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Chapitre-8
C’est au lycée que j’ai connu ma bande de potes. Il y a Giovanni et Stefano, deux italiens, Rachid et Alan, deux rebeus, Lucas, et moi, Nico. On s’est connu au lycée, on était dans la même classe. Dans notre jeunesse, on a fait les 400 coups ensemble, au lycée puis à la fac. Nous sommes inséparables. Les années sont passées, on a terminé nos études, on s’est marié, on a tous fondé une famille.
Et voilà, aujourd’hui, nous avons 50 ans. On a tous notre petit train-train (genre métro, boulot, dodo). Mais malgré tout, nous nous voyons souvent. On va assister à des matchs, on faisait partie de la même équipe de foot, on sortait dans les bars. Moi, je suis blond, les yeux bleus, un peu poilu, monté 17 cm. J’ai une femme, Aurore, et deux filles de 15 et 18 ans. Ma femme et moi avons une vie sexuelle plutôt calme. Nous habitons dans une grande maison dans la banlieue de Poitiers. Je travaille comme informaticien, ma femme est contrôleuse de train, ce qui fait qu’elle est souvent en déplacement. Mais je sors avec mes potes dès que j’en ai l’occasion. Je pensais tous savoir d’eux... jusqu’au soir où j’ai surpris Alan en train de sucer Rachid qui l’a ensuite baisé... ce qui semble m’avoir bizarrement excité ! Ça m’a bouleversé. Nous qui étions censés ne pas avoir de secret les uns pour les autres, j’étais attristé par le fait que mes deux potes rebeus nous cachaient des choses. Un soir, alors que j’étais seul chez moi, Giovanni est venu me voir, on a fumé un joint et on a fait des blagues à Alan puis à Rachid. Ce-dernier m’a envoyé plus tard un message, pensant que j’étais un de ses mecs rencontrés sur un site de rencontre. Il m’a envoyé des photos de sa bite... qui m’a fait de l’effet. Je l’ai finalement fait venir et nous avons baisé ensemble... Puis, c’est Alan qui m’a fait venir chez lui et qui a commencé par me rouler une grosse pelle avant que je le baise... Et quelques jours plus tard, Rachid et Alan m’ont attiré à une prétendue soirée entre potes durant laquelle on fait un plan à 3. A la fin, Alan m’a surpris en me déclarant son amour. Je n’ai pas eu le temps de répondre qu’il s’était déjà enfui… Trois semaines plus tard, je n’ai pas eu de nouvelles d’Alan... mais je me suis retrouvé séduit par un coéquipier de mon équipe de foot. C’est à ce moment-là que j’ai accepté ma bisexualité naissante. Et sans arrêt, une phrase prononcée par Rachid résonne dans ma tête : « Je suce presque aussi bien que Giovanni » ... ce qui m’a bien sûr rendu curieux... et j’ai réussi à le convaincre de me sucer aussi... Plus tard lors de cette même soirée, Alan m’a enfin envoyé un message alors que j’étais encore chez Giovanni... J’ai bien compris qu’il avait fait une dépression car il avait des sentiments forts à mon encontre. Je suis allé à pied chez lui en passant par un parc. Et là, j’y ai découvert mon pote Stefano qui a baisé un jeune minet avant de le remplir. Complètement sonné par cette découverte, je me suis remis en route vers la maison d’Alan.
Je suis devant la porte d’entrée mais je n’ose pas sonner. Je suis encore complètement sous le choc... Je me demande même si tout ça était réel... si j’ai vraiment vu Stefano baiser un mec. Je me sens complètement chamboulé. Puis, je me ressaisis et je sonne. Alan ouvre et il me dit d’entrer.
Il me fait assoir et il me sert une bière. Je le remercie et un silence pesant s’installe. J’observe le rebeu... Alan a des cheveux noirs et courts, avec une barbe très courtes sur les côtés et avec un bouc un peu plus épais. Il porte aussi des lunettes. Il a une peau bronzée et de larges épaules. Il est gros. Je me souviens alors de la première fois où je l’ai vu nu, en train de sucer puis de se faire baiser par Rachid. Et les moments intimes qu’on a aussi passé ensemble font surface aussi. Alan est vraiment mignon.
