Premier épisode
Chapitre 2
Comme je l’ai raconté dans le chapitre 1, lors d’une interpellation, j’ai rencontré une petite pute du nom de José qui m’a fait tourner la tête. Je me suis senti obligé de le baiser et d’en faire mon jouet. Je me suis découvert un côté dominant que je ne connaissais pas de moi. Je lui avais dit que, quand j’aurais besoin de ses services, il devrait être immédiatement disponible. Mais je n’ai pas donné suite... Je m’en suis voulu après coup car c’est la première fois que je trompais mon copain... Donc pendant 2 ou 3 mois, je n’ai pas donné signe de vie à José. Cependant, mon envie de domination reste là, présente, en moi et elle bouillonne dans mes entrailles. Je ne pense qu’à cette scène où j’ai baisé cette pute !
Un jour, n’en pouvant plus, après une journée compliquée, n’ayant pas baisé depuis plus de deux semaines, je contacte José et je lui dis de se tenir prêt, je passe le voir après mon service. Je ne me douche même pas à commissariat, je vais directement chez lui, en uniforme. Quand je sonne, la porte d’entrée s’ouvre. Je monte à son appart, la porte est entrouverte. Je rentre et je trouve la salope sur le lit, encore habillée !
- Fous-toi à poil, salope !
Ma salope obéit sur le champ, elle se retrouve en string, nu, une laisse de chien autour du cou. José est petit (1m55), mince et musclé sec, il a des yeux marron, il est châtain, il doit avoir la quarantaine et il n’a aucun poil sur le corps. Seul son pubis, ses couilles et son cul ont des poils longs et châtains. Son téton droit à un piercing et il a plusieurs tatouages...
- Vas-y, occupe-toi de moi !
Je me pose sur le lit, encore tout habillé et je me laisse faire. La pute sort ma queue de mon pantalon. J’ai une demi-molle. Elle l’enfonce dans sa bouche, me faisant directement des gorges profondes. Je savoure le traitement. Surtout j’adore me dire que ma pute prend tout de moi, même ma queue pas lavée qui sent la pisse.
- Lèche-moi bien les couilles, ma salope !
Alors, elle passe à mes couilles, elle les lèche et les gobe. Puis elle dirige sa langue le long de mon périnée.
- Va jusqu'au cul ! Bouffe-moi mon trou !
Sans broncher, elle lèche mon trou non lavé. Ça ne doit pas sentir la rose ! Mais je m’en fous ! Seul mon plaisir compte ! Elle se délecte, je l’entends à ses gémissements. Sa langue me fait un bien fou, je grogne. Après m’avoir bien décrassé, elle repasse aux couilles. Puis je tire un peu sur la laisse pour qu’elle remonte vers ma queue. Elle la lèche et la suce. Puis sa langue passe le long de mon corps et vient se nicher sous mes aisselles qui sentent le mâle. J’apprécie sa langue qui me nettoie. Ma main glisse sur sa croupe et je lui donne quelques fessées. J’essaie de triturer son trou mais la putain ne se laisse pas vraiment faire. Je lui donne un grand coup dans les côtes pour l’obliger à obéir. Elle gueule de douleur et son cul échappe à mon traitement... Alors, le lion qui sommeille en moi se réveille.
- Espèce de connasse ! Tu vas voir ce que ça te coûte de pas m’obéir !
Je prends la laisse et tire ma pute vers moi. Elle se précipite sur ma queue qu’elle se met à lécher et à sucer. Je lui prends sa tête dans mes mains et je lui défonce sa bouche. Mes 17 cm rentrent tous seuls, je bloque sa tête et ma queue est bien au chaud dans sa gorge. Je commence à donner de grands coups de butoirs. La pute ne bronche pas, elle a l’habitude ! Elle n’a même pas de réflexe vomitif. Ceci m’encourage et mes coups deviennent toujours plus violents et plus profonds ! Mes couilles frappent son menton et rebondissent dessus. Puis je bloque ma queue dans sa bouche et dans un élan libérateur, je lâche ma pisse. Dans cette position, la putain n’a pas son mot à dire. Elle avale sans broncher mon champagne, goulument.
- Oui, c’est bien, avale tout ! Tu es une bonne chienne !
