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Chapitre 4
Fini l’idylle entre mon parrain, Richard, et moi : Romain et Jonathan, les deux fils de mon parrain, semblent débarquer plutôt que prévu dans la maison de vacances familiale. Richard et moi avions décidé de passer les vacances ensemble, comme tous les ans, dans sa maison au bord de la côte Atlantique, à Royan. Certes, je dois être bosser car j’ai mon mémoire à finir pour valider la fin de mes études mais je compte bien profiter de la mer pour me changer les idées. Richard est un beau mec. Il est en instance de divorce et il est très déprimé depuis le début du séjour. Il se branle beaucoup et un jour, je le surprends. Après nous être branlés ensemble, nous avons cédé à la tentation et nous avons fait l’amour. Et depuis, nous vivons des instants magiques. Il semble complètement revivre. Je bosse, on va à la plage, on cuisine ensemble... et on baise souvent ! Mais la donne va sûrement changer maintenant.
Les deux garçons viennent d’arriver et Richard va les accueillir comme si de rien n’était. Il les embrasse. Ils entrent dans la cuisine, ils me tapent aussi la bise et leur père leur sert le petit-déjeuner. Il ne veut que personne ne sache qu’il est homo... pour le moment du moins. Donc, je vais comme si de rien n’était. Je souris, même si je suis dégouté. Heureusement qu’on avait à peine enlevé nos t-shirts tandis qu’on s’embrassait. Ils auraient pu nous voir à un moment plus avancé d’un moment intime.
Les deux garçons disent qu’ils voulaient faire une surprise à leur père et arrivaient plus tôt. Une fois mon café avalé, je leur dis :
- Je vais me mettre à mon mémoire.
Je les abandonne et je m’enferme dans ma chambre. Je reçois un message de mon parrain qui me dit combien il est désolé. Je soupire, je lui réponds que ce n’est pas grave et qu’il n’y peut rien. Je me plonge dans mon ordi.
A midi, on mange ensemble. Richard a cuisiné et ses deux fils se sont installés dans leur chambre respective. Ils me demandent si je veux venir à la plage avec eux, je leur dis que je dois bosser. Richard insiste, je dis non mais peut-être demain.
Je vais faire une sieste et après je reprends mon travail. Vers 19h, je commence à préparer le repas et ils rentrent peu après, bien bronzés. On s’installe à table et le repas est animé. Cependant, je dois dire que je n’ai jamais aimé les deux fils de Richard. Je les ai toujours trouvés prétentieux et un peu arrogants. Romain a 18 ans, il est roux comme son père. Il a des cheveux très courts, il a un visage fin et séduisant. Il n’est pas très grand et il est mince. Il a une peau très claire. Quant à Jonathan, il a 20 ans. Il tient plus de sa mère que de son père. Il a un visage charmant et masculin avec des cheveux bruns, touffus et bien épais. Il est grand (près d’1,90 m). Il porte une barbe aussi bien épaisse mais bien entretenue. Il est large d’épaules et il est un peu enrobé.
Le soir, on regarde un film puis les deux ados disent qu’ils veulent sortir en boite. Ils me demandent si je veux venir, je dis que non. Je vais me coucher peu après leur départ. Mon parrain me rejoint quelques minutes plus tard :
- Ils sont partis...
- Ok...
- Tout va bien ?
- Moui...
- Dis...
- Fini la tranquillité. Ils vont rester combien de temps ?
- Je ne sais pas... mais sûrement pas très longtemps. Une semaine ou deux.
Je soupire.
- Nico, ne t’en fais pas ! Tu vois, ils sont sortis. On aura aussi du temps pour nous. Et après mon divorce, on pourra officialiser les choses.
Puis voyant ma surprise, il s’empresse d’ajouter :
- Enfin bon, on n’en pas encore là. Tiens, viens plutôt dans mes bras.
Il se couche sur mon lit, les bras tendus. Je ne peux résister et je me couche sur son torse et ses bras m’entourent. Je soupire de satisfaction et je me laisse faire. Il me caresse le dos. Et tout d’un coup, j’ai envie de lui. Ma main se glisse vers son entre-jambe où je commence à le caresser. L’effet est immédiat. Sa queue se gonfle, je le regarde droit dans les yeux et on s’embrasse passionnément. Les vêtements volent et je peux enfin admirer de nouveau mon parrain. C’est vraiment un beau mec : il a 45 ans, d’épais cheveux roux avec une barbe fournie. Il est de stature et de taille normale. Son torse est imberbe, son ventre est couvert de poils roux. Sa peau est très pâle. Son pubis et ses couilles sont aussi très poilues. Il a une belle bite de 19 cm avec un long prépuce qui laisse entrevoir un beau gland rose, bien gros.
