Bavure policière

Chapitre 3

Comme je l’ai raconté dans le chapitre 1, lors d’une interpellation, j’ai rencontré une petite pute du nom de José qui m’a fait tourner la tête. Je me suis senti obligé de le baiser et d’en faire mon jouet. Je me suis découvert un côté dominant que je ne me connaissais pas. Je lui avais dit que, quand j’aurais besoin de ses services, il devrait être immédiatement disponible. Mais pendant 2 ou 3 mois, je n’ai pas donné signe de vie à José. Cependant, mon envie de domination reste là, présente, en moi et elle bouillonne dans mes entrailles. Je ne pense qu’à cette scène où j’ai baisé cette pute ! Et puis... j’ai remis le couvert une nouvelle fois. Après une journée dure au boulot, je suis allé la baiser comme elle le méritait. Et en sortant de chez cette pute, je me suis retrouvé nez à nez avec Marcel, un collègue bi, qui m’a dit qu’il adorait troncher José, la pute du quartier. Il m’a invité à revenir vendredi soir, il organise une baise avec d’autres collègues. J’ai immédiatement accepté.

Le vendredi arrive. Mon collègue Marcel m’a dit de montrer prendre l’apéro chez lui avant de descendre chez José. Sa femme, qui est hôtesse de l’air, est absente pendant deux jours. On discute, il me parle de sa rencontre avec José (je pourrais vous raconter tout ça une autre fois, si vous voulez, il suffit de demander), on boit un peu. Puis vers 20h, on descend tous les deux voir notre pute. Marcel s’est mis en tenu de flic, tout comme moi. Mon copain pense que je suis de garde cette nuit. Marcel ne sonne même pas. Il entre dans l’appart, la porte étant entrouverte. Je vois qu’il a ses petites habitudes.

Nous trouvons alors José sur son lit, déjà à quatre pattes, avec comme seul vêtement un string rouge. Marcel s’approche de lui et se met à lui caresser le cul. Puis il lui met une bonne fessée qui la fait sursauter.

- Ah, ma petite pute, ton cul m’a bien manqué. Nico, regarde ce petit cul de salope ! Regarde ce trou qui adore se faire prendre par toutes les queues qui passent !

J’admire ce petit cul qui se présente devant moi. Il est rond et bien ferme. Je me mets alors à le fesser. J’observe son string. C’est plutôt une ficelle qu’un string qui fait le tour de ses hanches et une ficelle descend le long de sa raie et se perd dans son cul. Sa bite et ses couilles sont recouvertes d’un bout de tissu rouge. Je me mets à lui enfoncer mon pouce dans l’anus et je sens quelque chose de dur. J’en sors un énorme dildo de 30 cm. Je commence à la défoncer avec, ce qui la fait couiner comme une truie. Pour resituer, José est petit (1m55), mince et musclé sec, il a des yeux marron, il est châtain, il doit avoir la quarantaine et il n’a aucun poil sur le corps. Seul son pubis, ses couilles et son cul ont des poils longs et châtains. Son téton droit a un piercing et il a plusieurs tatouages.

Marcel prend notre salope par le cou et l’oblige à lécher, à travers le pantalon, sa queue qui bande déjà. Puis il sort sa bite en disant qu’il restera en uniforme toute la soirée. Il la donne à la pute qui l’avale d’un trait. Marcel est brun, mince avec des cheveux courts et une barbe poivre et sel. Il a dans les 40 ans et il arbore une queue de 20 cm, bien épaisse, marron et parcourue de veines. Il a les couilles rasées.

José s’occupe bien de la queue et il fait des gorges profondes. J’entends alors des voix et je vois mes collègues rentrer dans la chambre. Ils sifflent devant le cul que je suis en train de travailler. Ils déshabillent et se présentent, alignés, devant la salope.

