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Chapitre-5
Je joue dans une équipe de football américain depuis déjà 4 ans. J’adore ce sport, je le pratique avec passion et je suis la ligue de football américaine avec ferveur. Je fais partie d’un club amateur, les Aigles Féroces, et nous sommes bien classés dans la ligue régionale. Je suis content de voir que ce sport a de plus en plus d’admirateurs en France et en Europe. Je suis le plus jeune de l’équipe : moi, j’ai 22 ans, je suis blond, musclé sec, de taille moyenne, avec un corps parfaitement épilé.
Un jour, alors que Bryan, un de mes coéquipiers, attrape une crampe et à défaut de masseur, il me demande de l’aider. J’essaie de le masser sur la cuisse mais alors que sa bite prend du volume, il me fait comprendre que je pourrais l’aider d’une autre manière. Je le branle puis je le suce. Il jute dans ma bouche... Il fait comme si de rien n’était et on s’entend toujours bien. Mais un soir, alors que je le ramène chez lui d’une fête parce qu’il est bourré, il me prend pour sa copine et il me baise. Je repars après ça sans qu’il s’aperçoive de son erreur mais une fois dans le taxi, je remarque que j’ai oublié mon caleçon chez lui... Bien sûr, sa copine s’en aperçoit. Je ne mens pas à Bryan et je lui explique ce qui s’est passé. Sa copine révèle l’information au grand jour et quand un de mes coéquipiers, après m’avoir baisé, me l’apprend, je quitte l’équipe de peur qu’ils me prennent tous pour la salope de service. Mais mes coéquipiers finissent par venir pour fêter leur victoire au championnat, comme si rien de toute ceci ne s’était passé. Et quand on se retrouve seuls, Bryan et moi faisons l’amour. A la rentrée de la nouvelle saison sportive, j’aide Bryan à déménager car il a signé un contrat dans une nouvelle équipe. A un moment, on va se détendre dans la piscine et on en profite pour baiser dans les vestiaires... Puis, on repart.
Ça y est, on est arrivé à destination. Voici le nouvel appartement de Bryan pour les quatre prochaines années, au moins. Son contrat prévoit ce laps de temps. Il a un grand appartement luxueux. Alors qu’on est en train de sortir des cartons du transporteur, une femme, la trentaine, nous aborde :
- Vous êtes Bryan McGregor ? Le quarterback des Aigles Féroces ?
- Oui, enfin... plus maintenant... J’ai changé de club.
- Vous allez jouer chez nous ?
- Oui.
- C’est trop excitant ! Je peux avoir un autographe ?
Bryan signe un autographe et la femme nous quitte en sautant de joie. Une fois qu’on a monté toutes ses affaires, Bryan dit :
- J’ai une faim de loup ! Envie d’un burger ?
- Oui, pourquoi pas.
Il pianote sur son téléphone et nous voilà en route pour un « diner » américain, genre de restaurants qui manque beaucoup à Bryan. Pendant le repas, j’essaie de tâter le terrain pour savoir si je dois me prendre un hôtel ou si je reste dormir chez lui… mais je ne sais pas comment m’y prendre. Puis, Bryan dit à la fin du repas :
- J’ai acheté une caisse de bière pour ce soir.
- Ça veut dire que tu m’invites chez toi ?
- Ben oui ! Je vais pas te faire dormir à l’hôtel !
- Oui, c’est vrai…
- Tu veux pas rester avec moi ?
- Oh Bryan ! Si tu me le disais, j’emménagerais directement avec toi.
On se met à rire de bon cœur… même si je m’imagine déjà Bryan qui rentre de l’entrainement et moi qui l’attends nu sur son lit… Pendant le repas, on est assez souvent dérangé par des fans qui veulent un autographe. Moi, je suis assez fier d’accompagner une star de cette envergure.
Bryan paie l’addition pour me remercier de mon aide, puis nous rentrons à son appart. On se met à boire et à parler. Il raconte un peu sa rupture avec son ex.
- Bon, maintenant il va falloir que tu te trouves une nouvelle copine, dis-je de façon provocative (je remarque l’effet de l’alcool).
