Visite de mon cousin

Chapitre-2

Cette histoire est réelle. Je m’appelle Guillaume. C’est le récit de ma première fois avec un mec.

A l’époque, mon oncle avait demandé à mes parents si Mickaël, mon cousin du même âge que moi (18 ans à l’époque) pouvait passer deux semaines chez eux, car il souhaitait partir seul avec sa femme en vacances en amoureux aux Etats-Unis. Mes parents avaient tout de suite accepté, ils aimaient bien leur neveu. Moi aussi, je le trouvais sympathique. Mais ça faisait longtemps que je ne l’avais pas vu… sûrement 2 ans. Et j’ai découvert un magnifique jeune homme qui m’a tout de suite fait envie ! Alors qu’on était chaud, on a commencé à se branler mutuellement, et de fil en aiguille, on s’est retrouvé à se sucer.

Je me décris : lorsque j’avais 18 ans, j’étais assez grand (1,80m pour 70 kg). J’avais des cheveux châtain et des yeux verts. J’étais mince et sportif. J’étais monté 13 cm. J’habitais chez mes parents à Saint-Malo.

Mickaël et moi nous nous sommes branlés et sucés souvent les jours qui ont suivi. Certains jours, on a tellement joui souvent que nous avons eu des orgasmes secs, sans écoulement de sperme.

Après deux semaines, ses parents sont revenus. Le dernier soir, il s’est assis sur mon lit, le regard triste :

- Guillaume, promets-moi un truc.
- Quoi ?
- Tu viendras me rendre visite durant un week-end ?
- Oui, avec plaisir. Mais ça va, toi ?
- Bof... Je suis triste de ne plus pouvoir me branler et me sucer...
- Pareil pour moi !
- Tu connais pas des potes avec qui tu pourrais faire la même chose ?
- Non, malheureusement pas...
- Moi non plus. J’aimerais tellement me branler avec deux mecs de ma classe...
- Tu sais, moi, je suis timide et je n’oserais jamais approcher d’autres mecs comme ça...

Et voilà, le jour tant redouté est arrivé : Mickaël est rentré chez lui. Il m’a tout de suite beaucoup manqué... Et dans mon lit, le soir, j’ai souvent pensé à lui en me branlant.

Deux mois plus tard, Mickaël m’a appelé et m’a demandé si je voulais venir lui rendre visite pendant les vacances de Toussaint. Etant donné que mes parents n’ont rien eu contre, je lui annoncé quelques jours plus tard que ça ne posait pas de soucis. J’allais donc passer deux semaines à Dijon chez lui. J’étais vraiment impatient !

Le dernier jour avant les vacances, je suis rentré chez moi en trombes et j’ai commencé à faire mes valises. J’ai pris le train le lendemain tôt. Et je suis arrivé quelques heures plus tard à la gare de Dijon. En descendant du train, j’ai regardé autour de moi... Le quai était bondé. Soudain, j’ai vu Mickaël et son père qui m’attendaient ! Je suis allé vers eux, j’ai fait la bise à mon oncle et j’ai enlacé fort mon cousin avant de lui faire la bise aussi. Mon regard a croisé ses yeux et je lui aurais presque roulé une pelle ! Mickaël était encore plus canon que pendant les vacances, je trouvais, comme s’il avait un peu vieilli. Il avait vraiment l’air très masculin ! Il était plus petit que moi (1,75m) et il avait des cheveux blonds, mi-longs. Il portait un t-shirt vert ainsi qu’un pantalon bleu…

Mon oncle a pris ma valise, je les ai suivis à leur voiture et on est montés dedans. On a roulé pendant 10 minutes. En arrivant, mon oncle a embrassé ma tante et il a soupiré :

- Quoi ?, lui a demandé ma tante.
- Les deux ont pas arrêté de parler ! Comme des commères !

Ma tante a rigolé, elle m’a pris dans ses bras et elle m’a déposé un gros baiser sur la joue. Elle s’est écriée :

- Tu es vraiment devenu un beau jeune homme, Guillaume ! Tu dois être un le Don Juan de ses dames !

Elle a rigolé. Moi, je suis devenu rouge comme une pivoine, sans pouvoir répondre. En me montrant ma chambre, Mickaël a murmuré à mon oreille :

- Si elle savait ce que moi je sais...

On s’est mis à rire. Après le repas, Mickaël et moi sommes allés dans sa chambre.

- Alors, tu as trouvé des potes de branle ?
- Non... mais j’ai souvent pensé à toi et à notre branlette mutuelle, ai-je dit en rougissant.

Mickaël m’a alors embrassé et enlacé dans ses bras. Puis, il s’est redressé et il a dit :

- Moi, aussi j’ai souvent pensé à toi.

Ce faisant, il s’est mis à caresser mon dos, puis à malaxer mes fesses. Ma queue s’est immédiatement dressée dans mon short.

- Il faut qu’on fasse gaffe, ma mère a tendance à rentrer sans prévenir. Mais les parents sortent ce soir, on sera tranquille. Je te montrerai un nouveau truc, a-t-il ajouté en souriant malicieusement.