Il y a d’abord Ricardo, un latino de 30 ans, qui a des tatouages sur les bras. Il a le crâne rasé et une barbe en collier. Il est sportif, musclé sec et il a une queue de 18 cm et de grosses couilles. Ensuite, il y a Benjamin, un black de 20 ans, avec qui je n’ai presque jamais parlé. Il est très timide. Il a une coupe afro, il est très maigre. Il a une queue incroyable de 22 cm, très mince. Il est imberbe avec quelques poils seulement sur le pubis. Et il y a aussi Daniel, un mec de 45 ans, baraqué, avec des cheveux bruns et courts, et une barbe. Il est imberbe aussi. Il a de beaux seins et un gros ventre tout dur. Il est monté 17 cm, tout comme moi. Par contre, il a de très grosses couilles. Et enfin il y a Yannick, um black métis de 35 ans, arborant des dreads locks et un corps assez musclé. Il est grand (presque 2m) et il a 20 cm entre les jambes avec de grosses couilles qui pendent bien. Il a quelques poils sur le corps et le pubis ainsi que sur les couilles.

Marcel continue de se faire sucer puis il prend le visage de la pute et il lui crache dessus. Il fait ensuite tomber de gros mollards dans la bouche qui est ouverte en grand, preuve de la soumission et du désir de José pour nous servir. Daniel lui demande :

- Salut, ma petite salope. Ce cul m’a bien manqué. T'es ma pute, dis-moi ?

- Oui je suis ta pute et j’ai envie de ta bite !

Marcel prend la gueule de la pute dans ses mains et il lui enfourne sa queue bien au fond de la gorge. Yannick s’écrie :

- Vas-y ! Démonte cette pute !

- Putain, quelle salope ! Regarde comme Nico lui fait entrer ce gros gode dans le fion ! Une vraie chatte !

- Oui, elle adore se faire démonter ! Tu vas être servi, salope. On va te déchirer !

Daniel ressort de sa gorge et il se met à la bifler. Puis il prend de nouveau sa tête et il la fait passer à une autre queue. C’est Ricardo qui se laisser sucer. Marcel a toujours la tête de la pute dans ses mains et il la fait aller et venir sur la queue tendue du latino. Puis Ricardo prend les commandes en biflant d’abord José puis en prenant sa tête. Il lui fait faire des gorges profondes. La pute subit les assauts du latino sans broncher. Ricardo s’exclame :

- Ah c’est trop bon ! Tu sais où est ta place, ma petite salope !

Il la gifle en disant ça. Puis il passe la pute à Daniel. Ce-dernier prend sa tête entre ses mains et l’embrasse avec fougue. Puis il l’oblige à prendre sa queue en bouche et il lui baise la gueule. Il semble adorer maintenir la tête alors que sa queue est complétement au fond de la gorge. Puis Daniel la passe à Benjamin qui est assis sur le canapé. D’abord il se laisse sucer. José descend et monte le long de son long sucre d’orge noir qui est tendu devant ses yeux. Puis elle prend la queue et en avale deux tiers. Le black la regarde faire en lui caressant la tête. Ensuite, il prend la direction des choses et appuie sur la tête pour que la pute avale son morceau en entier. Je vois la queue aller de plus en plus loin dans la gorge. José a pris presque les 22 cm. Mais ce n’est pas assez pour le black qui appuie à fond sur la tête pour s’enfoncer au maximum. Et finalement, José finit par avoir le nez dans les poils de pubis du black.

- Putain, t’es trop bonne ! T’as l’habitude des grosses queues dans ta bouche, hein ?

Je suis surpris d’entendre parler Benjamin comme ça, lui qui est si timide et si réservé. Marcel arrive, enfile sa queue vite fait dans la bouche, donne quelques coups de reins puis me la passe. Elle se précipite sur ma bite et la dévore presque. Mais je veux plus. Je lui prends la tête entre mes mains et je commence de longs mouvements. Elle ne bronche pas, elle avale ma queue avec plaisir. C’est clair que mes 17 cm ne sont rien comparés aux 22 cm qu’elle a engloutis. Mais je prends mon pied en lui baisant la bouche. Je lui mets même des baffes. J’adore la voir me servir. J’adore voir son nez dans mes poils de pubis. Je lui y maintiens bien la tête pour qu’elle hume mon odeur de mâle qui se dégage de mes poils.

