Premier épisode
Chapitre 2 | Convoqué par le prof
Comme je vous l’ai raconté dans le premier chapitre, je suis prof dans un établissement scolaire, je suis gay mais pas ouvertement, ne désirant pas provoquer des problèmes de disciplines, ni de problèmes avec des parents. Lors d’une rencontre parents-profs, le parent d’élève, une véritable armoire à glace, m’a suivi dans les toilettes et m’a dit qu’il ferait tout pour que les notes de son fils Ibrahim soient meilleures. Il m’a alors offert son cul auquel je n’ai pas pu résister.
Je me présente : moi, c’est Nico, 35 ans, blond aux yeux bleus, un peu enrobé, avec une teub de 17 cm bien épaisse.
Un mois est passé depuis la rencontre parents-profs et depuis, le père s’est pas du tout manifesté. Au début, j’ai essayé d’être sympa avec Ibrahim. Mais ses notes se sont détériorées et je n’ai rien fait contre. Cependant, je ne pouvais m’enlever son père, ce pur beau mâle, de la tête... et surtout son beau cul. Je l’aurais bien baisé plus souvent. Puis Ibrahim a été impliqué dans une bagarre. C’est à ce moment-là que j’ai pris son carnet de correspondance (et bien sûr ceux des autres élèves bagarreurs) et que j’ai demandé un rendez-vous aux parents.
Le jour J, à l’heure donnée, les trois parents sont assis sur des chaises devant ma salle de classe et je fais entrer la mère de Jérémie. Nous avons une discussion et décidons d’une punition ensemble. Je la fais sortir et je demande au père de Pascal de rentrer. Au moment, où je vais le chercher, je marque un temps de pause et j’admire le père d’Ibrahim. Il attend sur la chaise, tendu. Il est venu en t-shirt, en short et en tongues. Son t-shirt est apparemment trop petit et moule son corps à merveille. Il est grand (1,90m) et baraqué, c’est une véritable armoire à glace. Il a des cheveux courts, noirs, une barbe de trois jours, un teint hâlé et de larges épaules. Il a ventre rebondi, gros et bien dur. Ses bras sont aussi gros que des bûches.
Ma queue ne fait qu’un bond dans mon caleçon... et je rentre vite dans la salle pour m’installer à mon bureau afin que personne ne se rende compte de mon état. La discussion avec le père de Pascal est plus tendue. Il ne se montre par compréhensif, il défend même son fils avec des remarques limite racistes. Ça me fait monter rouge et je coupe bref au débat : il sera collé jusqu’à la fin de l’année et au prochain dérapage, ce sera l’expulsion. Et s’il n’est pas content, on peut aller prendre rendez-vous avec le directeur et parler ensemble de ces allégations. Il se lève sans mot dire, rouge de rage et quitte la pièce en claquant la porte.
Pas étonnant que le fils soit comme ça, avec de tels parents... me dis-je. Je prends une minute pour me calmer et je fais entrer le père d’Ibrahim. Il me domine par sa stature mais il aimerait se faire tout petit devant l’autorité que je représente. Il essaie de sortir son plus beau sourire. Je lui indique sa place et il va s’assoir. Discrètement, je ferme la porte à clé. Je vais m’assoir sur ma chaise, je suis en position surélevée sur mon estrade, lui en face de moi, à la place de son fils, il se fait tout petit. D’un regard sévère, je lui dis :
- Ali (j’ai appris son nom en regardant le dossier scolaire de son fils), tu as remarqué que les notes de ton fils sont catastrophiques ?
- Oui...
- Tu as perdu les bonnes manières ? Oui qui ?
- Oui, monsieur le professeur.
- Ton fils ne fait plus rien. Il se laisse perturber par des cancres comme Justin et Jérémie. Et voilà que maintenant il se bat ! Il va falloir faire quelque chose !
- Je vais lui parler...
- ... ?
- ... monsieur le professeur.
- Ton fils ne s’intéresse à rien ! Il est bon en arts plastiques et en sport. Mais les notes en maths, en français, en histoire, et j’en passe... sont catastrophiques. Je ne pense pas qu’il réussisse à passer en troisième.
- Il ne trouve pas ces matières importantes...
- Donc, ça sera la raison pour laquelle il pourrait partir de l’école sans diplôme ?
Ali me regarde avec des yeux écarquillés.
- Comment ça ?
- Imagine, il redouble sa quatrième. Et après ? S’il continue ainsi, il redoublera une deuxième fois. C’est ça que tu veux ?
- Non, pas du tout...
Le gros rebeu baisse les yeux, mort de honte. Je change alors de sujet :
- Je croyais que tu t’intéressais aux notes de ton fils !
- C’est le cas !
- Ah bon ? Et pourquoi tu ne m’as pas appelé ?
- Je voulais... mais...
- Je croyais que tu étais prêt à tout pour donner de bonnes notes à ton fils.
- Oui, mais je ...
Ne le laissant pas terminer, je m’avance et je m’assois sur le bureau. Je déboutonne ma braguette et je lui montre ma bite tendue.