Après le dîner, les parents de Mickaël sont sortis. On s’est retrouvés seuls. On écoutait de la musique dans sa chambre tout en nous enlaçant et en nous roulant des pelles. J’adorais ces instants intimes, ils m’avaient manqué. Après un certain temps, Mickaël s’est levé et il est allé dans la salle de bain.

- Je vais nous faire couler un bain. Déshabille-toi et rejoins-moi.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Enfin, ça faisait deux mois que je n’avais pas vu Mickaël à poil. Il était toujours aussi sexy. Sa queue était en mode demi-molle tandis que la mienne bandait à fond.

- Ta queue est vraiment belle, a dit Mickaël
- Et toi, tu es vraiment bien foutu ! Tu as fait de la muscu ?
- Ouais !

Quand la baignoire a été pleine, on s’est assis dans l’eau. C’était génial de sentir l’eau chaude sur ma peau et de voir mon cousin nu, en face de moi. Mickaël s’est alors mis à jouer à l’aide de son pied avec ma bite. Je l’ai alors imité. De temps en temps, il me faisait me dresser un peu, pouvant ainsi passer son pied entre mes jambes pour titiller mon trou. J’ai fait la même chose... et j’ai même essayé avec un orteil de rentrer dans son anus, malheureusement sans succès.

A un moment, Mickaël s’est levé et il s’est mis entre mes jambes, la tête sur mon torse. Ma bite était bloquée entre son dos et mon ventre. Il a ensuite levé la tête et on s’est embrassé. Je lui ai caressé le torse et le ventre, puis j’ai pris sa queue en main. Il a alors dit :

- Laisse ma queue sinon je vais devoir juter...

On s’est câliné et on s’est embrassé jusqu’à ce que l’eau soit froide. Puis, nous sommes sortis de la baignoire et nous nous sommes séchés l’un l’autre. Mickaël a pris un lait pour le corps et on est allés dans sa chambre. Il m’a fait assoir sur le lit avant de prendre la lotion et il a commencé à m’en passer dans le dos. Il m’a massé le dos... avant de me faire coucher sur son lit pour passer à mes fesses. Je sentais ma queue bandée coincée entre mon ventre et le matelas. Et soudain, je l’ai senti écarté mon cul... avant de titiller mon anus avec sa langue ! Je n’ai rien dit. J’ai fermé les yeux et j’ai savouré l’instant. Un sentiment indescriptible s’est emparé de moi. Je n’aurais jamais crû être aussi sensible du trou. Petit à petit, Mickaël a enfoncé entièrement sa langue de mon anus où il la faisait tournoyer. Je gémissais doucement. Puis, il y a enfoncé un doigt. Je me suis laissé faire. Il a eu très vite son doigt entièrement en moi et il s’est mis à caresser ma prostate. Quel sentiment intense ! Une explosion s’est petit à petit emparée de moi et dans un cri, je me suis rendu compte que je giclais. Les jets de spermes ont tapissé mon ventre et les draps.

Lorsqu’il s’est retiré, je me suis redressé et je lui ai roulé une grosse pelle. Mickaël a demandé :

- Ça ta plu ?
- C’était génial !

Il m’a regardé pendant quelques secondes dans les yeux sans rien dire avant de reprendre :

- Tu es vraiment le mec le plus mignon que je connaisse ! Et ton cul est tellement excitant...

Je l’ai alors embrassé, on s’est couché sur le lit et j’ai caressé son corps, en commençant par le torse, puis le ventre, pour arriver à sa bite qui était bien dure, bien droite, bien grosse. Son prépuce recouvrait la moitié de son gland. Ses couilles étaient grosses et pendantes, assez velues. Son pubis était recouvert de poils châtain foncés, épais et frisés. Sa teub devait faire dans les 19 cm.

Puis, je me suis baissé et j’ai embrassé son gland. Je me suis mis à le sucer. Mes doigts malaxaient ses couilles ... avant de passer à son périnée... et à son trou. Je l’ai massé... avant de le pénétrer doucement. A ce moment-là, des jets de sperme ont explosé dans ma bouche. C’est arrivé d’un coup, avec une telle violence et dans une telle quantité que je n’ai pas pu tout avaler. Du sperme a coulé le long de sa teub que j’ai gardé en bouche jusqu’à ce qu’elle devienne toute molle.

Après, on s’est longtemps câliné, en se caressant et en s’embrassant. Puis, vers 23h, on s’est rhabillé car les parents de Mickaël ne devaient pas tarder à rentrer. J’ai enfilé un t-shirt et un caleçon et Mickaël m’a alors dit :

- Viens dormir dans mon lit.
- Tes parents vont rien dire, ai-je demandé, surpris. Ça va pas paraitre bizarre ?
- M’en fous. Il va falloir que je leur dise tôt ou tard que je suis homo. Et toi alors ?

Je l’ai regardé sans répondre... avant que ces paroles sortent de ma bouche :

- Mickaël, je t’aime... et je ne veux pas le cacher !