Puis c’est Yannick qui la prend. Il lui baise la gueule à grand coups de reins, ce qui fait baver notre salope comme une malade. Sa queue sort pour mieux se renfoncer dans ce trou à bites et ses couilles frappent le menton bruyamment. Il lui démonte bien la gueule. José ne bronche pas, il encaisse, tout simplement. D’un coup, Yannick plaque la salope contre lui, la queue au fond de sa gorge et le nez complétement bloqué contre son pubis. La pute ne peut plus respirer mais elle subit. Elle adore ce traitement, ça se voit. Quand elle commence à se débattre, Yannick la lâche et elle se dégage en laissant couler un gros filet de bave. Mais Yannick lui reprend rapidement la tête et après lui avoir donné une baffe, il recommence à lui limer la bouche.

Puis c’est au tour de Daniel de s’en occuper, chauffé par ce traitement. Il lui donne de grosses baffes tout en la mollardant. Et il prend la tête de la pute et lui pilonne la bouche. Moi, je bande dur devant ce spectacle. Je me branle, tout comme les autres. Puis je m’avance vers eux et présente ma queue devant sa bouche. José arrête et prend ma queue en bouche. Au bout de quelques secondes, il repasse à celle de Daniel. Il alterne ainsi nos bites. Puis Marcel se pose derrière lui, la fait se retourner avec sa matraque et José se met à le sucer. Benjamin se met à côté et la pute prend les deux glands en bouche en même temps et les lèche avec sa langue. Puis il les suce. Yannick se laisse faire tandis que Marcel donne quelques coups de reins. Puis il suce les deux queues les unes après les autres.

Yannick s’empare de la matraque de Marcel et il fait mettre la pute à quatre pattes. Il lui crache dans le cul qui est déjà bien ouvert grâce au gode de 30 cm. Il enfonce le bout de la matraque dans le cul et commence à la baiser avec. Il l’utilise comme un gode. Il entre et sort, et il enfonce la matraque toujours plus profondément. 15 cm puis 20, et 30 disparaissent dans son cul. La pute ne bronche pas, elle gémit tout simplement. Finalement, la matraque disparait entièrement dans son trou. Yannick se met à lui défoncer le cul ce qui fait gémir la pute très bruyamment.

Il ressort la matraque et Ricardo se précipite sur le cul. Il y enfonce immédiatement sa langue. Il a l’air de se délecter de ce cul. La moitié de son visage disparait dans la raie de José qui pousse des cris de plaisir. Puis il lui écarte les fesses, crache sur le trou et fait entrer délicatement sa langue dans l’anus. Il ouvre bien le cul de la pute et il se recule pour laisser Marcel enfoncer sa queue jusqu’à la garde, d’un coup. Il est toujours en uniforme et sa queue bien au fond de la pute ne laisse plus rien voir de sa nudité. Il fesse le cul puis il se met à donner de grands coups de reins. La bite épaisse ouvre bien ce trou. Elle entre et sort avec force. Marcel agrippe les cheveux de José et le fait cambrer comme une jument. Il bourre vraiment ce cul de toutes ses forces.

Au bout de quelques minutes, il cède sa place à Ricardo qui prend une ceinture et la lui passe dans la bouche. Il la sert fortement, il enfonce sa bite dans le cul, il prend le bout de la ceinture et il entame sa chevauchée. José est comme une jument qui se fait monter par un cowboy. La queue bien mate de Ricardo entre et sort des entrailles de la jument.

- Ouvre bien ton cul, salope !

José prend alors ses deux fesses en main et les écarte bien. J’admire cette queue marron se mouvoir dans le cul tout blanc. Il donne de gros coups de bite qui vont très loin. Ses grosses couilles rebondissent contre le petit cul.

