n’ai pas eu de nouvelles d’Alan... mais je me suis retrouvé séduit par un coéquipier de mon équipe de foot. C’est à ce moment-là que j’ai accepté ma bisexualité naissante. Et sans arrêt, une phrase prononcée par Rachid résonne dans ma tête : « Je suce presque aussi bien que Giovanni ».
J’échafaude depuis des semaines des plans pour confondre Giovanni et surtout pour voir s’il suce aussi bien que l’affirme Rachid. On a fait des sorties avec les potes mais soit Giovanni n’a pas réagi à mes questions ou remarques comme je l’espérais ou je n’ai pas osé passer à la vitesse supérieure.
Mais finalement, Giovanni m’appelle un soir pour me proposer de venir chez lui, étant donné qu’il est seul dans sa maison. Je sens alors que je vais pouvoir sauter sur l’occasion. Je comprends aussi qu’il veut fumer un joint, car on sera seul. On fume de temps en temps un joint ensemble depuis déjà la fac. A l’époque, on fumait de la beuh tous ensemble. Puis, la vie « sérieuse » a commencé et une grande partie de notre clique a exprimé son mécontentement quant à cette pratique (ou plutôt le mécontentement des épouses). C’est pour cela que Giovanni et moi fumons de temps en temps en cachette.
J’arrive chez lui et je vois qu’il a déjà ouvert une bonne bouteille de vin. Il me sert un verre. Il a l’air déjà bien éméché. Il sort un pétard de son pantalon et on se met à tirer une latte. On se met vite à planer. Détendu mais encore assez lucide pour mettre à exécution mon plan, je lui dis, taisant bien sûr le sexe de la personne :
- Il y a quelques semaines, après l’entrainement, j’ai fait une rencontre sympa. Une personne inconnue m’a abordé et m’a très vite charmé. Je l’ai alors laissé me sucer et je l’ai baisée comme une salope !
- C’est pas vrai ? Toi ! Tu te mets à devenir comme moi ?, dit-il en ricanant.
Giovanni est un charmeur invétéré et il baise toute ce qui bouge... Je croyais il y a encore quelques semaines qu’il se tapait que des meufs...
- Et toi ? Tu n’as pas baisé ces derniers temps ?
- Si, pas plus tard qu’hier. Ma femme était sortie. Un petite jeunette de 28 ans est venue et je l’ai prise dans toute la maison. Elle m’a bien sucé et je l’ai ensuite baisé comme une chienne !
Je remarque alors que Giovanni passe sa main sur son entre-jambe... tout en matant mon paquet que son histoire ne laisse pas indifférent. Je reprends, en souriant intérieurement :
- Ben vas-y, raconte plus en détails ! Tu l’as rencontrée comment ?
- Je l’ai connue dans notre bar habituel alors que je prenais un verre avec Lucas. Je l’ai vue, je suis allé lui parler et elle m’a donné son numéro. Je l’ai contactée et elle m’a envoyée des nudes. Tout de suite, j’ai eu envie d’elle et on s’est fixé rendez-vous.
Je vois alors que Giovanni se caresse l’entre-jambe, inconsciemment, en matant mon paquet, tout en me racontant tout ça.
- Et après ?, demandé-je.
- Elle m’a dit, une fois la porte d’entrée fermée, quelle voulait ma bite. « T’es une petite coquine, toi ! ». « Oui, je suis une grosse salope ! »
Il passe sa main sur ses couilles. Je remarque que son entre-jambe se met à prendre du volume. Quand il retire sa main, je vois bien que son paquet semble assez impressionnant. On tire sur le pétard et je sens que je suis excité à fond.
- Je l’ai alors retournée sans même l’amener dans la chambre. Je l’ai prise dans le couloir (pendant qu’il raconte ça, il passe sa main furtivement sur son paquet puis il la fait glisser sur son ventre qu’il caresse). Elle était plaquée contre le mur et je l’ai enculée ! Elle gémissait fort. Puis, je l’ai entrainée sur le canapé où elle s’est assise, elle m’a sucé puis j’ai baisé sa gueule.
Il me regarde alors, captant que je mate son paquet. Je détourne vite les yeux et il continue de raconter comme si de rien n’était, non sans avoir maté mon propre paquet.
- Je l’ai ensuite mis à quatre pattes sur le canapé et je l’ai enculée à fond !
- Tu l’as baisée sans capote ?
- Oui... Nico... Putain ! Regarde, à cause de toi, je bande !
- Ah merde !
- Mais attends ! Toi aussi ? Ça t’excite que je te raconte ça ?
- Oui, tu me fais bander grave avec ton histoire de baise !
M’entendant dire ça, il plonge la main dans son pantalon et il se met à se caresser le sexe et les couilles. Il continue :
- Je me suis ensuite assis sur le canapé et elle m’a chevauché... sans capote ! C’était trop bon !