Mickaël a simplement souri tout en me tirant vers lui et en m’embrassant. Puis, il a repris la parole :

- Et tes parents ? Ils vont en penser quoi ?
- M’en fous aussi...

Je me suis blotti dans les bras de Mickaël, ma tête sur son épaule. On a alors commencé à faire des projets, comme par exemple à qui nous allions parler de notre relation. Puis, nous nous sommes endormis.

Je me suis réveillé le lendemain avec une grosse érection. Je suis d’abord allé soulager ma vessie, puis je me suis blotti contre Mickaël qui me tournait le dos. J’en ai profité pour passer ma main dans son caleçon. J’ai caressé son cul ... puis je me suis rendormi.

Plus tard, c’était la voix de ma tante qui m’a réveillé. Elle a frappé à la porte en disant que le petit-déjeuner était prêt. Mickaël s’est tourné vers moi et il a dit :

- Coucou, mon mignon !

Je lui ai déposé un baiser sur la bouche puis je suis allé me doucher avant de descendre. Ma tante souriait mystérieusement. Est-ce qu’elle était entrée dans notre chambre pendant qu’on dormait ? Est-ce qu’elle avait remarqué quelque chose ?

- Bon, on va y aller, a dit ma tante.
- Où ?, ai-je demandé.
- On est invité aux noces d’argent d’un couple d’amis. On sera absents quelques jours car nous voulons visiter la région après la fête. Je vous ai préparé des plats qui sont dans le frigo. Vous aurez plu qu’à la faire réchauffer au micro-onde.
- Ok.
- Mais pas de fête en notre absence !
- J’avais l’intention d’inviter 30 potes. Ça va être bien.
- Tu vois Nico comment mon fils se moque de moi !

On s’est tous mis à rire. Les parents de Mickaël sont finalement partis. Le midi, nous sommes sortis avec un pote de Mickaël, Fabien, ainsi que sa copine Myriam. On a mangé dans un fast-food avant de nous promener en ville.

On est rentrés le soir et on a mangé une pizza faite maison par la mère de Mickaël. Nous sommes ensuite allés dans la chambre de Mickaël et nous nous sommes embrassés pendant de longues minutes. Nos mains caressaient le corps de l’autre. A un moment, Mickaël m’a murmuré à l’oreille :

- Tu sais ce que j’aimerais ?
- Non...
- J’aimerais être en toi... comme les mecs dans le magazine porno que j’ai volé la dernière fois...
- Mickaël... je t’aime et je te fais confiance. J’ai vraiment peur d’avoir mal... mais laisse-nous essayer !

On s’est d’abord douchés et on s’est retrouvés nus sur son lit. Mickaël a alors sorti un tube de lubrifiant d’un tiroir. Il m’a fait mettre sur le ventre et il a caressé le dos... puis les fesses. Il les a massées avant d’enfoncer sa langue dans mon trou. J’ai tout de suite gémi. Puis, il a mis du gel sur son doigt qu’il a enfoncé dans l’anus. Ensuite, il y a mis un deuxième. Il a pris son temps, il m’a bien travaillé le trou. Il a voulu prendre une capote mais je l’ai arrêté d’un geste...

- J’ai envie de sentir ta queue, comme ça, en moi.

Souriant, il a posé les capotes et il a enfoncé lentement son gland dans mon trou. Puis, sa queue est passé doucement. Elle a passé mes sphincters. J’essayais de me détendre et j’éprouvais de la douleur... mais aussi beaucoup de plaisir. Soudain, j’ai senti ses couilles contre mes fesses. Il est resté en moi un moment sans bouger. Puis, il s’est mis à faire des va-et-vient. Le sentiment de douleur a vite été remplacé par une excitation intense. Enfin ! La queue de mon cousin me possédait ! Ma bite s’est remise à bander.

Il a alors accéléré la cadence. Il me défonçait sur toute la longueur de ses 19 cm. C’était trop bon. Je gémissais fort. Je sentais son gland aller et venir sur ma prostate. Ses coups de bite étaient toujours plus sauvages, toujours plus bestiaux, rapides et puissants. Un orgasme puissant s’est emparé de ma teub. Elle s’est mise à être prise de secousses et elle a giclé sur mon ventre et le lit. Mickaël a sûrement ressenti les crispations de mon trou car d’un coup, j’ai senti son corps se figer, il a donné un dernier cou et il s’est enfoncé en moi.

- Mon amour, je vais te mettre enceinte !

J’ai alors senti sa queue se contracter et lâcher de grosses giclées puissantes et abondantes dans mon trou. Il s’est ensuite couché sur moi, en respirant fort, la queue toujours dans mon anus.

- Merci, a-t-il dit en m’embrassant dans le cou.

Il a sorti sa bite de mon trou, un torrent l’a dévalé. On s’est retrouvé dans les bras l’un de l’autre. J’ai alors vu des larmes descendre le long de ses joues.

- Mickaël, ça va ?
- Oui, c’était tellement bon ! Je t’aime tellement, Nico !
- Je t’aime aussi, Mickaël !

On s’est embrassé un long moment avant de s’endormir dans notre semence...

A suivre...

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