Ricardo se retire et cède sa place à Benjamin. Il tire sur la ceinture et s’enfonce dans le trou. Toute la queue rentre sans soucis. Le trou avale d’un coup les 22 cm. Seules les petites couilles toutes noires pendent sous l’anus de la pute. Il se met à donner de petits coups de reins qui font à peine sortir la bite mais qui secouent les couilles d’avant en arrière. Benjamin prend le cou de la pute avec force et la fait aller en arrière. Il appuie un peu dessus et fait suffoquer la salope. Dire que ce mec n’arrive pas à placer un mot au boulot tellement il est timide. Il cache bien son jeu ! Ce petit moment semble lui plaire car ses coups de bite deviennent plus amples, plus rapides et plus puissants.

Une fois sorti de son cul, Daniel prend la place du black. Il frotte d’abord sa queue contre la raie de la pute, il lui retire la ceinture, la fait pencher en avant tout en continuant de frotter sa queue contre la raie. Il lui donne de bonnes fessées et il finit par enfoncer sa queue dans le trou. Il se retire, mollarde le trou et sa propre queue puis se refonce. Il prend la pute dans ses bras, la colle contre son corps puissant, triture ses tétons et commence à la défoncer. Les coups sont puissants et longs. Puis il fait pencher vers l’avant tout en laissant ses mains plaquées sur ses épaules. Son gros ventre vacille un peu sous ses assauts.

Quand il ressort, Yannick prend la matraque et l’enfonce dans le trou bien ouvert. Il la défonce bien. Puis il enfonce sa queue dans le trou. Ses grandes mains sont placées sur les hanches et il se déchaine. Ses coups vont chercher loin dans les entrailles. Les grosses couilles se balancent et claquent contre le cul en faisant bien du bruit. Incroyable comment elles se balancent d’avant en arrière, avec quelle vitesse et quelle amplitude. Il prend ensuite la matraque et l’enfonce avec sa queue. Il baise maintenant la pute avec sa queue et sa matraque en même temps dans son cul. José gémit de bonheur. Puis Yannick sort.

C’est à mon tour. J’enfonce ma bite lentement dans le trou et je commence de lents mouvements. Puis j’accélère la cadence. Une envie animale me prend et m’oblige à la fesser. Les coups pleuvent sur le petit cul, ce qui fait gémir la salope. Je la défonce à fond. Mes grosses couilles claquent contre ses fesses de pute. J’adore voir les longs poils de son cul coller sur ma queue et aller et venir dessus. Je secoue la pute comme un prunier. Elle se met à hurler de plaisir. Je ressors et Ricardo la fait bien pencher en avant, le cul en l’air. Il la rebaise et on a une belle vue sur son cul poilu, sur ses couilles presque noires, sa queue marron qui s’enfonce en cadence dans le cul. J’adore voir ses grosses couilles s’exploser contre le petit cul blanc.

Marcel nous dit alors de nous poser tous sur le canapé. Ricardo sort de la chatte et il vient se placer à côté de moi. Nous sommes tous les six posés sur le canapé, la bite tendue. José commence par Benjamin, sur sa droite. La pute enjambe la belle bite noire bien longue et place le gland à l’entrée de sa chatte. Elle s’enfonce dessus et en l’espace de quelques secondes, sa chatte engloutit le long membre. Puis au bout de quelques minutes, elle passe à la queue de Marcel qui se laisse faire. La pute s’empale sur la queue et commence à monter et descendre dessus. Puis Marcel lui prend la croupe en main, la place un peu plus haut et il lui donne de puissants coups de queue. Ses mains agrippent le canapé tandis que seul son cul bouge pour faire entrer et sortir la bite. C’est beau. Seules les couilles et la grosse queue de Marcel sortent de son uniforme.