Grâce à l’effet du joint, je l’imite alors et je plonge ma main dans mon caleçon... Puis, j’ouvre mon pantalon et je lui présente mon matos. Soudain, il se tait. Il admire ma queue.
- Elle te fait envie ?, demandé-je.
- Quoi ? Euh... non...
- Sûr ? Abdel m’a raconté que tu le suçais bien !
- Quoi ? C’est pas vrai !
- Si... Après que je l’ai sucé...
- C’est pas vrai... Tu es aussi... Euh... Bi ?
- Je crois.
- Putain ! J’aurais jamais cru ! Et... Il t’a aussi baisé, demande Giovanni, de but en blanc.
- Oui !
Giovanni enlève alors son t-shirt et son pantalon et il se retrouve à poil. Il se tient devant moi, nu. Il a des cheveux gris très courts et une calvitie prononcée. Il a une barbe grise et un visage fin avec des lunettes. Il a un corps mince avec un petit ventre. Son corps est couvert de poils noirs, fins. Il a de jolis tétons roses. Il a une bite marron et des couilles presque noires, rasées, tout comme son pubis. Sa bite est très épaisse et elle fait dans les 19 cm, avec un petit gland rose.
Il hésite :
- Tu te fous pas de ma gueule, hein ?
- Non. J’ai vraiment envie de toi... Vas-y, fais-toi plaisir avec ma queue !
Il s’agenouille alors devant moi et il s’approche lentement de ma bite qui se retrouve devant son visage. Il la caresse avec sa main... Puis, il passe sa langue sur mon gland. Il arrête et me demande :
- C’est vraiment ce que tu veux ?
- Oui...
Il enfonce mon gland dans sa bouche et il semble le téter comme un biberon. Puis, il prend ma queue entièrement dans sa bouche et il se met à faire des allers-retours dessus. Je gémis doucement. Il me fait une gorge profonde et je gémis fort. Je prends le joint et je le fume tandis que Giovanni me suce.
Comme l’avait dit Abdel, il fait ça trop bien. C’est vraiment génial. Je me laisse aller et j’apprécie son traitement. Il me caresse les couilles tout en me regardant dans les yeux.
- Tu fais ça trop bien !
- Merci.
- Tu aimes faire quoi d’autre avec un mec, Giovanni ?
- J’adore sucer et que le mec se vide dans ma bouche.
- Et t’aimes pas te faire prendre une queue dans le cul.
- Non, pas trop.
- Dommage... Mais c’est pas grave. Fais-toi plaisir alors !
Il reprend sa suce avec plus d’ardeur et moi je savoure.
- Je vais pas tarder à jouir !
- Oh oui !
- Tu vas te prendre le jus d’une semaine dans ta bouche !
- Oui, vas-y !
Il accélère le mouvement et moi, je pousse un fort râle. Je gicle alors bien 6 jets puissants qui vont se loger directement au fond de sa gorge. Ils sont suivis de 4 jets qui tombent sur sa langue. Il retire ma teub de sa bouche, il me montre ce qu’il a pu garder en bouche et il avale le tout, fier de lui. Il nettoie ensuite ma bite et il se relève.
Il se pose à côté de moi et il se met à se branler. Je regarde ses magnifiques 19 cm qu’il masturbe. Ses couilles noires rebondissent de haut en bas. Sa main arrive à peine à prendre en main sa bite bien épaisse. Preuve que la situation l’a excité, il jouit rapidement. Il jute 8 grosses giclées puissantes d’un sperme liquide et blanchâtre qui recouvre abondamment son torse et son ventre. Il se branle encore pendant quelques secondes puis il secoue sa bite qui laisse tomber les dernières gouttes de jus.
Je m’écrie quand il se cale dans le canapé :
- C’était trop bon !
- Merci
- Abdel a vraiment raison, tu suces trop bien !
- Comment ça se fait que tu aies parlé de ca avec Abdel ?
- Oh... c’est une longue histoire. Tu veux que je te la raconte ?
- Oui.
- Ah... attends... mon portable clignote. J’ai un message.
Je saisis mon téléphone et je vois que j’ai un SMS... d’Alan ! Je l’ouvre et je le lis : « Il faut qu’on se voie, il me semble. Tu es dispo demain à 21h ? Viens chez moi, je serai seul. » Je pousse un soupir. Je murmure :
- Ah ! Alan !
- Qu’est-ce qu’il y a avec Alan, demande Giovanni.
- Je sais pas, il m’a dit des trucs bizarres.
- Ah. Je me doute...
- Tu es au courant ?
- Plus ou moins. Il m’en a parlé quand il a fait sa dépression.
- Carrément une dépression ?
- Oui. Mais c’est à lui de t’en parler. Pas à moi.
- D’accord.
Je prends un verre, je saisis le joint et je me plonge dans mes pensées ...
A suivre...
Merci à John pour ses idées.
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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