- Je sais pas… Peut-être ! Et toi, tu vas te trouver un beau petit mec qui va t’en mettre plein le cul ?
- Je sais pas… vu que je t’ai toi !
Un silence s’installe alors.
- Tu sais que je ne suis pas homo, Nico ?
- Je l’ai bien vu cette aprèm à la piscine…
Je remarque que l’alcool me fait perdre mon self-control et je reprends :
- Bryan… C’est quoi entre nous ?
- Ah, petit, rends pas les choses plus compliquées qu’elles le sont ! On se fait plaisir de temps en temps, c’est tout. On fait rien de mal !
Je me renfrogne. Je bois une bière, puis deux, sans rien dire, sans le regarder. Je m’étais imaginé la soirée se dérouler bien différemment. Je finis par dire :
- Je vais aller me coucher, je veux partir tôt demain matin.
Je me rends dans la salle de bains, je me prépare pour la nuit et je me mets dans le lit. Bryan va ensuite dans la salle de bains et il revient, en caleçon. Bryan a 30 ans, il fait 1,90m. Il a un visage à tomber, avec des cheveux courts et bruns, un visage lisse et joufflu, avec une mâchoire carrée. Il a de larges épaules. Il est vraiment balaise. Il a des bras hyper musclés, un torse musclé avec de beaux pecs ronds et bombés, un ventre un peu rond, à peine, bien dur, un mélange de muscles et de graisse. Son caleçon laisse deviner une belle bosse dans son entre-jambe. Son corps est imberbe, seuls ses aisselles sont poilues.
Il se couche à côté de moi et il éteint la lumière. Il se tourne de son côté, moi du mien.
- Bonne nuit, Nico.
- Bonne nuit, Bryan.
Je m’imagine sa grosse queue enfermée dans son caleçon... Ça aurait été ma chance en fait… Il est là, à moitié à poil, à côté de moi. Mais je n’ose plus. Est-ce que je le veux encore ? En tout cas, je n’arrive pas à m’endormir. Je reste là à regarder le plafond… Je suis partagé entre de nombreux sentiments. Suis-je amoureux de Bryan ? Ou est-ce que c’est seulement le désir pour ce qu’il cache dans son pantalon qui m’intéresse ? Non, je suis sûr que c’est plus. J’ai des papillons dans le ventre quand je suis en sa présence. Je me sens heureux.
Je finis par m’endormir. Mais je me réveille souvent durant la nuit. Mes pensées tournent en rond. Bryan ne semble pas avoir ce genre de problèmes. Il dort tranquillement.
Finalement, vers 4h, je ne peux plus résister et je m’approche de lui. Je pose ma main sur son torse chaud. L’excitation m’envahit et je me rapproche de lui.
- Viens dans mes bras, entends-je soudain.
Bryan est réveillé. Sans broncher, je me colle contre lui, dans ses bras et il m’enlace. Je pose ma tête sur son torse puissant. Je me mets à caresser son ventre. On reste ainsi, sans dire un mot. Mais au bout d’un moment, Bryan brise le silence :
- Nico… Je vais pas pouvoir dormir comme ça. Soit tu arrêtes de me caresser le ventre…
- Soit ?
- Soit tu caresses autre chose un peu plus bas.
Il n’a pas besoin de me le dire deux fois. Ma main s’enfonce dans son caleçon et elle commence à caresser sa bite qui se dresse. Je la caresse sur ses 22 cm. Quel beau matos ! Son pubis est recouvert d’une toison bien entretenue, courte avec des poils noirs. Sa est très large. Le gland est gros, un peu plus gros que sa bite. Deux veines traversant sa queue. Ses énormes couilles pendantes sont poilues. Elles sont lourdes.
Je m’occupe de sa queue et aussi du gland. Je me branle de ma main libre. Mais je n’ai pas envie de seulement masturber son morceau. Je prends alors les devants et je tartine sa teub ainsi que mon trou de bave. Il se mord alors les lèvres et il ferme les yeux. J’enjambe son corps, je prends sa queue dure comme de la pierre en main et je la pose contre ma rosette. Lentement, je fais entrer son pieu dans mon anus. Je gémis fort. Quelle sensation incroyable de ressentir ses 22 cm ! Une fois encastré sur sa queue, je me mets à monter et descendre. Ma bite dressée se balance de haut en bas.