Ensuite, il passe à ma queue. Il commence à monter et descendre vivement sur ma queue. Il gémit en même temps. Puis ne pouvant contenir ma bestialité, je m’empare de son cul et je la baise en mode marteau-piqueur, sortant à chaque va-et-vient avant de replonger avec violence dans son anus. Mes couilles rebondissent contre ses fesses bruyamment.

Puis c’est celle de Ricardo qui sert. Là, José se laisse faire tandis que le latino, aidé par ses jambes musclées, baise le cul de la pute avec panache. Ses couilles frappent bien le cul tandis que ses 18 cm disparaissent dans la chatte. Que c’est beau de voir ses boules marron posées contre les fesses blanches, comme si elles appartenaient à ce beau cul. Ensuite, c’est le tour de Daniel. La pute s’enfonce sur la queue, et monte puis descend dessus. Le policier se laisse chevaucher en mettant des baffes à la pute et en la félicitant :

- Tu es une bonne salope toi ! Une bonne jument ! Tu vas voir comment je vais t’engrosser dans quelques minutes !

Puis José enfonce son cul sur la bite de 20 cm de Yannick. Elle chevauche la queue noire, cambrant bien sa croupe pour sentir la bite au plus profond d’elle.

Ensuite, Daniel prend la pute par les cheveux, lui crache à la gueule, et il prend les menottes qui pendent à la ceinture de Marcel. Il les lui met puis empale sa queue dans le cul accueillant. Il la défonce bien. Son corps est plaqué contre son dos et seul le cul de Daniel bouge. Ses couilles montent et descendent le long de la raie. Puis Ricardo prend la place. Il la baise à fond, il la secoue comme un prunier. Marcel a sa queue dans la bouche de la pute qui se retrouve embronchée par les deux belles queues.

Puis Benjamin se pose sur le lit et la pute s’embroche sur la queue. Les 24 cm s’enfoncent comme dans du beurre. Alors, Yannick se place entre les jambes de Benjamin et il pose sa queue sur celle du black. Il pousse lentement le gland qui entre sans problème dans la chatte. Mais José a mal, il crie un peu. Yannick dit :

- Putain, Marcel, fait taire cette salope !

Marcel monte sur le lit et il enfonce sa bite dans la bouche de José qui est possédée par cette teub. Aucun son ne peut plus sortir de sa gorge. Yannick pousse et son membre glisse le long de celui de Benjamin. Quelle belle vision ! Deux bites noires baisent un cul blanc en mode double pénétration. La queue toute noire dressée dans le cul, l’autre en biais et les grosses couilles de Yannick reposant sur la queue et les boules du black. Benjamin lèche les tétons de José tandis que Yannick se démène dans son cul. Il prend la tête de la salope dans ses mains, la fait bien cambrer et la baise avec puissance. Ses coups vont bien profonds, sa queue frotte contre celle du black. Il fesse même sa jument. Il sort et re-rentre dans le trou pour mieux continuer sa chevauchée. Ses grosses couilles battent contre celles de son pote et elles fouettent aussi le cul de la salope. Je me place dans le dos des mecs et j’admire le spectacle. Que c’est beau de voir ces 3 corps en train de s’unir. Puis Benjamin dit à Yannick de sortir car sinon il va jouir.

Les deux queues noires quittent le fion et je vais prendre la place sur le lit. J’ai trop envie d’essayer. Ma queue rentre direct dans la chatte. Et c’est Ricardo qui fait pencher la pute sur mon corps et qui pose son gland sur ma queue. Au contact de cette autre bite, un courant électrique me traverse le corps. Je frémis de plaisir. Je la sens alors coulisser le long de ma queue et rentrer en même temps dans la chatte tout en plaquant ma bite contre la sienne. Je sens son gland frotter contre ma queue ! Quelle sensation incroyable ! C’est la première fois que je fais une double pénétration en tant qu’actif. Mon regard croise celui de Ricardo et je vois son côté lubrique et animal prendre le dessus. Alors Ricardo commence à coulisser lentement dans la chatte bien chaude et la sensation devient de plus en plus forte. Il lime le fion de José tout en limant ma bite. Sa bite coulisse sur toute sa longueur le long de la mienne. Puis il explose son cul. Ses mouvements sont rapides et puissants, sa queue frotte contre la mienne de tout son long. José hurle de plaisir.