- Alan, par rapport à ce que tu m’as dit la dernière fois qu’on s’est vu...
- Oui ?
- Tu peux m’expliquer depuis quand... tout ça...
Alan prend une profonde respiration et il entame son récit :
- Nico... Je te désire depuis le lycée. On était souvent assis à côté de toi et j’adorais sentir ta proximité... J’aimais sentir ton bras contre le mien, les poils de tes jambes chatouiller les miennes. J’ai plusieurs fois essayé de glisser un mot dans ton sac pour t’avouer mon amour... mais j’ai toujours pris peur. Et sous la pression de ma famille, je me suis marié lors de ma dernière année de fac. J’ai eu une progéniture aussi... mais je prends aussi des anti-dépresseurs pour supporter tout ça... pour oublier que je suis fou amoureux de moi, que je ne supporte pas ma femme et que je préfèrerais tout plaquer...
- Alan... je ne savais pas tout ça ... J’ai, grâce à toi, découvert ma bisexualité... mais je suis pas prêt à quitter ma femme et à abandonner tout ce que j’ai construit.
- J’en suis conscient. Je suis depuis des années en thérapie et j’ai accepté tout ça.
- Mais alors...
- Ben le fait de t’avoir eu enfin dans mes bras, de t’avoir senti en moi, a mis un bon coup de pied dans la fourmilière... mais maintenant, ça va !
Je comprends alors pourquoi Alan a toujours été aussi tactile. C’est parce qu’il me kiffait. Depuis des années.
- Tu sais, moi je garde un très bon souvenir de notre première baise ensemble (voir Chapitre 3). Je peux juste te proposer d’être mon amant. Mais je ne pourrais pas plus.
- Nico... Je m’étais dit que tu allais me repousser... mais non. Tu es si gentil. Tu peux pas savoir comment...
- Chut, Alan. N’en dis pas plus, je t’en prie.
- Nico ? Je peux t’embrasser.
- Oui, dis-je après un instant de réflexion.
Alan s’approche alors de moi et il m’embrasse tendrement. Il me prend dans ses bras et il se met à me caresser les cheveux et le dos. Je me colle contre lui et je me laisse faire. Il est si doux. Sentir sa peau douce, son corps moelleux et ses poils qui me chatouillent me fait vraiment frémir.
Nous nous embrassons pendant de longues minutes. Puis, ses mains commencent à me retirer mon t-shirt. Je fais pareil avec ses fringues. Je sens ma bite durcir malgré la jouissance que j’ai eue il y a quelques minutes dans la forêt. On se retrouve en caleçon. Mon regard tombe sur son gros cul bombé... Je bande alors très dur. Il reprend ses baisers ... tout en faisant passer sa main sur mon paquet. Moi, je sens mes mains passer dans son dos et caresser ses fesses et sa raie. J’adore sentir ses lèvres pulpeuses contre les miennes... mais elles quittent ma bouche et elles glissent vers mon membre. Il lèche mon caleçon qui épouse les formes de ma queue bien dure. Puis, il la libère. Ses mains me caressent mon corps et il enfourne ma teub dans sa bouche. Je vois son caleçon tendu. Je fais alors descendre son sous-vêtement et je mate mon pote, nu. Il est si beau. Alan a de gros seins et un énorme ventre gras, mou, avec de gros bourrelets. Il est velu comme un gorille. Ses poils noirs et épais recouvrent chaque centimètre carré de sa peau. Ils commencent dans son cou et ils se déversent sur son torse où ils forment une véritable toison noire, dense. Seuls ses tétons larges et marron dépassent de ce tapis. Son ventre est tout simplement noir de ses poils. Ils descendent vers son pubis extrêmement velu et ils continuent le long de ses cuisses et de ses jambes pour recouvrir entièrement ses orteils. Ses bras sont aussi remplis de poils noirs et drus. Son dos est aussi complètement recouvert de poils qui descendent dans son cul qui est une vraie forêt vierge. Il a de grosses couilles noires, bien remplies et une bite de 16 cm, circoncise, presque noire avec un gland marron et épais.