Bryan soupire fort. Il finit par me saisir les hanches de ses grosses mains. Il me fait bien descendre sur sa queue, l’enfonçant bien dans mes entrailles. Mes mains caressent son corps musclé, ainsi que ses énormes bras. Je reprends ma chevauchée en prenant une cadence rapide. Bryan se met à donner des coups de reins, accompagnant ainsi mes mouvements. Ainsi, je sens encore sa teub plus profondément en moi. Mes doigts se mettent à triturer ses gros tétons... ce qui le fait accélérer la cadence. Sans savoir pourquoi, je laisse libre court à mes envies et mes mains passent à son cou que je commence à serrer. Je vois les veines de son cou se gonfler. Je vois son regard devenir encore plus sauvage et ses coups de bite deviennent encore plus puissants et profonds. J’entends ma queue claquer contre son ventre.
Je ne peux plus résister et je décide de le laisser faire, mes mains prenant appui sur son ventre tout en me branlant. Il me défonce à fond. Peu de temps après, je pousse un cri et mon sperme jaillit de ma bite et il tombe sur son ventre et son torse. Les jets sont puissants, ils éclaboussent nos deux corps. Bryan se met à disperser mon jus sur son torse et dans un cri bestial, je sens sa queue pulser dans mon cul et son sperme jaillit en moi. Ce sont bien 9 giclées qui me remplissent. Il arrête de me défoncer et je retombe tel un pantin désarticulé sur son ventre (et dans mon sperme).
- Putain ! Quelle chevauchée, s’exclame Bryan. T’es vraiment doué !
- Eh oui...dis-je dans un soupir. Seul un mec sait ce dont un mec a besoin !
On reste là pendant un moment, en reprenant notre respiration. Puis, sa queue quitte mon anus qui dégouline de son sperme. Je me glisse à côté de lui et je pose ma tête sur son torse puissant. On savoure notre orgasme pendant de longues minutes sans parler. Bryan finit par reprendre la parole:
- Je suis désolé que la situation te travaille... Mais tu sais, c’est pas facile pour moi non plus. Je suis le nouveau capitaine d’une équipe de football américain, loin de toi. Et les meufs... ben oui...
- Chut, Bryan. Laisse-nous savourer ce moment sans parler.
On reste ainsi sans parler jusqu’à ce que le sperme sèche sur son torse. Bryan va dans la salle de bains. Je le suis et on se lave. On passe la nuit ensemble dans les bras l‘un de l’autre.
Le lendemain, je prends mon train à 8h et je repars dans ma ville natale. Sur le quai, Bryan m’enlace et me dépose un baiser sur la joue.
- A bientôt, petit !
Je monte dans le train et je m’assois. Je vois un mec qui me dévisage. Je trouve ça bizarre et finalement, au bout de 10 minutes, il m’adresse la parole :
- Vous avez dit au revoir à Bryan McGregor ?
- Oui. Vous le connaissez ?
- Oui, il jouait dans l’équipe de ma ville natale !
- Comme moi !
- Ah oui ? Mais... vous êtes pas sur la photo de la finale ?! Je m’en souviendrais !
- Non, j’étais blessé, je n’ai pas pu jouer pendant 6 mois.
Après un silence, le mec reprend :
- Moi, c’est Lucas.
- Et moi Nico.
- Ah oui, je me souviens de ce nom. (Silence) Et maintenant, Bryan a changé d’équipe, c’est ça ?
- Oui, il a signé ici. Je l’ai aidé à déménager.
- Cool ! Il est vraiment canon. Encore plus de prêt que dans les gradins, croyez-moi.
- Je sais, murmuré-je en soupirant.
Puis, je regarde Lucas dans les yeux, un peu surpris par sa révélation. Il me sourit à pleine dents...
A suivre…
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Meetmemz
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