- Allez-y, baisez-moi plus fort !

Ricardo accélère ses mouvements. Il est comme un animal en rut. Ses couilles me frappent ma queue et mes boules. Je lui dis au bout de quelques minutes d’arrêter :

- Stop, je vais jouir sinon !

Ricardo me regarde malicieusement et il continue de baiser la pute. Sa queue frotte et fait pression contre la mienne. Quelle sensation de dingue ! Je pousse alors un cri de jouissance et l’orgasme m’envahit. Ma queue expulse mon jus dans la chatte de José. De gros jets vont gicler dans son antre. La bite de Ricardo continue de limer ma queue et dans un râle profond, il se vide aussi les couilles dans la chatte. José s’exclame :

- Oui, les mecs, videz-vous dans ma chatte !

Je sens la queue du latino se contracter contre la mienne et son gland laisse échapper des tonnes de sperme qui entourent ma propre bite. Ma queue ramollit et sort du cul, je sens alors nos spermes mêlés suivre. Ils coulent hors du fion sur mes couilles vidées.

Benjamin fait passer la pute de l’autre côté du lit, il se branle et au moment de jouir, il enfonce sa grosse tige dans le trou qui est rempli de nos spermes. Il va jusqu’au fond, faisant sortir le jus par vagues. Il ressort et donne sa queue à nettoyer. José se précipite dessus et lèche chaque millimètre carré pour ne pas perdre une goutte de jus.

Yannick positionne la pute sur le dos et la prend. Il donne de bons coups de butoir, allant jusqu’au fond tout en insultant José de pute, de salope, de trou à jus, de vide-couilles. La salope répond :

- Oui, je suis votre pute, vous allez tous m’engrosser comme il faut. J’adore vos queues.

C’est à ce moment que Yannick pousse un cri et qu’il lâche sa purée dans la chatte de José. J’admire ses couilles se contracter pour envoyer leur jus au fond du cul de la salope. Il ressort. Il ne semble pas être un gros juteur, aucune trace de sperme qui coule.

Marcel fait lever la pute, la fait se cambrer et il s’enfonce en elle. Il la démonte avec sa grosse queue. Puis après quelques minutes, il sort et il se branle au-dessus du trou et éjacule dessus. Je vois alors un gros jet explosé sur le trou et éclabousser les alentours, puis un deuxième. Puis Marcel replonge sa teub dans le trou et je la vois pulser et expulser encore plus de sperme dans la chatte. Puis il donne quelques coups de queue et il finit par se retirer. Quand il ressort sa grosse bite, je vois des flots de sperme couler le long de mon cul. Daniel s’enfonce dans ce trou rempli de serpe et il se met à bourrer la pute. Il se déchaine dans son cul. Je vois alors que, sous la pression de la queue, le sperme mélangé des participants gicle partout autour de la pute. Les grosses couilles qui sont devenues blanches, éparpillent le sperme dans toutes les directions. La pute en a partout : sur le cul, le string, le ventre.

Daniel fait passer ses bras sous ceux de la salope ce qui lui fait accélérer ses mouvements de reins. Je vois la queue bien ressortir pour mieux se renfoncer dans la chatte à une vitesse incroyable. Le bruit de baise mouillée est hallucinant. Au moment de jouir, il s’empare des hanches de la pute et donne un ultime gros coup. Il se vide bien en elle et quand il ressort un ruisseau de jus coule par terre hors de la chatte.

Nous nous félicitons tous, donnons des fessées sur le cul de la pute qui se branle et ne tarde pas à éjaculer. Nous nous rhabillons et quittons l’appart, sans un regard ni un mot pour la salope qui nous a servi de vide-couilles.

J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).