- Si c’est bien vrai, occupe-toi de ça ! Et peut-être que je pourrais d’abord éviter le renvoi après cette bagarre.
- Et pour les notes ?
- On verra selon tes prestations.
Ne se faisant pas prier, Ali se lève et vient vers moi. Cette montagne de muscles et de graisse aurait pu me mettre KO d’une baffe avec son énorme main. Mais il se soumet et il se met à genoux sur l’estrade. Il pose sa main sur mes couilles puis il remonte. Il se met à caresser ma bite tendue. Puis il prend ma main et il l’a fait rentrer dans son short. Le salaud ne porte pas de caleçon ! Il amène ma main à son gros cul que je me mets à caresser. Ma queue se dresse devant sa bouche. Il la regarde avec envie, la soupèse... Il en fait coulisser le prépuce sur le gland. Puis il le libère et il se met à branler ma bite. Il tient fermement mes couilles d’une main et de l’autre, il bouge son poignet. Mon prépuce, sous l'action de sa main, couvre et découvre mon gland qui devient rouge.
Puis, il enfonce mes 17 cm en gorge profonde. Il me lèche le gland, il gobe mes couilles, il revient sur ma queue qu’il lèche puis qu’il suce. Il me tète comme un chiot qui n’a pas eu sa dose de lait depuis des jours. Il me lance de temps en temps un regard de soumis. Je lui force la gorge ce qui le fait parfois tousser. Puis avec sa langue, il descend vers mon anus. Il le lèche. Il l’ouvre bien, il me fouille profondément. J’essaie de contenir mes gémissements pour n’attirer ni parents ni collègues. Sa langue est épaisse, elle me travaille bien, je me sens bien ouvert. Je gémis de plaisir.
Tout d’un coup, il m’enfonce un doigt dans le cul. Je me relève et je lui mets une grosse torgnole !
- Cet endroit t’est interdit !
A ma grande surprise, le gros macho de rebeu, monté comme un ours, qui aurait pu me mettre la raclée de ma vie, se retrouve avec les larmes aux yeux. Je n’insiste pas et je lui dis simplement :
- Déshabille-toi complètement !
Il obéit et je redécouvre ce beau spécimen qui m’a pas mal manqué, je dois avouer : il a de beaux seins bien fermes avec des tétons marrons. Il a quelques poils sur le corps, comme s’il avait laissé pousser sa toison en comparaison à notre première fois. Ils recouvrent timidement son torse et son ventre qui est énorme, avec de gros bourrelets. Ses cuisses sont massives, puissantes. Il a de petites couilles noires et poilues. Son pubis est assez fourni, ses poils sont noirs et drus, il a une queue de 17 cm, circoncise, recourbée, bien marron.
- Tourne-toi !
Il s’exécute et il me montre son gros cul, bombé, un peu gras. Je prends ses deux gros globes dans les mains et je me mets à la malaxer. Je remarque alors que son cul est poilu, contrairement à la dernière fois.
- Putain, tu as laissé pousser tes poils.
- Oui, je pensais que vous auriez aimé, monsieur le professeur. Je me suis trompé ?
- Non, j’adore ! Donc tu as eu envie de moi pendant tout ce temps-là ?
- Oh oui, monsieur le professeur !
J’écarte sa belle paire de fesses poilues qu’il me tend et je découvre une forêt vierge de poils noirs et frisés. Je lui caresse les fesses et ma langue s’approche de son cul et elle s’enfonce dans sa raie. Je mouille bien son cul avec ma bave. Je fais entrer la pointe de ma langue dans son intimité que je titille. Ali se met à gémir fort, ce qui m’excite à fond. Puis je mouille mon doigt, j’écarte les poils ce qui révèle son anus et je commence à le doigter. Je vais tout de suite bien profond ! Son trou est ouvert ! Ali gémit de plus en plus fort.
- Tu t’es préparé avant de venir ?
- Ma sexualité a évolué : je fantasme énormément sur les hommes maintenant... mais je ne peux pas trop vivre pleinement ma sexualité. J'ai commencé à me branler en me doigtant le cul puis en m'empalant sur une bougie.
Je me relève et je lui mets une forte fessée sur son gros cul. Je pose mon gland devant l’entrée de son anus, je m’empare de ses hanches et je m’enfonce en lui lentement, sans capote, d’une seule traite... J’admire ma bite forcer l’entrée, élargir son anus et disparaitre en lui ce qui lui fait pousser des petits cris. Mes poils pubiens viennent caresser ses fesses et mes couilles sont plaquées contre son cul. Je donne des coups de bite pour m’assurer que je ne peux rentrer plus. Ali pousse un soupir de satisfaction quand il sent ma queue au fond de lui qui commence à coulisser. Son trou est bien chaud, je kiffe. Je fais de petits allers-retours mais très vite, j’accélère les coups de reins dans des mouvements amples.
- Oh putain ! Quel cul ! Il m’a bien manqué !
- Baisez-moi fort, monsieur le professeur.
Je me mets à le démonter et Ali couine comme un cochon. Mes couilles frappent son cul. J'entends mes cuisses claquer contre ses fesses ce qui fait vaciller son gros cul. J’adore voir les poils de mon pubis s’écraser sur son cul et le lui chatouiller.