Ma queue n’en finit pas de pisser. La quantité devient telle qu’elle n’arrive pas à tout avaler. Ma pisse déborde de partout. Je sors de sa bouche, je la gifle. Je lui pisse sur le visage et dans les cheveux puis remets ma queue dans sa bouche. Je la gifle encore :
- Tu ne dois laisser perdre aucune goutte !
Je remets ma queue dans sa gueule et j’ouvre les vannes. Ma source ne semble pas vouloir se tarir. Ma pute semble s’étouffer de temps en temps mais elle avale docilement.
- Putain, tu kiffes, salope ! Oui, avale bien tout !
Puis ma pisse coule par petits jets puis s’arrête. Je lui caresse la tête et je me remets à lui baiser la gueule. Je lui fais faire des gorges profondes, elle subit sans se plaindre. Je lui lâche quelques mollards sur le visage.
- Tu n’es qu’un vide-bite, putain de salope ! Tu m’appartiens !
Elle gémit de plaisir en signe d’approbation. Elle bave de partout, j’adore sentir ma queue passer sa luette, aller chercher bien au fond de sa gorge qui est étroite.
- Trop bon ! Ta bouche est une vraie chatte.
J’accélère mes coups de reins puis je m’arrête, ne voulant pas jouir trop vite.
Mon regard est alors attiré par des godes qui sont posés à côté du lit. Je la fais se retourner et se mettre à quatre pattes, puis je prends un petit gode. Je mets du gel dans le trou, je la doigte, puis le gode. Il est assez petit et il s’enfonce vite en elle. Je le ressors puis je prends un gode plus long et plus large (20x6). Je le rentre violemment dans son cul. J’écarte bien le trou, je l’y fais bien tourner. Puis je commence des va-et-vient, de plus en plus rapide. Puis je la pénètre avec le petit gode tandis que le plus gros est encore dans mon cul. Et j’en prends un autre, de 26x4. J’introduis le gland du gode. Le reste glisse tout seul.
- Ton trou est habitué aux grosses bites ! On va voir si celui-là rentre aussi bien.
Je prends alors un gode... le plus énorme que j'ai jamais vu ! 30 cm de long et 8 cm de large. Je veux absolument l’y faire entrer ! J’insère le gland dans le trou qui résiste à mes poussées. La pute se crispe de douleur. Je bande à fond, cette situation m’excite ! J’enfonce le faux pénis qui commence sa progression. J’y vais lentement. La salope subit, sans un cri, sans une plainte. Je suis impressionné : la moitié du gode est rentré dans le cul. Je continue, je force, le gode s’enfonce un peu plus. Je prends mon temps, j’y vais lentement. Le gode plonge encore plus dans les entrailles. Et au bout de quelques minutes, elle se retrouve empaler sur le gros gode. Je bande à mort. Je joue avec le jouet sexuel, je le fais entrer et sortir. José pousse des gémissements. Puis je le retire après quelques minutes. Son cul est largement ouvert, béant !
Une envie me prend soudain. Je place ma queue dans ce trou bien ouvert et je me remets à pisser. J’enfonce d’un coup mon chibre tout au fond de son trou. C’est vraiment trop bon à l’intérieur. J’apprécie quelques secondes sans bouger. Un trou très chaud, très crémeux. Je pisse dans le trou, je sens ma bite baigner dans mon champagne. Je ne peux pas m’arrêter.
- Tu aimes ma pisse ?
- Oui, j’adore ! C’est trop bon ! Je sens ta pisse chaude dans mon cul. C’est vraiment génial !
La source se tarit. Son trou est vraiment super chaud. Ma queue trempe dans ma pisse. J’en jouis presque, rien qu’à cette idée. Et je commence lentement les va-et-vient. De la pisse sort un peu à chaque mouvement. Et j’accélère la cadence. Et on entend comment mes couilles cognent contre son cul mouillé. Je la défonce comme la salope qu’elle est ! De la pisse saute un peu partout. Je sors la queue de son cul pour ne pas jouir et un flot de pisse en coule. Je la lui remets dans le trou et je le baise lentement…et j’accélère la cadence. Je la baise à fond. Elle morfle ! Mais elle apprécie, elle couine comme une truie. Elle gémit à chaque coup de reins. Je sors et je rentre à souhait, je glisse en elle, elle gémit comme une chienne.