Il roule sur moi et il m’embrasse dans le cou. Je gémis de plaisir et il continue. Puis il continue de m’embrasser tandis que ses mains se baladent sur mon corps. Je prends son visage dans mes mains et je l’embrasse lentement tout en enroulant ma langue autour de la sienne. Pendant ce temps, ses mains se mettent autour de moi et il nous fait basculer. Je me retrouve sur lui et je sens sa queue tendue titiller mon trou. Nous nous embrassons, nous nous léchons pendant que nos mains caressent le corps de l’autre.
Puis, ma langue descend le long de son torse, passe par le nombril et arrive à sa queue. Mais elle ne s’y arrête pas et elle continue sa descente vers les cuisses. Cependant, l’envie est trop grande, ma langue remonte vers la bite que la bouche gobe d’un coup. Je le suce tendrement, aidé de ma main. Il me caresse le dos ou la tête tout en gémissant. Puis ma langue descend le long de sa bite puis de ses couilles et va chercher son trou. Elle s’y enfonce, Richard lève ses jambes et il apprécie mon traitement en gémissant toujours.
Après 5 minutes, je me relève et je me couche sur son corps pour lui rouler une grosse pelle. Nos corps s’enlacent, s’entremêlent. Ses mains se baladent dans mon dos et malaxent mes fesses. Puis il me fait basculer et engouffre ma queue dans sa bouche. Il me suce goulument, ce qui me fait roucouler de plaisir. Après 10 minutes, sa bouche remonte le long de mon corps, comme si elle voulait le dévorer tout cru. Il m’embrasse dans le cou puis il reprend sa suce. Finalement, il remonte vers moi et m’embrasse avec passion. Il me fait de nouveau basculer et il positionne sa bite le long de ma raie et il l’y frotte avec de petits mouvements de bassin. J’ai trop envie de lui d’un coup ! Je me relève un peu, son gland se retrouve contre ma rosette et il l’enfonce en moi, lentement. Je mouille déjà bien donc il entre sans problème, et bien sûr sans capote. Je la sens s’enfoncer en moi, m’écartant les chairs, passant ma prostate pour aller s’installer au fond de mon cul. Je gémis quand je sens ses couilles plaquées contre ma raie.
Je chevauche sa queue d’abord doucement pour me rhabituer à ses dimensions. Je monte et descends lentement dessus, j’adore la sentir pulser en moi. Puis, il me prend le cul et me défonce tendrement. Il coulisse bien en moi, je sens sa grosse queue me ramoner l’anus intensément.
Il me met en levrette et il s’enfonce dans mon anus. Il colle son corps contre ma colonne vertébrale et il m’embrasse dans le dos et dans le cou. Sa queue commence les va-et-vient et il devient plus sauvage. Ses coups de bite sont puissants et mon corps est secoué au gré de ses coups de butoirs. Moi, je saisis ma teub que je branle. Je sens sa grosse bitte en moi me défoncer et j’adore ça.
Puis il me positionne sur le dos et sans s’aider de ses mains, il m'enfonce sa bite profondément, il se cale au fond de moi. Il me regarde dans les yeux, il s'allonge sur moi, le contact de nos peaux m’électrise et il me roule une pelle. Puis il commence ses va-et-vient. Je sens la totalité de sa queue en moi et elle me défonce bien. Il me fixe droit dans les yeux et j’y lis une passion et une envie bestiale qui le dévorent. Il se penche sur moi, m’embrasse et se relève tout en me maintenant les jambes contre son torse et il se met à me limer profondément.
Je jette un coup d’œil sur la glace de l’armoire qui se trouve derrière nous et j’admire le beau cul faire des allers-retours pour bien me baiser. J’adore aussi voir son sexe en moi en train de me ramoner. Tout d’un coup, je me rends compte que la porte est entrouverte. Je commence à paniquer quand je vois alors Romain dans l’embrassure de la porte. Il me sourit et fait un clin d’œil, pose son doigt sur sa bouche pour me faire signe de ne rien dire et il part.
Ma queue devient plus molle, ce qui n’échappe pas à Richard qui prend ma bite tout en continuant de me baiser et il la branle. Je gémis, ma queue redevient bien dure et je jouis : mon sperme chaud surgit à grands jets et explose sur mon torse et même sur mon visage.
Richard pousse un gémissement et il me remplit le cul que je sens vraiment se remplir. Il continue de donner quelques coups de bite alors qu’il éjacule toujours. Je sens que son sperme déborde de mon anus et coule le long de mes fesses. Puis il décule et un torrent de jus coule de mon cul. Il se colle contre mon torse plein de sperme et il m’embrasse goulument. Nos deux corps se frottent, le sien devient aussi tout poisseux. Sa langue recueille aussi mon sperme qui a juté au coin de mes lèvres.