Il se place de nouveau devant ma bite. Il se met à monter et descendre sur ma bite et moi, je gémis fort, surtout quand il fait des gorges profondes. Il fait ça trop bien. Puis, il remonte et il m’embrasse sensuellement.
Je prends alors les devants. Je le retourne et il se met à quatre pattes sur le canapé. Moi, je vais derrière son cul que je malaxe... puis, je fais entrer ma langue dans son anus. Il se cambre et je me mets à bouffer son cul. Parfois, je sors et je le doigte avant de replonger ma tête entre ses deux énormes miches. Je le mouille bien... et ma queue frémit d’excitation... elle a envie de le pénétrer. Comme s’il lisait dans mes pensées, il s’exclame :
- Prends-moi... Fais-moi l’amour, Nico !
Je me relève. Je reste debout et ma queue s’enfonce dans son anus, lentement. Elle se retrouve comme aspirée par ce trou, je gémis quand je sens ma teub se retrouve entièrement en lui. Je regarde mon pubis poilu plaque contre son gros cul tout aussi velu. Je sens mes boules contre son cul. Trop bon ! Je commence à faire des allers-retours tandis que je le prends dans mes bras et que je mords ses lobes d’oreilles ou que je l’embrasse dans le cou. Je fais des mouvements amples et plutôt lents. Son souffle chaud dans mes oreilles me fait triquer encore plus.
- Nico... Défonce-moi !
Il ne m’en faut pas plus et je me mets à le pilonner rapidement.
- Putain ! Ta queue est trop bonne ! Elle me déchire bien le cul !
Alan encaisse vraiment bien et il gémit fort. Pour ne pas jouir trop vite, je me retire je le caresse et je l’embrasse pendant quelques instants avant de replonger ma queue en lui.
Au bout de quelques minutes, je le place sur le sol. Il est sur le dos et il lève ses jambes pendant que je m’agenouille et que j’enfonce de nouveau ma teub en lui. Je me mets à le baiser sans ménagement, tout en l’embrassant ou en lui malaxant les seins. Je suis allongé complètement sur lui, sur son corps moelleux. Je finis par lui dire :
- Je vais plus tenir très longtemps...
- Vas-y, Nico ! Fais-moi un bébé
Je me jette sur lui et je lui roule une grosse pelle tout en le pilonnant. Soudain, je m’enfonce d’un coup dans ses entrailles et je sens mon jus gicler dans son cul.
- Oh Putain ! Alan ! Je te mets enceinte, bébé !
- Oh oui ! Je le sens ! Ton jus est trop chaud ! Trop bon !
Je sens en effet aussi ma queue pulser le jus hors de mes burnes. Je le sens gicler contre le fond de son cul avec violence. Je continue de la baiser et je sens un deuxième orgasme monter en moi. Je gueule et je donne un gros coup de reins avant de reprendre et de sentir mon 3ème orgasme monter. Je me bloque en lui, finalement, épuisé. J’ai bien juté 13 ou 15 jets. Putain ! Trois orgasmes ! Ça fait longtemps que ça ne m’était pas arrivé ! Je tasse mon sperme et quand je ressors, il coule le long de sa raie. Il prend sa queue en main, il se branle et il éjacule 5 jets pendant que je lui roule une pelle. On se retrouve sur le sol, dans les bras l’un de l’autre, Alan dégoulinant de sperme. On s’embrasse tendrement et on reste ainsi couché pendant de longues minutes. Il finit par dire :
- Merci, Nico !
- Merci à toi, Alan ! C’était trop bon !
- T’es trop mignon... J’aime vraiment être à côté de toi, comme ça.
Je ne réponds pas... J’ai peur de lui faire donner de faux espoirs. Je pose ma tête sur son imposant torse et lui, il me caresse les cheveux. Au bout d’une heure dans ses bras, je lui dis que je dois rentrer. La séparation est difficile, pour lui comme pour moi. Puis, je marche finalement vers ma maison. Deux minutes plus tard, il m’envoie un message : « C’était vraiment trop bien ! J’aimerais vraiment être ton amant... Appelle-moi demain, stp. Gros bisous partout ! Alan ».
Je souris et je me promets de l’appeler demain.
A suivre...
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Meetmemz
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