- Putain, ta chatte est trop bonne…
- Oui, vas-y, continue !
J’agrippe ses épaules, et je la défonce à fond. Mes grosses couilles claquent contre ses fesses de salope... J’en ressors et je prends alors ma matraque qui pend à ma ceinture (je suis encore en uniforme, seul mon pantalon est à mes chevilles. Je reprends le plus gros gode et je lui enfonce dans le cul que je défonce avec. La pisse sort par flots. Puis je retire le gode et j’y enfonce ma main. Elle rentre toute seule. Je continue ma descente dans son cul ... c’est comme si mon bras était aspiré ! Mon avant-bras rentre complétement. Alors, José prend du poppers et moi, je boxe son trou. Puis je continue ma descente.... Jusqu’à ce que j’aie le bras entier dans sa chatte ! Elle gémit de plaisir et moi je continue de la boxer. Je bande comme un fou.
- T’es bien ouverte, espèce de salope !
Je ressors de son cul et je mets le gode de 24 cm. Puis j’y ajoute ma queue et je la baise comme ça, lui mettant de grosses fessées et la traitant de grosse pute !
- Putain, je vais te doser, salope !
- Oui, vas-y, remplis-moi !
Je me cale bien à fond de son cul et j’y lâche ma purée. L’orgasme est très intense. Je sens comment ma bite explose et déverse dans son cul des flots de semence … qui se mélangent à ma pisse.
- Putain ! Trop bon ! Je te dose bien ta chatte, là !
- Oui, je sens tes jets exploser en moi !
Ma bite sort de son cul, du foutre mélangé à la pisse en coulent. Elle se retourne pour me nettoyer la bite, pour récupérer les dernières gouttes de sperme. Puis elle se pose sur le lit pour se branler. Je me mets au-dessus d’elle et je lâche d’autres jets de pisse qui s’étalent sur son corps, son ventre, sa queue, son visage. Je marque une nouvelle fois mon territoire.
Je laisse la salope baigner dans mon jus et dans ma pisse, je m’habille. Ça m'excite grave de savoir que je laisse ma pute avec mon urine plein l'estomac et le cul ainsi que ma semence dans ses entrailles. Mais je remarque que mon pantalon est tout mouillé, à cause de la pisse qui est sortie de son trou quand je la baisais. Merde... Je ne peux pas rentrer chez moi comme ça, mon copain va s’en rendre compte ! Je dois repasser à la brigade.
En sortant de l’appart, je me retrouve nez à nez avec un collègue, Marcel. Il me lance un regard coquin !
- Tiens, salut, Nico, je savais que je t’avais reconnu !
- Ah, Marcel... ça va ? Que fais-tu là ?
- J’habite ici aussi, dans l’appart du haut.
- Ah ok ! Bon, faut que j’y aille ! On se voit demain, ok ?
- Ton copain sait que tu es là ?
Je lui lance un regard mauvais...
- Pourquoi tu dis ça ?
- Viens, je vais te filer un pantalon, le tien est tout mouillé ! Faudrait pas que ton copain s’en rende compte que tu as rempli un cul de pisse !
Je le suis, plein d’appréhensions.... Une fois chez lui, il dit que sa femme n’est pas là. Il me donne un pantalon propre :
- Tu viens de baiser la pute du quartier ! Tout le monde lui passe dessus ! Même moi. Bien sûr, ma femme ne sait rien... mais je pense que si tu m’as suivi jusqu’ici, c’est que ton copain ne sait rien non plus. T’inquiète, je ne dirai rien. Mais tu sais, je la baise souvent. J’ai même invité quelques collègues à la troncher. Si tu veux, on pourra s’en occuper ensemble.
Je le regarde méfiant... puis mon côté pervers reprenant le dessus, je lui dis que j’adorerai ça.
- J’ai prévu un petit truc vendredi soir. Fais en sorte de te libérer.
- D’accord, je viendrai.
- Viens en uniforme !
Je quitte l’immeuble... et mon lion intérieur rugit... Il est prêt pour la partouze de vendredi.
A suivre...
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire. Merci à José et à Romain pour leurs idées. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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