Il se pose à côté de moi et nous nous embrassons pendant de longues minutes. Puis il finit par regagner sa chambre, ne voulant pas éveiller les soupçons de ses fils, si jamais ils renteraient plus tôt. Je ne dis rien. Mais avoir vu Romain en train de nous regarder baiser me cause du souci. J’ai peur pour Richard ... et pour notre nouvelle « relation ». Je décide de parler en tête à tête avec Romain le lendemain. Je finis par m’endormir.
Pendant la journée suivante, je n’arrive pas à trouver le courage de parler à Romain. Il fait comme si de rien n’était. Aucune allusion, rien. J’attends alors de voir. Le matin, je bosse sur mon mémoire et l’après-midi, je décide d’aller avec la famille à la plage.
Une fois arrivés, on se déshabille tous et on se retrouve en maillot. Je mate les corps des fils de Richard. Romain est mince. Il a une peau très claire. Il n’est pas très musclé, il est d’ailleurs assez maigre. Une ligne de poils roux descend de son nombril à l’intérieur de son maillot de bain. Ses jambes sont minces et parcourues de poils roux. Jonathan est large d’épaules et il est un peu enrobé. Il a un torse bombé et grassouillet avec de gros tétons et un ventre dodu. Son torse et le milieu de son ventre sont parsemés de poils noirs. Il a des bras et des cuisses assez musclés.
Je me rends compte que nous portons tous un short de bain sauf Romain... Il a mis un maillot de bain, assez petit il me semble, qui lui moule un paquet qui a l’air impressionnant. Richard lui dit :
- Qu’est-ce que tu portes ?
- Mon short de bain était sale, j’ai pris un vieux maillot qui trainait dans mon armoire.
- Mais Romain, tu devais avoir 14 ans quand on te l’a acheté.
- T’avais qu’à faire une lessive ! Qu’est-ce que tu veux que je te dise ? Arrête de me souler maintenant.
Richard ne dit plus rien, mais il me lance un regard désespéré. Moi, j’essaie d’éviter de mater mon parrain de peur de bander... mais il faut aussi que j’évite de regarder le paquet de Romain car il semblerait qu’il est hérité des gênes de son père. Il a l’air d’avoir d’énormes couilles bien pendantes et sa queue, grosse et large, est plaquée dessus. Elle semble en faire les contours de telle sorte que son gland se retrouve sous ses couilles. Le tissu est tendu au maximum, la queue est longue et large. L’ensemble forme une boule volumineuse.
Cependant, j’arrive à passer l’après-midi sans avoir d’érection. Nous rentrons le soir et nous mangeons ensemble. Jonathan nous signale qu’il veut sortir mais Romain dit qu’il est trop fatigué et qu’il va aller se coucher. Les deux nous laissent tranquilles et nous finissons de regarder le film sans pouvoir nous enlacer, de peur que Romain nous surprenne. Je tais le fait qu’il a joué le voyeur la nuit dernière.
Quand le film se termine, je dis à Richard :
- Je vais aller me coucher, je suis fatigué aussi. Par contre, je suis mal à l’aise de savoir tes fils ici. Je ne voudrais pas qu’ils nous surprennent. Ça serait pas bon pour ton divorce, tu le sais bien. On aura bien l’occasion de s’amuser tous les deux quand ils sortiront.
- Oui, tu as raison.
Il m’attire vers lui, me donne un baiser furtif et je monte me laver les dents. Quand j’entre dans la salle de bains, je surprends Romain, assis sur la cuvette des toilettes. Je reste pétrifié de surprise car il est en train de se branler ! Il est complétement nu et sa bite est dressée devant ses abdos. Elle doit bien faire dans les 21 cm. Son pubis est assez velu, rempli de poils frisés et roux. Il a de grosses couilles qui ont l’air bien pleines, avec des poils longs et roux.
Je m’excuse, confus, je ferme la porte et je vais dans ma chambre, rouge de honte et je me pose sur mon lit. Mais quelques secondes plus tard, Romain rentre dans ma chambre, complètement nu, la queue toujours dressée et il s’assoit devant mon ordi. Sans demander, il l’allume et il s’allume un porno. A peine remis de ma surprise, je lui demande :
- Mais tu fais quoi là ?
- Allez, viens me branler. Je suis trop chaud là !
- Quoi ? Mais non, sûrement pas !
- Ah bon ? J’ai bien vu hier soir que tu aimais la bite.
Je me sens gêné, il est vrai qu’il a une superbe belle queue mais je ne sais pas comment faire par rapport à Richard. Romain continue :
- Je ne dirais rien à mon père, promis.
- Non mais je...
- Quoi ? Tu l’aimes ?
Je réfléchis à fond. Personne ne doit savoir pour nous.
- Mais non ! Hier soir, c’était un dérapage. On a bu beaucoup d’alcool après votre départ et je me suis jeté sur lui. Il n'a pas résisté à ma pipe et il s’est laissé aller. Rien de plus.