- Ça te plait ?
- Oui, monsieur le professeur. Baisez mon gros cul à mort !
Je fais de grands va-et-vient, allant toujours plus profond dans son cul, en donnant de violents coups de bite qui le déstabilisent. Mes coups de queue prennent une vitesse folle, je le démonte comme jamais. Ma queue sort et loupe de temps en temps son trou, je me branle alors au-dessus de son cul et je me renfonce immédiatement. Je fesse aussi ces grosses fesses qui me font tellement envie. Je malaxe aussi parfois ces deux globes gras et velus et mes mains descendent le long de ses jambes, passant dans ses poils noirs et drus.
Ensuite, je sors de son cul, je le pousse sur mon bureau, mes affaires se dégringolent par terre, et je l’y fais grimper, sur le dos et je m’enfonce immédiatement en lui. Je le baise et il se remet à couiner. Sa grosse bedaine se retrouve secouée et elle vacille de haut en bas sous la charge de mes coups de reins. J’essaie d’aller chercher au plus fond de ses entrailles.
- Allez-y plus fort !
Je ne me fais pas prier, je lui ravage le fion comme un étalon en chaleur ce qui le fait gémir de plaisir. J’adore voir ma queue pénétrer son trou poilu, la voir rentrer et sortir sans rien entre ma bite et son trou, la voir le pénétrer si profondément qu’on a l’impression que mes couilles appartiennent à son cul.
- Putain, ta chatte est trop bonne !
Ma bite est tendue au maximum. Je commence à faire de grands allers-retours, sortant et rentrant chaque fois plus violement, claquant mon bassin contre son cul, et écrasant ses couilles un peu plus à chaque fois. Son gros ventre vacille sous mes coups de bite, tout comme ses seins que je prends en main et que je malaxe. Je me rends alors compte que sa bite ne bande pas, elle est plutôt petite, elle est posée sur son ventre et elle tremble sous mes coups. En plus, elle brille de précum. Elle Je lui ordonne :
- Branle-toi, mon gros !
Il se met à se masturber et très vite sa queue gonfle. Puis il lâche sa bite quand je me mets à donner de gros coups de reins et sa queue tendue se retrouve collée contre son ventre, suintant de mouille.
Je le fais descendre de mon bureau et je le place à quatre pattes, par terre. Je m’enfonce en lui, mes couilles se retrouvent collées contre son gros cul, je colle mon corps contre son dos puissant et je commence à le baiser comme un chien en donnant de petits coups de fessiers. Il s’enfonce et se retrouve sur le ventre et moi, je continue de le baiser. J’accélère le rythme et je lui détruis l’anus maintenant. Il crie de plaisir. Ses fesses vacillent sous mes assauts. Je le baise comme une bête.
Au bout de quelques minutes, je lui dis :
- Ton cul est trop bon ! Je vais pas tarder à jouir !
- Oui, crachez-moi tout dans le cul, monsieur le professeur !
- Je vais t’engrosser, ma petite cochonne !
Je plaque mes mains sur ses hanches, lui donnant une grosse fessée, je me mets à gémir de bonheur et 5 jets explosent dans son cul tandis qu’il dit :
- Oui, crachez-tout ! Donnez-moi tout !
Je le remplis bien et je continue de le baiser alors que j’ai tout craché dans son cul, prolongeant mon orgasme. Je finis par me retirer et mon sperme chaud et liquide ressort de son cul en coulant le long de ses jambes. Il se relève et s’assoit sur le sol, comme s’il était épuisé. Je regarde sa queue qui se met à me faire envie tout d’un coup. Je me penche alors sur lui et j’engouffre sa bite dans ma bouche tout en malaxant ses petites couilles qui ont l’air bien remplies. Il soupire de plaisir et moi j’avale sa mouille qui est relativement importante. J’enfonce deux doigts dans son cul, ils se retrouvent dans mon sperme et je me mets à lui travailler la prostate. Il ne lui faut pas longtemps pour que sa queue se mette à durcir et à juter dans ma bouche. Une giclée abondante s'écrase au fond de ma bouche. Elle est suivie de 8 autres qui me remplissent la bouche et que j’ai du mal à avaler.
Nous nous levons, il se rhabille et il me demande :
- Quelle note a eu mon fils ?
- Je vais réfléchir et je te dirais ça.
Ali sourit et me salue. Il ouvre la porte et je lui sors :
- Ali, j’adore ton gros cul ! Tu as intérêt à me contacter si tu veux que ton fils passe en troisième... et si tu veux pas que ta femme sache que t’une grosse cochonne qui aime la bite !
- Oui, monsieur le professeur ! Promis, monsieur le professeur !
- Bien. Je lui donne un 14/20 aujourd’hui.
- Merci, monsieur le professeur ! Vous ne le regretterez pas, monsieur le professeur ! A bientôt, monsieur le professeur.
Il ferme la porte en souriant.
Je me rhabille et je remets de l’ordre sur mon bureau puis je rentre chez moi, satisfait de cette fin d’après-midi.
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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