- Bien, alors occupe-toi de moi maintenant.
Je me lève, je verrouille la porte et je m’assois sur une chaise, à côté de Romain. Je prends sa queue en main. Elle est bien épaisse, bien grosse, elle pulse dans ma main. Ses 21 cm sont larges et courbés vers l’avant. J’arrive à peine à ferme ma main autour. Ils sont parcourus de grosses veines et ils sont pourvus d’un petit gland bien rouge. Romain regarde le porno et je commence à branler sa queue. Ma bite se dresse immédiatement. Romain se laisse faire, il regarde soit l’ordi soit ma main qui le branle. Il dit parfois :
- Tu fais ça trop bien.
J’accélère le mouvement car je veux expédier la chose. Mais il semble être long à venir. Au bout de 10 minutes, je change de main et je continue. J’hallucine. Sa bite, dont ma main a du mal à en faire le tour, m’excite vraiment beaucoup. Ses couilles se balancent de haut en bas, à cause de mes mouvements de branle. Puis il m’ordonne :
- Suce-moi !
- Quoi ?
- Oui, il parait que les homos sucent mieux que des meufs. J’ai toujours eu envie de comparer.
L’envie l’emporte sur la raison et je me mets à genoux, entre ses jambes. Je le mate. Son regard est fixé sur le film. Je prends sa bite en main et j’enfonce le gland dans ma bouche. Puis je vais plus loin. J’ai la moitié de sa queue en bouche et je branle le bas de sa queue. Il gémit de plaisir et il me dit de continuer. Je lèche son gland, je le suce. Je continue ma descente et je me retrouve avec presque tout son membre dans ma bouche. Je lui fais même quelques gorges profondes qui le font gémir bien fort. Sa queue est trop bonne. Je le suce pendant une vingtaine de minutes et il ne jouit toujours pas. Je commence à trouver le temps long. Je prends alors sa bite en main et je le branle de toutes mes forces.
- Je vais pas tarder à jouir ! Suce-moi jusqu’au bout et avale.
Je fais non de la tête, je continue ma branle, ses couilles se balancent de haut en bas... et il jouit. 9 jets énormes sortent de sa queue et vont s’écraser sur son ventre, son torse et sautent derrière ses épaules, allant s’exploser par terre. Je continue de le branler et de nombreuses gouttes sortent de sa queue et tombent sur son pubis.
- Connard ! Je t’avais dit de me sucer !
Il se lève, sort furieux et va dans la salle de bain. Je me remets de mes émotions, je nettoie le sol souillé puis je me branle en repassant à cette action et j’éjacule dans un mouchoir qui va rejoindre les autres dans la poubelle. Puis je vais me poser sur le lit et je m’endors très vite.
Je me réveille en plein milieu de la nuit quand je me rends compte que Romain est devant moi, la bite à l’air. Voici comment je pense que la scène s’est déroulée alors que je dormais encore :
Romain est entré dans ma chambre et a enlevé doucement le drap qui me recouvrait. J’étais en caleçon. Je devais dormir sur le dos, sûrement en train de bander. Il a dû me frôler mon paquet puis il a dû me branler un peu. Ensuite, il a glissé sa main dans mon entre-jambe, me caressant ainsi les couilles. Puis il a baissé mon caleçon, le bloquant délicatement sous mes couilles. Il s’est alors amusé avec ma queue : il l’a triturée, branlée, soupesée. Puis il s’est mis à se branler et il a joui comme tout à l’heure abondamment. Le premier jet a jailli et est a fusé sur ma queue et mes couilles. Puis il s’est relevé, et le deuxième jet a arrosé mon corps. Il s’est placé au-dessus de mon torse tandis que le troisième jet allait se loger sur mon cou. Huit jets sont ensuite sortis hors de sa bite et ils sont atterris sur mon menton, au coin de ma bouche, sur mes yeux et dans mes cheveux. Mais c’est le sperme qui est rentré dans ma bouche qui m’a réveillé. J’avais encore les yeux fermés quand j’ai gouté ce qui se trouvait sur ma langue et j’ai constaté que c’était du sperme ! En ouvrant les yeux, j’ai reconnu Romain qui se branlait toujours, sa queue laissant encore échapper quelques gouttes de son jus de mâle, et que me souriait ! Il utilisait ses doigts pour faire entrer le sperme, que j’avais sur le menton, dans ma bouche.
Une fois bien réveillé, je commence à me débattre et lui se lève, et sort en disant simplement :
- Ça t’apprendra à pas m’avoir sucé jusqu’au bout. T’as intérêt la prochaine fois à faire ce que je dis !
Il referme la porte et moi, je regarde mon état : je dégouline de sperme et je dois faire une tête bizarre tellement je suis surpris. Et je ne le sais pas encore, mais ce n’est que le début des surprises que Romain me réserve...
A suivre...
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire réelle. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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